De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule
Bonne route & merci pour votre visite
Cela ne vous a pas échappé ! la saison des allergies à débuter
Ces choses sales excellentes pour la santé
" Les allergies sont provoquées par une réaction excessive du système immunitaire."
Convaincu qu'il est attaqué par de dangereux microbes, notre corps fait tout ce qu'il peut pour s'en débarrasser : il nous fait éternuer pour nettoyer nos poumons et nos fosses nasales, il produit du mucus qui s'écoule abondamment par notre nez, il nous fait pleurer pour nettoyer nos yeux, provoque une inflammation entraînant des rougeurs sur la peau et de la conjonctivite (yeux qui grattent) pour détruire les agents étrangers. Ces réactions sont provoquées par un puissant cocktail d'histamines, de leucotriènes et de prostaglandines fabriquées par les mastocytes, des cellules du système immunitaire qui se trouvent sur nos muqueuses et qui servent à détecter les agents étrangers. Mais nos mastocytes se trompent ! Nous ne sommes pas attaqués par un dangereux microbe, mais par d'innocents grains de pollen, poils de chats ou autres poussières. Pour lutter contre les allergies, notre corps doit donc apprendre à distinguer les corps étrangers dangereux de ceux qui ne le sont pas. Or, il ne peut apprendre que s'il est souvent confronté à une grande diversité de microbes.
L'hygiène excessive le prive d'occasions nécessaires de s'exercer. C'est là une raison possible de la forte augmentation des allergies dans les sociétés industrialisées. À force de vouloir tout nettoyer, désinfecter, stériliser, nous avons déboussolé notre système immunitaire. Alors qu'arrive le printemps et que s'annoncent les premières vagues de pollen, voici quelques découvertes récentes tout à fait passionnantes qui vous aideront à mieux lutter contre les allergies.
Le lave-vaisselle favorise les allergies
Des chercheurs de l'université de Gothenburg, en Suède, ont récemment découvert que les enfants élevés dans des maisons sans lave-vaisselle ont deux fois moins d'allergies que les autres. Ils avaient beaucoup moins de tendance à l'eczéma, à l'asthme et au rhume des foins.
Cela pourrait être dû au fait que le lave-vaisselle chauffe à très haute température, bien plus fort que la chaleur que nous pouvons supporter en lavant notre vaisselle à la main. Les ustensiles de cuisine sortent donc largement stérilisés du lave-vaisselle. La plupart des microbes ont été éliminés. Les personnes qui mangent avec ces ustensiles sont donc moins exposées aux bactéries et autres antigènes (corps étrangers provoquant une réaction immunitaire). Leur système immunitaire est moins sollicité, il perd de sa précision et risque plus souvent de se tromper, de réagir alors que c'est inutile (provoquant des allergies). Les aliments fermentés et les produits de la ferme diminuent le risque d'allergie Les enfants qui mangent des aliments fermentés et des produits de la ferme non pasteurisés (beurre, fromage, lait), des fruits et des légumes ramassés tels quels et non traités, ont aussi moins d'allergies que les autres . On peut là aussi faire un lien avec les bactéries et microbes avec lesquels les enfants sont en contact, et qui leur font un vaccin naturel. Les recherches montrent que les femmes qui prennent des probiotiques (bactéries bonnes pour la santé) durant leur grossesse ont des enfants plus résistants aux allergies . Les enfants qui prennent des probiotiques quotidiennement voient leur risque d'eczéma baisser de 58 % . Concernant les aliments frais de la ferme, les enfants qui grandissent dans des intérieurs aseptisés, sans être en contact ni avec les animaux, ni avec la terre, les insectes, les plantes, les fleurs, les pollens, ont plus de risques de souffrir d'asthme et de rhume des foins que ceux qui vivent dans des maisons un peu sales. Dans une étude, les enfants d'âge scolaire buvant du lait cru ont eu 41 % de risques en moins d'avoir de l'asthme, et 50 % de risques en moins d'avoir le rhume des foins que les enfants qui buvaient du lait UHT .
Notez : Les informations de ce billet d'information sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
L’enquête ; Flatulences : 10 choses que les pets révèlent sur votre santé
Bien qu’elles soient naturelles et normales, les flatulences n’en restent pas moins gênantes. Mais vous avez tout intérêt à prêter attention à vos pets. Maladies, alimentation, hygiène de vie, les gaz intestinaux peuvent en révéler beaucoup sur votre santé.
Les flatulences, ou dans le langage courant les pets, sont des gaz accumulés dans l’intestin et l’estomac qui sont expulsés plus ou moins bruyamment (et plus ou moins volontairement) par l’anus. Ce processus est entièrement naturel. Selon des estimations, une personne en bonne santé émettrait entre 12 et 25 flatulences par jour. Toutefois, péter plus peut être le signe d’un souci de santé. Découvrez les troubles que les gaz intestinaux peuvent révéler dans notre diaporama.
Que contiennent les pets ?
Selon les estimations, une personne libère en moyenne entre 0,5 à 1,5 L de gaz intestinaux. Toutefois, la quantité dépend de plusieurs facteurs comme l’alimentation, la quantité d'air ingéré et l’activité des bactéries présentes dans l’intestin.
Si la composition varie quelque peu selon le régime alimentaire et le microbiote de l’individu, les flatulences sont composées généralement de :
azote : environ 60% ;
hydrogène : environ 20% ;
dioxyde de carbone (9%) ;
méthane (7%) ;
oxygène (3%).
Les odeurs nauséabondes peuvent avoir plusieurs origines. L’effluve d'œuf pourri apparaît en présence de sulfure d’hydrogène, celle d’excrément survient lorsqu'il y a des traces de scatol ou d’indole (des sous-produits de la digestion de la viande).
L’odeur des pets serait bonne pour la santé
Émettre un pet en présence d’autres personnes est souvent vécu comme embarrassant, surtout s’ils sentent mauvais. Pourtant, ce “fumet” serait bon pour la santé, selon une étude menée par l’Université d’Exeter en 2014. Les chercheurs assurent que le sulfate d’hydrogène présent dans les flatulences permettrait de réduire les risques de développer des maladies comme le cancer, les AVC et les crises cardiaques. En étudiant les gaz intestinaux, ils ont, en effet, découvert que l’organisme utilisait cette molécule pour protéger les mitochondries des cellules.
Le professeur Matt Whiteman de l’école de médecine de l’Université d’Exeter a expliqué dans l’article paru dans le journal scientifique Medical Chemistry Communications : “lorsque les cellules deviennent stressées par la maladie, elles activent des enzymes afin de produire d’infimes quantités de sulfure d’hydrogène. Cela permet de maintenir l’activité des mitochondries qui aident les cellules à vivre en contrôlant l’inflammation. Si cela n'arrive pas, les cellules meurent et perdent la capacité de réguler la survie et de contrôler l'inflammation".
"Nous avons exploité ce processus naturel en fabriquant un composé, appelé AP39, qui délivre lentement de très petites quantités de ce gaz spécifiquement aux mitochondries. Nos résultats indiquent que si les cellules stressées sont traitées avec AP39, les mitochondries sont protégées et les cellules restent en vie", ajoute-t-il.
ARNm : quatre lettres qui ont fait le tour de la planète et désignent ce qui ressemble de plus en plus à une avancée majeure dans le domaine de la vaccination. Mais de quoi parle-t-on exactement ?
Les ARN (pour Acides RiboNucléique) sont des molécules dont la structure est proche de celle des molécules d’ADN (acide désoxyribonucléique). Beaucoup moins stables que ces dernières, ce qui signifie qu’elles sont plus facilement détruites, les molécules d’ARN jouent toutefois de nombreux rôles dans les cellules. Ceux-ci varient selon la classe d’ARN considérée : ARN de transfert ou ARN ribosomique qui interviennent dans l’assemblage des protéines, ARN guides qui aident à positionner certaines enzymes au bon endroit… Aujourd’hui encore, de nouvelles classes d’ARN possédant diverses fonctions biologiques sont découvertes.
L’ARN utilisé pour la vaccination appartient à la classe des ARN messagers (ARNm). Ces petites molécules sont connues depuis les années 1960, époque à laquelle François Jacob et Jacques Monod, deux scientifiques français, ont joué un rôle prépondérant dans leur découverte. Les ARN messagers sont présents de manière fugace dans nos cellules. Ils constituent en quelque sorte le « plan de montage » des protéines : dans le noyau de la cellule, l’information correspondant à une protéine donnée, portée par l’ADN, est « recopiée » sous forme d’une molécule d’ARNm. Celle-ci passe ensuite dans le cytoplasme (l’espace compris entre le noyau de la cellule et sa membrane). Elle y sera lue par les ribosomes, les unités chargées de la production des protéines, puis détruite.
C’est sur cette fonction que reposent les vaccins à ARNm. Le principe est en effet d’injecter dans les cellules l’information leur permettant de produire une protéine de l’agent infectieux contre lequel on souhaite obtenir une immunité. Les cellules de l’individu vacciné fabriqueront elles-mêmes le constituant viral en question, ce qui déclenchera une réponse immunitaire.
Il a longtemps été difficile de travailler avec les molécules d’ARN, en raison de leur fragilité. Mais grâce aux progrès scientifiques, les choses ont changé, et l’on peut aujourd’hui envisager d’utiliser les ARNm comme vaccin.
Quels sont les avantages et les désavantages des vaccins à ARN ?
Tout d’abord, c’est une approche vaccinale plus sûre dans toutes ses étapes, de la conception à l’utilisation, car aucun être vivant n’est manipulé. La fabrication des vaccins à ARNm est aussi devenue plus « simple » que celles des autres types de vaccins, qu’il s’agisse de vaccins vivants atténués (basés sur l’emploi d’agents infectieux vivants modifiés afin qu’ils perdent leur pouvoir infectieux) ou de vaccins inactivés (qui contiennent des agents infectieux « tués » ou des fragments d’agents infectieux).
La production de ces deux types de vaccins contre des virus nécessite en effet le plus souvent de recourir à des cultures de cellules ou à des œufs embryonnés, dans des conditions très contrôlées. Les vaccins à ARNm s’affranchissent de ces étapes coûteuses, car ils sont produits par synthèse chimique. En outre, contrairement aux vaccins vivants atténués, le risque de retour à la virulence est nul, puisqu’ils ne contiennent pas d’agent infectieux.
Outre le fait que les vaccins à ARNm sont faciles à produire et peu onéreux, leur adaptation à l’évolution des agents pathogènes peut se faire rapidement. Si un nouveau variant viral muté contre lequel le vaccin serait moins efficace émerge, il suffit (théoriquement !) de modifier la séquence de l’ARNm pour la faire correspondre à celle du nouveau variant viral afin de retrouver l’efficacité perdue.
Enfin, une conséquence de leur présentation originale au système immunitaire est que les vaccins à ARNm génèrent des réponses immunes équilibrées, entre les composantes cellulaire (lymphocytes) et humorale (anticorps). Or, ces réponses équilibrées sont plus efficaces pour lutter contre les virus.
Les désavantages de ces molécules d’ARNm sont essentiellement liés à leur stabilité plutôt faible. En effet, ce sont des molécules fragiles et leur conservation n’est pas toujours évidente même si des progrès ont été faits ces dernières années (lyophilisation). Que ce soit hors ou dans les cellules, les ARNm disparaissent vite, en raison de leur structure moléculaire…
Un autre désavantage est que lorsque les ARNm sont étrangers à nos cellules, ils activent des réponses interférons de types 1 et 3 (les interférons sont des protéines produites notamment en réaction à des infections virales). Ces réponses aboutissent à leur dégradation et peuvent réduire l’induction de la réponse immune souhaitée lors de la vaccination.
Les vaccins à ARN peuvent-ils modifier nos génomes ?
Les ARNm des vaccins développés contre la COVID-19 ne sont pas des organismes génétiquement modifiés (OGM) et ne constituent pas une approche de thérapie génique. En effet, ce sont juste des morceaux d’acides nucléiques inspirés des génomes viraux, qui n’ont pas la capacité de modifier nos gènes.
Rappelons que les ARNm restent dans le cytoplasme des cellules et n’ont pas vocation à gagner le noyau. Pour pénétrer dans cette partie de la cellule, les molécules présentes dans le cytoplasme doivent être porteuses d’un « étiquetage » spécifique. En outre, des molécules de transport devraient intervenir pour les y emmener.
Et quand bien même ces ARNm vaccinaux rentreraient dans le noyau, l’ARN ne peut pas s’intégrer dans notre génome sans être transformé en ADN (on parle de rétrotranscription), ce qui nécessite des enzymes très particulières, appelées transcriptases inverses. Celles-ci sont le plus souvent virales : on les trouve dans les virus de la famille des Rétrovirus (comme le VIH, responsable du SIDA) et des Hépadnavirus (comme le virus de l’hépatite B). Des protéines un peu particulières avec une activité transcriptase inverse, comme l’ADN polymérase eta, ont également été identifiéesdans noscellules. Cependant ces protéines ne sont pas localisées dans le cytoplasme cellulaire et n’ont pas vocation à interagir avec des ARNm. Une modification de nos génomes par un ARNm relève donc plutôt de la (science)-fiction…
Par ailleurs, il ne suffit pas que la rétrotranscription ait lieu : l’intégration de l’ADN obtenu dans le génome demanderait la présence d’autres enzymes appelées intégrases. Et si nous poussons la fiction jusqu’à envisager malgré tout une intégration, celle-ci n’aboutirait pas pour autant à des effets délétères pour la cellule hôte. Il faudrait pour cela que ce fragment s’insère dans une région contenant un gène, or les gènes ne représentent pas la majeure partie de notre génome. Enfin, une telle modification ne serait de toute façon pas transmise à la descendance.
Pour toutes ces raisons, les « risques » de modification de nos génomes par les ARNm sont pour ainsi dire statistiquement nuls. Nous courrons des risques infiniment plus élevés dès lors que nous prenons notre voiture ou que nous montons dans un avion…
Les vaccins à ARNm ont-ils été développés trop rapidement ?
Cette remarque revient fréquemment dans les débats récents. Là aussi, il convient de rappeler que la vaccination au moyen d’acides nucléiques, dont les ARNm, est une histoire déjà ancienne (les premières tentatives d’utiliser l’ARNm pour la vaccination remontent au début des années 1990).
Signalons au passage que même dans les groupes placebos (c’est-à-dire dans lesquels aucun principe actif n’a été injecté), des effets secondaires sont rapportés. Cela signifie que lesdits effets secondaires sont en partie liés à l’injection en elle-même.
Enfin, en médecine vétérinaire, des vaccins à ADN existent depuis quelques années (West-Nile Innovator® contre la maladie de West-Nile chez le cheval, Oncept Canine Melanoma® contre le mélanome buccal de chien et Clynav® contre la maladie pancréatique du saumon) et aucun effet indésirable majeur n’a été rapporté.
Quid des phénomènes allergiques observés chez certains patients aux États-Unis et au Royaume-Uni ?
Des réactions allergiques ont été rapportées chez certains patients suite à la vaccination. Les réactions allergiques post-vaccinales, même si elles sont rares, sont bien connues. Elles sont liées à certains composants des vaccins pour lesquels les patients vaccinés auraient été sensibilisés précédemment (dans leur vie de tous les jours où lors de vaccinations antérieures incluant le même composé).
Face au risque allergique, nous ne sommes en effet pas tous égaux, et notre patrimoine génétique joue pour beaucoup. Toute réaction allergique (hypersensibilité de type 1) passe par une phase de sensibilisation à l’antigène (la substance reconnue comme étrangère par le système immunitaire, qui déclenche la réaction) - la première fois qu’il est rencontré - puis par une phase de latence. Plus tard, confronté à nouveau au même antigène, l’organisme développe la réaction allergique.
Généralement les personnes à risque se connaissent et pour celle-ci il est convient d’être vigilant avec les vaccins à ARNm, tout comme les vaccins plus conventionnels, mais également avec de simples antibiotiques ou même des aliments des plus classiques (arachides, fruits de mer…).
Rapport bénéfice/risque
Un traitement médical n’est jamais un acte anodin et la vaccination ne déroge pas à la règle. Elle doit faire l’objet d’une analyse bénéfice/risque rigoureuse, pour nous-mêmes et pour la collectivité, nationalement et internationalement. Dans le cas de la pandémie actuelle de COVID-19, il est clair que le risque associé à l’emploi des vaccins à ARNm est très faible alors que les risques sanitaires, économiques et sociaux de la crise COVID-19 sont de premier plan.
L’emploi de ces nouvelles armes - suivi de près par les acteurs en charge de la pharmacovigilance - pourrait constituer une avancée importante dans la lutte contre les maladies infectieuses. Et la révolution pourrait ne pas s’arrêter là : en effet, l’ARN pourrait également être utilisé pour lutter contre le cancer, des maladies orphelines, et même contre les allergies !
Source : https://theconversation.com/fr
Les informations de ce billet sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être L’éditeur de ce billet d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce blog ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
Après 50 ans, l'arthrose est le plus fréquent des problèmes articulaires : 9 à 10 millions de personnes en France sont touchées!
Voici des schémas très simples, pour vous permettre de mieux comprendre ce qui se joue dans vos articulations :
Cela commence un matin en vous réveillant : vous sentez une raideur dans une articulation. Une sorte de pointe en acier qui s'enfonce dans votre hanche, votre dos ou votre genou, en descendant les escaliers. Brutalement s'effondrent certains de vos plus beaux rêves d'avenir. Partir voyager en liberté ; jouer dans un jardin l'été avec vos petits-enfants ; ou simplement faire des activités manuelles, bricoler, vous promener près de chez vous sans cette douleur lancinante qui irradie dans votre corps et vous pousse à bout. Mais l'arthrose peut aussi toucher la hanche, le coude, le poignet, les doigts, la colonne vertébrale. La douleur s'éveille dès que vous pressez du doigt votre articulation. Peu à peu, votre flexibilité régresse. Vos articulations deviennent rouges, chaudes, enflées, parfois même déformées. Au moindre changement de température, vos souffrances empirent.
Problème : 76 % des arthrosiques traités par des médicaments jugent leurs douleurs handicapantes.
Dans les profondeurs de votre cartilage, une catastrophe se prépare
Lorsqu'on parle de « douleurs handicapantes » pour 76 % des personnes traitées, cela signifie déjà que les traitements médicamenteux ne sont pas efficaces.
Mais il y a pire : plusieurs études ont montré que les antidouleurs contre l'arthrose aggravent la situation.
Ils accélèrent la dégradation du cartilage.
Le phénomène est d'autant plus vicieux que, dans un premier temps, le patient est convaincu d'aller mieux.
Il ne se doute de rien parce que le médicament a provisoirement masqué sa douleur.
Mais c'est une dangereuse illusion. Dans les profondeurs de son cartilage, ses os, ses tendons, une catastrophe se prépare :
Des médecins d’Oslo, en Norvège, ont suivi 186 patients souffrant d'arthrose de la hanche. 58 d'entre eux prenaient un médicament contre l'inflammation et la douleur, de l'Indocin, un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). Aux rayons X, ils se sont aperçus que les personnes prenant de l'Indocin souffraient d'une détérioration bien plus rapide de leur hanche que les autres.
Au Portugal, le Dr Antonio Lopez Vaz, de l'hôpital d'Oporto, a étudié un groupe de 48 patients souffrant d'arthrose du genou. Il a divisé le groupe en deux, donnant chaque jour, pendant 8 semaines, 1,5 g de glucosamine (un produit naturel dont je vais reparler) au premier groupe, et 1,2 g d'ibuprofène (un AINS) à l'autre groupe.
Au départ, les personnes qui prenaient de l'ibuprofène ont vu leurs douleurs diminuer plus vite que les autres. L'impression a persisté durant les deux premières semaines.
Mais au bout de huit semaines, non seulement leurs douleurs avaient recommencé à s'aggraver, mais elles étaient maintenant « significativement plus fortes » que celles du groupe « glucosamine » (le produit naturel) !!
Et ce n'était pas la fin du cauchemar pour eux.
Des trous dans l'estomac qui saignent
L'ibuprofène, comme les autres AINS, peut être extrêmement dangereux administré sur le long terme.
Utilisés de façon continue, les AINS provoquent des saignements dûs à des trous dans la paroi de l'estomac et de l'intestin.
C'est une conséquence fréquente. Plus de 20 000 personnes chaque année sont touchées, rien qu'en France, par ces graves effets indésirables.
L'arthrose n'est pas comme le rhume ou la jambe cassée. Ce n'est pas un problème temporaire. Le point crucial n'est pas de vous soulager quelques jours ni quelques semaines.
L'important est que, dans 6 mois, dans 2 ans, dans 10 ans, vous ne finissiez pas en chaise roulante, ou immobilisé sur un lit d'hôpital. Solutions naturelles et efficaces contre l'arthrose
Heureusement, il existe des traitements naturels et sans effets indésirables contre l'arthrose.
Pas plus que les médicaments, ce ne sont des remèdes miracle.
Mais contrairement aux médicaments chimiques, ils permettent :
de réduire significativement le risque de douleurs causées par l'arthrose ;
de réduire significativement le risque de séquelles liées à l'arthrose ;
et ils peuvent même contribuer à faire repousser votre cartilage, un effet qu'aucun médicament chimique ne peut vous laisser espérer (au contraire, comme vu plus haut, les médicaments les plus souvent utilisés contre l'arthrose, les AINS, accélèrent la destruction du cartilage).
Comprendre le mécanisme de l’arthrose pour guérir
Contrairement à ce qu'on raconte un peu partout, l'arthrose n'est ni définitive, ni inéluctable.
Ce n'est pas une maladie qui progresse forcément dans le mauvais sens. Ce n'est pas le cartilage qui s'use comme les pneus d'une voiture.
Avec l’âge, les cellules qui composent les tissus des articulations (collagène et protéoglycanes) meurent et ne sont pas renouvelées.
Normalement, le « nouveau » cartilage est fabriqué par des cellules appelées chondrocytes (de khóndros, « cartilage »), qui détruisent aussi l’ancien. Mais, en cas d’arthrose, les chondrocytes s’emballent :
ils détruisent le cartilage existant, et même les cellules saines et neuves ;
ils empêchent la formation de nouvelles « briques » qui permettraient de renouveler le cartilage, provoquant la lente détérioration articulaire.
L’arthrose, même si elle peut, à un stade avancé, se caractériser par une poussée inflammatoire, est avant tout une maladie dégénérative. Le cartilage s’érode anormalement, se déforme et se régénère difficilement. Au départ, l’articulation n’est pas douloureuse, car le cartilage est innervé ! La douleur n’intervient que lorsque l’os est mis à nu ou que l’inflammation finit par se déclarer.
Dans le nouveau numéro de Plantes & Bien-Être, des spécialistes vous expliquent en quoi les plantes constituent une véritable mine d’or pour soigner l’arthrose et soulager la douleur sans avoir recours aux médicaments et sans subir d'effets secondaires.
Certains actifs végétaux sont efficaces pour :
- calmer l’inflammation, quel que soit son stade
- soulager la douleur
- mais surtout aider à réparer et protéger le cartilage.
Je suis sûr que votre médecin ne vous a jamais parlé de ces solutions naturelles, et vous condamne par conséquent à multiplier par deux votre risque de crise cardiaque en vous prescrivant des anti douleurs…
Vaincre l’arthrose avec les plantes
C’est bien pour cela que je vous recommande vivement la lecture du dossier spécial du dernier numéro de Plantes & Bien-Être, dédié aux solutions naturelles contre l’arthrose.
Le docteur en pharmacie Danielle Roux y explique notamment :
Comment le curcuma, associé à deux épices du quotidien, réduit l’inflammation causée par l’arthrose. Utilisez le mélange aussi souvent que possible, en l’intégrant à votre alimentation, avec du curcuma en sachet ou en gélule.
Comment la prêle des champs parfois appelée queue de rat ou queue de cheval est, elle, utilisée pour favoriser le drainage et pour protéger les tissus osseux et cartilagineux menacés par l’arthrose. Vous découvrirez sous quelle posologie l’utiliser dans notre dossier spécial.
Et pour celles et ceux d’entre vous qui le souhaitent, le docteur Roux vous a concocté un remède clé en main et 100% naturel. Vous le réaliserez en quelques minutes et vous serez étonné par le pouvoir de ses composants qui atténueront significativement votre douleur en quelques prises.
En lisant ce dossier très complet, vous obtiendrez la recette détaillée de cette préparation à base de plantes.
Toutefois, et vous le savez, la prise de ces remèdes naturels s’inscrit dans la durée. Patience donc, épargnez-vous les effets secondaires des médicaments que vous trouverez en pharmacie et gagnez en efficacité avec des remèdes moins chers et naturels.
7 règles d’or pour prévenir l’arthrose
La solution la plus efficace contre l’arthrose reste la prévention. . Voici 3 des 7 règles d’or extraites du dossier arthrose de Plantes & Bien-Être pour empêcher que l’arthrose ne s’installe:
Ne restez pas immobile. Que vous soyez assis ou debout, les postures figées favorisent le raidissement des articulations. Pensez aux étirements qui améliorent la souplesse des articulations.
Drainez régulièrement l’organisme en privilégiant une cure d’artichaut (feuilles), de romarin (sommités fleuries), de radis noir (racine), de bardane (racine) et de pissenlit (feuilles). Consommer une eau pauvre en résidu sec (moins de 10 mg/l comme Mont Roucous, Montcalm, ou Rosée de la Reine) améliore le drainage et l’élimination des toxines.
Optez pour une alimentation riche en calcium, vitamine D3, K2, et C. Un régime peu acidifiant améliore le drainage et diminue les douleurs. À la place des laitages qui sont acidifiants, mangez des sardines à l’huile avec l’arête, des amandes, des légumes comme les choux, et plus largement tout aliment riche en oméga-3 ayant des propriétés anti-inflammatoires (anchois, maquereaux, noix, graines de lin fraîchement moulues…).
Les informations de ce billet sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être L’éditeur de ce billet d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce blog ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
Les bienfaits de la pomme de terre….." Alliant de multiples nutriments, la pomme de terre a toute sa place dans nos menus et peut être consommée plusieurs fois par semaine."
• Elle est une source d’énergie
Elle fournit 15 % de glucides, le carburant privilégié du cerveau et des muscles. Puisqu’il s’agit d’amidon, elle est assimilée à un féculent, mais, comparativement aux pâtes ou au riz, son apport calorique est plus faible: 80kcal pour 100g. Un apport qui peut "flamber" lorsqu’elle est cuite dans de la matière grasse: 265kcal pour 100g de frites!
• Elle convient en cas de diabète
À condition de bien choisir son mode de préparation: cuite à la vapeur, au four en robe des champs ou encore froide, en salade. Quand elle est mixée en purée ou préparée en frites, son index glycémique devient trop élevé. Limitez-vous à 150 g (deux pommes de terre moyennes) et associez-la à des légumes.
• Elle est riche en potassium
Un peu plus de 600 mg pour une assiette moyenne de 150g, soit 30% de l’apport journalier conseillé. Ce minéral aide à réguler la tension artérielle et favorise la santé osseuse. En cas de forte chaleur ou après un effort physique, un plat de pomme de terre permet de compenser le potassium perdu dans la sueur.
• Elle apporte des vitamines
Elle est bien dotée en vitamines B, surtout B1, B3, B5 et B6: 150g représentent 10% à 35% de l’apport conseillé. Crue, elle est riche en vitamine C et B9, hélas fragiles, et largement détruites par la cuisson: pour en profiter au mieux, conservez vos pommes de terre le moins de temps possible et faites-les cuire à la vapeur plutôt qu’à l’eau.
Cette technique utilisée par les militaires vous permettra de vous endormir en 2 minutes
Celle-ci se révèle efficace dans 96 % des cas et pourrait bien vous changer la vie
Si vous éprouvez des difficultés à trouver le sommeil, cette technique utilisée par les soldats américains pour se relaxer et s’endormir rapidement, y compris sur les champs de bataille, pourrait bien vous aider.
Il y a quelques mois, le baromètre de Santé publique France révélait que les Français dorment en moyenne moins de 7 heures par nuit. Une première depuis que le sommeil est observé sur le plan épidémiologique en France, qui serait, selon les spécialistes, liée au développement du travail de nuit et aux écrans (ordinateur, smartphone…).
Décrite en 1981 par le coach sportif américain Lloyd Winter et notamment employée par les soldats américains se trouvant en zone de guerre, cette méthode basée sur le relâchement et la respiration devrait vous permettre de vous endormir en 2 minutes chrono. Selon Winter, après un mois et demi de pratique, celle-ci fonctionne dans 96 % des cas.
LES 4 ÉTAPES À SUIVRE POUR S’ENDORMIR EN 2 MINUTES CHRONO
1) Allongez-vous puis détendez l’ensemble des muscles de votre visage (langue, mâchoire et muscles autour des yeux).
2) Détendez vos épaules en les relâchant le plus possible. Faites ensuite de même pour chacun de vos bras en les abaissant l’un après l’autre.
3) Lorsque vous expirez, relâchez les muscles de votre torse puis de vos jambes de façon progressive (cuisses, mollets et pieds).
4) Faites le vide dans votre esprit. Visualisez-vous étendu dans un canoë sur un lac avec rien d’autre qu’un ciel bleu au-dessus de votre tête, ou bien étendu dans un hamac en velours noir dans l’obscurité totale, ou répétez-vous « ne pense à rien » pendant une dizaine de secondes.
Si cette méthode ne fonctionne pas, vous pouvez également suivre les conseils du docteur Neil Stanley, spécialiste du sommeil : « Pour s’endormir, il faut trois choses : une chambre propice au sommeil, un corps détendu et surtout un esprit tranquille. Vous ne pouvez pas vous endormir si votre esprit s’emballe, et tout ce que vous pouvez faire pour le ralentir vous aidera à dormir. »
« Vous devez trouver ce qui fonctionne pour vous. Lecture, bain chaud, tisane, méditation, aromathérapie ou musique… tout ce qui peut vous aider à évacuer le stress de la journée », conclut le médecin.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Covid-19: l'automne sera "plus dur" en Europe avec davantage de morts...
Un automne "plus dur" se profile avec une remontée du nombre de morts du Covid-19 en Europe, qui devrait appeler une réponse ciblée mais pas des confinements généralisés, a affirmé le directeur de la branche européenne de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à l'AFP.
"Cela va devenir plus dur. En octobre, en novembre, on va voir une mortalité plus élevée", a déclaré Hans Kluge, au moment où le nombre de cas enregistrés s'envole sur le Vieux continent, mais avec un nombre de morts quotidien pour l'instant quasi stable.
Cette hausse du nombre de morts quotidiens sera due à la remontée des cas en raison de la reprise de l'épidémie en Europe, selon l'OMS.
"On est à un moment où les pays n'ont pas envie d'entendre ce genre de mauvaises nouvelles, et je comprends", a affirmé le patron de sa branche européenne, qui a toutefois voulu adresser "le message positif" que la pandémie "va s'arrêter, à un moment ou à un autre".
L'OMS Europe réunit lundi et mardi l'ensemble de sa cinquantaine d'Etats membres pour échanger sur la réponse à la pandémie et s'accorder sur sa stratégie quinquennale.
Le haut responsable onusien, basé à Copenhague, a mis en garde lors d'un entretien à l'AFP ceux qui pensent que la fin de l'épidémie coïncidera avec la mise au point d'un vaccin, toujours en cours.
"J'entends tout le temps: +le vaccin va être la fin de l'épidémie+. Bien sûr que non!", s'est exclamé M. Kluge.
"Nous ne savons même pas si le vaccin va être efficace pour toutes les parties de la population. Certains signes que nous recevons est qu'il sera efficace pour certains mais pas pour d'autres", a souligné le médecin belge. "Et si du coup nous devons commander des vaccins différents, quel cauchemar logistique...", a également averti M. Kluge, espérant que l'Europe saura faire preuve de solidarité.
Vivre avec la pandémie
"La fin de cette pandémie, ce sera au moment où, en tant que communauté, nous aurons appris à vivre avec cette pandémie. Et ça, ça dépend de nous. C'est un message très positif", a-t-il affirmé.
Face à une maladie nouvelle, il a défendu les tâtonnements des autorités ces derniers mois et mis en garde contre une gestion trop politisée de la crise sanitaire dans un contexte où le doute s'est instillé au sein des populations.
Il importe de fonder la riposte au Covid-19 "sur des données épidémiologiques et de santé publique", a-t-il insisté.
"L'OMS a été critiquée à plusieurs reprises, mais communiquer sur quelque chose que vous ne connaissez pas parfaitement, c'est très, très difficile", a-t-il défendu. "Pour certains, vous en faites trop peu, pour d'autres, vous allez trop loin".
La recherche avançant progressivement, les connaissances restent imparfaites et pour la première fois, les décisions doivent être prises sur la base de preuves incomplètes, a résumé M. Kluge.
Et de déplorer: "dans un certain nombre de pays, on voit que la politique s'impose aux scientifiques, et aussi dans un certain nombre d'autres pays nous voyons que les gens doutent de la science, c'est très dangereux".
Le nombre de cas en Europe remonte nettement depuis plusieurs semaines, notamment en Espagne et en France. Selon les données publiques de l'organisation, plus de 51.000 nouveaux cas ont été rapportés pour la seule journée de vendredi dans les 55 pays de l'OMS Europe. Soit plus que les pics observés en avril, même si les capacités de tests étaient nettement moindres à l'époque, selon les experts.
Pour l'heure, le nombre de morts quotidiens reste au niveau observé depuis début juin, autour de 400 à 500 morts liés au Covid-19, selon les mêmes données.
Toutefois, la pandémie ne doit pas être gérée de la même manière qu'à la fin de l'hiver dernier, selon l'OMS.
"En février, nous avons ciblé la société dans son ensemble (...) maintenant nous ciblons le virus", a insisté M. Kluge.
"Des écoles devront peut-être fermer temporairement et localement mais si nous avons un bon système de surveillance on devrait être capables de contrôler (le virus) localement et après quelques semaines relâcher les restrictions", a détaillé le responsable.
L'épaule est une articulation très sollicitée et très fragile. Nos solutions pour prévenir les douleurs et conserver au maximum votre mobilité.
Une violente douleur vous scie l’épaule dès que vous voulez attraper un objet en hauteur ou que vous passez le bras dans la manche de votre veste? "Avec ses cinq articulations différentes et tout un jeu de tendons, ligaments et muscles, l’épaule est une mécanique de précision qui se grippe facilement", explique le Pr François Rannou, rhumatologue et médecin rééducateur à l’hôpital Cochin, à Paris.
Dans 80% des cas, ces douleurs sont dues à une tendinite. "Mais une luxation, une capsulite rétractile, une inflammation de la membrane qui entoure l’articulation ou une arthrose peuvent également être en cause", prévient le Pr Rannou. Si l’âge est un facteur de risque, ces douleurs surviennent plus fréquemment à partir de 55 ans et certaines activités professionnelles (peintres, maçons, caissières...) ou sportives à haut niveau (escalade, musculation et tennis en tête) exposent davantage à ces maux.
Quelle qu’en soit l’origine, ne les prenez pas à légère car elles peuvent entraîner des douleurs chroniques très handicapantes au quotidien. Heureusement, nombre de solutions existent pour les prévenir.
• 1) J’adopte les bons gestes au quotidien
De bons réflexes vous permettront de ménager votre épaule. Si enfiler chemisier ou manteau vous provoque une violente douleur, vous la limiterez en habillant d’abord le côté douloureux, ce qui vous évite d’avoir à contorsionner votre bras sensible.
Pour vous dévêtir en revanche, commencez par votre épaule valide et terminez par celle qui vous fait souffrir. Pour ne pas avoir mal la nuit, mieux vaut dormir sur le dos ou sur le côté opposé. Au besoin, placez un oreiller sous votre bras douloureux, une astuce pour éviter les tensions au réveil.
• 2) Je pratique des exercices de renforcement
Vous tiendrez ces maux à distance en pratiquant régulièrement ces deux exercices recommandés par Alexandra Roren, masseur-kinésithérapeute à l’hôpital Cochin.
- Asseyez-vous, dos droit, face au battant d’une porte maintenu entre vos genoux.
-Placez un élastique autour des poignées et tenez-en les extrémités.
-Tirez l’élastique vers vous en baissant les épaules et en serrant les omoplates.
-Gardez la position 6 secondes, avant de relâcher lentement. -Répétez l’exercice 10 fois.
- Assis sur une chaise, le dos droit, passez un élastique ou nouez une écharpe autour de vos poignets. En maintenant bien les coudes collés au corps, cherchez à écarter vos avant-bras en luttant contre la résistance du lien.
-Maintenez la position 6 secondes, puis relâchez.
-Répétez l’exercice 10 fois.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
A consommer sans modération... " Les Fruits secs pour faire le plein d’énergie !"
Abricots, raisins, noix, noisettes…
En hiver, craquez pour les fruits secs. Ils sont essentiels contre la fatigue et le froid.
Dépassez les 3 grammes par jour!
Séchés au soleil ou déshydratés au four ou en étuve, les fruits secs ont perdu les trois quarts de leur eau.
Résultat: ils se conservent longtemps et offrent une très bonne concentration en fibres, oligo-éléments et acides gras, excellents pour la santé.
D'où l'intérêt d'en savourer plus que les trois grammes consommés par jour, en moyenne.
• Emportez-les en randonnée
Les fruits sucrés, abricots, figues, raisins, pruneaux, apportent autour de 65% de glucides et 275 kcal pour 100 g (5 fois plus que les fruits frais).
Il s'agit de sucres simples, fructose, saccharose, rapidement digérés lorsqu'ils sont consommés de façon isolée: parfaits pour les randonnées ou pendant un effort, quand les muscles ont besoin de carburant.
• Bonnes graisses contre le cholestérol
Les fruits oléagineux: noix, noisettes, amandes, pistaches, pignons, concentrés en lipides, environ 50%, fournissent de 500 à 600 kcal aux 100 g.
Ce sont de bonnes graisses insaturées qui réduisent notre taux de mauvais cholestérol sanguin. Elles sont associées à de la vitamine E (anti-oxydant qui freine le vieillissement cellulaire). Les noix contiennent beaucoup d'omégas 3 et 6.
En hiver, si vous mangez moins de crudités, vous pouvez faire le plein d'acides gras essentiels simplement en remplaçant une cuillerée à soupe d'huile par 7 ou 8 noix !
• Sels minéraux et fibres à gogo
Vous manquez de magnésium? Ayez le réflexe noix, amandes ou bananes séchées : une poignée d'amandes (35 g) vaut 25% de l'apport quotidien conseillé.
Vous pratiquez un sport et transpirez beaucoup? Misez sur les fruits glucidiques: abricots, bananes, raisins pour reconstituer votre stock de potassium.
Si vous mangez peu de viande et fruits de mer, vous trouverez du fer (certes moins assimilable que le fer animal) dans les abricots, les noix de cajou et les amandes : 20% de l'apport recommandé dans une part de 35 g (4 abricots).
Enfin, les fruits secs contiennent de 5 à 16% de fibres régulatrices du transit, soit cinq fois plus que les fruits frais. À cuire en cas de problèmes intestinaux, ils sont ainsi mieux tolérés.
• Fruits secs, fruits frais: choisissez les deux
Une part de 30 à 40 g de fruits secs, 3 ou 4 abricots ou figues, ou une poignée d'amandes ou de noisettes équivaut à un fruit frais (150 g) pour les apports de calories, sels minéraux, fibres, vitamines B et E.
En revanche, les fruits secs sont dépourvus de vitamine C, détruite pendant le séchage et la conservation. Durant l'hiver, combiner une portion quotidienne de fruits secs et un agrume ou un kiwi pour la vitamine C compense le choix limité de fruits frais.
Fruits secs et frais se conjuguent d'ailleurs en dessert, seuls, en salade de fruits, compote, ou en collation, associés à un laitage pour être plus rassasiants. Ils se glissent volontiers dans les salades vertes ou composées et dans les garnitures de viandes blanches.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Les cervicales sont fragiles et nous ne leur facilitons pas la vie en passant nos journées penchés sur notre table de travail et notre smartphone… ce qui multiplie le poids de la tête par cinq, les obligeant à supporter 25 kg! La nuit, faute d’oreiller adapté, nous maintenons le cou en extension, voire en rotation en dormant sur le ventre, tirant ainsi davantage sur les cervicales.
• À l’origine du mal…
À force de mauvaises sollicitations, elles finissent par souffrir d’arthrose (usant disques et petites articulations postérieures), irriter les nombreuses racines nerveuses présentes dans le cou et générer d’intenses contractures musculaires réflexes… Toutes ces douleurs sont favorisées par le froid, l’humidité, les courants d’air, le surmenage, le stress excessif, un sommeil non réparateur…
• Les différentes manifestations
Banal et fréquent, le torticolis est un blocage dû à une contracture musculaire, conséquence de mauvaises positions. La céphalée cervicale est aussi très fréquente: la douleur part du cou et remonte vers le front, les tempes, les sourcils, provoquant parfois des vertiges. À ne pas confondre avec une migraine ou une céphalée de tension, elle peut être la conséquence de mauvaises postures fixes, d’un traumatisme ( "le coup du lapin") ou d’une manipulation mal faite. La névralgie cervico-brachiale se caractérise par une douleur localisée d’un côté du cou, irradiant dans l’épaule, le bras, jusqu’aux doigts et traduit la compression d’un nerf (comme dans une sciatique), par hernie discale ou poussée inflammatoire d’arthrose.
Quant à l’arthrose cervicale, très fréquente passé 40 ans, elle peut raidir le cou et générer des douleurs localisées au niveau des muscles trapèzes et des omoplates. Mais, elle est souvent indolore, sauf en cas de poussée inflammatoire.
• Les traitements
Ils consistent à soulager la douleur et l’anxiété par les traitements adaptés: applications de chaleur, antalgiques, anti-inflammatoires avec protection gastrique, port d’un collier cervical quelques jours pour mettre le cou en décharge et surtout rééducation posturale et renforcement musculaire de la zone.
• Et les manipulations?
Elles sont déconseillées en première intention dans les douleurs du cou: rappelons que certaines céphalées cervicales peuvent être consécutives à une manipulation mal réalisée… Quant aux infiltrations profondes radioguidées de cortisone, elles n’ont pas démontré leur efficacité et exposent à des complications neurologiques. Seules les injections locales superficielles d’anti-inflammatoires et de corticoïdes sont efficaces et sans risques.
• Rendez-vous chez le dentiste!
Les deux articulations temporo-mandibulaires (ATM), qui relient la mâchoire inférieure à la base du crâne peuvent souffrir d’un DAM (dysfonctionnement de l’appareil manducateur) et entraîner douleurs cervicales et maux de tête. Ce trouble méconnu et pourtant fréquent est généré par une mauvaise occlusion dentaire due à une extraction non compensée, des prothèses inadaptées, un traitement d’orthodontie trop rapide, un traumatisme ou encore un bruxisme (grincement/ serrement incontrôlé des dents en période de stress). Nouvelles prothèses, port de gouttière occlusale nocturne, parfois meulage de la dentition, sont autant de solutions efficaces proposées par le dentiste.
Manque de sommeil, oreiller inadapté, coup de froid, stress excessif… peuvent provoquer une cervicalgie.
Avec les conseils du Dr Charley Cohen, rhumatologue, ancien chef de clinique à la faculté de médecine de Paris, spécialiste en médecine physique et traumatologie du sport.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être
Douleurs à l'épaule: "4 conseils pour vous soulager"
L'épaule est une articulation très sollicitée et très fragile. Nos solutions pour prévenir les douleurs et conserver au maximum votre mobilité.
Une violente douleur vous scie l’épaule dès que vous voulez attraper un objet en hauteur ou que vous passez le bras dans la manche de votre veste? "Avec ses cinq articulations différentes et tout un jeu de tendons, ligaments et muscles, l’épaule est une mécanique de précision qui se grippe facilement", explique le Pr François Rannou, rhumatologue et médecin rééducateur à l’hôpital Cochin, à Paris.
Dans 80% des cas, ces douleurs sont dues à une tendinite. "Mais une luxation, une capsulite rétractile, une inflammation de la membrane qui entoure l’articulation ou une arthrose peuvent également être en cause", prévient le Pr Rannou. Si l’âge est un facteur de risque, ces douleurs surviennent plus fréquemment à partir de 55 ans et certaines activités professionnelles (peintres, maçons, caissières...) ou sportives à haut niveau (escalade, musculation et tennis en tête) exposent davantage à ces maux.
Quelle qu’en soit l’origine, ne les prenez pas à légère car elles peuvent entraîner des douleurs chroniques très handicapantes au quotidien. Heureusement, nombre de solutions existent pour les prévenir.
• 1) J’adopte les bons gestes au quotidien
De bons réflexes vous permettront de ménager votre épaule. Si enfiler chemisier ou manteau vous provoque une violente douleur, vous la limiterez en habillant d’abord le côté douloureux, ce qui vous évite d’avoir à contorsionner votre bras sensible.
Pour vous dévêtir en revanche, commencez par votre épaule valide et terminez par celle qui vous fait souffrir. Pour ne pas avoir mal la nuit, mieux vaut dormir sur le dos ou sur le côté opposé. Au besoin, placez un oreiller sous votre bras douloureux, une astuce pour éviter les tensions au réveil.
• 2) Je pratique des exercices de renforcement
Vous tiendrez ces maux à distance en pratiquant régulièrement ces deux exercices recommandés par Alexandra Roren, masseur-kinésithérapeute à l’hôpital Cochin.
- Asseyez-vous, dos droit, face au battant d’une porte maintenu entre vos genoux.
-Placez un élastique autour des poignées et tenez-en les extrémités.
-Tirez l’élastique vers vous en baissant les épaules et en serrant les omoplates.
-Gardez la position 6 secondes, avant de relâcher lentement. -Répétez l’exercice 10 fois.
- Assis sur une chaise, le dos droit, passez un élastique ou nouez une écharpe autour de vos poignets. En maintenant bien les coudes collés au corps, cherchez à écarter vos avant-bras en luttant contre la résistance du lien.
-Maintenez la position 6 secondes, puis relâchez.
-Répétez l’exercice 10 fois.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Alors que les études scientifiques foisonnent sur le sujet, l’hypertension artérielle demeure, à ce jour, l’une des maladies les plus méconnues du grand public. Et pourtant, il s’agit d’une véritable problématique de santé publique puisque, selon la Société française de cardiologie, cette pathologie a un lien direct avec 13 % des décès à travers le monde. En France, un adulte sur trois est touché par la maladie et, pourtant, près de la moitié en ignorent presque tout. Par ailleurs, d’autres études menées par une équipe du CHU vaudois de Lausanne en Suisse ont permis de mettre en évidence l’impact du cadre de vie sur l’apparition de la maladie.
Un assassin dans l’ombre
Les résultats de l’enquête menée par l’institut Ipsos pour le compte de l’entreprise de biotechnologie Quantum Genomics sont plutôt inquiétants. Bien que le tiers de la population adulte soit directement concerné par la maladie, il n’y en a que 21 % qui soient réellement suivis. Le manque d’éducation sur le sujet fait aussi que moins d’un adulte sur deux fait surveiller sa tension artérielle. Et ce, en dépit du fait que cet examen soit systématique lors de toute consultation médicale. Il faut, en effet, suivre le patient sur une certaine période avant de pouvoir poser le diagnostic de l’hypertension (HTA). Les consultations ponctuelles et aléatoires n’ont que peu d’incidence sur le dépistage de cette pathologie. Un état des lieux d’autant plus grave que l’HTA est asymptomatique. C’est, d’ailleurs, la raison qui lui a valu le sinistre surnom de « tueur silencieux ».
Un risque omniprésent
Le manque d’éducation sur la question explique également l’insouciance de plus de la moitié des personnes interrogées dans le cadre de cette enquête. Ce sont 53 % des personnes ayant déclaré tout ignorer du niveau de leur tension artérielle qui affirment avoir des comportements à risque.
En outre, l’étude menée par les services de néphrologie et d’hypertension du CHUV de Lausanne a abouti à des conclusions encore plus inquiétantes. Selon les chercheurs, ce serait tout simplement l’ensemble des populations urbaines qui encourraient des risques d’hypertension artérielle. Il a ainsi été clairement identifié que la pollution sonore et les écarts de température sont des facteurs de risque d’HTA. Mais c’est surtout par rapport à la qualité de l’air respiré que les effets délétères de la pollution par rapport au risque d’HTA ont été mesurés. En effet, certaines particules extrêmement fines présentes en grande quantité dans l’air pollué des milieux urbains ont la faculté de pénétrer la circulation sanguine pour y faire des dégâts.
Quelles perspectives
Quand on sait que l’hypertension artérielle est l’un des plus importants facteurs de risque de cardiopathie et d’AVC, il est urgent de réduire au maximum les diverses sources de pollution. Dans cette perspective, les différentes approches de solution sont beaucoup plus d’ordre politique. En prélude à la COP24 prévue pour décembre, le prochain sommet des Nations unies sur le climat devrait également se pencher sur cet aspect sanitaire du plus grand défi environnemental de notre temps : le réchauffement climatique.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Pour ceux qui ne veulent plus manger de viande ou pour les amoureux de saveurs iodées, le poisson a tout bon. Sachez le choisir pour bénéficier de sa fraîcheur tout en respectant les ressources naturelles.Dorade, cabillaud, saumon… nous consommons 34 kg de poissons par an. Très peu si nous nous comparons aux Coréens qui en consomment plus de 70 kg! L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) nous invitent à le mettre au menu deux fois par semaine en alternant poisson gras à forte teneur en oméga 3 (saumon, sardine…) et poisson maigre (cabillaud, colin, dorade…). À cette fréquence, nous profitons de leurs apports nutritionnels sans pâtir des métaux lourds et autres contaminants qu’ils peuvent contenir. Et nous préservons les réserves halieutiques de plus en plus attaquées par l’industrialisation grandissante de la pêche.
De plus c’est bon pour la santé
Tous les spécialistes le reconnaissent: le poisson est un formidable pourvoyeur de protéines. Il est également plus digeste que la viande, moins acidifiant pour l’organisme et donc moins inflammatoire. Très riche en sélénium, zinc, vitamine B12, E et D, il contribue aussi à notre bonne santé cardiovasculaire, protège notre cerveau, notre vue et notre système nerveux, aide au bon fonctionnement de la thyroïde et à la solidité de nos os. Si vous l’achetez frais, vérifiez sur l’étal du poissonnier que la peau est bien brillante avec de jolis reflets métallisés. Si l’œil est vif et les ouïes rouges ou rosées, c’est qu’il vient tout juste d’être pêché. Sa rigidité est un autre signe qui ne trompe pas: plus il est raide, plus il est frais. Enfin, il ne doit pas dégager une odeur trop prononcée.
Poissons et autres produits de la mer, de Marie Chioca, 100 recettes écoresponsables, 22 €, éd. Terre vivante.
Toutes les recettes publiées ici sont extraites de cet ouvrage. Comment manger du poisson sans mettre en danger les espèces, en privilégiant les moins polluées, sans se ruiner et tout en se régalant? Dans son livre, Marie Chioca donne des conseils pour choisir et cuisiner les poissons, fruits de mer et algues, frais, surgelés, fumés ou en conserve. Cuisinière engagée dans le bio, elle partage sa passion à travers son blog: https://www.saines-gourmandises.fr
• 3 labels pour ne pas se tromper
Ces labels garantissent les conditions de pêche ou d’élevage pour les poissons frais ou surgelés. Le plus connu, MSC, atteste que la pêche a été réalisée dans le respect des espèces et de l’environnement. Plus récent, Pêche durable prévoit en plus un affichage en poissonneries dès cet été. Quant aux labels biologiques, ils certifient que le poisson est élevé dans une eau contrôlée, qu’il reçoit une alimentation saine, sans antibiotiques.
La sciatique résulte de la compression et de l’irritation du nerf sciatique, le plus gros et le plus long du corps.
• À l’origine du mal...
Le nerf sciatique assure la sensibilité et la motricité de la jambe et du pied. Il possède deux racines au-dessus des fesses: en L5 (la douleur irradie dans la face externe de la jambe au gros orteil) et en S1 (la douleur passe derrière la jambe, englobe le talon jusqu’au petit orteil).
• Les différentes manifestations
À la source du problème, notamment chez les moins de 50 ans, il existe souvent une hernie discalevenue comprimer l’une des deux racines du sciatique à la suite d’un mouvement brusque ou d’une position assise prolongée. En général, la sciatique par hernie discale est précédée ou accompagnée d’une douleur lombaire. À partir de 60 ans, la sciatique résulte surtout d’une arthrose: le nerf peut être irrité par un relief osseux sur son trajet ou comprimé dans un canal lombaire rétréci par les lésions arthrosiques. La douleur sciatique apparaît alors au bout d’un certain temps de marche, oblige à s’asseoir "le temps que ça passe" et, au fil du temps, le périmètre de marche sans douleur se réduit.
• Les traitements
Généralement, antalgiques, anti-inflammatoires et repos relatif avec ceinture de soutien, viennent à bout d’une sciatique commune. Pour les sciatiques rebelles, des injections locales superficielles le long du trajet du sciatique sont très efficaces pour apaiser la zone irritée ainsi que les muscles et ligaments alentours tétanisés. Une infiltration de cortisone épidurale (en profondeur, sous guidage radio) peut aussi aider. De même que la prise d’antiépileptiques en cas de douleurs à décharge électrique ou encore le TENS (neurostimulation transcutanée) et la PCP thérapie en cas de lombosciatique chronique.
• Et l’opération?
Si la sciatique persiste au bout de deux mois d’un traitement bien mené, on pourra envisager une intervention. Retirer une hernie discale mal placée permet le plus souvent de faire disparaître la douleur dans la jambe. Mais il faut bien poser le diagnostic et être certain que la sciatique est bien due à cette hernie.
En cas d’arthrose importante, une intervention visant à élargir le canal rachidien rétréci peut aussi être envisagée pour libérer les racines nerveuses. Mais il faut savoir qu’un état dépressif avant l’intervention est un facteur de risque de mauvais résultat de celle-ci. L’urgence du geste opératoire ne concerne que la sciatique avec compression de "la queue-de-cheval" se traduisant par une incapacité à retenir les urines, parfois les selles, et accompagnée d’une perte de sensibilité cutanée au niveau du périnée et des organes génitaux.
• Le microbiote à la rescousse
Il existe un lien étroit entre les bactéries protectrices du microbiote intestinal et le mal de dos. Tout d’abord parce que l’obésité qui pèse sur les disques et favorise l’arthrose vertébrale est clairement liée à un microbiote appauvri. Ensuite parce que c’est dans l’intestin qu’est fabriquée 80% de la sérotonine, neurotransmetteur (Signal chimique traversant l'espace synaptique entre un neurone et une fibre musculaire entraînant la contraction du muscle.) de la bonne humeur qui en carence engendre anxiété, stress, dépression, donc mal au dos. Là encore, faute d’un microbiote en bonne santé. Enfin, parce qu’un mal de dos peut avoir pour origine une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (maladie de Crohn, rectocolite…), elle aussi liée au manque de diversité des bactéries de l’intestin.
Alors veillez à avoir une alimentation riche en fibres (fruits et légumes), pauvre en aliments industriels trop gras, trop sucrés. Et n’hésitez pas à vous supplémenter en probiotiques pour réensemencer votre microbiote.
Une douleur fulgurante qui irradie dans la fesse, la jambe, parfois jusqu’aux orteils… La sciatique est le plus souvent, avant 50 ans, liée à une hernie discale; et après 60 ans, à de l’arthrose.
Source; Avec les conseils du Dr Charley Cohen, rhumatologue, ancien chef de clinique à la faculté de médecine de Paris, spécialiste en médecine physique et traumatologie du sport, auteur de "Mal de dos, toutes les solutions antidouleur" aux éditions Trédaniel.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
La saison de la renaissance de la nature est, pour notre organisme, synonyme de montée d’énergie, qu’il faut apprendre à tempérer.
Dans le calendrier chinois, le printemps marque le début de la nouvelle année. Il s’étend de février à avril, 36 jours avant et 36 jours après l’équinoxe du 21 mars. Cette saison se traduit par la montée de l’énergie yang, tandis que l’énergie yin décroît. Or une bonne santé correspond, selon les préceptes de la médecine chinoise, au juste équilibre entre les deux. Tout l’enjeu du printemps est donc de ne pas se laisser déborder par la montée du yang. « Elle nous apporte des éléments très positifs, elle stimule la créativité, réveille le dynamisme, l’envie de sortir et d’aller de l’avant. Mais si la montée du yang est trop forte ou trop précoce, les céphalées, les douleurs articulaires et les problèmes digestifs se multiplient », affirme Jocelyne Lukas, praticienne de médecine chinoise traditionnelle.
Imposer à son foie une cure détox drastique et épuisante est une erreur
Derrière ces troubles, le foie, organe-clé du printemps. Après un hiver à rester au chaud et à déguster des plats riches, la première erreur consiste à imposer à son organisme une détox drastique, contre-productive car épuisante pour le foie. Or, pour encaisser la montée du yang, il faut au contraire nourrir son foie et soutenir ses poumons, affaiblis par la baisse de l’énergie yin. En termes d’activité physique, mieux vaut donc opter pour la relaxation et les promenades en pleine nature que pour les footings et autres sports exigeants sur le plan respiratoire. Cela passe aussi par l’assiette, et le credo de Josselyne Lukas est qu’il est parfaitement possible de transposer les règles de la diététique chinoise à la cuisine française et à nos produits locaux. « Manger des fruits et légumes de saison cultivés à proximité permet d’être en accord avec la météo et l’énergie du moment, il n’y a aucun besoin de consommer des aliments en provenance de l’autre bout de la planète », souligne-telle. Au menu donc, choux, poireaux, navets, radis, oseille ou encore pissenlits. D’autant que, dans la symbolique chinoise des couleurs, le vert adoucit le foie et le blanc stimule le poumon.
Le printemps est la saison au cours de laquelle l’air se radoucit, cette transition doit se sentir aussi dans l’alimentation. Entre les plats mijotés de l’hiver et les salades de crudités estivales, les modes de cuisson « tiède » comme au wok, à la vapeur ou à l’étouffée sont donc à privilégier.
Notre alimentation, riche en viande, laitage et sucre, est trop acide
L’équilibre des cinq saveurs (acide, amer, doux, piquant et salé) est essentiel dans un repas, idéalement dans chaque plat. Chaque saveur ayant une action directe sur certains organes, privilégier l’une ou l’autre des saveurs peut aider à rebooster un organe. L’acide agit ainsi sur le foie, et le piquant sur le poumon. « Mais attention, la saveur en diététique chinoise peut différer du goût. Les sucres raffinés et les pâtisseries sont considérés comme apportant de l’acide, alors que les légumes racines comme la carotte ou la betterave sont considérés comme sucrées. Notre alimentation à la française est donc déjà très acide, ce qui a pour effet de déclencher des problèmes digestifs et dermatologiques, des atteintes articulaires, des céphalées…», précise Josselyne Lukas. Il n’y a aucune obligation à manger un dessert à chaque repas. Et si finir sur une touche sucrée est un plaisir dont vous ne pouvez-vous passer, optez pour un fruit… de saison, bien sûr ! « Si, après avoir mangé un plat, il vous reste de la place pour du fromage, du pain et un dessert, c’est souvent parce qu’il n’était pas complet », insiste la spécialiste. Autrement dit, il lui manquait céréales et légumineuses. Un déséquilibre très courant dans les recettes occidentales, par rapport à la cuisine asiatique. Profitez donc de ce printemps pour découvrir l’épeautre et le boulgour, votre foie vous remerciera.
Conseils de cuisine à suivre
Choisissez les aliments les plus sains possibles, évitez les plats préparés et privilégiez les produits locaux et issus de l’agriculture biologique. Usez et abusez des épices et herbes aromatiques, elles sont indispensables pour réduire les quantités de gras et de sel dans les plats sans pour autant renoncer au goût.
Quand la diététique chinoise rencontre la cuisine française, de Josselyne Lukas et Nicole Fargeas (Rouergue). Salade de pissenlits au printemps, crumble de courgettes en été, magret de canard aux quetsches à l’automne et poule au pot en hiver. Nul besoin d’ingrédients lointains pour suivre les préceptes de la diététique chinoise.
Santé; " Le miel " un remède miracle utilisé à l’hôpital "
Le miel ne lutte pas seulement contre la toux. En 1700 av. J.-C., un papyrus égyptien le recommande en tant que cicatrisant. Depuis, des études ont montré que certaines plaies cicatrisaient deux fois plus vite avec le miel qu’avec des pansements traditionnels. Chez des femmes dont la cicatrice de césarienne s’était infectée, le miel a même réussi à réduire la durée d’hospitalisation et la quantité d’antibiotiques.
Plus efficace que les agrafes et les points de suture
Ces performances sont dues à ses propriétés antimicrobiennes. Une enzyme améliorerait aussi la vascularisation des tissus. En France, c’est un chirurgien du CHU de Limoges qui, en 1984, a remis au goût du jour la recette du miel thérapeutique. Il y avait recours pour des plaies profondes qui ne parvenaient pas à se refermer avec des agrafes ou des points de suture. Depuis, l’apithérapie a séduit d’autres hôpitaux, dans des services d’orthopédie ou de gynécologie. Le miel doit être choisi avec précaution. Il ne doit pas être trop liquide, il faut le conserver au frais et le stériliser aux rayons gamma pour éviter qu’il ne contamine la plaie.
A propos de la toux ..
Pourquoi des rappeurs sont-ils accro au sirop pour la toux ?
Oubliez les drogues « traditionnelles » : des rappeurs américains sont désormais addict à du sirop pour la toux, associé à du soda. Le mélange est appelé purple drank.
Mais si la mixture peut sembler anodine, une prise trop fréquente entraîne une réelle addiction et des complications sur le long terme.
1. Qu’est-ce que le Purple Drank ?
Aussi appelé sizzurp, syrup, sip, lean, barre, purple jelly ou encore Texas tea, le purple drankest devenu incontournable dans le milieu du rap américain. À voir le nombre de conversations d’internautes dédiées au sujet sur les forums, le produit connaît un véritable succès aux États-Unis, mais aussi en France. Un tumblr (blog) est même dédié à la boisson.
La recette, qui serait originaire des Philippines, s’est fait connaitre dans les années 1960-1970 à Houston au Texas. Il s’agit de mélanger du sirop pour la toux et du soda comme du Sprite. Certains y ajoutent aussi quelques bonbons pour le goût. Le résultat est violet ou rose, d’où son nom de purple drank.
Le purple drank a été populaire dans les années 1990. Il est ensuite revenu à la mode dans les années 2000. De nombreux rappeurs ont participé à la popularité de cette boisson, à travers les paroles de leurs chansons qui en font l’apologie.
2. Quels sont les effets de cette boisson ?
Le sirop pour la toux utilisé est composé de codéine et de prométhazine. La codéine est normalement prescrite comme anti-douleur et la prométhazine comme anti-allergique. Les deux médicaments ont pour effet de calmer et d’apaiser.
Addictologue, Jean-Luc Ricordel détaille les effets de la codéine, un opiacé dérivé de l’opium : « la codéine décontracte, déstresse et désinhibe. Une partie de cette substance est transformée en morphine par l’organisme, ce qui augmente le sentiment de bien-être recherché« .
Par ailleurs, la prométhazine provoque aussi un état de somnolence relaxant. Elle décuple également les effets provoqués par la codéine.
Jean-Luc Ricordel met en garde sur les dangers de la prise abusive de tels médicaments : « Si l’addiction à la codéine est moins forte que d’autres drogues, une prise trop fréquente engendre des complications au niveau de l’estomac. Le sentiment de manque peut progressivement mener à la prise d’autres substances plus fortes et en quantité exagérée. »
3. Des rappeurs américains accrocs
Le premier a avoir revendiqué la prise de purple drank est le rappeur DJ Screw au début des années 1990. C’est sous l’emprise de cette boisson qu’il aurait inventé le style de musique « screwed and chopped« , qui consiste à ralentir le rythme d’un vinyl pour donner un son grave et profond (écouter l’extrait ci-dessous).
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
L'hiver est évidemment la saison propice aux maux de gorge. Voici comment les combattre rapidement et en toute simplicité.
Ces petits trucs de grand –mères
Les personnes âgées sont très respectées dans de nombreuses sociétés. En effet, elles représentent la sagesse, l’expérience et sont sources de savoir. Elles semblent connaître bon nombre de trucs et astuces oubliés par le temps et certains peuvent être pour le moins surprenants.
Les symptômes: Sensations douloureuses de brûlure et de picotements au niveau de la gorge. Problèmes de déglutition. Cordes vocales fatiguées: voix faiblarde et plus ou moins éraillée, à l’extrême, impossibilité de parler. Symptômes qui s’estompent en deux ou trois jours (sinon consulter, car risque d’angine bactérienne).
La solution homéopathie: Homeovox, une association de 11 souches spécifiques des cordes vocales. 2 comprimés toutes les heures, puis espacez les prises au gré de l’amélioration des symptômes. Pendant quatre ou cinq jours.
La solution phytothérapie: Un gargarisme à base de racine de réglisse. Faites bouillir un bâton de racine dans 1 l d’eau pendant 10 minutes. Laissez refroidir. Faites matin et soir des gargarismes avec la décoction froide, car le froid permet de mieux anesthésier la douleur. Se conserve au réfrigérateur.
Le remède de grand-mère:Le classique jus de citron pressé + un peu d’eau tiède + une cuillère à café de miel bio de sapin, de thym ou de lavande. Matin et soir.
Ça marche aussi: Les pastilles à base de propolis, qu’on laisse fondre en bouche. Pendant 4 ou 5 jours, jusqu’à 6 pastilles par jour.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Vous ronflez ? " Alors voici quelques modestes conseils pour vous arrêter
Avant de vider votre porte-monnaie pour acheter des sprays desséchants et autres bracelets anti-ronflements qui n’ont pas démontré leur efficacité, essayez d’abord de perdre du poids. Il suffît parfois d’un seul kilo en moins pour redevenir silencieux. Il est conseillé aussi de ne pas boire d’alcool le soir, d’arrêter de fumer, de se passer de somnifères… Et de ne pas dormir sur le dos. Pour vous y aider, les orthèses buccales qui avancent la mâchoire ont démontré leur efficacité. Mais dans l’indication de ronflement, elles ne sont pas prises en charge par la Sécurité sociale. Des gouttières dentaires auto adaptables fonctionnent sur le même principe, mais sont moins chères. « Dommage que, nous ne disposions d’aucune étude scientifique sur leur efficacité », regrette le Dr Patrick Lemoine, spécialiste du sommeil et auteur de Dormir sans médicament ou presque (éd. Robert Laffont).
Question évidente: ?"Les hommes ronflent-ils plus que les femmes ?
Selon une enquête Ipsos de 2007, 64% des ronfleurs sont des hommes. Comment l'expliquer ? On estime le nombre de ronfleurs en France à environ 10 millions. Si les femmes sont accusées d’avoir les pieds froids, dans le lit, les hommes, eux, sont perçus comme les plus gros ronfleurs. Une réputation fondée ?
1. Un rétrécissement du passage du fond de la gorge
Le phénomène du ronflement – ou ronchopathie chronique – s’explique par la vibration de certains tissus mous situés au fond de la gorge. Concrètement, ils (palais, langue, luette) obstruent le passage de l’air, qui, en “forçant” pour passer fait vibrer ces tissus mous. D’où le bruit d’avion au décollage, généralement à l’inspiration.
Interviewé par l’Internaute, le docteur Bernard Fleury explique plus en détails : “les muscles qui contrôlent la langue et le palais se relâchent. Au passage de l’air, à l’inspiration, ces muscles devenus flasques et mobiles se mettent à vibrer et donc à faire du bruit”.
2. Des facteurs aggravants … surtout chez les hommes
Evidemment, les plus gros ronfleurs sont ceux qui ont les voies respiratoires les plus encombrées. Outre le rhume et autres maladies touchant le système respiratoire ou encore les problèmes d’amygdales, d’autres facteurs aggravants renforcent le risque de bruits nocturnes. Le premier étant la position : en dormant sur le dos, l’espace disponible pour l’air dans la gorge est limité. Mieux vaut préférer le ventre ou se tourner sur le côté.
Un surpoids peut lui aussi gêner la respiration en réduisant aussi l’espace dans le pharynx et entraîner les ronflements. Seuls 30% des ronfleurs ont un poids situé dans la moyenne. Et les femmes enceintes ne sont pas épargnées, notamment en fin de grossesse, là encore, en raison de la prise de poids.
Enfin, consommation d’alcool, de somnifères ou de cigarettes participent aussi aux facteurs aggravants en détendant davantage les tissus et les muscles situés dans la gorge. Tout comme l’âge qui lui aussi accroît le risque de ronfler.
Mais les médecins ont également noté qu’un homme sur cinq ronflait. Soit 64% environ des ronfleurs, selon une enquête Ipsos de 2007. Ce n’est pas du sexisme : hommes et femmes ne sont pas égaux face aux ronflements.
Notamment car ces messieurs ont une pomme d’Adam mais aussi semble-t-il un pharynx plus étroit. Cette différence anatomique réduit donc l’espace disponible pour le passage de l’air et augmente le risque de ronfler – surtout si d’autres facteurs s’ajoutent.
3. Après la ménopause, les compteurs sont remis à zéro
Sans compter que les femmes produisent des hormones, comme la progestérone, qui protègent les tissus – ils ont plus de tonus – et limitent les risques de ronflements.
Sauf que… après 60 ans, la donne change. Avec la ménopause, les femmes produisent moins de progestérone et ne disposent plus de ce protecteur pour leurs tissus. A partir de cet âge, les hommes prennent donc leur revanche, ou du moins, rétablissent un équilibre et une harmonie dans les ronflements.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Vous avez des difficultés à trouver votre sommeil ? Voici 4 plantes d’intérieur qui permettent de guérir l’insomnie et l’apnée du sommeil !
Image d'illustration
De nos jours, de nombreuses personnes souffrent de troubles du sommeil, de terreurs nocturnes, d’insomnie ou d’apnée du sommeil. Pourtant, il existe un moyen simple et naturel d’améliorer votre qualité de sommeil et pouvoir vous reposer pleinement!
Tout ce que vous devez faire est de placer l’une des plantes suivantes dans votre chambre et profiter de l’atmosphère calme et relaxante.
La plante de serpent (Langue de belle-mère): Déjà un choix populaire de plantes d’intérieur, la langue de belle-mère est facile à entretenir et est parfait pour la décoration intérieure. Elle améliore la qualité de l’air en filtrant l’oxygène. Cette plante libère plus d’oxygène pendant la nuit que pendant la journée. En plus de cela, certaines études ont démontré que l’utilisation d’une plante serpent dans la pièce aide les gens à éviter l’irritation des yeux, les symptômes respiratoires, les maux de tête et peut également améliorer les niveaux de productivité.
Lavande : Les propriétés relaxantes de la lavande ont été utilisées pendant des siècles, car elle soulage efficacement l’anxiété et le stress. Elle ralentit également le rythme cardiaque et offre une atmosphère calme dans la chambre, parfait pour se reposer et dormir !
Plante de jasmin : Le jasmin est une plante exotique dont l’odeur a été démontrée pour aider à améliorer la qualité du sommeil ainsi que la vigilance et la productivité le lendemain ! En outre, le fait de sentir le parfum émanant de cette plante peut aider à réduire l’anxiété et le stress.
Le lierre anglais : Le lierre anglais est chic et facile à cultiver. Il a été nommé NUMBER ONE, soit la meilleure plante de purification de l’air par la NASA. Il peut être particulièrement bénéfique pour ceux qui souffrent d’asthme ou de problèmes respiratoires la nuit. Des études ont montré que le lierre anglais lorsqu’il est placé dans la chambre, contribue à réduire les moisissures dans l’air jusqu’à 94%! Puisque les contaminants dans l’air sont un déclencheur majeur d’allergies, d’asthme et d’autres problèmes respiratoires, cette plante abordable peut aider à améliorer considérablement la qualité du sommeil.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
A vous aussi vous avez essayé ! BOIRE DE L’EAU AVEC DU CITRON TOUS LES MATINS, oui mais voilà attention à la façon d’on vous le faites
Les citrons contiennent de nombreuses substances, en particulier de l’acide citrique, du calcium, du magnésium, de la vitamine C, des bioflavonoïdes, de la pectine et du limonène qui renforcent les défenses de l’organisme et combattent les infections.
Ces agrumes ont beaucoup de propriétés bienfaisantes pour la santé qui sont reconnues depuis des siècles. Les deux principales sont d’une part leur puissante action anti-bactérienne et antivirale, et d’autre part leur efficacité pour stimuler le système immunitaire ; il est également utilisé dans les régimes, car le jus de citron est également digestif et est un bon dépuratif pour le foie. L’eau citronnée permet d’atténuer cet inconvénient, mais encore faut-il savoir la préparer convenablement…
Explication
L’eau citronnée, est une boisson rafraîchissante et énergisante avec de nombreux bienfaits. En effet, elle permet d’hydrater votre organisme et de lui apporter tous les nutriments et les vertus de cet agrume.
Elle est riche en vitamine C, connue pour son effet énergisant et sa capacité à favoriser l’absorption du fer par le corps et à renforcer le système immunitaire. De plus, le jus de citron qu’elle contient vous offre une quantité non négligeable de minéraux nécessaires au bon fonctionnement de vos organes tels que le potassium, le magnésium et le zinc.
Mais en la préparant, beaucoup de personnes commettent une erreur qui leur fait perdre une grosse partie de ses propriétés.
L’erreur à éviter en préparant l’eau citronnée
Pour préparer l’eau citronnée, plusieurs personnes ont l’habitude d’ajouter du jus de citron à l’eau. Or, en procédant ainsi, elles passent à côté d’un élément très riche en vitamines et en bienfaits : le zeste de citron.
La 2 ème erreur à ne pas faire est de ne pas bien se rincer la bouche après avoir bu de l’eau citronnée.
La 3 ème erreur c’est d’en boire tous les jours. L’eau au citron est à consommer avec modération, pendant une cure.
Les bienfaits du zeste de citron
Grâce à sa forte teneur en vitamine C (5 à 10 fois plus que le jus), en acide citrique, en citronnelle, en pectine et en antioxydants, le zeste de citron permet de renforcer votre système immunitaire et de détoxifier votre corps en éliminant efficacement les toxines et les radicaux libres. Il est également très bénéfique pour améliorer la digestion, réduire les ballonnements et booster le métabolisme de combustion des graisses.
De plus, sa richesse en flavonoïdes et en limonène lui permet de lutter contre le développement de plusieurs types de cancer et favorise la mort spontanée (apoptose) des cellules cancéreuses.
Comment préparer l’eau citronnée convenablement?
Pour tirer le maximum de bienfaits de l’eau au citron, voici les étapes à suivre pour la préparer :
Prenez quelques citrons frais bio, et coupez-les en tranches.
Pressez-en quelques-unes pour en extraire le jus, puis râpez leur zeste.
Dans un récipient rempli d’eau chaude ou fraîche – selon votre choix, ajoutez le jus et le zeste de citron puis mélangez. Votre eau citronnée est prête. Il est recommandé de la boire tout de suite après sa préparation, de préférence le matin à jeun.
Faites une cure d’un mois, à renouveler 2 à 3 fois par an.
Quelques bienfaits de l’eau citronnée :
-Réduire l’acidité dans l’estomac et améliorer la digestion -Ralentir l’absorption des aliments et ainsi empêcher les pics de glycémie -Lutter contre le phénomène de rétention d’eau -Donner au corps un apport énergétique durable -Détoxifier le foie et favoriser l’élimination des déchets -Combattre le vieillissement précoce et favoriser la régénération des cellules -Activer le métabolisme de combustion des graisses et contribuer à la perte de poids
Attention :Mises en garde
Cet agrume est déconseillé aux personnes souffrant de brûlures et d’ulcère d’estomac, de troubles rénaux et biliaires et aux allergiques aux agrumes. il est recommandé de ne pas vous brosser les dents, juste après avoir consommé du jus de citron, pour ne pas endommager l’émail des dents.
La consommation excessive de citron peut provoquer une déminéralisation, une décalcification des os et même des ulcères gastriques.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
"Tremper vos pieds dans du vinaigre pourrait soigner de nombreux problèmes de santé"
Le vinaigre, pratiquement tout le monde en a chez soi. S’il est connu principalement pour être un ingrédient phare de la vinaigrette et pour son rôle dans la préparation de certains plats, son utilité ne se limite pas à la sphère de la cuisine. Cet ingrédient est en réalité presque magique, vu la quantité incroyable de choses que l’on peut faire avec.
Parmi tous les vinaigres, c’est le vinaigre de cidre, ou vinaigre de pomme, qui a les plus grandes vertus thérapeutiques. Reconnu comme antibactérien, antiviral et antifongique, il peut surtout être utilisé pour traiter toutes sortes de problèmes courants tels que les champignons, les pellicules ou les odeurs corporelles.
Parmi les nombreux bienfaits que présente le vinaigre de cidre pour la santé en général, on en compte d’importants pour celle des pieds en particulier.
Le vinaigre de cidre, un remède efficace pour plusieurs affections des pieds
Vous l’avez probablement remarqué, par les temps chauds que nous traversons, nos pieds sont plutôt malmenés : que ce soit par la chaleur et la transpiration qu’ils subissent dans nos chaussures ou le fait de nous balader pieds nus à la piscine, on se retrouve facilement avec des mycoses, des verrues ou tout simplement des odeurs déplaisantes.
Voici quelques petits désagréments qui peuvent être traités facilement grâce au vinaigre de cidre :
1. Les pieds douloureux et fatigués
Après une journée entière passée dans vos chaussures, il y a de fortes chances pour que vos pieds ne finissent pas dans le meilleur état. Pour leur redonner vitalité et apaiser d’éventuelles sensations d’inconfort, donnez-leur un bon bain dans une bassine d’eau à laquelle vous aurez mélangé un demi-verre de vinaigre de cidre et une tasse de sel de mer.
2. Les mycoses des ongles d’orteils
Le vinaigre de cidre a des propriétés antifongiques qui vous aideront certainement à débarrasser les ongles de vos pieds de toute mycose et à retrouver des ongles sains. Pour profiter de ces bienfaits, faites baigner vos pieds dans une bassine remplie à 2/3 d’eau et à 1/3 de vinaigre de cidre pendant quinze minutes une fois par jour.
3. Les pieds d’athlète
Pour guérir les pieds d’athlète, procédez aux mêmes bains que pour les mycoses des ongles, sur une période d’une dizaine de jours à l’issue de laquelle vous remarquerez certainement une amélioration.
4. Les mauvaises odeurs
Si vous êtes victime de mauvaises odeurs à chaque fois que vous ôtez vos chaussures, vous pourriez essayer les bains d’eau vinaigrée à teneur de 1/3 de vinaigre, auxquels vous pourriez ajouter, au besoin, une grande tasse et de bicarbonate de soude, un excellent ingrédient pour éliminer toutes sortes d’odeurs. Trempez vos pieds dans ce mélange une fois par jour pendant 15 minutes.
5. Les verrues et les callosités
Le vinaigre de cidre a, grâce aux acides qu’il contient, des propriétés exfoliantes douces qui sont utiles si vous désirez atténuer des callosités ou vous débarrasser de verrues. Pour profiter de ces propriétés et retrouver des pieds doux et lisses, trempez-les d’abord dans un bain d’eau chaude pendant quelques minutes. Puis remplacez l’eau par un mélange d’eau et de vinaigre de cidre dans lequel vous laisserez tremper vos pieds une quinzaine de minutes. Vous pouvez aussi imbiber une compresse de vinaigre de cidre, l’appliquer sur la zone à traiter et la laisser faire effet toute une nuit.
6. Les pieds secs
Si vous êtes sujets à une sécheresse au niveau des pieds, vous pouvez immerger vos pieds dans un bain de vinaigre de cidre durant 45 minutes. Cela aura l’avantage d’exfolier la peau et de détendre les zones tiraillées. A l’issue de ces 45 minutes, frottez les endroits rugueux avec une pierre ponce, puis hydratez vos pieds avec une crème ou une huile hydratante. La peau de vos pieds deviendra ainsi rapidement souple et douce.
Avertissement
Il convient de faire attention lorsque vous utilisez du vinaigre de cidre. A l’instar des autres sortes de vinaigres, il contient des acides qui pourraient, en cas de mauvaise utilisation, causer des réactions cutanées telles que des démangeaisons ou des brûlures. Si vous ressentez l’un de ces symptômes, retirez vos pieds du bain et rincez-les à l’eau claire.
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Paracétamol, ibuprofène, aspirine : une étude met en garde contre les anti-douleurs
"La consommation d’antidouleurs a explosé ces dernières années. Pris le plus souvent en automédication, ils ne sont pas sans risque, notamment s’ils sont mélangés à d’autres substances."
Mal de tête, de ventre, gueule de bois, fièvre ou courbatures… tout le monde ou presque a déjà eu le réflexe "Doliprane", "Efferalgan" ou "Nurofen" pour atténuer les douleurs. Disponibles en vente libre, souvent pris en automédication et considérés comme des "incontournables" de l’armoire à pharmacie, ces médicaments ne sont pourtant pas dénués de risques.
Une étude de 60 Millions de consommateurs a analysé une trentaine de marques parmi les plus couramment vendues sans ordonnance, et comparé les trois principales molécules : paracétamol, ibuprofène et aspirine. Résultat : "En automédication, certains antidouleurs ont tout à fait leur place. D’autres doivent être écartés, car ils exposent à des effets indésirables sérieux ou à trop de contre-indications." Le magazine délivre quelques conseils…
Le paracétamol à privilégier
Recommandation principale de l’association de consommateurs : privilégiez le paracétamol. Parmi les trois substances actives, c’est cette molécule qui présenterait le meilleur rapport bénéfice-risque. Commercialisé sous les noms Doliprane, Efferalgan, Dafalgan ou des génériques, le paracétamol a vu sa consommation exploser ces dernières années.
Attention tout de même, qui dit à privilégier ne dit pas sans danger. "Le paracétamol n’est pas un bonbon, met en garde le Pr François Chast, de l’Académie nationale de pharmacie interrogé par France Info.
"À 3g par jour, il est anodin. À 10g par jour, il devient potentiellement mortel".
Avaler machinalement un comprimé de paracétamol pour survivre un lendemain de soirée est également une fausse bonne idée, car le mélange alcool et médicaments peut s’avérer dangereux.
"Les deux produits sont détoxifiés par les mêmes enzymes hépatiques, les mêmes types de mécanismes cellulaires. Et donc, à un moment, quand on a consommé trop d’alcool, on a épuisé ses chances de détoxification du paracétamol et il devient toxique pour le foie, au point qu’on peut avoir de véritables lyses hépatiques", met en garde François Chast.
Enfin, toutes les marques de paracétamol ne se valent pas. Selon 60 Millions de consommateurs, la marque Dafalgan serait à privilégier, suivie de Doliprane. Outre le principe actif, les comprimés contiennent des additifs (agents de texture, d’enrobage, adjuvants…) tels que du gluten, du sodium (sel), du saccharose ou du sorbitol (sucres) de l’aspartame (édulcorants)… qui peuvent s’avérer toxiques pour certaines personnes.
L’ibuprofène avec (grande) modération
En deuxième choix, vient l’ibuprofène Selon 60 Millions de consommateurs, son efficacité est couplée à l’intérêt de ses composantes anti-inflammatoires, que l’on ne retrouve pas dans le paracétamol.
Mais plusieurs études antérieures ont mis en garde sur les effets secondaires de la molécule, notamment son impact sur la fertilité, mais aussi sur le système cardio-vasculaire.
L’ibuprofène augmente le risque "de problèmes cardio-vasculaires, comme l’infarctus ou l’accident vasculaire cérébral (AVC), chez les patients prenant de fortes doses" indiquait en 2015 une étude de l’Agence européenne du médicament. Une autre analyse publiée en 2011 dans le British Medical Journal, indique même qu’un patient sous ibuprofène aurait 77 % de risques de plus de mourir d’un AVC qu’un patient prenant un placebo. Un chiffre à prendre en compte, notamment pour les femmes qui absorbent de l’ibuprofène en parallèle de la pilule (qui augmente déjà le risque cardio-vasculaire).
La molécule doit donc être prise avec précaution, en respectant strictement les dosages et sur des périodes courtes, de préférence sur avis médical.
Côté marques, 60 Millions de consommateurs recommande plutôt Antaréne, Advil, Nurofen et Spedifen.
L’aspirine à éviter
60 Millions de consommateurs recommande d’éviter au maximum de recourir à l’aspirine, en raison d’un ratio "bénéfice-risque" défavorable. Longtemps utilisée pour traiter la fièvre ou la douleur, des études successives sur ses effets secondaires l’ont peu à peu effacée au profil d’autres substances moins dangereuses.
"Aujourd’hui, sa seule indication raisonnable est la prévention de l’agrégation plaquettaire chez les personnes qui ont des troubles cardio-vasculaires et donc c’est le cardiologue qui prescrit l’aspirine." indique François Chast à France Info.
Pour les douleurs bénignes, la toxicité rénale et hépatique de l’aspirine ou les risques de saignements gastro-intestinaux qu’elle fait courir la rendent trop dangereuse pour être utilisée régulièrement, selon 60 Millions de consommateurs. L’association indique que tous les médicaments testés composés d’aspirine sont "à éviter", l’Aspro Caféine serait même "à proscrire".
Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Tout doucement, la catastrophe arrive et le consommateur qui ne voit et ne comprend jamais rien (puisqu’il ne sert qu’à consommer les merdes produites par la globalisation) en subit les conséquences! 40 ans (sans compter le reste) d’empoisonnement par l’air, la bouffe, les médias, les idéologies (féminisme, jeunisme, laïcisme, sionisme etc…), 40 ans de démocratie et de conformisme sur tous les plans et voilà le beau résultat…………………….
En 40 ans, la concentration de spermatozoïdes chez les hommes des pays occidentaux aurait diminué de près de 52,4%, Selon une nouvelle étude, le nombre de spermatozoïdes chez l’homme aurait considérablement diminué, de plus de la moitié, au cours des quarante dernières années dans les pays occidentaux. Une diminution dont l’origine reste floue.
L'enquête:
La qualité du sperme masculin connait une baisse préoccupante. C’est la conclusion que révèle une récente étude publiée dans la revue Human Reproduction Update par une équipe internationale de chercheurs. Plus précisément, ces travaux font état d’une baisse considérable du taux de spermatozoïdes chez l’homme dans les pays occidentaux.
Pour en arriver à ce constat, les auteurs du rapport se sont intéressés aux données de 185 études différentes conduites à ce propos entre 1973 et 2011. Au total, quelque 43 000 hommes vivant notamment en Amérique du Nord, en Nouvelle-Zélande, en Australie et en Europe ont ainsi pu être étudiés et triés en fonction de divers critères dont leur pays d’origine et leur âge.
Une baisse de 52,4%
Résultat : en près de 40 ans, la concentration de spermatozoïdes chez les hommes des pays occidentaux aurait diminué de 1,4% chaque année, soit près de 52,4% au total. Ainsi entre 1973 et 2011, elle serait passée d’environ 99 millions de spermatozoïdes par millilitre de sperme à 47,1 millions chez les sujets ignorant leur fertilité.
Un déclin similaire, bien que moins net, a également été observé depuis les années 1970 chez les hommes occidentaux répertorié comme ayant déjà conçu avec une partenaire. Le plus préoccupant est que l’étude indique que le rythme de déclin parmi les hommes occidentaux ne semble pas diminuer.
D’après les résultats, la courbe de baisse est apparue continue et significative même lorsque les analyses ont été limitées à des collections d’échantillon datant d’entre 1996 et 2011. « Les résultats sont assez choquants. », a commenté Hagai Levine, épidémiologiste à l’Université hébraïque de Jérusalem et principal auteur de l’étude.
Dans la moyenne de l’OMS
Ce déclin n’est apparu significatif que dans les pays occidentaux. Aucune tendance similaire n’a été identifiée pour les sujets venus d’Amérique du Sud, d’Asie ou encore d’Afrique. Cependant, les chercheurs ont souligné que beaucoup moins de recherches et d’études ont été effectués sur ces populations.
Si les résultats sont jugés « choquants », certains ne les qualifient pas d’alarmants. Ces chiffres restent en effet pour le moins « normaux » si l’on se réfère aux normes fixées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui préconise un taux de spermatozoïdes compris entre 15 et 200 millions par millilitre. Pourtant, ce n’est pas la première fois que le problème est mis en lumière.
De précédentes études ont déjà été menées mais elles avaient fait l’objet de critiques en raison des critères de sélection des sujets. C’est pourquoi l’équipe du Dr Levine a pris soin d’évincer les études dont les volontaires avaient été choisis en fonction de leurs problèmes de fertilité. En outre, seules les études utilisant la technique de l’hémocytomètre, une méthode de comptage cellulaire plus précise, ont été retenues.
Des causes à déterminer
« La baisse du taux de spermatozoïdes est un sujet de grande inquiétude depuis qu’elle a été mise en évidence pour la première fois il y a 25 ans. », a expliqué dans un communiqué, le Dr. Shanna H Swan professeur de la Icahn School of Medicine at Mount Sinai, New York et co-auteur des recherches. « Cette étude définitive montre, pour la première fois, que le déclin est fort et continu ».
Pour l’heure, les causes précises de ce déclin n’ont pas été déterminées. Mais le tabac, le stress, le surpoids, ou encore l’exposition à divers produits chimiques comme des pesticides pourraient constituer des éléments perturbateurs. « Le fait que le déclin est observé dans les pays occidentaux suggère fortement que les substances chimiques jouent un rôle important dans cette tendance. », a estimé le Dr Swan.
« Au vu de l’importance du taux de spermatozoïdes pour la fertilité masculine et la santé humaine, cette étude est une piqûre de rappel urgente pour inciter les chercheurs et les autorités sanitaires à travers le monde à enquêter sur les causes de cette forte baisse […] dans un objectif de prévention. », a conclu le Dr Hagai Levine.
5 facteurs pointés du doigt dans la baisse de spermatozoïdes :
Les perturbateurs endocriniens.
Certaines sources de chaleur, comme les ordinateurs posés sur les genoux.