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Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
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4 octobre 2019 5 04 /10 /octobre /2019 06:34

A propos de cette nouvelle étude de santé

Qui conseille de manger de la viande

Diminuer l'apport en viande et charcuterie n'aurait aucun impact sur la santé. C'est la surprenante conclusion de chercheurs de plusieurs pays.

Finalement, vous pouvez manger de la viande vous n'aurez pas plus de maladies cardiovasculaires. Ce sont les conclusions - totalement contradictoires avec la littérature scientifique depuis des années - tirées par des chercheurs canadiens, espagnols et polonais (*).

Cinq méta-analyses

Pour parvenir à ce constat, cette équipe a passé en revue cinq méta-analyses portant sur le lien entre la consommation de viande et la santé. Leur analyse est sans appel : "Nous n’avons trouvé aucune association statistique significative entre la consommation de viande et le risque de maladies cardiovasculaire, le diabète ou le cancer". Seule exception, "une très faible réduction du risque chez ceux qui réduisaient leur consommation hebdomadaire de trois portions."

A la suite de ces observations "basées" selon les auteurs "sur des preuves très solides", 14 membres issus de 7 pays ont rédigé des recommandations nutritionnelles. Dans le détail, "la plupart des adultes devraient continuer à manger autant de viande rouge ou de charcuterie qu’à leur habitude. Contrairement aux recommandations actuelles."

La charcuterie cancérigène ?

L’OMS - via de Centre international de recherche sur le cancer (Circ) - a classé comme probablement cancérogène pour l’homme la consommation de viande rouge. Dans le détail, "des associations positives [ont été trouvées] entre la consommation de viande rouge et le développement d’un cancer colorectal". La charcuterie, quant à elle, est identifiée comme cancérogène pour l’homme en raison "d’indications convaincantes de ce que l’agent provoque le cancer chez l’homme".

En France, le Programme national nutrition Santé (PNNS) intègre ces notions et conseille de "réduire la consommation de viande et de charcuterie".

Sans oublier que la baisse de la consommation de viande est également largement conseillée dans le but de protéger l’environnement. Cette étude ne prend pas en compte cette dimension, mais les chercheurs confirment qu’"il peut y avoir d’autres raisons que la santé pour réduire sa consommation de viande".

(*) Dalhousie University, McMaster University, Canada - Centres Cochrane espagnol et polonais.

 

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19 septembre 2019 4 19 /09 /septembre /2019 17:57

Pause sexe sur les heures de travail en Suède:

«On ne peut pas se forcer à améliorer sa libido!»

 

 

Hey bébé, c’est l’heure de passer à la casserole ! ». En Suède, une pause d’un genre nouveau pourrait bien être instaurée durant les heures de boulot : l’instant galipettes. Un conseiller municipal de la petite ville d’Övertorneå souhaite ainsi aménager des «  pauses sexe ». L’élu propose que les entreprises permettent à leurs employés un entracte quotidien qui leur permette de rentrer chez eux une heure pour faire l’amour. Des pauses crapuleuses rémunérées par l’employeur et qui, selon l’édile, boosteraient la natalité, favoriseraient la productivité des employés et amélioreraient leur santé et celle de leur couple. Bref, au pays des meubles en kit, les vertus du sexe mériteraient un petit coup de pouce. Alors, proposition farfelue ou mesure d’intérêt public ? Le Dr Gilbert Bou Jaoudé, médecin sexologue, analyse pour 20 Minutes les dessous de ce projet.

Une pause sexe sur ses heures de travail peut-elle avoir des vertus ?

Il est connu, avéré et démontré qu’une vie sexuelle active et épanouie est bonne pour le moral et pour la santé. Les bienfaits sont réels : en augmentant toutes les sécrétions chimiques qui activent le bien-être, le sexe réduit l’anxiété et la dépression, il renforce le sentiment de bien-être global et la confiance en soi, il stimule les défenses immunitaires et a des bénéfices sur le plan cardiovasculaire. Et le sexe augmente l’espérance de vie ! De ce point de vue là, l’idée d’une pause sexe quotidienne n’est pas si farfelue que ça sur le papier.

Et en pratique ?

Ah en pratique, c’est une idée complètement folle quand même ! Au-delà même des problèmes de logistiques, de vérification de ce que font les gens durant cette heure de pause, on ne peut pas faire qu’une personne et son partenaire aient « envie » précisément à l’heure décrétée pour cette pause. Si quelqu’un est stressé ou déprimé, cela jouera aussi sur sa libido, il aura moins envie. Or, on ne peut pas se forcer et dans ce cas, c’est n’importe quoi de dire que si on fait l’amour, on ira mieux.

Pour des personnes ayant des troubles sexuels, cette « pause sexe » ne pourrait-elle pas sonner comme une injonction de faire l’amour et les stresser davantage ?

Complètement ! Pour ceux qui ont des troubles érectiles, une telle mesure peut avoir des effets contre-productifs. Dans la réalité, c’est quelque chose qui ne peut fonctionner que pour les couples qui sont en phase fusionnels, et encore. En fonction de l’âge des intéressés, de leur état de santé, cette pause sexe réglementaire ne peut être accomplie par tous les « bénéficiaires».

Quelle mesure serait plus efficace ?

S’il fallait faire quelque chose, un projet pour lequel il y a de l’argent sur la table, il faudrait dédier cette heure de pause hebdomadaire à un rééquilibrage alimentaire et à l’activité physique. Si l’idée du conseiller municipal est d’améliorer l’état de santé général et le bien-être de ses administrés, il a dix fois plus intérêt à mettre en place un coaching physique et nutritionnel pour eux, qui offre les mêmes bienfaits physiques et mentaux que le sexe. D'Autant qu’on peut faire l’effort – au sens de se forcer un peu — d’améliorer son état de santé, mais on ne peut pas se forcer à améliorer sa libido. Or en étant mieux dans sa tête et dans son corps grâce au sport et au contenu plus équilibré de son assiette, on est plus enclin à avoir une vie sexuelle plus riche et épanouie quand on rentre du travail.

 

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12 septembre 2019 4 12 /09 /septembre /2019 20:26

L'enquête santé aujourd'hui :

" Dormir trop ou trop peu augmente nos risques d’infarctus"

 

Une nouvelle étude révèle l’importance de la durée du sommeil pour la santé cardiaque. Dormir trop, ou pas assez, peut augmenter vos risques de faire un infarctus.

Bien dormir est important pour être en forme… mais aussi pour rester en bonne santé. Selon une récente étude de l’Université du Colorado Boulder, le manque ou l’excès de sommeil peut augmenter votre risque cardiovasculaire. Et ce, même si vous n’avez aucune prédisposition génétique face à ces maladies, que vous êtes non-fumeur et que vous faites du sport régulièrement.

Ces travaux, publiés dans le Journal of the American College of Cardiology, montrent également que dormir entre six et neuf heures par nuit permet de réduire le risque cardiovasculaire, chez les personnes qui présentent des prédispositions génétiques.

Jusqu’à 34 % plus de risque de faire un infarctus à cause de mauvaises habitudes de sommeil

Des chercheurs américains et britanniques ont analysé les informations génétiques, les habitudes de sommeil auto-déclarées et les dossiers médicaux de 461 000 patients de l’UK Biobank, âgés de 40 à 69 ans, n’ayant jamais subi de crise cardiaque. Le suivi a duré sept ans.

Résultat : les personnes qui dormaient moins de six heures par nuit étaient 20 % plus susceptibles d’avoir un infarctus pendant la période étudiée - comparativement à ceux qui dormaient entre six et neuf heures. Quant aux sujets qui dormaient plus de neuf heures, ils avaient 34 % plus de risque de faire un infarctus.

Parallèlement, les scientifiques se sont aussi intéressés aux personnes ayant des prédispositions génétiques aux maladies cardiaques. Et ils ont découvert que dormir entre six et neuf heures par nuit réduisait leur risque cardiaque de 18 %.

“La durée du sommeil est un facteur déterminant pour la santé cardiaque”

“Cela fournit la preuve la plus solide à ce jour que la durée du sommeil est un facteur déterminant pour la santé cardiaque, et cela vaut pour tout le monde”, souligne Celine Vetter, auteure principale de l’étude et professeure adjointe en physiologie intégrative.

“C’est un message plein d’espoir : quel que soit votre risque génétique d’avoir une crise cardiaque, avoir la bonne quantité de sommeil peut réduire ce risque, au même titre que manger sainement, ne pas fumer ou d’autres comportements sains de ce type”, ajoute Iyas Daghlas, l’un des auteurs principaux, étudiant en médecine à Harvard.

Un vrai lien de cause à effet entre le sommeil et la santé cardiaque

Des études antérieures avaient déjà montré un lien entre le sommeil et la santé cardiaque. Mais comme elles étaient d’ordre observationnel, il était difficile de déterminer si c’était la mauvaise qualité du sommeil qui provoquait des problèmes cardiaques, ou l’inverse. D’autant que de nombreux autres facteurs pouvaient entrer dans l’équation.

Dans cette nouvelle étude, les chercheurs ont utilisé un nombre de données considérable - sur près d’un demi-million de sujet - et combiné des recherches observationnelles et génétiques. Et après avoir pris en compte trente facteurs supplémentaires, ils ont été en mesure d’affirmer que la durée du sommeil en elle-même influait bien sur le risque d’infarctus.

En revanche, ces travaux n’ont pas exploré le mécanisme par lequel un sommeil court ou long pouvait augmenter le risque cardiaque. Mais de précédentes recherches peuvent fournir un début d’explications. En effet, le manque de sommeil peut avoir un impact sur la paroi interne des artères, sur le développement de cellules inflammatoires dans la moelle osseuse, et peut être à l’origine de mauvais choix alimentaires. L’excès de sommeil peut, lui aussi, stimuler l’inflammation dans l’organisme, associée aux maladies cardiovasculaires.

 

Source : «  Médisite « 

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5 septembre 2019 4 05 /09 /septembre /2019 06:51

L'enquête santé du jour

nous mène du côté de

l’hypertension artérielle

 

 

Alors que les études scientifiques foisonnent sur le sujet, l’hypertension artérielle demeure, à ce jour, l’une des maladies les plus méconnues du grand public. Et pourtant, il s’agit d’une véritable problématique de santé publique puisque, selon la Société française de cardiologie, cette pathologie a un lien direct avec 13 % des décès à travers le monde. En France, un adulte sur trois est touché par la maladie et, pourtant, près de la moitié en ignorent presque tout. Par ailleurs, d’autres études menées par une équipe du CHU vaudois de Lausanne en Suisse ont permis de mettre en évidence l’impact du cadre de vie sur l’apparition de la maladie.

Un assassin dans l’ombre

Les résultats de l’enquête menée par l’institut Ipsos pour le compte de l’entreprise de biotechnologie Quantum Genomics sont plutôt inquiétants. Bien que le tiers de la population adulte soit directement concerné par la maladie, il n’y en a que 21 % qui soient réellement suivis. Le manque d’éducation sur le sujet fait aussi que moins d’un adulte sur deux fait surveiller sa tension artérielle. Et ce, en dépit du fait que cet examen soit systématique lors de toute consultation médicale. Il faut, en effet, suivre le patient sur une certaine période avant de pouvoir poser le diagnostic de l’hypertension (HTA). Les consultations ponctuelles et aléatoires n’ont que peu d’incidence sur le dépistage de cette pathologie. Un état des lieux d’autant plus grave que l’HTA est asymptomatique. C’est, d’ailleurs, la raison qui lui a valu le sinistre surnom de « tueur silencieux ».

Un risque omniprésent

Le manque d’éducation sur la question explique également l’insouciance de plus de la moitié des personnes interrogées dans le cadre de cette enquête. Ce sont 53 % des personnes ayant déclaré tout ignorer du niveau de leur tension artérielle qui affirment avoir des comportements à risque.

En outre, l’étude menée par les services de néphrologie et d’hypertension du CHUV de Lausanne a abouti à des conclusions encore plus inquiétantes. Selon les chercheurs, ce serait tout simplement l’ensemble des populations urbaines qui encourraient des risques d’hypertension artérielle. Il a ainsi été clairement identifié que la pollution sonore et les écarts de température sont des facteurs de risque d’HTA. Mais c’est surtout par rapport à la qualité de l’air respiré que les effets délétères de la pollution par rapport au risque d’HTA ont été mesurés. En effet, certaines particules extrêmement fines présentes en grande quantité dans l’air pollué des milieux urbains ont la faculté de pénétrer la circulation sanguine pour y faire des dégâts.

Quelles perspectives

Quand on sait que l’hypertension artérielle est l’un des plus importants facteurs de risque de cardiopathie et d’AVC, il est urgent de réduire au maximum les diverses sources de pollution. Dans cette perspective, les différentes approches de solution sont beaucoup plus d’ordre politique. En prélude à la COP24 prévue pour décembre, le prochain sommet des Nations unies sur le climat devrait également se pencher sur cet aspect sanitaire du plus grand défi environnemental de notre temps : le réchauffement climatique.

 

Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

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29 août 2019 4 29 /08 /août /2019 06:23

Vous possédez une double résidence ? :

 Quelles sont les déductions fiscales possibles

 

Certains impératifs familiaux et autres obligations professionnelles peuvent obliger les couples à vivre dans deux villes différentes, doublant ainsi leurs dépenses

En raison des situations professionnelles, les Français sont de plus en plus mobiles. À tel point que certains couples sont contraints de vivre à distance, dans deux habitations séparées, et ce de façon plus ou moins prolongée.

Sous réserve de remplir diverses conditions, il est cependant possible de faire prendre en compte cette situation onéreuse par le fisc : c’est ce qu’on appelle les frais de double résidence.

La déduction des frais réels

Les salariés supportent divers frais professionnels, notamment en termes de transports et de repas. C’est pourquoi l’administration fiscale applique, par défaut, une déduction forfaitaire de 10 % lors du calcul de l’impôt sur le revenu. Dès lors que les dépenses sont plus importantes, il est judicieux de renoncer à cet abattement pour privilégier une déclaration au titre des frais réels. Vous devez alors tout compter et tout justifier. Et justement, les frais de double résidence peuvent être pris en compte dans ce cadre.

Sont concernés les salariés qui doivent partir vivre dans une ville distincte de celle où se situe leur résidence principale. En pratique, il va donc s’agir de déduire les frais inhérents à ce deuxième logement (loyer, assurance, taxe d’habitation…), les dépenses supplémentaires de repas sur place, ainsi que les frais de transport dans la limite d’un aller-retour par semaine pour rejoindre le domicile familial. Si le couple est également propriétaire du second logement, il est possible de déduire les intérêts de son crédit immobilier, en justifiant que cette double résidence est établie sur le long terme.

Le couple doit être stable

Pour bénéficier de cette ristourne fiscale particulièrement avantageuse, encore faut-il entrer dans les clous. Afin d’éviter les abus, le législateur impose en effet deux conditions très strictes à la double résidence. Premier impératif, avant d’avoir dû partir loin, le salarié concerné doit avoir vécu de façon durable et continue en couple. S’il n’y a pas de difficulté pour les personnes mariées ou pacsées, celles qui ont opté pour un simple concubinage doivent pouvoir prouver leur situation. Pour cela, elles peuvent par exemple fournir un bail ou un contrat d’acquisition immobilière à leurs deux noms, de même que des quittances d’électricité ou encore une attestation de vie commune établie par la mairie.

Condition supplémentaire : le salarié doit prendre un logement séparé pour des raisons indépendantes de sa volonté. Le motif classique est un lieu de travail distinct de chacun des conjoints. C’est par exemple le cas lorsque l’un des deux est muté dans une autre ville mais que l’autre n’y parvient pas, ou que l’un est licencié et doit accepter un poste ou une formation dans une autre région. Même chose lorsque un membre du couple est en CDI et que l’autre enchaîne les contrats précaires un peu partout sur le territoire. Certains impératifs familiaux graves peuvent également justifier la prise en compte de la double résidence. Attention, le fisc n’hésitera pas à recalculer l’imposition sans le bénéfice des frais réels s’il estime que le mode de vie relève de « convenances personnelles ».

 

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