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30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 23:00

 

 

  santé.logo .FN  Santé :

 

Comment chasser les chats dans la gorge

 

 

Il arrive assez fréquemment, notamment à la suite d'un rhume ou d'une grippe, que nous subissions le phénomène désagréable du « chat dans la gorge », c'est-à-dire d'un embarras de mucosités persistantes (également nommées « glaires ») au carrefour oto-rhino-laryngologique. Ces mucosités embarrassent souvent nos cordes vocales et nous obligent à nous « racler la gorge » pour éclaircir notre voix, parfois même à cracher fréquemment, ce qui présente des inconvénients nombreux sur le plan social et convivial.

C'est généralement un désagrément qui disparaît en quelques jours, mais il arrive aussi qu'il se prolonge et que nous ayons toutes les peines du monde à nous en défaire. Il peut même devenir chronique et constituer un réel problème de santé, a priori sans gravité, mais finissant par constituer un stress permanent, à la fois physiologique et psychologique, qui nous « gâche la vie ». Aussi convient-il de tout faire pour le supprimer.

Avant toute chose, il faut se féliciter d'avoir des glaires, car ils sont la première ligne de défense de notre organisme et prouvent que notre système immunitaire fonctionne. Ces mucosités sont en effet produites par notre corps pour mettre hors d'état de nuire et expulser les bactéries, virus, poussières et molécules indésirables qui nous envahissent.

Si les glaires persistent plusieurs semaines, voire plusieurs mois, ils témoignent que nous sommes sous la menace d'une infection ou d'une pollution permanente dont ils nous protègent. Nous devons alors en rechercher la cause, qui est peut-être constamment réactivée dans notre environnement, par exemple sur notre lieu de travail ou dans les transports que nous employons quotidiennement.

Premier coupable : le climatiseur

À notre époque, l'une des causes les plus fréquentes de ces agressions sont les climatiseurs. Non seulement par suite des refroidissements brutaux qu'ils peuvent occasionner, surtout l'été, mais aussi parce qu'ils peuvent faire proliférer et diffuser la bactérie appelée "légionnelle" qui engendre des pathologies respiratoires à différents niveaux de gravité.

Je rappelle que la légionnelle (Legionella pneumophila) tient son nom d'une épidémie de graves pneumopathies survenue en 1976 lors d'un congrès de légionnaires américains qui avaient tous été contaminés par cette bactérie que diffusait dans l'atmosphère un système de climatisation infecté. On appela cette maladie la légionellose.

Heureusement, il existe différentes espèces de cette bactérie et toutes ne sont pas aussi pathogènes que celles dont furent victimes les vétérans américains. Il n'en reste pas moins que des personnes vulnérables peuvent être affectées par ces agressions bactériennes si elles y sont exposées en certains lieux publics climatisés (transports collectifs, magasins, salles de spectacles, supermarchés, etc.), surtout si elles stationnent un moment à proximité d'une sortie d'air pulsé refroidi qui arrive droit sur elles.

Il faut donc avant tout se préserver d'une telle situation et éviter la proximité de ces aérateurs, qui fonctionnent trop souvent en circuit fermé sans renouvellement d'air frais. Une législation récente exige des révisions périodiques de tous les circuits de climatisation des grands établissements, magasins, cinémas ou entreprises recevant du public, mais elle n'est pas encore suffisamment appliquée.

En tout cas, l'été, s'il fait très chaud, que vous êtes vêtu légèrement et entrez dans une grande surface, ne stationnez pas longtemps au rayon frais des viandes et laitages. C'est agréable sur le moment, mais cela peut vous être très dommageable par la suite, si un effet contaminant s'ajoute à un effet refroidissant.

N'oublions pas que nous baignons constamment dans un océan de bactéries. La plupart sont inoffensives, sans parler de celles qui nous sont utiles. Quant à celles qui sont pathogènes, elles sont le plus souvent « tenues en respect », non seulement par notre système immunitaire, mais d'abord par notre température de 37 ° qui empêche leur prolifération.

C'est pourquoi, lorsque survient un brusque refroidissement de notre corps, elles ont aussitôt la possibilité de se multiplier et elles ne s'en privent pas. Tout le monde sait qu'il faut éviter les refroidissements, mais on oublie parfois de prendre les précautions nécessaires et, paradoxalement, surtout par temps de canicule. Lorsqu'on a trop chaud, on recherche la fraîcheur, c'est naturel. Avant l'existence des climatiseurs, on ne pouvait trouver que des rafraîchissements tout relatifs ne présentant guère de danger. Mais à notre époque, tout a changé. Et des climatiseurs trop puissants et mal surveillés fonctionnent en de multiples endroits, causant des changements de température ambiante brutaux et trop différentiels.

Si vous êtes concerné par le problème de glaires persistantes, voire chroniques, alors que vous n'êtes pas enrhumé, la première chose à faire est d'identifier la source de vos ennuis. Si elle provient de votre environnement habituel, notamment professionnel, et en particulier d'un climatiseur, vous devez absolument vous en préserver, soit par un éloignement de votre poste de travail, soit par un changement de lieu de travail à l'intérieur de l'entreprise. Je connais une personne qui s'est trouvée dans ce cas et qui a pu obtenir de changer de local. Ses ennuis de santé ont rapidement cessé. Il n'est pas inutile de rappeler à l'employeur que le décret du 31 mars 2010 impose une inspection au minimum quinquennale des systèmes de climatisation de ses locaux et, dans le cas d'une nouvelle installation, la première inspection doit être effectuée au cours de l'année qui suit.

Les possibilités thérapeutiques

Les précautions contre d'éventuelles contaminations étant prises, il convient d'éliminer les agents pathogènes qui vous ont envahi et de fortifier votre système immunitaire. Je recommande les deux meilleurs agents suivants : le chlorure de magnésium et la vitamine C à haute dose (au moins 3 grammes par jour). La vitamine C sous forme naturelle (cerise Acérola) est préférable, mais étant insuffisamment concentrée, on doit la compléter par des pastilles effervescentes de Vitamine C de synthèse. La vitamine C étant éliminée par l'organisme en deux heures, c'est l'espace de temps idéal entre deux prises.

La vitamine C à haute dose était recommandée par Linus Pauling (Prix Nobel de chimie 1954) comme anti-rhume souverain et même comme préventif du cancer, ce qui lui valut les sarcasmes du corps médical américain. La raison en est simple : personne ne peut faire fortune ni conduire une prestigieuse carrière à partir de la vitamine C, abondante dans de nombreux végétaux.

Pour le chlorure de magnésium, vous pouvez commander en pharmacie des comprimés solubles de Delbiase, du nom de Professeur Delbet, grand chirurgien qui découvrit au cours de la première guerre mondiale les vertus thérapeutiques du magnésium, qu'il conseilla toujours sous la forme chlorure. Selon le Professeur Delbet, la carence en magnésium des terres cultivées en agriculture intensive, carence qui se transmet évidemment à nos aliments, est largement responsable de l'affaiblissement de nos systèmes immunitaires, donc de la persistance de maladies infectieuses chroniques et, même, affirmait-il, de l'apparition des cancers.

Pour combattre les glaires persistants, il est également efficace d'absorber deux ou trois fois par jour, et au minimum une fois avant le coucher, une tisane de sauge officinale longuement infusée et sucrée au miel. La propolis est également utile. Il va sans dire que le tabagisme favorise les glaires et que, de plus, il détruit la vitamine C. Si vous êtes fumeur, par pitié pour vous-même et votre famille, essayez de rejeter définitivement la cigarette. C'est une pratique suicidaire redoutable.


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15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 06:16

 

  santé.logo .FN   87% des enfants ignorent ce qu'est une betterave ! 

 

 

 

 

Une enquête réalisée par l'Association Santé Environnement France a été publiée le mois dernier. Elle révèle les habitudes alimentaires et les connaissances culinaires des enfants. Les résultats sont stupéfiants : betterave-rouge.JPG87% des enfants interrogés ne savent ce qu'est une betterave, un sur trois ne sait pas non plus identifier un poireau, une courgette, une figue ou encore un artichaut. Il semble que les enfants méconnaissent les légumes ce qui favorisent des mauvaises pratiques alimentaires, à l'origine du surpoids d'un écolier sur cinq. Ils sont également nombreux à manger trop gras, trop sucré et trop salé. Près d'un enfant sur quatre affirme boire du sirop, du jus de fruit ou du soda à table.

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 06:58

 

 

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Pourquoi pleurons-nous ?


 


 

 

imagesCAREMPIG.jpg  Les larmes causées par l'émotion ne sont pas les mêmes que celles causées par une poussière.

Vous le savez, d'ailleurs : dans le premier cas, elles remuent les entrailles, dans le second, elles ne font que provoquer une sensation de mouillé sur la joue.

Cela s'explique par une composition chimique différente, les pleurs d'émotion contenant plus de protéines, d'hormones et d'autres molécules ayant un effet sur le corps.

Larmes bienfaisantes et larmes amères

Les pleurs d'émotion sont en général bienfaisants : ils contiennent alors de la leucine encéphalique, une hormone qui agit sur la douleur, ainsi que les molécules et les toxines du stress, qui sont ainsi évacuées du corps. Par ailleurs, le message nerveux qui provoque les larmes entraîne la production d'antalgiques (anti-douleurs) naturels. Une étude a calculé que pleurer diminuait la tristesse ou la colère de 40 % environ.

Toutes les larmes d'émotion, cependant, ne soulagent pas. Une étude menée sur 200 femmes aux Pays-Bas a constaté que les personnes souffrant de dépression ou d'anxiété se sentent pire encore après avoir pleuré.

Les femmes et les larmes

Les femmes pleurent en moyenne quatre fois plus que les hommes après la puberté. Ceci est lié à la production de certaines hormones comme la prolactine, hormone responsable de la lactation après l'accouchement, de l'absence d'ovulation et du déclenchement des larmes.

Après un accouchement, le taux de prolactine augmente encore, ce qui explique que les jeunes mamans peuvent avoir la larme très facile. Par contre, après 40 ans, le taux de prolactine baisse et les femmes arrêtent de pleurer plus que les hommes.

Les larmes et l'amour

Les poèmes et les romans d'amour peuvent faire pleurer, de même que les cérémonies de mariage et le baiser du rude cowboy révélant enfin sa fragilité sentimentale en conclusion du film.

Cependant, les larmes d'une femme ont aussi la particularité de couper l'homme dans son élan. C'est prouvé scientifiquement : des chercheurs ont fait sentir à des hommes des larmes de femme. Ils leur ont ensuite montré des photos affriolantes. Et ils se sont aperçus que ces hommes étaient alors moins stimulés que les autres. La chose a été confirmée par le fait que les larmes de femme font baisser le taux de testostérone chez l'homme. (1)

Cela explique beaucoup de choses... Une amoureuse éperdue qui fond en larme dans les bras d'un homme va déclencher chez lui de la tendresse bien sûr, l'envie de la protéger et de la réconforter sans doute, mais ces larmes vont aussi le détourner pour un temps de ses idées sexuelles s'il en avait (et c'est presque toujours le cas).

Il arrive aussi que les femmes pleurent après une intense étreinte. Ces larmes envoient un signal chimique à l'homme pour faire retomber son énergie, autrement dit lui dire : « c'est bon maintenant, tu peux me laisser tranquille ! », en coupant sa production de testostérone. La nature est d'ailleurs bien faite puisque, loin de se vexer, l'homme se sent en général tout guilleret et flatté par ce qu'il interprète, bien naïvement, comme des larmes de reconnaissance...

L'origine des larmes

Personne ne sait vraiment pourquoi nous pleurons mais une hypothèse intéressante, avancée par le psychologue hollandais Ad Vingerhoets, est que, en nous brouillant la vue, nos larmes signalent que nous sommes provisoirement impuissants et donc vulnérables. Elles indiquent que nous ne pouvons plus causer de mal.

Elles peuvent ainsi faire tomber l'agressivité des autres, devenue inutile. Et c'est ce que l'on constate souvent, les pleurs provoquant sur l'entourage un sentiment de gêne et d'impuissance.

Les larmes sont aussi un des moyens de communication non verbale dont dispose l'Homme quand il n'est pas en état de parler, notamment quand il est enfant ou vieillard, mais aussi en cas de paralysie. Toujours selon Vingerhoets, dans l'état primitif de l'homme, alors qu'il devait se préserver des prédateurs, les larmes permettaient aux bébés de signaler leurs besoins en silence (mais en ce qui me concerne, j'ai rarement vu un bébé pleurer en silence !).

Le psychiatre John Bowlby a souligné que les larmes ont un rôle capital pour développer l'attachement d'une mère pour son enfant. Elles favorisent la naissance, et la croissance, de l'amour maternel.

Larmes de crocodile

Pleurer est normalement un acte réflexe, mais il existe deux catégories de personnes capables de pleurer à la demande :

certains comédiens : la technique consiste à penser volontairement à des choses tristes pour se donner envie de pleurer. Ce sont donc de vraies larmes d'émotion qui sortent de leurs yeux, s'accompagnant de profonds sentiments de tristesse ressentie.

 

Les enfants : beaucoup d'enfants sont capables de se mettre à pleurer dans le seul but d'obtenir une faveur de leurs parents : tour de manège, barbapapa, ou encore éviter une punition après une bêtise commise de manière parfaitement consciente et volontaire. Cet intéressant phénomène se retrouve chez les adolescents qui n'ont pas envie de faire leurs devoirs, ou de mettre la table. Ils sont capables de faire jaillir un véritable flot de larmes de leurs yeux pour que leur père fasse leurs exercices de maths à leur place !

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4 juin 2013 2 04 /06 /juin /2013 08:15

 

  santé.logo .FN  Mettez chez vous des plantes dépolluantes...............

 

 

Fleurs et plantes vertes coûtent si cher qu'elles sont devenues un luxe que peu d'entre nous peuvent encore s'offrir, en ces temps difficiles.

C'est bien dommage car un intérieur fleuri procure paix et même joie de l'âme. Il nous est naturel de vivre au milieu des plantes, non du béton, des peintures, des plastiques, des bois vernis et des appareils électriques.

Mais faire pousser plantes et fleurs chez soi est aussi bon pour la santé : de nombreuses plantes ont des vertus dépolluantes, et contribuent fortement à assainir l'atmosphère que vous respirez.

 

L'intérieur 5 à 10 fois plus pollué que l'extérieur

 

L'Observatoire de la qualité de l'air intérieur a mené une étude de grande ampleur qui a conclu que 10 % des logements sont très pollués. « La pollution chimique est plus importante à l'intérieur qu'à l'extérieur. » 30 % des logements présentent simultanément 3 à 8 polluants à de très fortes concentrations, que ce soit en raison des produits d'entretien, des appareils de chauffage, du tabagisme ou des acariens.

Le plus répandu est le formaldéhyde, gaz redoutable par son pouvoir irritant et allergisant. En 2004, le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) l'a classé comme cancérogène certain pour l'homme. Des tests ont révélé la présence de formaldéhyde dans des nettoyants et détergents ménagers, des shampooings, des désodorisants d'intérieur, des tapis, des gels douche, du bois aggloméré de meubles, des peintures d'intérieur, des revêtements de sols...

Mais il existe de nombreux autres polluants intérieurs, connus sous le nom de « COV », ou Composés Organiques Volatils.

 

Les polluants qui vous entourent chez vous

 

En plus du formaldéhyde, très répandu, vos détergents et solvants peuvent aussi dégager du trichloréthylène et du xylène.

Vos colles et adhésifs, y compris ceux qui ont servi à coller votre parquet ou votre moquette, peuvent aussi dégager du xylène et du tolluène.

Vos bouteilles et objets en plastiques peuvent être une source de benzène, vos meubles vernis de PCP, vos peintures de xylène, et si quelqu'un fume chez vous, il est probable que vous respirez de l'ammoniac.

Au risque de me répéter, je précise bien que ces Composés Organiques Volatils (COV) sont présents en plus du formaldéhyde, sauf dans les plastiques.

Or, les progrès des techniques d'isolation font que ces gaz restent de plus en plus longtemps piégés dans les habitations. Quand on sait que nous passons désormais 80 % de notre temps à l'intérieur, cela pourrait expliquer que le nombre de maladies allergènes respiratoires ait doublé en 20 ans.

 

Les polluants n'ont pas tous la même nocivité

 

Il existe de grandes disparités de la dangerosité des COV car de nombreux facteurs sont déterminants.

D'une part, les polluants n'ont pas tous la même nocivité. D'autre part, les durées et les fréquences d'exposition aux polluants sont très variables. Enfin, au sein même de la population, tous les individus ne sont pas égaux face aux polluants. Certains groupes de personnes seront plus réactifs que d'autres : les enfants, les personnes fragiles, les personnes allergiques...

Pour les scientifiques, il est aisé de connaître les effets des COV sur la santé lorsqu'il y a exposition à un polluant sur une période courte et à des doses élevées. Il est, en revanche, beaucoup plus difficile de déterminer les effets avec précision, lorsque l'exposition est très prolongée, que les polluants sont nombreux et diffus, et que leur concentration est faible.

L'exposition peut provoquer des désagréments sans gravité ou au contraire des infections graves. Parmi les symptômes légers, on relèvera des irritations nasales, oculaires, cutanées et laryngiques ainsi que des états de malaise ou de fatigue chronique.

Parmi les affections plus graves, on constatera des dysfonctionnements des organes du corps humain : troubles des reins, du coeur, des poumons, du foie ou de l'appareil digestif.

 

La NASA fait une découverte surprenante sur les plantes

 

Lorsqu'en 1973, les équipes de la NASA (Agence spatiale américaine) récupérèrent le Skylab 3, une capsule habitée envoyée dans l'espace, ils s'aperçurent qu'elle contenait plus d'une centaine de COV potentiellement néfastes aux astronautes.

Il fut donc décidé d'étudier des moyens de purifier l'air intérieur. Or, il existait justement un chercheur, le Docteur Wolverton, qui était spécialiste de la pollution et des moyens de la nettoyer avec certaines plantes. En charge des essais sur le nettoyage des contaminations provoquées par les armes bactériologiques, il avait découvert que des plantes des marais de Floride pouvaient éliminer l'agent Orange (celui-ci avaient été introduit accidentellement dans les eaux locales à la suite d'essais du gouvernement sur la base de Eglin Air Force).

À la suite de ce succès, il poursuivit ses recherches au Stennis Space Center de la NASA (anciennement Mississippi Test Facility), où il mit au point l'utilisation de plantes dans le nettoyage des eaux usées des centres de la NASA. Le système qu'il élabora pour remplacer les fosses septiques traditionnelles par des bassins de jacinthes est toujours utilisé aujourd'hui.

Ce n'est qu'après ces expérimentations qu'il commença à étudier les pouvoirs dépolluants des plantes sur l'air et notamment sur le COV : Ammoniac, Benzène Formaldéhyde Monoxyde de carbone Pentachlorophénol, Toluène, Trichloréthylène, Xylène... En effet, déjà à cette époque, tous ces composés étaient connus pour leurs effets irritants et leur potentiel cancérigène.

Il créa un espace clos, de la taille d'un habitation, parfaitement isolé, dans laquelle il introduisit à la fois des COV à forte dose, et quinze plantes en pot. Au début de l'expérience, lorsqu'on entrait dans le bâtiment, on pouvait éprouver une brûlure grave des yeux et un malaise respiratoire, les deux symptômes classiques « de syndrome des bâtiments malades ». Mais grâce à ces plantes, les COV disparaissaient jusqu'à ce que la majeure partie soit éliminée et qu'il soit à nouveau possible de pénétrer sans éprouver les mêmes affections.

 

Comment les plantes purifient l'air

 

Les polluants entrent dans la plante par les feuilles grâce à des orifices appelés « stomates ». Les stomates servent à la respiration, la photosynthèse et la régulation hydrique. C'est grâce à eux que se produisent les échanges de gaz entre la plante et l'atmosphère. Les COV qui sont très volatils et de faible poids moléculaire sont capables de pénétrer dans les stomates. Une fois dans la cavité sous stomatique, les polluants entrent en contact avec l'eau qui tapisse les parois.

Une fois passés à l'état liquide, ils entrent dans les cellules pour y être métabolisés ou éventuellement y être stockés.

Les polluants peuvent aussi tout simplement se déposer sur les feuilles. Ils entrent alors en contact avec la cuticule, une couche lipidique qui protège la plante. Ils peuvent alors migrer vers l'intérieur des feuilles. (1)

 

Quelles plantes choisir ?

 

 

azalee_japonica_sylvester__087684300_1248_02022008.jpgL'azalée vous aidera à faire baisser le niveau de xylène, d'ammoniac et de monoxyde de carbone. Il est à mettre en priorité dans la cuisine et la salle de bain, où ces polluants sont les plus fréquents. Soit dit en passant, l'azalée a aussi l'avantage d'être le plus élégant des arbustes (du moins pour moi).

lierre-hedera-helix-travers.jpgLe lierre, très facile d'entretien, absorbe le formaldéhyde, le benzène et le trichloréthylène. Mettez-en un pot dans votre bureau, votre chambre, ou votre séjour.

imagesCAEH7W4R.jpgLes chrysanthèmes décomposent l'ammoniac, le benzène, le formaldéhyde, le monoxyde de carbone et le trichloréthylène. Vous pouvez en mettre partout !

Ficus_benjamina.jpgLe ficus, plante increvable, absorbera lui aussi l'ammoniac, le formaldéhyde, le xylène.

Je vous épargne le catalogue complet des plantes dépolluantes, cela pourrait durer toute la nuit. Si vous voulez en savoir plus, vous trouverez en « post-scriptum » un lien vers un site Internet spécialisé sur le sujet.


A votre santé !j- m - d/P-b

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 06:25

 

 

  santé.logo .FN  Santé ;

 


 

"Articulations douloureuses : la nouvelle approche cellulaire"

 

 

En 1925, le père de la biologie cellulaire américaine, Edmund Beecher Wilson, résumait ainsi le fruit de ses recherches : « C'est dans la cellule qu'il faut chercher la clé de chaque problème biologique, car tout organisme vivant est, ou a été un jour, une cellule ».

Vos articulations sont en effet composées de cellules intelligentes, avec mémoire, et dotées de fonctions spécifiques.

L'état de vos articulations n'est, au bout du compte, que le reflet de l'état de santé de leurs cellules. Dans de nombreux cas de souffrance ou de pathologie articulaire, c'est donc au cœur de la vie cellulaire qu'il faut agir.

Les trois étapes de la vie cellulaire : Nutrition, Protection, Fonction

Quand une cellule a épuisé ses réserves naturelles (quelle qu'en soit la raison : hyperconsommation, déficience alimentaire ou autre), elle doit, pour survivre et reprendre ses fonctions normales :

Se nourrir : il est d'abord indispensable d'apporter à la cellule sub-carencée ou encrassée les nutriments nécessaires à sa relance : oligoéléments, vitamines, acides gras essentiels, antioxydants, acides aminés essentiels ;

Se protéger :les études confirment de plus en plus l'importance du rôle joué par les radicaux libres qui sont des espèces chimiques très réactives et très instables. Leur excès peut être très dangereux pour l'organisme et provoquer des réactions en chaîne stressantes voire destructrices pour les cellules des différents organes : il faut donc les neutraliser.

La production de radicaux libres au niveau cellulaire a une double origine :

Formation endogène liée naturellement aux processus biologiques (par exemple le vieillissement) ;

Formation exogène, induite par des facteurs externes tels que le stress, la pollution, l'exposition prolongée au soleil, les produits chimiques, certains médicaments, le tabac...

Relancer les fonctions cellulaires : une fois que la cellule est correctement nourrie et protégée, on peut relancer la fonction cellulaire et donc soigner les problèmes dont l'origine était un dysfonctionnement de certaines cellules.

Pour illustrer ce processus Nutrition – Protection – Fonction, on peut prendre l'exemple des articulations douloureuses et des soins internes classiques prescrits par les médecins, et des soins externes apportés par les kinésithérapeutes et les ostéopathes. Car nos articulations sont actuellement soumises à rude épreuve du fait de ce printemps particulièrement pluvieux, qui a succédé à un hiver glacial.

Vos articulations ont d'abord besoin d'être nourries et protégées

En 2009, le service de chirurgie orthopédique de l'Hôpital Sainte Marguerite de Marseille a présenté au congrès New 21st Century Health Medicine and « Pre-Medecine » les résultats d'une étude d'envergure menée en France auprès de 871 patients se plaignant de douleurs articulaires et de troubles de la mobilité, et suivis par 180 médecins de ville.

Cette étude a d'abord montré la participation cellulaire essentielle dans les phénomènes dégénératifs de l'arthrose avec la destruction arthrosique du cartilage, résultat d'un déséquilibre au sein de la matrice extra-cellulaire. Elle a également démontré le rôle des radicaux libres dans l'accélération de cette dégénérescence des articulations. Partant de ce constat, les dirigeants de l'étude ont voulu vérifier l'efficacité d'une complémentation alimentaire naturelle traitant les problèmes articulatoires. Les résultats de leur expérimentation sont pour le moins édifiants.

93 % des patients constatent une amélioration

Les 871 patients ont été répartis en deux groupes d'observation distincts. Dans le groupe A : 542 patients ont été traités exclusivement avec un complément nutritionnel ciblant les troubles articulaires. Dans le groupe B : 329 patients ont reçu leur traitement habituel (anti-inflammatoires, antalgiques, homéopathie, phytothérapie...).

Très rapidement, pour le 2/3 des cas avant 10 jours, des résultats positifs étaient déjà constatés.

Au bout de 30 et 60 jours, 90 % des médecins et 90 % des patients du groupe A ont constaté une amélioration des douleurs articulaires alors qu'ils n'étaient que 34 % des médecins et 45 % des patients dans le groupe B.

Toujours dans le groupe A, 93 % des médecins et 94 % des patients ont constaté une amélioration de la mobilité articulaire alors que seulement 33% des médecins et 42% des patients du groupe B ont constaté une amélioration de la mobilité.

Absence quasi-totale d'effets secondaires

Quant à la tolérance au traitement, 90% des patients du groupe A ont parfaitement toléré la complémentation, les plaintes portant principalement sur leur goût... Alors que 1 patient sur 2 du groupe B a du prendre en plus de tous les autres médicaments, des protecteurs gastriques, c'est-à-dire des médicaments pour empêcher les saignements d'estomac, fréquents lors des traitements conventionnels de l'arthrose, à base d'anti-inflammatoires.

A nouveau, 90 % d'amélioration

Les directeurs de recherche ont ensuite poursuivi l'étude avec le groupe B qui a continué à prendre son traitement médicamenteux avec cette fois une complémentation nutritionnelle en association. Autour de 90 % des médecins et des patients ont dès lors constaté une amélioration des douleurs et de la mobilité articulaire et un patient sur deux a significativement réduit sa consommation d'anti-inflammatoires et antalgiques.

Au final, on voit bien que pour les groupes A et B, l'apport d'un complément nutritionnel spécifique et agissant au niveau cellulaire global est décisif dans l'amélioration du stress et des douleurs articulaires ainsi que des problèmes de mobilité des patients qui ont participé à l'étude.

Le coup de pouce supplémentaire

Faisons comme si vous étiez l'un des patients de cette étude : vos articulations sont nourries, protégées, décrassées. Votre médecin vous prescrit maintenant des séances de kinésithérapie ou d'ostéopathie pour relancer la machine, ou plutôt, relancer la fonction cellulaire car là aussi, des études observationnelles récentes ont montré les liens entre l'efficacité des soins externes et le soutien nutritionnel des patients.

Des chercheurs français ont réalisé une enquête pendant 6 mois auprès de 50 praticiens et de 360 sujets souffrant de problèmes articulaires. 41% des sujets avaient entre 40 et 60 ans. L'objectif était de constater le rôle d'une complémentation nutritionnelle dans l'accélération des résultats des soins externes à partir d'un temps 0 et sur une fenêtre d'observation très courte, en moyenne de 7 jours.

Les patients ont consommé deux types de compléments nutritionnels pendant cette période d'observation : un complément alimentaire agissant sur les articulations et un complément alimentaire visant à réduire le stress cellulaire. En moins de 7 jours, plus de la moitié des praticiens concernés ont observé une amélioration de la performance de leurs soins sur leurs patients, et plus de 60% des patients ont eux-mêmes observés une accélération des résultats des soins.

Ces résultats soulignent une nouvelle fois l'importance de l'action globale cellulaire et de l'action nutritionnelle pour la relance rapide de la fonction cellulaire initialement déficitaire.

Les compléments alimentaires qui ont servi dans ces études

Des études comme celles présentées ici (et il y en a bien d'autres) montrent le rôle décisif que peuvent jouer les compléments nutritionnels dans le rééquilibrage du système cellulaire et donc dans l'amélioration des douleurs et de la mobilité articulaires.

Ce sont les produits A40 Articulation et A40 Détente, produits d'Orodiétologie des Laboratoires Zannini, qui ont servi aux études précédemment citées. 

Ils agissent simultanément et en synergie au niveau cellulaire global grâce à une nouvelle technologie qui permet aux principes actifs nutritionnels intégrés dans un nouveau complexe naturel d'être directement disponibles, n'ayant besoin ni d'enveloppe, ni d'excipient, ni de gélatine, ni de cellulose, ni d'alcool, grâce à la technologie de l'orogranule.D

La technologie de l'orogranule

 

Combien de fois, en observant un flocon de neige, avons-nous été émerveillés par ce miracle de la nature ? Ce miracle réside en la capacité des cristaux à se lier ensemble, tous identiques au niveau de leur composition et de leur structure, sans avoir besoin de contenant ou d'enveloppe de protection, chaque cristal protégeant ce qui est à l'intérieur.

C'est grâce à l'étude du cristal de neige et à 20 ans de recherche que l'orogranule a été conçu et développé. Chaque granule est constitué un par un à partir d'un noyau central d'environ 100 microns de diamètre. Les composants solides, liquides et les huiles essentielles, sont intégrés du centre à la périphérie pour former un nouveau complexe solide unique : l'orogranule, spécifique à chaque application selon les troubles à traiter (problèmes articulatoires, problèmes de tonus, troubles digestifs...). Cette caractéristique permet l'assimilation directe du nouveau complexe biologique par voie buccale (orodisponibilité), sans passer par la voie digestive classique.

Petite mise en garde tout de même pour ceux qui souhaitent commander ces produits : les granules ne contenant rien d'autre que les principes actifs nécessaires, pour certains, il vous faudra passer outre un goût parfois surprenant. Pour les articulations, ils contiennent du cartilage marin dont la saveur ne trompe pas.


Référence : A40 Articulation et A40 Détente A votre santé !

 

Source : Jean-Marc Dupuis /Santé Nature Innovation

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