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Vous trouverez dans ce blog un peu de vérité, beaucoup de passions et quelques coups de gueule........ Bonne route, bonne lecture merci de votre visite...
De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule
Bonne route & merci pour votre visite
Une vieille dame se présenta au guichet de la banque pour effectuer un retrait en espèces. Elle tendit sa carte bancaire au caissier et lui dit d’une voix douce :
— Je voudrais retirer 10 euros.
Le caissier, à peine levé les yeux, répondit d’un ton sec :
— Pour tout retrait inférieur à 50 euros, veuillez utiliser le distributeur automatique.
La vieille dame haussa un sourcil et demanda calmement :
— Et pourquoi donc ?
Sans lui accorder davantage d’attention, le caissier lui rendit sa carte et répondit avec impatience :
— Ce sont les règles, madame. Il y a des gens qui attendent derrière vous. Allez donc au distributeur automatique !
Un bref silence s’installa. Loin de se laisser démonter, la vieille dame reprit sa carte, la contempla un instant, puis la tendit à nouveau au caissier avec un léger sourire :
— Dans ce cas, pourriez-vous m’aider à retirer l’intégralité de mon compte ?
Surpris, le caissier tapa quelques touches sur son clavier avant de relever brusquement la tête :
— Madame, vous avez 10 000 euros sur votre compte. Nous ne pouvons pas vous remettre une telle somme immédiatement. Il faudra revenir demain.
Sans se départir de son calme, la vieille dame demanda :
— Très bien, alors quelle est la somme maximale que je peux retirer sur-le-champ ?
— Parfait, alors je vais prendre 300 euros, s’il vous plaît.
Soupirant bruyamment, le caissier rassembla, billet après billet, une pile de coupures de 5, 10 et 20 euros. Dix longues minutes passèrent tandis qu’il comptait la somme demandée, avant de la tendre à la vieille dame, agacé :
— Autre chose ?
Sans un mot, elle prit l’argent, rangea un billet de 10 euros dans son sac, puis tendit les 290 euros restants au caissier avec un sourire paisible :
— Oui, je voudrais déposer cette somme sur mon compte, s’il vous plaît.
Moralité : Ne sous-estimez jamais l’expérience et la sagesse des anciens. Ils ont passé leur vie à perfectionner leur art.
• "Comme disait Jean Cocteau : Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel"
En cette période de renouveau, que la nouvelle année vous apporte une bonne santé, son lot de joie, de découvertes et de moments chaleureux en compagnie de vos proches. Que les idées d’aujourd’hui fassent les succès de demain
Nous vous souhaitons Une très Bonne et heureuse année !
: En France, nous avons la chance de vivre dans une démocratie, un pays où la liberté est réelle.
Mais, qui dit liberté dit également obligations, il n’est pas question de faire n’importe quoi à n’importe quel moment.
Nous sommes libres, mais comme l’a écrit Voltaire « La liberté des uns s’arrête là où commence la liberté des autres. »
Les lois ne font pas les nations, elles sont l'expression de leur caractère.
D’où mon billet du jour ;
" Nul n’estcensé ignorerla loi "
La plus grande action magique de l'homme est d'établir des lois. Mais pourquoi la loi est-elle le bouc émissaire de la médiocrité humaine ?
Comme si la loi était coupable et l'homme jamais responsable, comme si le texte avait des failles et que ceux chargés de l'appliquer, au fond, n'avaient été victimes que de celles-ci. On pourra multiplier les exemples et on sera obligé de constater qu’après chaque tragédie, à l’issue de chaque dysfonctionnement, une fois le désastre consommé, qu’il soit terroriste, judiciaire, politique ou médiatique, la réaction a été d’abord de s’interroger gravement sur les défaillances de la loi puis d’annoncer l’élaboration rapide de la suivante. Comme si la loi était coupable et l’homme jamais responsable, comme si le texte avait des failles et que ceux chargés de l’appliquer, au fond, n’avaient été victimes que de celles-ci.
Alors qu’il suffit de reprendre en détail les affaires signifiantes et souvent traumatisantes de ces dernières années pour admettre qu’une fois l’émotion et l’indignation immédiates passées, la conclusion doit être peu ou prou toujours la même. Elle renvoie, prioritairement, à des fautes et à des carences humaines, singulières ou collectives, bien plus qu’à des lacunes de fond réelles ou invoquées qui, dans tous les cas, ont eu très peu d’incidence sur les catastrophes ne survenant jamais par hasard.
Pourquoi cette obsession de la loi comme bouc émissaire de la médiocrité humaine ponctuelle ?
Parce que les politiques, avec une intuition cynique, savent que rien, dans notre État, ne donne plus l’impression de l’action qu’une loi même élaborée à la va-vite, discutée dans l’urgence et votée sans véritable réflexion ou gangrenée par d’absurdes affrontements idéologiques. On promet une loi, on la prépare, on la fait adopter : le tour est joué. On a jeté un os symbolique au peuple qui le prendra pour de la substance. Alors que c’est de l’apparence et de la façade.
La raison essentielle n’est sans doute pas là mais dans cette répugnance à mettre en œuvre, dans notre système démocratique, un véritable contrôle professionnel qui en amont préviendrait les dysfonctionnements et en aval les sanctionnerait. La France préfère châtier des généralités plutôt que fustiger et condamner des comportements.
( images d'illustration de débats à l'assemblée nationale source interne)
Ce ne sont pas les propos d’une quelconque petite frappe, mais ceux d’un élu de la République Française, ceux d’un représentant du peuple, d’un élu payé par les impôts du peuple, d’un député.
L’assemblée nationale est certes un lieu d’affrontement « normal », mais un affrontement sur les idées, pas entre les hommes et les femmes.
Les frasques ridicules de LFI ne sont même plus à commenter, c’est donner trop d’importance aux délires des membres de ce parti.
Si on veut que cela cesse, j’invite la présidente de l’assemblée nationale à reprendre les choses en main et à assumer ses responsabilités. Quand, dans une classe, des élèves sont trop turbulents, on les vire purement et simplement, ne serait-ce que pour « marquer le coup », dans l’attente des sanctions prévues par le règlement intérieur.
Et c’est au prof de prendre l’initiative. Je trouve madame Braun-Pivet bien mollassonne…A l’évidence, elle ne sait pas « tenir sa classe ».
On se souvient avoir rigolé au spectacle donné par ces étranges parlementaires qui en venaient aux mains et se balançaient des verres d’eau à la figure dans des pays « bizarres ».
Et bien nous en sommes là et cette assemblée donne une effrayante image de notre pays à l’international. Malheureusement une « image fidèle » de ce qu’est devenue la France.
Il me semble que si on ne prend pas des mesures très énergiques, voire brutales, à l’encontre de tous ces trublions, c’est définitivement foutu. Malheureusement, il est des circonstances où, quand tout dialogue est devenu impossible, on ne peut répondre à la violence qu’avec encore plus de violence !
Cela demande du courage…Malheureusement, le courage n’est pas la vertu cardinale d’un personnel politique plus soucieux de ses tambouilles internes que du peuple qu’il est censé représenter, surtout par peur de perdre sa polularité électorale lors de la prochaine échéance un atout financier important lorsque l'on parle revenus et qui pluset de retraite ....
Mais gardons espoir, le pire n’est jamais certain ! En ce mois de Toussaint, je me dis que nous sommes peut-être au purgatoire, passage nécessaire avant d’accéder au Paradis.
né le 7 juillet 1946 à Vichy (Allier), il est un ingénieur des ponts et chaussées, l'un des plus grands spécialistes mondiaux de la conception des structures de ponts et de viaducs.
Les 101 Ponts de " Michel Virlogeux
Considéré comme l’un des plus grands constructeurs de ponts et de viaducs du monde, Michel Virlogeux, né en 1946, a passé son enfance à La Flèche, dans la Sarthe. Il est polytechnicien et ingénieur de l’École nationale des ponts et chaussées où il a également exercé comme professeur.
Cette grande école est l'une des plus anciennes et des plus prestigieuses de France, fondée en 1747 par Daniel-Charles Trudaine sous le nom d'École royale des ponts et chaussées. Trudaine avait également fait réaliser plusieurs milliers de kilomètres de routes, nos actuelles routes nationales, en reliant Paris aux frontières et aux principaux ports du pays.
Depuis 1988, Michel Virlogeux a conçu et construit plus de 100 ponts (et participé à la construction d’une autre centaine), dont celui de l’île de Ré ; celui de Normandie, sa première grande réussite, enjambe le vaste estuaire de la Seine : il avoue encore aujourd’hui avoir eu peur en traversant le fleuve en hélicoptère avant le début des travaux ! Son chef-d’œuvre restera sans doute le célèbre viaduc de Millau dans l’Aveyron au sud de la France.
Japon, Chine et Turquie
Le génial ingénieur est aussi intervenu comme expert pour la construction de grands ponts au Japon, à Hong Kong, et en Chine pour le pont de Sutong (2008) sur le fleuve Yangtsé : c’était alors le pont à haubans ayant la plus grande portée au monde : 1088 mètres. Et 320 mètres de plus, soit 1408 mètres, en Turquie avec le troisième pont du Bosphore (2016). Par longueur de pont, on entend longueur de la portée centrale.
Virlogeux a reçu un nombre impressionnant de prix et de récompenses nationales et internationales, dont la plus haute distinction britannique. La longueur de cet article ne pourrait en contenir toute la liste.
Ainsi la Chine nouvelle a confié aux Français la conception de ponts, de gares et autres grandes réalisations. Leur esprit, leur présence sur le terrain, leur sensibilité et la qualité de leurs concepts architecturaux ont toujours séduit nos amis de l’Empire du Milieu. Et réciproquement le dynamisme économique chinois et la liberté d’expression architecturale ont motivé nos ingénieurs français.
Le viaduc de Millau, toujours le plus haut
Il demeure, 20 ans après sa construction (2001-2004), le plus élevé du monde par sa structure et la hauteur de ses piles (336 mètres). Si le dernier pont chinois culmine à plus de 565 mètres au-dessus d’un canyon, c’est dû à la profondeur de la vallée et non à la hauteur du pont lui-même.
Avant la construction du viaduc, personne n’était très enthousiaste à l’idée d’un monument de béton qui se verrait à des kilomètres et gâcherait le paysage. Ni les Millavois, ni les écologistes, ni les amateurs de ces magnifiques gorges du Tarn. C’était pourtant la solution la plus logique pour désengorger ce passage entre Clermont-Ferrand et Béziers complètement bouché.
Une fois construit, tous les Français sont tombés en admiration devant le splendide viaduc, les habitants de cette sous-préfecture de l’Aveyron en premier. Il faut aussi rendre hommage à l’acolyte britannique de Virlogeux, le grand architecte Lord Norman Foster. Non seulement le pont de Millau ne gâche pas la vue mais il la magnifie. Par sa finesse, son élégance, sa légèreté et sa transparence. Qui se douterait que le tablier d'acier pèse 36 000 tonnes, soit le poids de 2 000 camions de 18 tonnes.
Pharaonique
Désormais, les ponts sont comme les tours : c’est à celui qui, pour laisser une trace, bâtira le plus grand. Le président Erdoğan, c’est Virlogeux qui le raconte, pour fêter le centenaire de la République turque en 2024 voulait un nouveau pont suspendu d’une portée de 2024 mètres qui serait inauguré l’année 2024. L’entreprise est allée trop vite ! Le pont des Dardanelles qui sépare l’Asie de l’Europe, sera inauguré en 2022. Sa portée est bien la plus longue du monde avec deux kilomètres vingt-trois, soit un mètre de plus. Ou de moins ! Mais, au-delà du petit jeu des chiffres, il faut reconnaître que le trajet en voiture d’un point à l’autre dure 6 minutes contre 5 heures.
Quant au viaduc ferroviaire chinois le plus long du monde, 164 kilomètres, il est hors concours, car il s’agit en fait d’une chaussée surélevée traversant eaux et campagnes pour relier Pékin et Shangaï à grande vitesse.
On connaissait les anti-chant du coq ou les allergiques au fumier, mais pas encore les opposants aux odeurs d'oignons qui rissolent. Un traiteur du quartier de la Libération à Nice a dû renoncer à cuisiner cette spécialité culinaire. Les clients gourmands doivent se rabattre sur des pans bagnats. Les copropriétaires ont gagné la guerre de la pissaladière.
À Nice, on l'appelle le "pissaladière gate". Comprenez une affaire polémique, un scandale bien local.
C'est l'histoire d'un traiteur qui avait l'habitude de vendre 50 parts de pissaladière par jour et jusqu'à 150 le week-end. Une affaire qui tourne. Oui, mais voilà, les voisins ont demandé qu'il arrête la cuisson.
L'année dernière, il a reçu un premier courrier, l'année dernière, il a cru que c'était une blague. Ensuite, quand il a reçu la mise en demeure par un avocat, il a compris que ça prenait de l'ampleur.
Pourtant, la fabrication n'est pas nouvelle. Claude Smaniotto cuisine la pissaladière, recette traditionnelle niçoise qu'il tient de sa grand-mère, depuis 10 ans dans le quartier de la Libération à Nice.
Pour ne plus déranger, il est passé de la pissaladière à une autre spécialité locale qui ne demande pas de cuisson : le pan-bagnat. Un comble pour celui qui a remporté la "Mondialette de la pissaladière" en 2018 !
"J'espère que je vais en vendre autant que les pissaladières et que l'odeur de l'huile d'olive ne les dérangera pas surtout !" explique Claude Smaniotto avec le sourire. Surtout, il ne cuisine plus du tout de plat chaud dans ce local : plus de ravioli en daube ou de petits farcis. Les clients sont les premiers punis.
Il ne s'explique pas cette soudaine aversion pour l'odeur des oignons, ingrédient principal de la pissaladière. Pourtant, des solutions techniques existent pour limiter les odeurs.
Les services d'hygiène ont proposé l'installation d'un tuyau d'extraction pour évacuer les fumées malodorantes... mais la copropriété a voté contre.
Patrimoine culinaire local
Depuis, Claude Smaniotto bénéficie du soutien du quartier de la Libération. Il a recueilli 150 signatures sur une pétition papier et 4.100 pour une pétition en ligne. Certains clients ne comprennent pas une telle opposition au patrimoine culinaire local : "Si c'était du stockfish ok, mais là c'est de la pissaladière !" "Je trouve ça lamentable", lâche une autre, "ils ne savent pas vivre ces gens-là !" Sauf que les copropriétaires ont la loi avec eux.
Pas d'autorisation de la copropriété
Le local est exploité depuis toujours comme commerce. C'est souvent le cas au pied des résidences d'habitation. Mais d'après le règlement, toute cuisson est interdite dans la copropriété.
Le traiteur ne souhaite pas porter l'affaire en justice. Mais il est obligé de continuer son activité, car l'interdiction de cuisiner la pissaladière a découragé un potentiel repreneur.
Pour une fois, ce n'est pas la salade niçoise qui fait parler d'elle.
A propos de ............
Après le méga-dérapage "surprise" du déficit budgétaire 2023 (finalement à 5,5 % du PIB vs 4,9 % annoncés), c’est au tour de la sécu ! Bercy annonce aujourd’hui que le déficit des comptes de la Sécurité Sociale atteindra 16,6Mds€ en 2024, soit 60% de plus que ce qui avait été planifié (et annoncé) cet automne… La raison : le trou béant de la branche maladie (-11 Mds) et des retraites (-5,5Mds). Y aurait-il un léger problème de prévision à Bercy ?
Un tel niveau de pertes n’était attendu par le gouvernement qu’en 2027, l’année où le déficit budgétaire français est censé repasser sous la barre des 3%. C’est bien parti.
Si une de vos bonnes résolutions pour 2024 est de bouger plus (généralement une bonne idée), voici un conseil pour faire d’une pierre deux coups : faites du sport le matin, avant d’aller au boulot. Non seulement c’est bon pour la santé, mais ça vous rendra plus efficace.
Bien sûr, le sport contribue à un équilibre de vie : on "décompresse", on prend de la distance avec son travail, etc. De bonnes raisons pour faire du sport, mais pas particulièrement pour en faire à l’aube, dans les ténèbres verglacées de janvier.
Une étude portant sur 269 personnes et publiée dans le Journal of Occupational Health Psychology complète cette perspective. Les sujets qui ont fait du sport avant le travail voient les problèmes au bureau comme des défis à relever. Ils trouvent leurs objectifs plus atteignables. Ils s’inquiètent moins des difficultés qu’ils vont rencontrer. Résultat : plus d’engagement au travail, moins de fatigue émotionnelle, et moins d’anxiété professionnelle.
En d’autres termes, si le sport améliore votre performance, ce n’est pas seulement parce qu’il vous aide à récupérer : c’est aussi parce qu’il change, positivement, votre vision du travail. Réglez votre réveil plus tôt… ou arrivez un peu plus tard !
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Une incompréhension
Un vieux monsieur entre chez le docteur :
- Bonjour docteur, vous souvenez de moi ? J'avais des problèmes d'arthrite et vous m'avez dit de fuir l'humidité...
- Oui, est-ce que ça a marché ?
- Oui ça va mieux, mais quand est-ce que je pourrai me laver à nouveau ?
Sur les hauteurs du Périgord Noir, tout près de Sarlat, un écrin de verdure de 10 hectares abrite les magnifiques jardins à la française d'Eyrignac. Dans ce lieu intemporel, venez assister au spectacle de la Nature : 300 sculptures végétales taillées avec excellence par les jardiniers dans la tradition du travail manuel à l'ancienne, fontaines, miroirs d'eau, jeux d'ombres et de lumière, parterres de fleurs. Ce patrimoine architectural est habité depuis 500 ans par la même famille qui compte dans sa généalogie l'illustre auteur de la tirade « Fier comme Artaban »
Situés sur les hauteurs du Périgord noir à 13 km de Sarlat, Eyrignac et ses jardins, monuments historiques des XVIIe et XVIIIe siècles, sont ouverts en toute saison aux individuels, aux familles et aux groupes. A voir absolument : nos 300 sculptures végétales spectaculaires taillées à la main avec art par nos jardiniers, nos tapis de gazon, nos fontaines, nos jardins de fleurs et notre Roseraie blanche, qui font d’Eyrignac un incontournable en Dordogne.
Les Jardins du Manoir d’Eyrignac
24590 Salignac-Eyvigues
Dordogne – Périgord