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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 07:45

 

 

  L'enquete de la semaine. sf.  Les Français sont de grands malades

 

 

Les français sont-ils plus malades que tous les autres européens ? C’est ce que l’on pourrait finalement croire en découvrant une étude récente qui nous apprend que nous dépensons beaucoup plus d’argent en médicaments que nos voisins européens.

 

 

Sauf que le fait d’acheter autant de médicaments ne signifie pas pour autant que nous en ayons réellement besoin.

La faute à qui ?

Aux médecins sans doute qui prescrivent à tour de bras des médicaments parfois inutiles, piégés souvent par d'habiles lobbys pharmaceutiques…

En effet, la moitié des médicaments que nous achetons finissent leur carrière dans une poubelle, et la moitié du restant est considérée par de nombreux experts en la matière comme « inutiles »…

Chaque français gaspille chaque année 1,5 kg de médicaments inutilisés, un énorme gâchis qui représenterait une perte de 2 à 3 millions d’euros par an  ce qui est de plus peut-être sous-estimé.

On sait aussi que les personnes âgées consomment 2 fois plus de médicaments qu’il y a 20 ans.

Dans le rang des lanceurs d’alerte, le professeur Robert Debré affirme, une fois de plus, que 40% des médicaments proposés « ont une efficacité faible ou nulle  » ajoutant que 25% de ceux-ci présentent « un risque potentiel  » dont 5% « un risque majeur ».  

Pourtant tous ces médicaments continuent à être remboursés, ce qui représente un gaspillage estimé dans une fourchette de 10 à 15 milliards d’euros, ce qui est à être mis en parallèle avec le « trou de la sécu  » qui serait à la hauteur d’environ 13 milliards d’euros.  

Il faudrait aussi se plonger dans le monde des « génériques ».

Ces médicaments sont pourtant, en principe, aussi efficaces que les médicaments « de marque », et pourtant en France, une véritable suspicion existe, les patients imaginant probablement qu’ils sont moins performants ?

Toujours est-il qu’en Allemagne, ils représentent 60% de ce qui est vendu, 50% en Angleterre, mais chez nous les médicaments génériques ne correspondent qu'à 31% des ventes.

Ajoutons que d’après l’INSEE (institut national de la statistique et des études économiques), les médicaments coutent de plus en plus cher, et que ça représente 10% du budget des ménages, hors des dépenses hospitalières.  

Cette place peu enviable qu’occupe la France a été dénoncée dans une étude que Michelle Rivasi,députée européenne, s’est empressé de médiatiser récemment, assurant que nous pourrions, avec des mesures adaptées, économiser 10 milliards d’euros sur 3 ans.  

Cette étude à laquelle ont participé le Professeur Philippe Even et le pharmacien Serge Rader, prouve que nous serions les champions en matière de consommation de médicaments.

Alors que nos voisins Italiens n’achètent annuellement que 18 boites, nous en achetons plus du double, et sur nos ordonnances alors que nos docteurs prescrivent 4,75 médicaments, en Italie le pourcentage tombe à 1,84.

Comment dès lors ne pas s’étonner du trou abyssal qui perdure dans les caisses de la sécurité sociale.

Mais les raisons de ce gaspillage scandaleux ne se limitent pas à ça : le Professeur Even déplore par exemple que « pour le diabète, les médecins prescrivent des médicaments plus récents qui sont moins efficaces et plus chers que les anciens  ».

Et puis, on pourrait aussi incriminer le conditionnement : alors que nos voisins britanniques ne se voient prescrire que la quantité nécessaire au traitement, en France, on prescrit sans compter…et les cachets non utilisés finissent à la poubelle.

Dès lors il n’est pas étonnant de constater qu’en Italie, les dépenses consacrées aux médicaments s’élèvent à « seulement » 17,8 milliards d’euros, alors qu’en France, ces dépenses se monteraient à 35,5 milliards d’euros.  

Alors bien sûr, l’industrie pharmaceutique monte sur ses grands chevaux, et conteste avec indignation l’étude en question.

Elle affirme que nous ne sommes que 2ème et non pas premiers en matière de consommation de médicaments, attribuant la première place au Royaume Uni.

en effet, les entreprises du médicament, regroupées sous le nom de LEEM, ajoutent que les chiffres liés à l’achat des médicaments donnés dans l’étude sont faux, assurant qu’il s’agirait de 22,9 milliards, et non de 35,5… 

Ils se basent sur une étude réalisée par la CNAM (caisse nationale d’assurance maladie) qui affirme que nous consommons de plus en plus de médicaments génériques, et qu’en 2012, les médicaments prescrits sont en baisse de 0,8% par rapport à l’année précédente.   

Au-delà de cette bataille de chiffres, il n’en reste pas moins que notre situation n’est pas enviable, et que des changements sont à espérer.

On pourrait aussi s’étonner du peu d’intérêt que portent nos concitoyens aux plantes médicinales, aux huiles essentielles, à l’aromathérapie, et à tout ce qui est qualifié parfois avec mépris de « médecine parallèle ».

Prenons l’exemple du diabète : alors que l’acupuncture fait le choix de stimuler le pancréas afin de relancer la production d’insuline,   nos bons docteurs, au contraire, prescrivent des médicaments qui mettront définitivement en panne ce pancréas, celui-ci ayant intégré le fait que les médicaments ont pallié à ses faiblesses.  

Gardons l’exemple du diabète : au lieu d’utiliser ces médicaments couteux, qui créent une dépendance du patient, la phytothérapie donneraient à moindre cout les mêmes résultats.

Ainsi, on sait que le chou, le cresson, la laitue, le radis, la tomate et l’aubergine permettent de faire baisser le taux de sucre, ainsi que les feuilles de noyer, de pissenlits, et les racines de chicorées sauvages,  facilement reconnaissables grâce à leurs jolies fleurs bleues.  

Pour aller plus loin dans le traitement du diabète, le Gymnéma, plante dont le nom indien signifie « destructeur de glucose » semble très efficace,   même si des précautions doivent être prises, tout comme le fénugrec, la margose, le ginseng.  

Même si la prise de cette thérapie doit passer par la décision du docteur, car il peut y avoir des contre indications, on comprend aisément que le coût de ces traitements sera bien moins élevé que celui généré par les médicaments habituels.

Mais revenons à nos si chers médicaments.

Il faut rappeler l’influence jamais en panne des lobbies pharmaceutiques.

C’est l’occasion de donner le témoignage deCatherine Lemorton, cette députée socialiste, qui raconte dans le détail comment ces lobbies la harcelaient alors qu’elle s’occupait de l’affaire du Médiator.

Evoquant les conflits d’intérêt et les méthodes habiles de persuasion elle n’est pas peu fière, à juste titre, de n’avoir, avec d’autres, jamais baissé les bras.  

Au moment ou certains envisagent de faire baisser les taux de remboursement médicaux pour combler le célèbre trou de la sécu, on voit qu’il existe d’autres méthodes, plus radicales, qui, tout en rééquilibrant les comptes de cette administration, n’handicaperaient pas pour autant les finances des ménages français.

On se souvient qu’en avril 2011, le gouvernement précédent avait déjà procédé à la baisse du remboursement d’un millier de médicaments.  

Il faut ajouter que l’enjeu est de taille : avec un chiffre d’affaire de 50 milliards d’euros annuels, les laboratoires pharmaceutiques tiennent à garder leur filon et emploient pour ce faire des méthodes discutables.

C’est ce que l’on pouvait découvrir en février 2013 dans l’émission de France 2, « les infiltrés  », qui dressait un tableau à charge des pratiques des laboratoires pharmaceutiques.

Les animateurs de l’émission s’étaient invités d’une part dans les labos, mais aussi dans les cabinets médicaux pour dénoncer les méthodes utilisées.

Les « visiteurs médicaux » étaient pointés du doigt, accusés de faire du marketing pour placer des médicaments beaucoup plus chers que ceux qui sont habituellement prescrits, et qui présentent parfois des effets indésirables importants.  

Il y a donc beaucoup de progrès à faire dans ce domaine, elles sont simples à être mise en place, et permettraient de combler d’un seul coup ce fameux ‘trou de la sécu », mais le gouvernement prendra-t-il la bonne décision ?

Pour l’instant, la ministre de la santé, Marisol Touraine, préconise, pour économiser quelques sous, de favoriser des actes médicaux qui permettent d’entrer à l’hôpital le matin et d’en ressortir le soir, mais aussi de mieux accompagner les personnes qui souhaitent arrêter de fumer, et enfin de permettre aux jeunes filles de 15 à 18 ans d’accéder au tiers payant en ce qui concerne la contraception, lequel tiers payant sera généralisé en 2017.  


Mais cela sera-t-il de nature à résoudre les problèmes que connait notre sécurité sociale.

 

L’avenir nous le dira, car comme l’affirme mon vieil ami africain :

medicaments.jpg

« fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d’y rester ».

 

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 07:30

 

 

   L'enquete de la semaine. sf.   J’ai Testé pour vous 

 

 

le slip qui sent bon

 

 


slip.JPGMais qui a eu cette idée folle de fabriquer un slip parfumé ? Eh bien, c'est le Slip Français ! La marque de sous-vêtements s'est associé à Lemahieu pour produire "le slip qui sent bon". 

 

 

 

"Le slip qui sent bon" est la dernière innovation textile réalisée par le Slip Français, créé en 2011 par le jeune entrepreneur Guillaume Gibault, et Lemahieu, spécialiste du cosmétotextile. Le résultat est composé d'une ligne parfumée composée d'un slip et d'un boxeur. La senteur, encapsulée dans le tissu, est vraiment agréable (musc et poire), masculine et élégante. Elle se libère progressivement grâce au frottement du tissu sur la peau. La production est 100 % française (Label Origine France Garantie®).

 

Notre testeur est un adepte des boxers. Mais le concept l'a séduit par son côté décalé et la qualité de la conception l'a immédiatement interpellé. Voici ses impressions.

 

"Comme je ne porte plus que des boxers j'étais moyennement emballé à l'idée de remettre un slip ! Mais son look vintage, jouant de surcroît sur le côté "français" avec son logo rigolo, m'a convaincu.

J'ai senti son parfum avant même de le déballer. Et je dois dire que "le Slip qui sent bon" porte bien son nom. Un parfum musqué masculin et subtil qui ne tombe pas dans l'excès de virilité... Il plaît beaucoup aux femmes en tout cas !

Rien à dire niveau finition, c'est du slip de haut niveau. Les coutures sont nickels, l'élastique top qualité, le coton très agréable au toucher et la coupe est belle."

Comment ça se passe en le portant

"Comme je l'ai dit je suis habitué à porter des boxers depuis des années. Il a donc fallu que je me réhabitue aux coutures à l'entrejambe mais une fois passée cette petite "réadaptation", je me suis senti comme à la maison. Le maintien est parfait, ni trop lâche ni trop serré... le pullman des bijoux de famille !

J'ai tout de suite aimé son parfum et l'odeur a tendance à s'amplifier avec les mouvements et les frottements. Je l'ai vraiment eu dans le nez toute la journée, surtout quand j'étais assis. Je ne suis pas du genre à m'asperger de parfum donc j'ai trouvé ça un peu trop présent au début mais on s'habitue vite car il est vraiment agréable.

C'est sympa de porter un slip parfumé, mais pas indispensable non plus. On porte déjà beaucoup d'odeurs de synthèse sur nous (gel douche, shampoing, déodorant, parfum...), est-ce vraiment la peine d'en rajouter ?

 

Ou alors faudrait-il tout coordonner ? Le Slip Français devrait peut-être développer une gamme complète autour de ce parfum."

Et après les lavages ?

slip.02.jpg

 

Présenté dans un joli coffret, "le slip qui sent bon" est aussi une bonne idée de cadeau. © Le Slip Français

 


"J'avoue ne l'avoir lavé à la main que la première fois... [NDR : le mode d'emploi indique de ne le laver qu'à la main] J'en suis au troisième lavage en machine à 30°c et le parfum est toujours présent mais il a quand même perdu pas mal de son intensité. Du coup, le lavage à la main est peut-être l'effort à consentir pour conserver son parfum plus longtemps."

Gadget ou indispensable ? Que vaut "le slip qui sent bon" ?

"Personnellement, je ne mettrais jamais ce prix-là dans un slip, même si ses finitions et son confort sont impeccables. Le côté "fabriqué en France" justifie en partie son prix et j'imagine que la technologie de micro encapsulage du parfum dans le tissu a également un coût. Mais cela reste un gadget pour moi et un très bon coup de pub en tout cas. Je vois surtout ce produit comme une bonne idée de cadeau insolite !"

Le slip qui sent bon : 35 euros
Le boxer qui sent bon : 40 euros

Leslipfrancais.fr

Directo-lemahieu

 

Source : l’internaute.com (Caroline Cardona)

 

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 05:17

 

 

  L'enquete de la semaine. sf.   Cholestérol

 

 

L'étude qui relance la polémique....

 

 

Des cardiologues craignent la survenue  de décès en cas d'arrêt de traitement.

 

 

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Il y aurait chaque année en France plus de 1 100 morts et près de 5 000accidents cardio-vasculaires majeurs supplémentaires si tous ceux qui ont l'intention d'arrêter de prendre leur statine - un médicament qui lutte contre l'excès de cholestérol - passaient à l'acte.

Un tableau apocalyptique dressé il y a quelques jours dans les Archives of cardiovascular disease par cinq cardiologues français. Et surtout une réponse directe au livre controversé du Pr Philippe Even, La Vérité sur le cholestérol publié en début d'année, dans lequel le médiatique médecin affirmait: «Le cholestérol est sans danger, les statines ne servent à rien et l'infarctus ne tue guère après 75 ans». Des résultats à prendre toutefois avec précaution.

Les cardiologues ont donc interrogé 142 patients qui étaient traités par statine, pour évaluer la proportion de ceux ayant l'intention d'arrêter leur traitement. Un nombre de patients très réduit mais qui permet de distinguer deux groupes à risque distinct: les 105 personnes «en prévention secondaire», c'est-à-dire ayant déjà eu un accident cardio-vasculaire majeur (type infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) et à fort risque de récidive pour qui une statine est indispensable, d'une part, et les 37 autres participants à risque plus faible, dits «en prévention primaire», puisque n'ayant jamais eu d'accident cardiaque et pour qui les statines se discutent.

«Au total, 24,3 % des patients en prévention primaire avaient l'intention d'interrompre leur traitement par statine et 8,6 % de ceux en prévention secondaire», remarquent les auteurs. . Spontanément, un quart des patients évoque la polémique sur les statines au cours de la consultation médicale. Par ailleurs, un patient sur quatre, en prévention primaire, et un sur cinq en prévention secondaire rapportent des effets indésirables: faiblesses musculaires, raideurs ou douleurs. Or, ce sont surtout ces patients qui envisagent d'arrêter leur traitement, ce qui relativise l'impact de la polémique.

 

Le Pr Even passe à l'offensive

 

Les principales faiblesses méthodologiques de l'étude viennent de l'extrapolation effectuée. Elle suppose que l'on trouverait la même proportion de personnes tentées par l'arrêt du traitement si l'on interrogeait les 6,2 millions de Français traités par statine. Il aurait aussi fallu déduire la proportion de personnes tentées par l'arrêt du traitement qui renoncent finalement à le faire après en avoir parlé à leur médecin.

Le Pr Jean-Luc Harousseau, président de la Haute autorité de santé, «trouve que cette relance de la polémique est inutile et mal venue. Cet article à la méthodologie très discutable ne change rien à ce que nous avons déjà dit au printemps dernier».

Le Pr Even est passé à l'offensive vendredi matin sur Europe 1 en affirmant: «Cette étude est publiée dans une feuille de chou, le dernier journal de cardiologie du monde, le moins lu, le moins cité, cinq signataires inconnus, un professeur qui a de loin en cardiologie les liens d'intérêts les plus marqués avec l'industrie pharmaceutique.»

«Cette étude n'a pas été réalisée à la demande de l'industrie pharmaceutique mais plutôt dans le but de contrebalancer cette polémique», explique au Figarole Dr Puymirat, principal auteur de l'étude. «Pour faire de la recherche clinique, il est aujourd'hui impossible de travailler sans l'industrie mais cela ne signifie pas qu'on est lié à eux», rappelle-t-il.

Dommage que les autorités de santé n'aient pas encore jugé bon de réaliser une étude sur «l'effet Even». Après tout, l'impact éventuel du battage médiatique est aussi une affaire de santé publique.

 

«J'invite le Pr Even à découvrir la Haute Autorité de santé»

 

Jean-Luc Harousseau, le président de la Haute Autorité de santé (HAS), aura donc choisi l'humour, et Le Figaro, pour répondre aux accusations lancées par le Pr Even. «La Haute Autorité de santé n'est ni haute ni autorité», avait pontifié ce dernier vendredi matin sur l'antenne d'Europe 1. Il répondait au journaliste Thomas Sotto qui soulignait la contradiction entre les recommandations de la HAS et son propre livre La Vérité sur le cholestérol. En février, la HAS avait publié un communiqué sans ambages sur le bon usage des statines: «Inquiéter les malades, provoquer leur défiance vis-à-vis d'un traitement utile et vis-à-vis des médecins qui prescrivent leur traitement n'est pas responsable.»

Cette fois, le Pr Harousseau feint la surprise: «Je suis très fier que le médiatique Pr Even daigne s'intéresser à la HAS. Plus sérieusement, dire comme il le fait que la moitié des experts de nos commissions sont financés par l'industrie pharmaceutique est un peu méprisable. J'invite le Pr Even à regarder à la HAS les déclarations de conflits d'intérêts, la gestion que nous en faisons, la façon dont les cas difficiles sont contrôlés par un groupe déontologique extérieur.» Bref, le Pr Even est invité à un peu plus de rigueur et de modération.

 

 Source :LeFigaro santé

 


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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 04:26

 

 

   L'enquete de la semaine. sf.      Portables :

 

"Des effets limités sur l'organisme"

 

 

 

Dans un rapport présenté mardi, l'Agence nationale sanitaire estime qu'il n'est pas nécessaire de modifier les normes d'exposition aux ondes électromagnétiques en cours.

 

 

Portables.jpg    Doit-on s'inquiéter des ondes électromagnétiques qui semblent prendre une part toujours croissante dans notre environnement avec, entre autres, la multiplication des téléphones portables et des points d'accès à Internet par Wi-Fi? La réponse donnée par l'Agence de sécurité sanitaire (Anses) dans son rapport d'expertise rendu public mardi ne contentera ni les écologistes qui demandent une limitation renforcée des niveaux d'émissions ni ceux qui pensent que les ondes n'ont aucun effet sur l'organisme et qu'aucun contrôle n'est nécessaire.

Les connaissances scientifiques sur le domaine sont encore incomplètes et, si les experts recensent plusieurs effets qui montrent que nos organismes ne sont pas insensibles aux ondes, aucun risque sanitaire n'est en revanche avéré à 100 %. «  On ne peut pas dire que les ondes n'ont aucune action sur l'organisme, puisqu'on observe divers effets physiologiques et biologiques en laboratoire , précise Olivier Merckel, chef d'unité «Agents physiques» à l'Anses. Le premier signe de cette activité est l'effet de chauffage produit par les ondes émises par un téléphone portable collé à l'oreille. »

 

Un doute sérieux sur l'innocuité des portables

La grande majorité des études recensées par les experts français sur les effets des ondes ne montrent heureusement aucun impact néfaste sur le système cardio-vasculaire, le système reproductif ou l'apparition de maladies neurologiques ou neuro-dégénératives.

Le vrai point noir du sujet, reste, comme lors du précédent rapport de l'Anses en 2009, que plusieurs études épidémiologiques constatent une hausse des risques de certaines tumeurs cancéreuses au cerveau, des gliomes, en lien avec l'utilisation de téléphones portables. Une conclusion qui est loin de faire l'unanimité parmi les chercheurs, mais qui fait peser un doute très sérieux sur l'innocuité des appareils de téléphonie mobile.

Même si les études les plus inquiétantes étaient confirmées, les risques sont proches de zéro pour la majeure partie des utilisateurs de téléphones portables. Les premiers effets ne sont mesurés que pour des utilisateurs dits «intensifs», qui cumulent plus de 1 640 heures d'exposition, avec leur portable collé à l'oreille, pendant dix ou quinze ans au minimum. Une utilisation qui revient à trente minutes de communication par jour pendant dix ans (ce qui correspond à un forfait de quinze heures par mois). Et même pour ces utilisateurs intensifs pendant de longues années, l'augmentation du risque de tumeur ne serait que de 20 %. Enfin, les gliomes, ces tumeurs malignes du cerveau, sont heureusement très rares, touchant 7 hommes sur 100.000 et 6 femmes sur 100.000, ce qui fait que, même en multipliant ces chiffres par 20 %, les risques d'obtenir ce genre de tumeur pour un utilisateur intensif de téléphone mobile restent très faibles.

Réduire l'exposition des enfants

 

Néanmoins, même si cet excès de risque de gliome n'est pas encore définitivement établi et que les risques sont limités, cela suffit à justifier les recommandations de prudence de l'Anses qui, comme il y a quatre ans, conseille aux utilisateurs les plus réguliers d'utiliser des kits de communication mains libres et de choisir des téléphones émettant moins d'énergie, ceux qui ont un DAS (débit d'absorption spécifique) le plus réduit possible. Même les kits de type Bluetooth, qui utilisent des ondes pour transmettre les signaux, réduisent les risques à un niveau proche de zéro. Pour les enfants, dont le cerveau est potentiellement plus exposé, en raison d'une boîte crânienne moins épaisse, «l’utilisation d'un téléphone portable en mode conversation est déconseillée ».

Même si nous baignons en permanence, sur nos lieux de travail comme à domicile, dans des ondes émises par des sources toujours plus nombreuses, la principale source d'exposition reste, de loin, les téléphones mobiles utilisés collés à l'oreille. Malgré cela, l'Anses a recommandé d'élargir l'usage des DAS à tous les objets communicants, et veut améliorer la connaissance de l'exposition «de la population à l'intérieur comme à l'extérieur des bâtiments » notamment en mesurant le cumul des différentes émissions (Wi-Fi, portables, antennes et autres).

Enfin, la question de l'hypersensibilité de certaines personnes «fera quant à elle l'objet d'une expertise spécifique qui démarrera dès la fin de cette année», a annoncé l'agence sanitaire.

 

 

Source : Le figaro.fr (Cyrille Vanlerberghe)

 


 

 


 



 

 

 

 

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 05:10

 

 

  L'enquete de la semaine. sf.

 

 

SANTE : La spiruline

 

 

 

La spiruline est une micro-algue utilisée principalement pour lutter contre la fatigue.

En effet, c'est grâce à sa composition exceptionnelle en nutriments, vitamines, minéraux et oligo-éléments qu'elle aide notre organisme à retrouver forme et énergie.

Pour exemple, la spiruline contient 15 fois plus de bêta-carotène (pro-vitamine A) que les carottes ! En plus de ces vertus anti-fatigue, la spiruline est un très bon anti-âge puisqu'elle possède de nombreux anti-oxydants qui s'attaquent à divers types de radicaux libres responsables du vieillissement.

Elle est la seule à renfermer de la phycocyanine, un composant anti-inflammatoire, anti-oxydant et stimulant du système immunitaire.

Sachez que la spiruline aide également à mieux récupérer après l'effort.

 


      Origines ;

 

spiruline.0-copie-2.jpgLa Spiruline est une algue extrêmement ancienne puisqu’elle aurait était présente à l’origine de la vie sur terre.

Elle a su se défendre contre toutes les agressions et traverser les siècles et les bouleversements climatiques. Les Aztèques et les incas furent parmi les premiers à cultiver cette algue bleue verte, comme un aliment complet, ce qui leur a permis  de nourrir leur très large populations, en association avec une autre plante très riche  « la Maca » .

Il existe 2 espèces principales de Spiruline : la spirulina maxima qui provient du Mexique et la spirulina platensis du Tchad.

La spirulina se développe à l’état naturel dans les lacs andins d’origine volcanique, ainsi que dans le lac texoco au Mexique. Cependant elle pousse aussi en Afrique dans les grands lacs en particulier au Schad.

Aujourd’hui l’engouement pour cette micro-algue et l’augmentation de sa demande, a clairement développé sa culture à travers le monde. Dernièrement de plus en plus de pays ont décidé de cultiver la Spiruline pour ses vertus nutritionnelles comme la chine, la Thaïlande, l’inde, Hawaï et certains états d’Amérique comme la Californie.

L’espèce la plus bénéfique et complète au niveau naturelle, semble être la Spiruline qui se développe au Mexique, le traitement des algues est normalement 100% naturelle et ne demande aucun pecticide.Lorsque la Spiruline est récoltée, elle est alors séchée au soleil.



 

 

 

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