Selon....
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Pourquoi dit-on qu'une faute est une ''coquille'' ?
En imprimerie, lorsque l'on commet une erreur typographique, on dit que l'on a fait une coquille. Bien entendu, aucun rapport avec l'œuf. Cela n'a pas non plus de liens avec les escargots. Mais alors d'où cela vient-il ? Pourquoi dit-on qu'une faute est une "coquille" ? À l'origine, on utilisait ce terme pour désigner un oubli de lettre dans un mot. En effet, autrefois les typographes devaient assembler des caractères d'imprimerie en plomb pour ensuite former le texte donné. Mais ce travail était extrêmement minutieux, il pouvait donc arriver que ces derniers commettent une erreur : oublier une lettre ou la remplace par une autre. C'est ce que l'on appelle une coquille. Désormais, cela a été étendu à un sens plus général. Cela désigne toutes les bévues et erreurs que l'on peut retrouver dans un texte.
Maintenant que cette explication est donnée, il est temps d'expliquer pourquoi une faute est une "coquille". En fait, il n'y a pas de justification avérée. Il existe plusieurs théories qui justifieraient l'emploi de ce terme. Selon la première, cela serait dû à une faute publiée par le Journal officiel. Il s'agissait d'un article sur la délibération de l'Assemblée nationale sur le calibrage des œufs. Le texte avait une embêtante erreur d'impression. En effet, dans le terme "coquille", la lettre Q avait été oubliée. Vous avez vite compris quel mot grossier a été publié à cause de cela. Cette histoire est restée dans les mémoires du monde l'imprimerie et c'est pourquoi l'on dit qu'une faute est une coquille. Ou en tous les cas, selon certains. La deuxième théorie la plus partagée évoque la façon dont étaient nettoyées les fameuses plaques d'impressions. Il semblerait que l'on utilisait pour cela du blanc d'œuf. Et il arrivait de temps en temps qu'un morceau de coquille reste accroché, provoquant des erreurs d'impression. Cela aurait donné forme à l'expression.
Pourquoi le café se nomme-t-il ainsi ?
Le café est une boisson très ancienne qui est en premier, utilisée par les arabes comme remède. Ils préparent le café en infusion. On sait que le café est connu de l'homme depuis la préhistoire mais il commence à être cultivé au Yémen qu'au VIème siècle vers le port de Moka. L'origine du nom du café vient du mot arabe Cahouah et qui désignait la boisson venant de la province de Kaffa. Les turcs transformèrent le mot en qahvé puis les italiens en caffè. En France le mot Café est dérivé de l'italien et apparait en 1600.
Comme disait " Charlie Chaplin "
L'humour renforce notre instinct de survie et sauvegarde notre santé d'esprit.....................
Souvent remaniée, la langue française regorge de trésors insoupçonnés. Employées par nos aïeux, quelques citations méritent respect et intérêt.
Grâce à un vocabulaire imagé, les portes du savoir s’ouvrent. Je vous propose de découvrir l’origine et la signification de ces expressions.
Aujourd'hui voyons ce que signifie............''vieux comme Hérode'' ?
.Être vieux comme Hérode. Cette expression s'applique principalement à des choses et objets. On dira, par exemple, que ce château est vieux comme Hérode, ou encore que ce trône est vieux comme Hérode. Elle est donc utilisée, comme vous l'avez compris, pour désigner quelque chose de très ancien ! Elle possède deux origines possibles.
Il existe tout d'abord une théorie historique, cependant elle ne concerne pas une seule personne mais une lignée entière. En effet, aucun des Hérode connu n'a eu une longue longévité (le plus vieux mourut à 69 ans, c'était presque un record pour l'époque, mais cela ne semble pas suffire pour justifier cette formule). Cette expression ne viendrait pas d'une unique personne, mais de cette dynastie de rois de Judée. Ce serait donc à propos d'un cumul de règnes et de souverains qui portaient tous le même prénom : Hérode (y en eut 6). Cela dura 166 ans, à partir de 73 avant J.C. C'est cette longue période où les Hérodes se sont succédé qui donna forme à cette expression.
Pour d'autre, cela ferait référence à une ville : Rhodes. Elle fait partie d'une île grecque et serait connue pour être extrêmement ancienne. Ses origines remonteraient à 400 avant J.C, ou même bien avant encore (selon la mythologie). La population a donc pris l'habitude de dire "vieille comme est Rhodes" et cela s'est finalement déformé au cours des années.
Quelle est la théorie qui vous semble la plus convaincante ? Elle connaît également une amusante seconde version : vieille comme mes robes. Cette expression est une déformation populaire. Elle est utilisée à des fins potaches afin de rappeler cette dernière, tout en la déformant !
En tous les cas, la prochaine fois que vous l'entendrez, vous saurez pourquoi l'on dit vieux comme Hérode !
Rendez-vous en 2020
Après l'arrivée du Tour de France conclue sur la victoire finale d'Egan Bernal, Marc Madiot a lancé un sérieux avertissement à Ineos. Le manager général de la Groupama-FDJ prévient: Thibaut Pinot et son équipe seront là l'an prochains, pour affronter les "robots" Bernal ou Thomas. C'est évidemment un message envoyé à la concurrence. Mais on y verrait bien également un nouvel encouragement adressé à Thibaut Pinot, en très bonne posture pour succéder au dernier vainqueur français en date Bernard Hinault, contraint à l'abandon sur blessure dans les Alpes. Après l'arrivée de la dernière étape du Tour de France ce dimanche et la victoire finale d'Egan Bernal, Marc Madiot donne rendez-vous avec une certaine rage.
Écrivain, dessinateur et journaliste trouble-fête, François Cavanna s’est éteint mercredi 29 janvier 2014 à l’âge de 90 ans. Il était la figure de proue d’une génération et d’un journalisme provocateurs, subversif et irrévérencieux, de Hara Kiri à Charlie Hebdo. Hommage au maître disparu : cette « Lettre ouverte aux culs-bénits », publiée il y a vingt ans, n’a pas pris une ride.
A propos de " culs-bénits"
Les culs-bénits sont imperméables, inoxydables, inexpugnables, murés une fois pour toutes dans ce qu’il est convenu d’appeler leur « foi ». Arguments ou sarcasmes, rien ne les atteint, ils ont rencontré Dieu, il l’ont touché du doigt. Amen. Jetons-les aux lions, ils aiment ça.
Ce n’est donc pas à eux, brebis bêlantes ou sombres fanatiques, que je m’adresse ici, mais bien à vous, mes chers mécréants, si dénigrés, si méprisés en cette merdeuse fin de siècle où le groin de l’imbécillité triomphante envahit tout, où la curaille universelle, quelle que soit sa couleur, quels que soient les salamalecs de son rituel, revient en force partout dans le monde. […]
Ô vous, les mécréants, les athées, les impies, les libres penseurs, vous les sceptiques sereins qu’écœure l’épaisse ragougnasse de toutes les prêtrailles, vous qui n’avez besoin ni de petit Jésus, ni de père Noël, ni d’Allah au blanc turban, ni de Yahvé au noir sourcil, ni de dalaï-lama si touchant dans son torchon jaune, ni de grotte de Lourdes, ni de messe en rock, vous qui ricanez de l’astrologie crapuleuse comme des sectes « fraternellement » esclavagistes, vous qui savez que le progrès peut exister, qu’il est dans l’usage de notre raison et nulle part ailleurs, vous, mes frères en incroyance fertile, ne soyez pas aussi discrets, aussi timides, aussi résignés!
Ne soyez pas là, bras ballants, navrés mais sans ressort, à contempler la hideuse résurrection des monstres du vieux marécage qu’on avait bien cru en train de crever de leur belle mort.
Vous qui savez que la question de l’existence d’un dieu et celle de notre raison d’être ici-bas ne sont que les reflets de notre peur de mourir, du refus de notre insignifiance, et ne peuvent susciter que des réponses illusoires, tour à tour consolatrices et terrifiantes,
Vous qui n’admettez pas que des gourous tiarés ou enturbannés imposent leurs conceptions délirantes et, dès qu’ils le peuvent, leur intransigeance tyrannique à des foules fanatisées ou résignées,
Vous qui voyez la laïcité et donc la démocratie reculer d’année en année, victimes tout autant de l’indifférence des foules que du dynamisme conquérant des culs-bénits […]
À l’heure où fleurit l’obscurantisme né de l’insuffisance ou de la timidité de l’école publique, empêtrée dans une conception trop timorée de la laïcité,
Sachons au moins nous reconnaître entre nous, ne nous laissons pas submerger, écrivons, « causons dans le poste », éduquons nos gosses, saisissons toutes les occasions de sauver de la bêtise et du conformisme ceux qui peuvent être sauvés ! […]
Simplement, en cette veille d’un siècle que les ressasseurs de mots d’auteur pour salons et vernissages se plaisent à prédire « mystique », je m’adresse à vous, incroyants, et surtout à vous, enfants d’incroyants élevés à l’écart de ces mômeries et qui ne soupçonnez pas ce que peuvent être le frisson religieux, la tentation de la réponse automatique à tout, le délicieux abandon du doute inconfortable pour la certitude assénée, et, par-dessus tout, le rassurant conformisme.
Dieu est à la mode. Raison de plus pour le laisser aux abrutis qui la suivent. […]
Un climat d’intolérance, de fanatisme, de dictature théocratique s’installe et fait tache d’huile. L’intégrisme musulman a donné le « la », mais d’autres extrémismes religieux piaffent et brûlent de suivre son exemple. Demain, catholiques, orthodoxes et autres variétés chrétiennes instaureront la terreur pieuse partout où ils dominent. Les Juifs en feront autant en Israël.
« Demain, je serai retraité. J’ai 62 ans et, surtout quand on est de gauche et qu’on a eu une carrière pénible, c’est l’âge auquel il convient de partir »
Depuis le 6 mai 2015, toutes les semaines, F.H. a raconté la petite chronique du quinquennat Hollande. Derrière ces initiales se cachait un fin observateur de la gauche française, assez introduit dans l’entourage présidentiel pour ne rien ignorer (ou presque) de ce qui se tramait dans le bureau (et dans la tête) du chef de l’Etat. François Hollande quitte l’Elysée ; F.H. abandonne les colonnes de l’Opinion. Voici sa dernière chronique.
Ça ne durera pas mais quelle importance ? Depuis quelques jours, Emmanuel et moi, on ne se quitte plus et c’est un pur bonheur. Lundi, je l’ai emmené voir l’Arc de triomphe. J’ai aimé qu’ensemble, main dans la main, nous rallumions la flamme. Mercredi, on est allé se promener tous les deux au jardin du Luxembourg. Si on avait eu plus de temps, on aurait même pu faire un petit tour de manège ou aller voir Guignol. Sauf erreur de ma part, nous avons rendez-vous à l’Élysée, dimanche matin, à l’heure de l’apéro et si le ciel s’y prête, on ira faire quelques pas dans le parc du Palais, histoire de nous remémorer, une fois encore, les plus belles pages de notre compagnonnage.
Comment ai-je pu vivre si longtemps sans lui ? Depuis qu’il était parti de mon gouvernement, en septembre, Emmanuel me battait froid. Je ne sais pas bien pourquoi – sans doute de mauvaises influences dans son entourage – mais il avait cessé de me téléphoner à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Plus un texto, plus un message. Rien ! Parfois, je l’apercevais à la télé et je voyais bien qu’il était très occupé. Pour ne pas le gêner, longtemps, j’ai préféré me taire. Mais désormais, c’est fini ! « Regarde, quelque chose a changé, l’air semble plus léger, c’est indéfinissable ». Ce matin, en me levant, cette chanson de Barbara, allez savoir pourquoi, me trottait dans la tête. Puis sous une douche brûlante, j’ai chanté à plein poumon. D’habitude, c’est du Stéphanie de Monaco : « Comme un ouragan qui passait sur moi… » Là, c’était l’Hymne à la joie.
Je n’ai pas été battu, je ne me suis pas représenté. Nuance… Je ne rends pas les clés, je passe le témoin
Principes de base. Vous avez vu comment je fais en ce moment avec Emmanuel ? Je le touche, je le tripote, je le prends par le bras, je pose ma main sur son épaule, je le couve du regard. Je le conseille aussi à mots couverts. Par ici, mon garçon. Fais attention à la marche. Dis bonjour à la dame. Salue le monsieur avec son drapeau. Tiens-toi droit. Vérifie ton nœud de cravate. Souris surtout à la caméra. C’est d’ailleurs curieux que je sois obligé de lui rappeler ces principes de base de la communication présidentielle. Je ne sais pas ce qui s’est passé dans la vie d’Emmanuel, mais je le trouve un peu guindé, ces derniers temps.
Il était autrefois la séduction incarnée et voilà qu’il me semble tout à coup sur ses gardes. Lorsqu’on s’est retrouvé à l’Arc de Triomphe, j’étais tellement content que j’ai failli l’embrasser. Lui m’a tendu la main d’un air pincé. Je crois en fait qu’il était un peu fatigué. D’après Jouyet, il avait fait la fête jusqu’à l’aube. C’est beau d’être jeune ! Il faudra quand même que lui dise de se ménager. S’il continue à ce rythme, il ne tiendra pas la distance. Moi, je sais désormais d’expérience : cinq ans, c’est très long et c’est peut-être pour ça que je n’en ai pas fait dix !
Cela dit, je comprends qu’Emmanuel profite de ces instants de félicité. Un jour, il comprendra mieux ce qu’ils avaient de rares. Etre président, c’est tellement bon que j’ai d’ailleurs voulu le rester jusqu’au dernier jour de mon mandat. D’autres, avant moi, ont quitté l’Élysée la mine basse, comme s’ils avaient déjà un pied dans la tombe. Pour ce qui me concerne, c’est différent. Je n’ai pas été battu, je ne me suis pas représenté. Nuance… Je ne rends pas les clés, je passe le témoin. Ça n’est quand même pas tout à fait la même chose. Oh, je vois bien qu’Emmanuel ne veut pas que je le dise trop haut. Ce garçon est d’une pudeur incroyable. Pour ne pas me faire de l’ombre, il fait tout pour se tenir à distance. A la réflexion, c’est peut-être pour ça qu’il avait fait mine de reprendre sa liberté, depuis un an. Il voulait s’émanciper et en même temps, il ne voulait pas qu’on dise qu’il était un héritier ordinaire. J’ai laissé faire. Parfois, ça a été dur mais quand je vois aujourd’hui le résultat, je ne regrette rien.
Il m’est arrivé de douter. Parfois, j’ai eu peur de réussir. Mais à chaque fois, je suis parvenu à tout gâcher
Maintenant que tout est terminé, je peux bien l’avouer. J’ai tout fait pour qu’Emmanuel me succède un jour. Dès que je l’ai nommé secrétaire général adjoint de la maison, en mai 2012, je savais qu’après moi, ça serait lui. Mais pour que l’opération réussisse, il fallait que je loupe tout, systématiquement. Seule l’évidence de mon échec pouvait construire ses succès à venir. Je ne veux pas me vanter mais personne ne pourra dire que je n’ai pas fait preuve durant mon quinquennat d’une incroyable persévérance. Il m’est arrivé de douter. Parfois, j’ai eu peur de réussir. Mais à chaque fois, je suis parvenu à tout gâcher. Dieu sait s’il en faut du talent pour rester aussi longtemps impopulaire et ne jamais rien faire pour redresser la barre.
Appétit carnassier. Toute la lumière, je l’ai laissée volontairement à d’autres. La logique aurait été qu’à ce jeu, un homme de droite me succède. Il a fallu que je sois d’un sang-froid absolu pour qu’au bout du compte, ce soit l’inverse qui arrive. Organiser l’alternance, c’est facile. S’offrir à la trahison pour qu’au final rien ne change, c’est une autre paire de manches. Il me fallait un complice. Emmanuel, dans ce rôle, a été remarquable du début à la fin. J’avais détecté tout de suite son appétit carnassier. Même dans mes plus beaux rêves, je n’imaginais pourtant pas que, dans cet art si subtil qu’on appelle la déloyauté, il puisse me servir mieux encore que ce brave Manuel. Chapeau bas !
Je laisse derrière moi bien mieux qu’un successeur. Mon héritier est un survivant. En cela, il est incomparable
A l’heure où il me faut prendre congé des Français et de mes lecteurs par la même occasion, c’est à Emmanuel que je pense donc en priorité. Demain, je serai retraité. J’ai 62 ans et, surtout quand on est de gauche et qu’on a eu une carrière pénible, c’est l’âge auquel il convient de partir. Je laisse derrière moi bien mieux qu’un successeur. Mon héritier est un survivant. En cela, il est incomparable. Aujourd’hui, lorsque je me retourne, je ne vois que des cadavres ou des grands brûlés qu’on ne reverra pas de sitôt. Sarko, Juppé, Fillon, Valls, Barto, Ségo, Duflot, Camba, Hamon, les socialistes et leur parti, les républicains et leur maison commune, j’en passe et des meilleurs ! Avec moi, même la République et l’Europe ont été à deux doigts de mourir.
Un jour, je raconterai peut-être dans un livre que, cette fois, je signerai moi-même, l’histoire de cette hécatombe qui est mon vrai bilan. Comme je suis, quoi qu’on en dise, un homme prudent, j’ai d’ailleurs fait savoir à Emmanuel que, dimanche, je ne souhaitais pas qu’il me raccompagne jusqu’à ma voiture. Si tout se passe pour une fois comme prévu, on se quittera donc sur le perron de l’Élysée après s’être embrassé s’il le veut. Mais pour le reste, méfiance. Un accident est si vite arrivé. Je ne voudrais pas qu’à la dernière minute, comme dans un résumé de mon règne, celui qu’on dit mon enfant vienne me pousser dans l’escalier…
Bonne soirée.......
Une histoire bien de chez nous ...
QUELLE RIGOLADE CET ENTERREMENT ! ! ! ! !
Une histoire Béarnaise !
Un grand moment en terre Béarnaise! ! !
Et quelle saveur …
DU RAIMU !
Enterrement vécu et raconté par Jean Lassalle,
En tant que Maire de Lourdios-Ichère.
Aujourd’hui...Blagues
Pourquoi les femmes ont-elles les pieds plus petits que ceux des hommes ?
Pour être plus près de l'évier quand elles font la vaisselle
Allez bonne soirée....
Question utile
POURQUOI CHOISIR D'ÊTRE INCINÉRÉ ?
Je ne sais pas qui en est l'auteur, mais il a su jouer très habilement avec les mots. C'est rigolo. Alors souriez !
Pourquoi demander de terminer dans un incinérateur ? La première année, nous sommes la «flamme »de nos parents. On se fait ensuite « chauffer »les fesses jusqu'à notre adolescence. > Suit la période où un rien nous « allume ». Et dans la vingtaine, on pète le « feu ». Ensuite, on « bûche »jusqu'à 65 ans. À 75 ans, on est « brûlé,”cramé” ». À 80 ans, on se ramasse dans un « foyer ». Pis à 90 ans, on « s'éteint ». Alors, pourquoi demander à être incinéré? On est déjà « cuit »de toute façon. Si tu choisis l'incinération, sache que ce sera ta dernière cuite ! Tandis qu'enterré, tu auras toujours une chance d'avoir un petit ver dans le nez ! |
Allez! souriez! ce n'était qu'un peu d'humour ..bonne soirée et à 2 mains j'espère....Papy.
Allez !....bonne........soirée...