Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

  • : Lespassionsdepapybougnat
  • : Vous trouverez dans ce blog un peu de vérité, beaucoup de passions et quelques coups de gueule........ Bonne route, bonne lecture merci de votre visite...
  • Contact

Le Blog De Papy-Bougnat

  • Papy-bougnat
  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule 
Bonne route & merci pour votre visite
  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour ! Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule Bonne route & merci pour votre visite
">

Traducteur

A L'affiche..

La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

 

[André Malraux]

********** 

 

Actu du jour...


       

23 mai 2025 5 23 /05 /mai /2025 09:18

Les masques sont tombés ! 

"Clap de fin pour le spectacle à 11 millions à Rouen : Thomas Jolly joue les victimes .Des petits arrangements entre amis dévoilés par une presse locale que Mayer-Rossignol et Jolly ont tenté d'étouffer."

Ce qui devait être du « jamais vu à Rouen », le projet de spectacle du 14 juillet à 11 millions d'euros concocté par le directeur artistique de la cérémonie d'ouverture des JO Thomas Jolly soutenu par le maire de la ville, Nicolas Mayer-Rossignol, n'aura finalement pas lieu. L'affaire, qui avait percé dans la presse locale, abondamment relayée par une opposition d'élus et d'habitants agitait la capitale haute normande jusqu'à cette annonce en forme d'abdication ce 20 mai :  « faute de financements privés, le spectacle ne verra pas le jour » ont ainsi annoncé ses protagonistes qui au passage se déclarent victimes de « discours de haine » des opposants. Une rhétorique victimaire usée jusqu'à la corde qui cache mal le ras le bol légitime d'habitants - pourquoi pas? - lassés par tant de dépenses décidées par un certain cercle parisianiste culturel bobo à souhait. D'autant que, sur ce chapitre, la presse normande a des choses à dire.

Thomas Jolly, l'homme aux 100 millions d'euros de JO, espérait  « promouvoir les valeurs de la République » à travers un spectacle d'une heure trente intitulé 14.7. mettant en scène le fameux cheval Zeus, pièce maîtresse de la cérémonie d'ouverture des JO transporté à Rouen. La bête métallique « prouesse d'ingénierie fusionnant art et technologie », un mètre 80 de haut et pesant une tonne, conçue pour les JO dans un atelier nantais avant d'être rachetée par les laboratoires Sanofi est censée « incarner des valeurs essentielles telles que la résilience, l’excellence, la solidarité et la paix ». Un langage quelque peu hermétique que seule une poignée d'initiés apprécieront. BV a d'ailleurs tenté, sans succès, de savoir auprès des ateliers Blam qui, en dehors des laboratoires Sanofi, a participé au financement de la construction de l'engin. Le mystère reste donc entier.

Toujours est-il qu'à Rouen, le projet s'est sérieusement heurté à une fronde d'élus locaux de droite comme de gauche qui l'ont découvert au dernier moment, lors d'une réunion extraordinaire du conseil métropolitain de la ville ce 12 mai mis sur pied pour obtenir la signature d'un chèque en blanc de 5 millions d'euros des collectivités locales pour financer une partie des festivités. « Un projet pharaonique, déraisonnable et décidé par un seul homme» s'est scandalisée la conseillère municipale Marine Caron. Son groupe d'élus Horizons dénonçant le manque de transparence du plan concocté en toute discrétion depuis le mois de décembre entre le maire de Rouen et la direction artistique sans concertation des acteurs locaux pour une somme qui trouverait meilleur emploi ailleurs. D'autant qu'à l'automne, le maire de la ville (dont la dette pourrait atteindre le milliard en 2028 ) s'insurgeait face aux coupes budgétaires de l'État. Même les écologistes ont fait part de leur opposition. D'autres acteurs locaux comme Eve Froger, conseillère régionale du groupe La Droite normande, l'un des premiers à avoir éventé l'affaire sur les réseaux sociaux, confiait il y quelques jours à BV son inquiétude de savoir qui allait financer les 6 millions restants, « craignant fortement que ce soit encore le contribuable qui finisse par combler les promesses non tenues ».

 

À ce sujet — La cérémonie d’ouverture des JO de Paris : un coût vertigineux de 100 millions

Des "discours de haine" peut-être mais surtout des pressions sur la presse locale

L'abandon officialisé ce 20 mai devrait tous les rassurer. Mais l'attitude victimaire des protagonistes, dont Nicolas Mayer-Rossignol qui dénonce « une petite minorité politicienne (qui) a préféré la polémique en refusant de rencontrer Thomas Jolly, en agitant de fausses informations, au moment où se finalisaient les partenariats privés nécessaires » et les « discours de haine » à l'égard du directeur artistique ne sont pas de nature à apaiser les tensions. D'autant que Le HuffPost en rajoute une louche, pointant du doigt ces « milieux conservateurs et d'extrême droite » qui, prenant pour cible  « le tableau intitulé Festivités lors de la cérémonie d'ouverture des JO avaient provoqué un déferlement de commentaires haineux sur les réseaux sociaux à l’égard du metteur en scène ».

Une posture victimaire qui ne tient plus, eu égard aux révélations d'un certain Julien Bouteiller, du site 76 Actu, accusé, à l'instar de ses confrères normands par Thomas Jolly d'être responsable de son échec. Dans un billet d'humeur adressé à son détracteur, il rappelle qu'en creusant l'affaire du projet coûteux, les médias n'ont fait que leur boulot - « un peu de transparence ne fait jamais de mal » - et  détail croustillant à souhait -  évoque sans détour cette « pression exercée sur la presse locale importante du côté de la Métropole, comme du vôtre », précisant que Nicolas Mayer-Rossignol a tenté de « dissuader les journalistes de publier l'information ».

 

Repost0
19 avril 2025 6 19 /04 /avril /2025 02:20

Insolite : Il avait sûrement une dent, envers les habitants de ce village.

 

À Valençay (Indre), environ 700 foyers ont été touchés par une vaste coupure de courant dans la nuit de samedi à dimanche. La panne a débuté juste avant 2 h du matin et certains logements ont été privés d’électricité jusqu’à midi.

Comme le rapporte le quotidien local , les services d’Enedis ont tout d’abord géré l’incident à distance avant d’intervenir sur place pour comprendre d’où venait le problème. Il s’est avéré que le responsable n’était autre qu’un… castor.! ! Les experts ont en effet constaté qu’un peuplier situé sur une propriété privée s’était abattu sur une ligne électrique.

En observant le pied de l’arbre, ils ont découvert une magnifique taille en forme de taille-crayon, typique des castors. Ces animaux sont particulièrement friands des peupliers, et ont pour habitude de tailler leurs pieds afin de les abattre et de pouvoir ainsi déguster tranquillement leur écorce.Selon un technicien de l’environnement à l’Office français de la biodiversité (OFB), il explique que les castors s’attaquent généralement à des troncs dont la circonférence est comprise entre 20 et 25 centimètres.

Celui-ci était particulièrement vorace puisque la circonférence du peuplier qu’il a abattu dépassait les 60 cm. « Il a fait ça sur plusieurs nuits », a estimé le thecnitien , avant de préciser que des castors étaient observés dans cette zone depuis environ cinq ans.

« Un lâcher a été effectué en 1974 dans la Loire, vers Blois, a expliqué le spécialiste. Depuis, (le castor) a peu à peu colonisé ce bassin et remonté ses affluents. » Dans l’Indre, les premières observations ont été signalées dès 1995. Aujourd’hui, le nombre de spécimens est difficile à estimer.

 

Couper des arbres est tout un art : les bûcherons ont bien entendu besoin de force, mais doivent aussi visualiser leur espace et bien le comprendre. Afin d'éviter que les arbres abattus ne causent des dégâts aux outils, aux personnes ou aux autres arbres dans leur chute, les bûcherons font plusieurs entailles stratégiques dans le tronc. Ils créent ainsi une sorte de charnière et doivent ensuite s'assurer que l'arbre arrive au sol de manière à ce qu'ils puissent le découper sur place. Tout cela demande de l'imagination et de l'expertise !

Bon à savoir: " Les castors ont besoin de la même maîtrise : ils veulent évidemment éviter que l'arbre ne tombe sur l'une de leurs constructions (ou un de leurs congénères) et préfèrent ne pas devoir déplacer les matériaux sur une longue distance, car cela leur demanderait trop d'énergie. Il est donc préférable d'orienter le tronc dans la direction de leur construction – sans qu'il tombe dessus. Plusieurs études montrent que les castors calculent très bien leur coup.

Repost0
29 mars 2025 6 29 /03 /mars /2025 09:44
A propos du  " Changement d'heure "

" Le Passage à l’heure d’été : largement dénoncé mais toujours en vigueur en France "

(Ce changement d'heure donne la mesure de l'immobilisme de la machine administrative européenne.)

Ce week-end aura lieu le traditionnel passage à l’heure d’été. Dans la nuit de samedi à dimanche, à deux heures du matin, il conviendra d’avancer l’aiguille de la montre jusqu’à trois heures. Autrement dit, la France, et plus globalement, les États européens, perdent une heure.

Ce changement d’heure a été introduit le 28 mars 1976, à la suite du choc pétrolier de 1973. Il s’agissait d’économiser de l’énergie, notamment le fioul, en réduisant le temps d’éclairage artificiel le soir. Cela offrait une heure de soleil en plus. En 1988, la pratique française a été étendue dans tous les États membres européens. Aujourd’hui, nombreux sont les pays qui, après avoir adopté cette méthode, l’ont abandonnée : Islande, Chine, Inde, Mexique, Argentine, Russie, Tunisie, Turquie, Egypte, Arménie… Pour ne citer qu’eux.

Le passage à l'heure d'été n'est pas du goût de tous

Le changement d’heure, qui a lieu deux fois par an, rencontre chaque fois une forte contestation. Le bien fondé du passage à l’heure d’été ou d’hiver s'est estompé avec le temps.

En 2019, une consultation citoyenne à l’initiative de l’Assemblée nationale, demandait aux Français leur avis à ce sujet. Sur les plus de deux millions de réponses, 83,71 % s’exprimaient en défaveur de cette habitude, contre 16, 29% en faveur du maintien des changements d’heure. La question suivante concernait le fuseau horaire à adopter définitivement en cas d’abandon du changement d’heure : hiver ou été. Dans le sondage, 59,9 % des réponses se portaient sur l’horaire hivernal, plus proche de l'heure solaire que l'horaire estival.

Vive l’heure d’été ! Mais la vraie…

" …celle de notre fuseau horaire, c’est-à-dire celle qu’on nomme actuellement « heure d’hiver » !

Le changement d’heure, qui a lieu deux fois par an, rencontre chaque fois une forte contestation. Le bien fondé du passage à l’heure d’été ou d’hiver s'est estompé avec le temps.

Le président de la Commission européenne a déclaré sa volonté de nous octroyer une « heure d’été éternelle », c’est-à-dire d’abolir le changement d’heure annuel. Ces déclarations font suite à un vote du Parlement européen, le 8 février 2018, et aux résultats d’une consultation (qualifiée pompeusement et abusivement de « référendum » par M. Juncker), les deux se prononçant à une forte majorité pour une heure unique toute l’année.

Ceux qui se félicitent de cette volonté d’abolir le changement d’heure ne devraient pas se réjouir trop vite car, si l’on n’y prend garde, les décisions en cours d’élaboration peuvent conduire, pour les Français, à un remède pire que le mal : le maintien de « l’heure d’été » toute l’année !

Les Français ont été très peu nombreux à participer à la consultation. Et pour cause, personne ne les ayant informés de sa tenue ! La France a pourtant, beaucoup plus que les autres pays, intérêt à l'abrogation de « l'heure d'été ». La plupart de nos concitoyens ignorent que nous nous trouvons, à cet égard, dans une situation totalement extravagante : alors que les voisins allemands, britanniques, italiens, etc., vivent en hiver à l'heure réelle de leur méridien et ne connaissent donc, en été, qu'une heure de décalage par rapport à cette heure réelle, les Français, quant à eux, subissent un décalage de deux heures. La place manque, ici, pour éclairer les tenants et aboutissants du changement d’heure depuis son instauration en 1976, que les données concrètes du réquisitoire contre son maintien. On en trouvera un exposé exhaustif dans l’ouvrage de Léonor Gabarain-Echevarria, Au musée des erreurs : l’heure d’été, Édilivre, 2015, ainsi que sur le site de l’association Contre l’heure d’été double. On soulignera seulement que les effets négatifs en sont, de ce fait, beaucoup plus prononcés chez nous que chez les voisins.

Etant donnés le confusionnisme qui règne dans les esprits (notamment médiatiques !) sur ce sujet et le « suivisme » auquel la France nous accoutume depuis des décennies, on peut craindre que se dessine chez nous un courant d'opinion favorable au maintien, toute l’année, de l'heure d'été actuelle (heure réelle + deux heures). Or, cette solution serait dix fois pire que le mal présent. L’avancement de deux heures, déjà néfaste en été, ferait connaître en hiver toute l’étendue de sa malfaisance. Peu de gens sont conscients de ce que notre heure officielle d'été est décalée de deux heures par rapport à la réalité et sont donc en mesure d'en imaginer les effets en hiver. Ils voient seulement que la nuit tomberait une heure plus tard, sans se représenter les conséquences de ce que cette heure leur soit volée le matin : cela signifierait qu'ils se lèveraient (en moyenne) à 5 heures réelles, dans la nuit noire, et que jusqu'à 10 heures du matin (soit 8 heures réelles) au moins, il faudrait affronter l'obscurité et le froid : éclairages allumés, circulation aux phares ; les écoliers entreraient à l'école à 6 h 30 (6 heures, en Bretagne) et passeraient la matinée à y attendre le lever du jour, les travaux d’extérieur seraient quasiment impossibles avant 10 heures, etc. ; et quand ils quitteraient leur travail, il ferait nuit de toute façon… Bonjour les dégâts pour la santé publique et la consommation d’énergie !

L’heure d’été toute l’année, pourquoi pas ? Mais à condition que ce soit la vraie, celle de notre fuseau horaire, c’est-à-dire celle qu’on nomme actuellement « heure d’hiver », qui n’est pas notre vraie heure d’hiver mais celle de l’Europe centrale.

 

Repost0
7 mars 2025 5 07 /03 /mars /2025 09:25

On a fait les comptes

Donc hier le PR (Président)  nous prévient que de nouveaux investissements "sont devenus indispensables". Concrètement, il faut passer à 3% du PIB de dépenses militaires (vs 2% actuellement), soit +20Mds€/an. On a fait les comptes (si vous êtes allergique aux chiffres, passez directement au dernier sujet en bas de cette newsletter, c'est top !)

Avant même cet effort supplémentaire, Bercy devra trouver d’ici à 2030 et par an :

• 5 à 10Mds€ pour combler le déficit des retraites (Cour de Comptes)

• 4 à 5Mds€ supplémentaires pour financer la transition écologique (Pisani-Ferry)

• Last but not least : 40Mds€ pour restaurer la productivité et la compétitivité de notre économie (= part française des 255Mds€ d’investissements publics européens annuels préconisés par le rapport Draghi)

Sachant que nous ne pouvons pas vraiment augmenter notre dette (le seul paiement de ses intérêts représente désormais 50Mds€/an et pourrait monter à 100Mds€, de loin le premier budget de l’Etat) et que la Cour des Comptes dimensionne à près de 20Mds€ par an les économies budgétaires à réaliser d’ici 2029 pour repasser sous la barre des 3% de déficit public (et espérer commencer à enrayer la dette).

Le tout "sans augmenter les impôts" (Macron hier) et "sans rien abandonner du modèle social français" (Bayrou aujourd’hui)… on peut y croire.

Selon un sondage Elabe publié mardi, 75% des Français déclarent ne pas être "prêts à payer plus d’impôts pour aider l’Ukraine"

Je ne sais pas vous…

… Mais chez nous ce petit air de printemps de ces derniers jours agit comme un baume d’optimisme sur notre moral (autant vous dire que par les temps qui courent, ça n’est pas inutile). On le sait, le soleil booste la production de l’hormone de la bonne humeur -- la sérotonine -- chez l’humain, mais chez les femmes, les bienfaits de la lumière ne s’arrêtent pas là, ils augmentent également la sécrétion de lulibérine, l’hormone de la libido. Ce soir, oubliez l’actu et profitez de la météo.

 

Repost0
8 février 2025 6 08 /02 /février /2025 12:34

Même l'Afrique

"Le taux de fécondité s'effondre dans tous les pays développés. À des niveaux spectaculaires. L'Afrique sera le seul continent qui verra sa population augmenter. De 1,5 milliard à 2,5 en 2050. Mais cette progression est largement inférieure à ce qui était anticipé. Car le taux de fécondité chute aussi en Afrique, même s'il reste élevé. Il est en moyenne de 4,1 mais va chuter à 2,7 en 2050. Et certains pays comme le Kenya ont déjà des taux qui sont à peine supérieurs à 3". 

Spectaculaire : l'âge médian en Afrique est de 19 ans contre 40 ans en Chine et 45 en Europe".

**

Plus c’est grave, moins on s’inquiète

Selon vous, l’alcool au volant, est-ce un problème ? Oui, bien sûr. Si on ajoute qu’il concerne des millions de personnes, allez-vous en conclure que c’est un gros problème ? Eh bien, non. Quand on apprend qu’un problème touche plus de monde, on a tendance à le trouver moins grave. C’est ce qu’une étude récente appelle le "big problem paradox". 

D’où vient ce paradoxe ? En partie d’une émotion moindre (Staline le disait déjà : un mort, c’est une tragédie, un million de morts, une statistique). Mais aussi, démontre l’étude, d’une sorte d’optimisme : on s’imagine qu’on vit dans un monde où les problèmes sont traités ! "Donc", si des problèmes comme la pollution de l’eau potable, le manque de sommeil des internes en médecine, les idées suicidaires chez les adolescents, ou un gène prédisposant au cancer sont très répandus, nous les estimons moins sévères. Schématiquement : "répandu = normal ; normal = pas grave" !

Conséquence : qu’on soit ONG, entreprise, ou politique, souligner sans cesse que le problème qu’on traite est colossal peut être contre-productif. Pour susciter l’engagement, ne rappelez pas que le problème est énorme. Dites plutôt que la solution est à portée de main !

La bonne nouvelle !

"L’élevage a toute sa place dans un système d’agriculture durable"

Le site Agriculture Circulaire publie un remarquable entretien avec René Baumont, directeur de recherche à l’INRAE. Le scientifique y aborde les 4 défis majeurs de l'agriculture durable et décrit le rôle fondamental que l'élevage herbager est appelé à y jouer. En permettant une alimentation à faible impact écologique, en favorisant la biodiversité et en maintenant les paysages pastoraux, l’élevage herbager protège nos traditions agricoles…

… tout en lui offrant un avenir responsable. Un magnifique projet pour la France.

En lire plus sur le site Agriculture-Circulaire.fr 

 

Je respire............

Repost0
1 février 2025 6 01 /02 /février /2025 10:05

Le poème du jour 

En Bayrou libre

Sans me flatter, ce n’est pas ma manière
Pour sauver un pays en pleine pétaudière
Je savais que Macron n’aurait pas d’autre choix ,
On a besoin de moi !

Être ministre en chef, j’ai passé l’examen
Tout plaide pour mon choix
Mes procès, ma mise en examen,
Qui, plus diplômé que moi ?

Si ma joue en rosit, je ne vais pas la tendre
À tous ces faux amis qui n’ont pas été tendres
Savourons le présent, car l’heure est à l’émoi
On a besoin de moi !

De mon inexistence je tire le bénef,
Et même si je suis censuré dans trois mois,
Aujourd’hui, le grand chef,
C’est moi, c’est moi, c’est moi !

A propos de droit !

Un « inquiétant paradoxe » subsiste sur ce sujet entre droit civil et droit pénal.

Une double interprétation qui prête à confusion.

❔.............................Le devoir conjugal est-il inscrit dans la loi .......................................................................?

 

On ne trouve nulle trace, dans le Code civil, du « devoir conjugal ». Mais il existe. Anachronique, cette « obligation de consentir », selon la formule de la juriste Julie Mattiussi, reste ancrée dans le droit positif. Les époux sont tenus à des relations sexuelles « régulières » et « normales » ; refuser durablement de coucher avec son mari – ou sa femme – constitue toujours, pour certains juges, « une violation grave des obligations du mariage ».

Ce « devoir » découle d'une interprétation combinée – et ancienne – de l'article 215 du Code civil, qui oblige les époux à une « communauté de vie », et de l'article 212, qui les soumet à une obligation de « fidélité ». La communauté de vie impliquerait une communauté de toit… et de lit.

Loin des débats actuels sur le consentement, le droit de disposer de son corps, les juges reçoivent encore des demandes de divorce fondées sur la violation du devoir conjugal. Des dommages et intérêts peuvent même être attribués au conjoint « frustré ».

En 2011, à Aix, un mari fut condamné à verser 10 000 euros à sa femme pour le « dommage » causé par une « quasi-absence de relations pendant plusieurs années ». Refuser de manière répétée, sans motif légitime (notamment médical), un rapport à son conjoint(e) reste donc potentiellement une faute avancée dans un divorce.

Mais contraindre ce (cette) même partenaire à un acte de pénétration sexuelle est un crime. Le Code pénal a repris, en 2006, l'hypothèse du viol entre époux – la peine est même aggravée. Un « inquiétant paradoxe » subsiste ainsi entre droit civil et droit pénal.

 

Repost0
21 décembre 2024 6 21 /12 /décembre /2024 10:11
Le vendredi tout est presque permis.......

… Matignon libéré Mais « Pau brisé ! »

Le Pays basque et le Béarn, tous deux brisés par l’émotion, n’en reviennent pas d’une telle promotion tellement inattendue qui hisse leur « pays » respectif au rang de province bénie du dieu de l’Olympe.
Nos deux belles régions espèrent profiter économiquement de ce gentilhomme campagnard appelé par Jupiter en sa capitale car politiquement il régnait déjà en petit maître sur les nombreux élus communaux, départementaux et régionaux qui, volontairement ou non, supportaient les intempéries dictées par ce cavalier émérite.
Il manque cependant à notre François une belle moustache qui l’aurait rapproché de Charles de Batz de Castelmore, dit d’Artagnan, à défaut de ressembler à celle du Général de Gaulle. Peut-être ne veut-il pas finir comme ce mousquetaire avec un siège éjectable nommé la « censure ».
Nous souhaitons tout le panache possible à notre Béarnais, malgrès sa mauvaises connaissance de l'histoire de son pays ne sachant pas que Depuis 31 Mars 2011, le département de Mayotte est devenu officiellement le cent-unième département de France et son cinquième département d'outre-mer ! ..........

C'est bon pour le moral !

Selon un sondage IFOP-Sud Radio publié jeudi, 36% des Français se disent satisfaits de la nomination de François Bayrou à Matignon. C'est respectivement 16 et 17 points de moins que pour Michel Barnier et Gabriel Attal ?

L’ambition enivre plus que la gloire....

Ce que Bayrou a proposé aux "présidents de partis et de groupes qui ont eu la responsabilité des affaires du pays à une période ou à une autre de la Ve République" (= tout le monde sauf LFI et RN) réunis cet aprèm à Matignon : 1) Intégrer le gouvernement : selon Le Figaro, PS et Verts ont refusé d'emblée ; 2 ) "Reprendre sans suspendre" la réforme des retraites. "Reprendre" pour ménager le PS, "sans suspendre" pour ne pas s’aliéner la droite, concrètement : on renégocie pendant 9 mois et…

"… si on n’aboutit pas, on revient à la réforme de 2023". On peut avoir des doutes sur la nouveauté de la méthode du PM, mais qu’il pense qu’il dispose de 9 mois… ça, c’est une ambition !

Les sources de ce billet sont tirées de publications publiées sur internet dont certaines accompagnées de liens ci-dessus référencés, les images d’illustration sont également d’internet et à ma connaissance libre de droit…. 

 

Repost0
14 décembre 2024 6 14 /12 /décembre /2024 09:21
Vendredi 13 " tout est permis "


"Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence »

" J’y suis, j’y reste ! Cette célèbre phrase est attribuée à Mac Mahon lors de la prise du fort de Malakoff que les Russes menaçaient de faire sauter pendant la guerre de Crimée en 1855."

Dans ce moment de folie nationale le constat que nous pouvons en déduire est que  notre personnel politique donne l’effrayante démonstration de sa nullité.

N'oublions pas que notre constitution a été faite pour des hommes d’honneur, des hommes qui savaient s’en aller ou accepter les défaites et la cohabitation.

Alors, mes chers compatriotes de France et d’Outre-Mer, il va falloir « serrer les fesses » et supporter ce lourd fardeau présidentiel et ce tohu-bohu politique pendant encore 2 ans et demi.

Après tout, ce n’est pas si long que cela et, au point où on en est, je ne vois pas comment on pourrait casser encore plus notre beau pays.

Mais, naturellement, j’espère me tromper complètement dans mon analyse.

LEs mots de la semaine les plus employés  

 

En tête ;     " Zone rouge !

En deuxième position ;     " J’entends

Pour clore le podium ;     "J’entends bien !

Ça y est !     

Non, ils ne se sont pas embrassés… mais en revanche pendant que nous étions suspendus au suspens du nouveau PM intérimaire, Elon Musk lui a décrété un petit truc… la fin de la vérité. Tout simplement.

Depuis hier, l’Intelligence Artificielle de X (ex Twitter, environ 600M d'utilisateurs dans le monde), Grock, est accessible à tous. Et c’est dingue, il ne nous a fallu que quelques secondes -- et sans aucune forme de modération contrairement aux autres logiciels existants -- pour générer une photo ultra-réaliste de Macron et Bayrou s’embrassant, qui, soumise à plusieurs logiciels de détection des deepfakes a été identifiée comme réelle avec une certitude de 33% à 100% selon les plateformes essayées. 

Rappelez-vous Il y a 10 ans, dans Soumission, Michel Houellebecq imaginait déjà Bayrou Premier ministre et en faisait le portrait suivant : "Le vieux politicien béarnais, battu dans pratiquement toutes les élections auxquelles il s’était présenté depuis une trentaine d’années, s’employait à cultiver une image de hauteur, avec la complicité de différents magazines ; c’est-à-dire qu’il se faisait régulièrement photographier, appuyé sur un bâton de berger, vêtu d’une pèlerine à la Justin Bridou, dans un paysage mixte de prairies et de champs cultivés."

Ouf ! çà c'est fait .....

Ouf ! çà c'est fait .....

 

Repost0
7 décembre 2024 6 07 /12 /décembre /2024 08:26

Le lendemain matin à la première heure à " Matignon  "

Vous n'avez pas trop le choix ! c'est elle ou moi  ! 

Repost0
6 décembre 2024 5 06 /12 /décembre /2024 12:24

Tout va très bien " Madame la Marquise "

Quoi de neuf cette semaine ? Pas grand chose à part que c'est le bordel là-haut ...........

 

La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......
La belle époque .......

La belle époque .......

A bientôt .............

A bientôt .............

Repost0