De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule
Bonne route & merci pour votre visite
: En France, nous avons la chance de vivre dans une démocratie, un pays où la liberté est réelle. Mais, qui dit liberté dit également obligations, il n’est pas question de faire n’importe quoi à n’importe quel moment. Nous sommes libres, mais comme l’a...
Aujourd’hui voyons : L’œuf et ses bienfaits pour la santé " Mollets, mimosa, à la coque, pochés, brouillés, cocottes, sur le plat… Les œufs sont l'un des aliments les plus polyvalents et nutritifs que l'on puisse trouver. Ils sont une excellente source...
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Quelle est la température idéale minimale à la maison pour être à l'aise et en même temps pour éviter de gaspiller du chauffage en hiver..... On ne sait jamais à combien chauffer la maison pour à la fois ne pas trop dépenser mais aussi bénéficier d'un...
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2011 Article : "reportage de l'année" L'article de 2011 2011 Page : " Balade dominicale en Dordogne " La page de...
Tiens une bonne nouvelle (ne nous en privons pas !) Selon une étude du ministère de la Santé (Drees) parue aujourd’hui, le nombre de personnes âgées en perte d’autonomie recule en France. Par rapport à 2015, la part des seniors (> 60 ans) vivant à leur...
Il n’y en a pas de quoi en être fier ! "Difficile de donner spectacle plus pitoyable." « Toi, on va t’attendre à la sortie ! ». ( images d'illustration de débats à l'assemblée nationale source interne) Ce ne sont pas les propos d’une quelconque petite...
Quelle est la température idéale minimale à la maison pour être à l'aise et en même temps pour éviter de gaspiller du chauffage en hiver.....
On ne sait jamais à combien chauffer la maison pour à la fois ne pas trop dépenser mais aussi bénéficier d'un environnement sain. Une étude très sérieuse a la réponse.
Depuis l'arrivée de la saison froide, nous avons tous rallumé le chauffage à la maison. Et nous nous sommes tous posé la question habituelle de chaque hiver : quelle est la température recommandée pour obtenir un environnement confortable sans dépenser une fortune en électricité ou en combustible pour la chaudière ?
Pour connaître la température minimale qui doit régner à l'intérieur d'un logement pour considérer l'environnement comme sain, il est possible de se référer aux directives de l'OMS sur le logement et la santé. Ainsi, l'organisme établit qu'il existe de plus en plus de preuves que les températures froides dans les espaces intérieurs ont des conséquences négatives pour notre santé, car l'air froid enflamme les poumons et inhibe la circulation. A l'inverse, si nous chauffons trop, que ce soit de jour ou de nuit, l'air sera plus sec et augmentera l'inconfort à l'intérieur de la maison.
Quelle température est considérée comme trop froide et trop chaude pour l'intérieur des maisons chez les personnes adultes et en bonne santé ? L'OMS établit que pour les pays au climat tempéré ou au froid modéré, la barrière est fixée à 18 °C pour avoir un environnement sûr et équilibré : "Il n'y a pas de risque démontrable pour la santé des personnes sédentaires en bonne santé dont le logement a une température de l'air entre 18 et 24 °C". L'Organisation indique également que pour les groupes d'habitants les plus vulnérables, y compris les personnes âgées, les enfants et les personnes souffrant de maladies chroniques, une température minimale intérieure supérieure à 18 °C peut être nécessaire. Combien de degrés de plus ? Ils ne le spécifient pas clairement, mais il existe d'autres études qui recommandent que la température de la maison pour les bébés et les personnes vulnérables soit située entre 22-24°C pendant la journée et 18-20°C la nuit.
En plus de tout cela, la température à laquelle on chauffe à une influence directe sur la consommation énergétique et donc les dépenses en fin de mois. En effet, les calculs habituels de coût énergétique indiquent que chaque degré en plus par rapport à la valeur optimale représente entre 5% et 10% d'augmentation de la consommation d'énergie. Ainsi, si vous chauffez à 19 au lieu de 18, votre consommation augmente de 5 à 10%. Si vous chauffez à 20 au lieu de 18, l'augmentation sera de 10 à 20%. Et ainsi de suite.
Conclusion : Bien sûr, la température idéale à l'intérieur de la maison dépend de multiples facteurs, tels que qui y vit, si nous sommes très frileux ou sensibles à la chaleur, l'âge et l'état de santé des habitants, la région où nous vivons, l'humidité ambiante ou le temps que nous allons passer à l'intérieur.
Tiens une bonne nouvelle (ne nous en privons pas !)
Selon une étude du ministère de la Santé (Drees) parue aujourd’hui, le nombre de personnes âgées en perte d’autonomie recule en France. Par rapport à 2015, la part des seniors (> 60 ans) vivant à leur domicile avec une perte d’autonomie a diminué de 2 points (8% aujourd’hui vs 10 en 2015), chez les personnes âgées de 75 ans et plus on passe de 20 à 15%. Nice non ?
Les raisons évoquées par la Drees : "la génération qui arrive à 75-80 ans a connu des conditions de vie meilleures que la génération qui a précédé (…). Les pensions sont meilleures ainsi que le niveau de vie (et) la santé des seniors a été mieux prise en charge en particulier leurs maladies chroniques, les affections de longue durée".
Ajoutons à cela que -- selon l’étude de l’Inserm sur la sexualité des Français -- 57% des femmes et 74% des hommes sont sexuellement actifs entre 50 et 89 ans, une tendance en progression constante… et, à tous égards, un motif de satisfaction. Ne nous en privons pas (bis) !
C'est la période des châtaignes (fruits de saison) alors savez-vous comment les conserver tout l'hiver ? Tout simplement en les immergeant dans une bassine remplie d'eau et en veillant que le niveau en soit toujours supérieur à celui des châtaignes simples non ?
Votre santé :
Vous avez une extinction de voix après votre karaoké d'hier soir ?
Alors faites vous une infusion de cèleri -rave frais à raison de 50 grammes dans un demi- litre d’eau mélangé à un demi-litre de lait ! et le tour est joué ! simple non ? & naturel …
Au potager & jardin d’agrément
Pour obtenir un bon compost, ne conservez que les tiges et les feuilles ajouter à vos déchets de légumes et alternez une couche de déchets avec une couche de tourbe en ajoutant un activateur de décomposition
N’oubliez pas pour ceux qui ont le bonheur de se chauffer aux feux de bois d’utiliser vos cendres pour saupoudrer vos poireaux, choux & carottes qui de ce fait seront protégés des parasites de toutes sortes….
Cultivons-nous ;
A propos de l’origine des mots : Aujourd’hui voyons celui de « Biscotte »
Le mot biscotte a pour origine un terme italien « biscotto « signifiant cuit deux fois.
Une légende raconte qu’un boulanger décida de cuire le pain deux fois afin de pouvoir le garder.
Au moyen âge, les marins cuisaient également le pain deux fois pour le conserver plus longtemps durant de longues traversées mais aussi pour gagner de la place !
Tant qu’aux mot " biscuit " il est construit sur le même principe et désigne également « cuit deux fois «
C’était le fléau sanitaire annoncé du XXIe siècle : l’obésité. En 30 ans, le nombre d’obèses dans le monde a fait x2 chez les femmes et x3 chez les hommes touchants désormais 1 personne sur 8. Bonne nouvelle, la courbe va bientôt s'inverser. Aux US (40% d’obèses), on apprend aujourd'hui que le taux d’obésité a diminué pour la 1ère fois en 2023. Merci le sport et une alimentation saine ? Non, le reflux vient d’abord des médocs anti-diabète détournés en coupe-faim (type Ozempic ou Wegovy). Un adulte sur 8 aux US en a déjà pris !
Grâce aux ventes d’Ozempic et de Wegovy, Novo Nordisk (géant danois de la pharma) a aujourd'hui une valeur boursière supérieure au PIB du Danemark (environ 500Mds$) et en 2023, le groupe a représenté à lui seul la quasi intégralité de la croissance de tout le pays.
Le philosophe et économiste politique John Stuart Mill a un jour expliqué pourquoi il ne prenait pas de vacances :
« Pas de vacances autorisées, expliquait-il, de peur de perdre l’habitude du travail et d’acquérir le goût de l’oisiveté. »
Il est vrai qu’au moment de la reprise du travail, on a tendance à ressentir un « stress immédiat ». Tous les bienfaits du repos accumulé grâce à un mode de vie plus décontracté risquent alors de s’envoler, à peine la porte du bureau franchie.
Que l’on soit au bureau ou à distance, nous travaillons dans des environnements professionnels souvent frénétique, hyperactif, voire épuisant. Dans les années 1970, deux cardiologues américains de renom, Meyer Friedman et Ray Rosenman, ont défini les conséquences de la plupart des environnements de travail comme des « hurry sickness », des accélérateurs de maladies.
Dans une étude réalisée récemment par le Health & Safety Executive sur les arrêts maladie au Royaume-Uni, il apparaît que dans 51 % des cas, ils sont liés au « stress, à la dépression ou à l’anxiété ». 55 % de tous les jours de travail perdus pour cause de maladie auraient la même cause. En un mot, le travail est souvent stressant et exige des périodes de repos, de relaxation et de récupération.
Comment apprendre à gérer le stress du retour au bureau pour conserver les bienfaits procurés par la pause – estivale notamment – et éviter le piège du stress du retour ?
1. Reprenez contact avec vos collègues, 2. Contrôlez votre charge de travail, 3. Faites de courtes pauses,4. Rentrez chez vous à l’heure et évitez les longues journées de travail,Fixer des objectifs de travail réalistes,
Le journaliste et essayiste, Studs Terkel, a écrit dans son célèbre ouvrage Working :
« Le travail est une recherche de sens au quotidien en plus de gagner son pain quotidien, de reconnaissance, en plus du salaire, d’étonnement et non de torpeur. En résumé, c’est plutot la quête d’une forme de vie que d’une forme de mort du lundi au vendredi. »
Dans l'attente profitez bien de ce dernier jour de v..................
Rouler " oui " à vélo " oui " Mais jusquà quel âge ?
« De l’âge de raison à l’âge de la déraison » osent dire certains. Dans la pratique, ces limites se permettent une grande liberté. D’un côté, avec la vulgarisation de la draisienne, de plus en plus de bambins pratiquent le deux-roues dès la crèche et pédalent de manière autonome dès 3 ans. De l’autre, quelques centenaires nous surprennent en bouclant plus de 25 km en une heure ! Mais est-ce bien raisonnable ?
Nous ne le répéterons jamais assez, l’activité physique quotidienne est un des piliers de notre bonne santé. Et cela quel que soit l’âge. Pour l’enfant, c’est le principal levier pour assurer son développement (à la fois physique et intellectuel). Pour le senior, l’activité physique permettra de maintenir ce capital santé à son meilleur niveau et de retarder la dépendance. De toute façon, dès 40 ans la courbe s’infléchit. Nos qualités physiques déclinent. Elles prennent un coup de vieux, mais pas de façon linéaire. C’est plutôt à l’image de la parabole inversée.
Dans un premier temps, entre 25 et 40 ans, nous ne nous en apercevons pas, ou si peu ; mais la pente est inéluctable. Pour ralentir le processus –et adoucir la pente –, nous sommes condamnés à bouger et à soigner notre hygiène de vie. Et ce, malgré les freins de toutes sortes : ce temps qui nous manque, la sollicitation des écrans qui nous sédentarisent, quelques douleurs, de ci de là, et l’incitation à la paresse !
Cependant, il ne s’agit pas de se lancer dans une pratique irrationnelle. Sur la base des sollicitations quotidiennes (jardinage, bricolages de toutes sortes, marche et montée d’escaliers (plutôt que l’ascenseur ou l’escalator), il convient de choisir des activités physiques adaptées aux besoins. Deux critères essentiels :
dépenses énergétiques optimisées ;
sollicitations musculaires de qualité.
On pense, bien sûr aux activités énergétiques dites d’endurance, telles la marche active, la course à pied, le vélo. Mais, pour le niveau de la sollicitation musculo-tendineuse, nous sommes quelque peu frileux. Et pourtant, les enjeux sont de taille. Il nous faut faire un petit détour du côté des récents travaux en physiologie. Notre corps, lors d’un effort de haute intensité, adopte la logique d’une entreprise en situation de crise, il lui faut, en quelque sorte, mettre en place « un plan social » : éliminer les cellules moins efficaces, vieillissantes, pour les remplacer par des cellules neuves. Place aux jeunes ! Et lors de ce grand remplacement, l’entraînement en force se révèle nettement plus efficace que celui en endurance. Quel que soit notre âge.
A Chacun l’âge de ses artères
Mais n’y aurait-il pas de risques à proposer à des seniors de plus de 70 ans des sollicitations musculaires de haut niveau ? Nous voyons apparaître deux arguments qui mettraient en avant le bien connu principe de précaution :
la relative fragilité biomécanique d’un organisme vieillissant ;
les risques cardiovasculaires.
Et c’est là qu’il nous faut à nouveau y regarder de plus près, en faisant appel aux scientifiques. Tout d’abord intéressons-nous à l’impact musculaire. Une sollicitation de haute intensité en course à pied n’est pas sans risque pour notre senior, en raison essentiellement de l’impact excentrique lors de l’amorti, à chaque foulée. Il en va différemment chez le cycliste. Pas d’impact au sol et chaque coup de pédale peut exiger un haut niveau de force sans traumatiser les structures musculo-tendineuses. Un senior peut donc se faire plaisir en s’autorisant quelques sprints à plus de 700 watts, sans risque. Juste le risque de faire le ménage et ainsi permettre aux vieilles cellules d’être « recyclées ».
Mais à être trop généreux dans la puissance développée, la fréquence cardiaque (FC) va probablement monter au-delà du raisonnable ? Pas du tout ! Mais à condition de jouer sur la durée de ces accélérations. Nous avons testé.
Lors d’accélérations de très haute intensité (sprints) la FC ne montait que de 15 à 20 battements (par exemple de 115 à 130). Il suffit de laisser redescendre cette fréquence en dessous de 115 avant une nouvelle secousse et ainsi éviter la dérive cardiaque. Rien à voir, sur le plan cardio, avec la logique du 30/30 (30 secondes d’effort, puis 30 secondes de récupération, du début à la fin). Ce type d’entraînement double la mise, en ce sens qu’il y a double sollicitation ; en quelque sorte du « 2 en 1 » : les filières énergétiques et le système cardiovasculaire du fait de la dérive. Le cœur n’a plus le temps de récupérer avant la sollicitation suivante. C’est bon pour les jeunes à l’approche d’une compétition, mais à éviter pour les seniors soucieux avant tout de leur capital santé.
En effet, à partir de 50 ans nous avons tous des plaques d’athéromes, ces dépôts fibreux dans les parois de nos artères qui peuvent progressivement réduire l’irrigation de certains organes et à terme provoquer une ischémie, c’est-à-dire obstruer l’artère et conduire à l’infarctus de l’organe en aval.
Il nous faut rappeler ici que les facteurs de risque ne se limitent pas à la sédentarité. L’hygiène de vie dans son ensemble participe au bon état de nos artères. Alimentation irrationnelle, tabagisme et consommation excessive d’alcool y ont également toute leur part de responsabilité. Activité physique et qualité de nutrition agissent en quelque sorte en synergie, c’est-à-dire qu’elles se potentialisent l’une l’autre. Autant nous ne pouvons pas agir sur certains facteurs de risques : âge, sexe, hérédité, autant nous pouvons maîtriser les autres paramètres.
L’écart se creuse entre ceux qui n’y prennent pas garde et ceux qui ont intégré un mode de vie soucieux de leur capital santé. La descente vers la dépendance peut être sensible pour certains dès 30 ans, alors que pour d’autres les capacités physiologiques restent optimales au-delà de 50 ans. Nous ne pouvons donc que souscrire à l’idée que la pratique du vélo est bénéfique de 3 à 103 ans. Et pourquoi pas au-delà ?
Notez :Les informations de ce billet sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils de santé obligatoire, il peut être fortement recommandé au lecteur de ce billet si le désire de consulter des professionnels de santé dûment homologués pour toute question relative à leur santé, avant toute décision de pratique sportive …
L’intitulé de ce billet est tiré de sources publiées sur internet dont certaines accompagnées de liens ci-dessus référencés, les images d’illustration sont également d’internet et libres de droit….
La France détient au moins un record en Europe : celui du nombre de communes, pas moins de 36 697 ! Si certaines dépassent allégrement les centaines de milliers d’habitants, une grande majorité d’entre elles ne regroupe que quelques centaines voire, dizaines d’administrés. Des petits villages marqués par l’Histoire, les aléas économiques ou l’isolement qui tentent de faire taire les statistiques et faire perdurer leurs singularités.
Aujourd’hui je vous présente 5 des plus petits villages de France et vous invite à découvrir leur charme si particulier..... ( épisode 2 )
Baren ; (Haute-Garonne)
Ce petit village des Pyrénées compte 5 habitants. Située dans la région du Comminges, à une trentaine de kilomètres de Saint-Gaudens, la commune bénéficie d’un environnement des plus agréables et est entourée de paysages très diverses, entre les neiges éternelles des cimes pyrénéennes et la plaine traversée par la Garonne.
Senconac ; (Ariège)
À une centaine de kilomètres de là, de l’autre côté du Parc Naturel Régional des Pyrénées ariégeoises, se trouve le village de Senconac, plus petite commune de l’Ariège avec 6 habitants, niché dans un écrin de verdure. Allez-y, vous y apprécierez le charme de sa petite église de pierres.
Caunette- sur- Lauquet; (Aude)
Située au cœur du massif des Corbières, la commune de Caunette-sur-Lauquet regroupe de nos jours 6 habitants et est la moins peuplée de toute la région. La rivière qui lui donne son nom, le Lauquet, y prend sa source avant de se jeter dans l’Aude. Si vous visitez les châteaux cathares, n’oubliez pas de passer par Caunette.
Caubous ; (Haute-Garonne)
Tout proche de Baren, retrouvez le village de Caubous et ses 6 habitants. Accrochée entre 1 200 mètres et 1 900 mètres d’altitude, la commune située à proximité de Bagnères-de-Luchon offre en panorama magnifique sur les montagnes environnantes.
Erone ; (Haute-Corse)
Avec 6 habitants, Érone est la plus petite commune de l’île de Beauté. Elle est située en Haute-Corse, dans la région de la Castagniccia, zone montagnarde et très boisée de l’île que vous apprécierez pour ses paysages impressionnants et son authenticité.
Voilà j'espère que la découverte de ces petits villages de France souvent méconnus vous inspireront peut-être pour vos prochaines sorties ( si vous aimez vraiment le lvert & le calme .............)
La France détient au moins un record en Europe : celui du nombre de communes, pas moins de 36 697 ! Si certaines dépassent allégrement les centaines de milliers d’habitants, une grande majorité d’entre elles ne regroupe que quelques centaines voire, dizaines d’administrés. Des petits villages marqués par l’Histoire, les aléas économiques ou l’isolement qui tentent de faire taire les statistiques et faire perdurer leurs singularités.
Aujourd’hui je vous présente 5 des plus petits villages de France et vous invite à découvrir leur charme si particulie
Rochefourchat ( Drôme )
Ce petit village de la Drôme a la particularité d’être la commune la moins peuplée de France avec 1 seul habitant recensé en 2009. À Rochefourchat, le maximum de population a été atteint en 1806 avec 221 habitants avant de décroître et de ne compter de nos jours qu’un seul Rochefourchartien. Si vous vous y attardez, vous découvrirez les ruines d’un château. Autre particularité, la commune compte deux églises !
Majastres ( Alpes - de - haute- Provence )
Située à 1 143 m d’altitude, Majastres est, avec ses 2 habitants, la plus petite commune de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Pour y accéder, il vous faudra emprunter d’étroites routes de montagne mais, une fois arrivés, vous pourrez apprécier les magnifiques paysages de la Haute-Provence.
Aulan ( Drôme )
Les 4 Aulannais ont la chance d’habiter un village qui abrite quelques monuments des plus remarquables. En effet, cette commune de la région des Baronnies dans la Drôme recense sur son territoire un château inscrit aux monuments historiques qui renferme de nombreux objets d’art, ainsi qu’une église romane dont l’autel est en bois sculpté.
Ornes ( Meuse )
Le village d’Ornes fait partie des villages français détruits durant la Première Guerre Mondiale. Contrairement à 6 communes voisines déclarées “mortes pour la France“, quelques maisons furent reconstruites à l’emplacement du village qui compte aujourd’hui 5 habitants.
La semaine prochaine nous continurons à se balader dans 5 nouveaux de ces petits villages de France et à découvrir leur charme ..............
Connaissez-vous l’histoire du miroir d’eau à Bordeaux? savez-vous qu'il va fêter bientot ces 18 années de fonctionnement ( juillet 2006 )..............
Le miroir d'eau de Bordeaux est une pièce d'eau peu profonde reflétant la place de la Bourse ainsi que les quais de Bordeaux. En fonctionnement depuis 2006, il présente une superficie de 3 450 m² et un réservoir souterrain de 800 mètres cubes, ce qui en fait le plus grand du monde.
Créé par le fontainier Jean-Max Llorca, l'architecte Pierre Gangnet et l'urbaniste-paysagiste Michel Corajoud, le système permet de faire apparaître l'un après l'autre un effet miroir avec 2 cm d'eau sur une dalle en granit et un effet brouillard pouvant atteindre jusqu'à 2 mètres de hauteur. Il est aussi l'élément central des Quais qui ont eux aussi été réaménagés par Michel Corajoud.
Le 21 août 2011, une vue aérienne du miroir d’eau, du quai Louis XVIII et de la place de la Bourse à Bordeaux. Inauguré en 2006, il a été conçu par le paysagiste et urbaniste Michel Corajoud, l’architecte principal de la rénovation des quais de BordeauxSon fonctionnement est interrompu tous les hivers pour éviter que le gel ne cause des dommages au système de tuyauterie alimentant en eau le miroir.
Michel Corajoud, concepteur de la rénovation des 4,5 kilomètres des quais de la Garonne, explique avoir eu une inspiration vénitienne, en référence à la place Saint-Marc recouverte d'eau.
Les travaux ont été exécutés de mai 2005 à juillet 2006. L'esplanade est d'une surface totale de 5 850 m2, soit 3 850 m2 pour le miroir d'eau lui-même et 2 000 m2 pour la dalle située à sa périphérie.
Les travaux de construction du miroir d’eau sur le quai de Bordeaux, devant la place de la Bourse, le 13 février 2006.
Le miroir d'eau fonctionne entre 10 heures et 22 heures. Il présente un quart d'heure d'eau, cinq minutes d'arrêt puis cinq minutes de brouillard.
Le premier test du miroir d’eau, sur les quais de Bordeaux avec l’architecte Michel Corajoud et le maire de la ville Hugues Martin, le 17 mars 2006.
Un réservoir de 800 m3, situé sous la dalle, permet de stocker l'eau de la fontaine. L'eau est remontée en surface à l'aide de pompes, l'eau remplit une centaine de petits canaux disposés sous la dalle du miroir puis s'infiltre à travers les joints pour se répandre sur toute la surface du miroir. Après 15 minutes, un système d'électrovanne permet à l'eau de redescendre dans le réservoir. L'effet brouillard est alors déclenché grâce à 900 injecteurs disposés au milieu des dalles, ce brouillard peut monter à une hauteur de 2 mètres. Puis le cycle continue avec le retour de l'eau sur les dalles de granit.
La rénovation des quais de Bordeaux, le long du miroir d’eau, le 29 septembre...
Le site Landscape Architects Network a classé le miroir d'eau bordelais à la quatrième place des réalisations mondiales des places urbaines.
Dernier évènnement :
Suite aux dégâts occasionnés par la manifestation agricole de la Coordination rurale du 11 mars dernier , où du lisier avait été déversé sur le miroir d’eau, la mairie de Bordeaux a porté plainte. ........
Après un week-end caniculaire et très venteux ( samedi ) rappelons que la nourriture peut être en plus de ses saveurs culinaires régénératrice de notre cerveau & du coup de notre santé ! au travers ce billets et ceux qui vont suivre hebdomadairement je viens vous présenter un petit aperçu que bien manger peut-être un bienfait de santé .............
Episode 2: " Les Antioxydants "
Unantioxydant est quelque chose qui absorbe les radicaux libres en le rendant complets.
Ils deviennent donc inoffensifs. Imaginez qu’un radical libre soit une balle hérissée de piquants.
Chaque cellule rentrant en contact avec cette balle risque d’être abimer. On peut comparer un antioxydant à quelque chose qui absorbe ces piquants, laissant la balle rebondir sans danger pour les cellules.
Le sélénium, le bêta-carotène, le zinc, et les vitamines E, C, et A sont quelques-uns des antioxydants des plus connus. Les fruits et légumes frais contiennent ces derniers ainsi que d’autres substances antioxydantes. Suite à plus de 70 études différentes, une corrélation a été établie entre le fait de manger des tas de fruits et légumes et la diminution des risques de cancer. Certaines de ces recherches ont été faites à l’Université de l’Etat de New- York à Stony Brook, à l’Université de l’Ontario Occidental au Canada, à l’Université de Tufts, et à l’Ecole de Médecine Johns Hopkins
Lors du prochain billet nous parlerons de " la cataracte, radicaux libres et antioxydants