De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule
Bonne route & merci pour votre visite
"Élaborée avec des mots, colorée par des images, composée suivant une métrique donnée, la poésie détient un pouvoir sans égal. Forme d’expression intime qui permet de s’ouvrir aux autres, la poésie enrichit le dialogue, qui est à la source de l’ensemble des progrès de l’humanité et apparaît plus nécessaire que jamais en ces temps agités. "
La vie m’a appris…
Qu’il suffit d’une personne qui te dise un mot gentil pour que la journée soit meilleure.
Que tu peux toujours prier pour quelqu’un quand tu n’as pas la force de l’aider autrement.
Que souvent ce dont une personne à besoin, c’est une main qui se tend…Et un cœur qui écoute…
Qu’ignorer les faits…Ne change pas les faits.
Que l’argent n’achète pas le bonheur.
Que ce sont les petites choses de la vie qui la rende si belle !
Que c’est l’amour, pas seulement le temps….Qui soigne les blessures.
Que le meilleur moyen de grandir est de s’entourer de personnes plus intelligentes que soi.
Que le sourire est un moyen économique pour améliorer son aspect…
Qu’être bon est plus important qu’être fort……..
Que quand tu portes rancune et amertume…. Le bonheur change de trottoir.
Et pour finir,
J'ai appris que peu importe à quel point notre cœur est brisé, le monde continue de tourner malgré toute notre peine.
Mais j'ai appris aussi que la maturité a davantage à voir avec les expériences de vie et avec ce que l'on a retiré de celles-ci, plutôt qu'avec le nombre d'anniversaires et de naissances que l'on a pu célébrer.
J'ai appris qu'il faut surtout contrôler son attitude, car sinon c'est elle qui nous contrôlera.
J'ai appris que l'on peut faire des choses en un bref instant qui nous briseront le cœur pour toute la vie.
Qu'il faut viser Le Meilleur ... envisager le Pire et prendre ce qui Vient
Késaco (Quésaco) " De l’occitan qu'es aquò (« qu'est-ce que c'est »). Attesté en 1730 (A. Piron), signifiant "qu'est-ce que c'est ?". Littéralement : "Qu'est-ce cela ?" "
Donc la question est :
La souillarde
Cela s’écrit souillarde et c’est du français. su.jaʁd\ féminin (Savonnier) Baquet pour recevoir les soudes lessivées. Exemple d’utilisation manquant. (Cuisine) Petite pièce où étaient faits les gros travaux de cuisine (avec une souillarde) et dont la fraîcheur permettait de conserver la nourriture. »Il ouvrit les placards et la porte d’une souillarde basse dans laquelle il se mit à farfouiller en battant le briquet ». Arrière-cuisine convient bien, avec une nuance de buanderie, donc.
Selon ; Pierrette Piton
Arrière cuisine..fraîche..il y avait le garde manger..les balaies ect....les bassines et parfois l'évier...
Ou selon ; Josée Sadu
La souillarde est une pièce aveugle après la cuisine dans chaque échoppe bordelaise; elle possède un évier et on y range tout le matériel de ménage : balais, seaux, serpillères.
La souillon est celle qui utilise les ustensiles de la souillarde , autant dire la bonne à tout faire . Par extension, une souillon ( la version masculine n'existe pas... ) est une femme malpropre.
Souvent orthographiée à tort « autant pour moi », l’expression « au temps pour moi » est issue du langage militaire, mais personne ne sait à quelle époque elle est née. Cette locution était employée pour ordonner un mouvement, en général une prise d’arme. Ainsi, « au temps pour les fusils » signifiait « c’est le moment de prendre votre crosse, de placer les fusils sur les épaules »… Quant à l’expression « au temps pour moi », c’est ainsi que le gradé s’adressait au soldat qui s’était trompé : il lui faisait reprendre le mouvement en calquant le départ, le « temps », sur lui.
Pourquoi met-on un point sur le i ?
Aujourd’hui mettre les points sur le i signifie que les choses sont désormais clairement précisées. Mais, le pourquoi du comment il existe un point sur le i reste mystérieux. Son apparition remonte au XIIe siècle après J-C. À l’époque, l’ordinateur n’existe pas et tout est écrit à la main. Pour éviter de confondre certaines lettres, on rajoute un petit trait au dessus du « i » mais comment s’est-il transformé en point sur le i ? Pour le savoir, découvrez vite notre vidéo !
« Poussée par le vent, je brûle et je m’enrhume
Entre mes dunes, reposent mes infortunes
C’est nue que j’apprends la vertu. »
("Libertine", 1986).
La chanteuse française (et canadienne) Mylène Farmer vient de fêter son 60e anniversaire ce dimanche 12 septembre 2021. C’est l’occasion de rappeler la carrière extraordinaire d’une jeune femme de 22 ans qui a duré maintenant plus de trente-sept ans. Elle ne cesse de cartonner. J’adore ses prestations et surtout, son univers musical, culturel, littéraire. C’est probablement aussi une question de génération.
Depuis 1984, Mylène Farmer a collectionné les succès, avec 21 chansons classées n°1 dans le Top 50 et 37 autres dans le Top 10. Elle est très aimée en Russie et en Europe de l’Est.
On aime ou on n’aime pas Mylène Farmer ? Je ne sais pas si c’est autant caricatural que cela, mais en tout cas, quand on aime, on aime généralement beaucoup, il suffit de voir les nombreux groupes de "fans" qui ont fleuri un peu partout sur le Web à en faire peur.
Ce qui est exceptionnel, c’est que Mylène Farmer, qui a inondé les années 1980 de ses nombreux "tubes", est toujours dans l’actualité, elle continue toujours, après plus d’une génération, presque deux, à faire albums et concerts (enfin, avant la crise sanitaire). Un peu comme Kim Wilde, dans une certaine mesure. Elle a déjà vendu plus de 30 millions d’exemplaires de ses disques et ses spectacles sont très élaborés, ses clips aussi, c’est une productrice, c’est une actrice, et c’est même une cinéphile avertie, ce qui fait qu’on ne s’étonne même pas de la retrouver parmi les membres du jury du 74e Festival de Cannes, celui qui a lieu en ce moment, du 6 au 17 juillet 2021 après deux ans d’absence (pour cause sanitaire), aux côtés notamment de Mélanie Laurent, Mati Diop et Maggie Gyllenhaal.
Les chansons de Mylène Farmer (elle en a écrit beaucoup) sont souvent transgressives, du moins très originales, inattendues, novatrices. Elles peuvent évoquer des idées noires, la dépression, l’enfance, le passé révolu, la mort, etc. mais aussi l’amour, la religion, le sexe, etc. avec beaucoup de références littéraires (et même historiques puisque son premier disque fut dédié à Louis II de Bavière qui s’est suicidé le 13 juin 1886 dans le lac de Starnberg, près de Munich). Elles sont aussi très dynamiques, rythmées, avec une scénographie très étudiée. On a presque l’impression que c’est une grande prêtresse face à une assistance complètement séduite.
La grande notoriété de la chanteuse ne l’empêche pas de nourrir une discrétion rare sur sa vie personnelle, qui surprend dans ce milieu d’artistes. Elle n’a jamais apprécié ce milieu, au point d’avoir renoncé à recevoir d’éventuels prix après sa mauvaise expérience où elle a finalement refusé de recevoir sa Victoire de la Musique en 1988. Elle expliqua le 12 octobre 1989 à Télé Moustique : « J’ai passé des heures en coulisses pour les répétitions de cette soirée. Tout le gratin du show-business était là et ces gens m’ont écœurée. Ils se détestent tous. J’étais triste d’avoir été récompensée et reconnue par ces gens-là. Ce sont les Victoires de l’hypocrisie ! ». Cela ne l’a pas empêché de collaborer avec de nombreux artistes, comme Jean-Louis Aubert, Jean-Paul Gaultier, Khaled, Sting, Ben Harper, Michael Hutchence, Seal, Moby, Line Renaud, etc.
Rien pourtant n’était évident pour elle au début. Son succès ne lui était pas prédestiné. Elle a commencé avec une comptine, "Maman a tort", enregistrée en été 1983. Les paroles et la composition ont été de Jérôme Dahan (qui est mort du cancer il y a une dizaine d’années) et Laurent Boutonnat, son compositeur au long cours, qui a beaucoup collaboré avec elle. Ils pressentaient que ce serait un "tube", ont tenté de la faire chanter par Lio (mais cela ne s’est pas fait). Ils ont cherché une chanteuse par un casting peu prometteur, et finalement, c’est une des amies de Jérôme Dahan qui a fait l’affaire. En fait, elle semblait faite pour être cette chanteuse : Mylène Farmer.
Look très différent de son évolution ultérieure, plus en jeune fille sage et souriante qu’en femme pleine d’exubérance originale et intrigante. Elle est née au Québec et sa famille, plutôt aisée (le père ingénieur), s’est installée en région parisienne quand elle avait une dizaine d’années. Elle a obtenu un prix de chant à 10 ans, a visité des enfants malades à l’hôpital et s’est passionnée pour les animaux (au point de vouloir devenir vétérinaire un moment). Elle a quitté son lycée pour se lancer dans les arts, s’est inscrite au cours Florent et a fait des petits boulots.
Cette chance de chanter un tube, elle l’a saisie sans hésitation. Ils ont d’ailleurs mis beaucoup de temps pour trouver une maison de disques (elle était encore inconnue et c’est à ce moment qu’elle a adopté son nom de scène, en hommage à l’actrice américaine Frances Farmer, qui a vécu un calvaire psychiatrique). Le disque "Maman a tort" a été vendu à 100 000 exemplaires, ce n’était pas énorme, mais cela lui a permis de se faire connaître, et sa présence dans tous les médias pour en faire le service après-vente l’a aussi beaucoup aidée. Après un autre disque sans succès, elle a changé de maison d’édition pour de nouveaux tubes, "Plus grandir" et surtout "Libertine" qui l’a complètement transformée (physiquement) et qui a « révolutionné le monde des clips en France », comme l’explique son site Internet.
Sa carrière était alors lancée.
Parmi ses autres grands succès, "À quoi je sers" (1989) commence ainsi :
« Poussière vivante, je cherche en vain ma voie lactée
Dans ma tourmente, je n’ai trouvé qu’un mausolée
Et je divague
J’ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais des pages vides. ».
Avis aux amateurs : Mylène Farmer a annoncé le 22 juin 2021 qu’elle ferait une grande tournée en Europe à partir du 2 juin 2023, de la France à la Russie, dont les billets seront mis en vente à partir du 1er octobre 2021 (en particulier au Stade de France les 30 juin et 1er juillet 2023). On peut espérer que la pandémie de covid-19 sera passée…
Je propose ici les principaux "tubes" de Mylène Farmer dans les années 1980
Une "risatta", "il est coco", "ça fugnotte"... La langue française est chargée d'expressions locales couramment utilisées.
Mais savez-vous ce qu'elles signifient ?
Embarquez vous avec moi pour un tour de France des expressions régionales,
Aujourd'hui voyons les
Les expressions normandes
Entre les expressions, les proverbes ou encore les dictons, les Normands ne savent plus où donner de la tête. Le normand est un des plus importants patois de la langue d'oïl. Voici une liste qui présente quelques mots ou prononciations propres au normand.
"Aimable comme une vache qui bute" : quelqu'un de pas aimable du tout
"Etre franc comme un âne qui recule" : n'en faire qu'à sa tête
"C'est du latin feuillu" : c'est un langage incompréhensible
"Avoir de l'allonge" : avoir un bon travail
"Faire des petits pieds" : être enceinte
"Semer de la violette devant un cochon" : adopter un remède inadapté
Timbre émis pour le 40ème anniversaire de la tentative
de traversée de l’Atlantique par Charles Nungesser et François Coli
Ce jour-là, le journal La Presse annonce à la Unel’exploit de deux aviateurs, Charles Nungesser et François Coli. Ils ont décollé la veille pour une traversée de l’Atlantique dans le sens France-Amérique. Mais le journal a parlé trop vite. Les deux pionniers de l’aviation ne sont jamais arrivés à New-York : ils ont disparu !
Que s’est-il passé ?
On ne sait pas vraiment. Nungesser était un pilote chevronné, un héros de la première guerre mondiale. Quant à Coli, il était aussi un pilote expérimenté et avait accompli deux traversées de la Méditerranée. Les deux s’associent au constructeur Levasseur qui conçoit leur avion, nommé l’Oiseau blanc. Tout est étudié pour ce vol à hauts risques. Aujourd’hui, bien entendu, ça n’a l’air de rien. A l’époque, c’est une prouesse
Qu’a de spécial cet avion ? C’est un biplan doté d’un fuselage « marin », sa forme offrant la possibilité d’amerrir, comme un hydravion. Cette particularité permet par ailleurs de larguer le train d’atterrissage une fois en l’air pour alléger l’appareil et donc le charger davantage en carburant. L’Oiseau blanc décolle le 8 mai du Bourget. Il est aperçu un peu partout : dans le ciel normand, en Irlande... D'Autres témoins affirment l’avoir vu à Terre-Neuve et Long Island.
L’Oiseau blanc de Nungesser et Coli
Seulement l’avion ne se posera jamais, comme c’était prévu, face à la statue de la Liberté, où une foule s’est réunie ce 9 mai 1927. Neuf décennies plus tard, on ignore encore ce qui a pu se passer au juste.
On doit beaucoup à ces pionniers, certains y ont laissé la vie
Ils ont en effet contribué au développement de l’aviation. Pensez à Lindbergh qui relèvera le défi, deux semaines plus tard, avec succès. De nos jours, nous avons Bertrand Piccard, par exemple, avec son Solar Impulse, l’avion à énergie solaire. Il est en train de boucler son tour du monde, avec bientôt la traversée de l’Atlantique !
Être charrette: ( signifie , Avoir beaucoup de travail urgent)
Expression française du XIXème siècle et qui aurait des origines bien parisiennes puisqu’elle serait issue de la célèbre Ecole nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais. Elle serait sortie droit du jargon des architectes. En effet, les étudiants en architecture qui avaient un travail urgent à faire en matière de dessins, cartons et maquettes avaient principalement recours aux charrettes des livreurs et vendeurs des rues qui étaient installés près de la gare Montparnasse, donc pas loin de l’école, pour descendre leurs grands châssis appelés « panets » car les rendus avaient lieu à midi précise.
Selon d’autres interprétations, il s’agirait toujours de la fameuse école d’architecture de Paris et au moment de l’affichage des travaux de fin d’année, les anciens demandaient aux bizuts de les accompagner de leur domicile jusqu’à l’école pour que les travaux puissent être jugés. Bien sur les bizuts tractaient une charrette et récupéraient les ainés de place en place encombrés de plans et de dessins. Cette pratique était généralement effectuée au terme d’un travail intense dans une ambiance fébrile et anxieuse
Pourquoi les films sont-ils classés au « box-office » ?
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi on évalue le succès d’un film « au box-office » ? Bien sûr, l’origine de l’expression est anglo-saxonne. Mais elle n’a rien à voir avec Hollywood. Elle remonte bien plus loin dans le temps, à l’Angleterre de l’ère élisabéthaine (XVIe siècle) …
En octobre 2011, les archéologues du Musée de Londres (MOLA) exhument, dans le quartier de Shoreditch, au nord de la ville, les vestiges du Curtain Theatre. C’est là, entre 1597 et 1599, que William Shakespeare a créé deux de ses pièces : Henri V et Roméo et Juliette. Une campagne de trois mois de fouilles plus approfondies vient de s’achever sur le site, en novembre 2016.
Les pots cassés
Et, parmi les dernières trouvailles, figure une série de boutons de poterie émaillée (photo ci-dessus). Les spécialistes les ont rapidement identifiés comme le sommet de tirelires (« money box » en anglais) en céramique. « Ces fragments sont très excitants, parce que les pots servaient à récolter l’argent des spectateurs avant d’être emmenés dans une pièce où ils étaient brisés et la recette comptée, explique le site du MOLA.
La pièce où cela se passait était appelée « box-office », ce qui est l’origine de l’expression que vous connaissez ». Le Curtain Theatre fut l’une des premières salles de théâtre au monde, construite pour accueillir 1 200 spectateurs qui – c’était une nouveauté à l’époque -, payaient pour assister aux représentations. La popularité de Shakespeare se mesurait donc déjà au « box-office » !
Pas de rétro aujourd’hui , mais un lieu dans la région à découvrir jusqu'au 29 Mai ou l'on peut savoir & apprendre comment améliorer la diffusion et la conservation du patrimoine " Ancien"
Textile(s) 3D : découvrir le procédé
de numérisation des tissus
fragiles et anciens
(Source : France Télévisions)
Entre science et préservation du patrimoine, cette exposition valorise l’avancée des recherches en cours sur la numérisation fidèle des tissus fragiles et leur impression en relief, en vue de leur conservation
Exposition Textile(s) 3D au musée d’ethnographie de Bordeaux
Le musée d’ethnographie de Bordeaux possède des centaines de tissus anciens, provenant du monde entier. Des matières très fragiles qu’il faut préserver. Pour la première fois en France, une expérience menée avec l’Institut d’Optique et l’Université de Bordeaux a permis de développer une technique pour numériser ces trésors. Une innovation à découvrir au cours de l’exposition Textile(s) 3D à découvrir jusqu’au 29 mai 2020.
Un appareil capable de prendre un milliard de mesures en dix secondes. C’est ce qu’il faut pour une numérisation fidèle de l’apparence des tissus fragiles mais aussi de leur impression en relief. Une prouesse technologique qui pourrait révolutionner les recherches sur la préservation du patrimoine. Des scientifiques bordelais ont donc été invités par le musée d’ethnographie de la ville pour développer ce principe de numérisation en 3 dimensions. Un dispositif imposant mais efficace « Il prend des millions de photos car il y a des millions de points de vue différents. Ce qu’on essaye d’atteindre, c’est la qualité, atteindre la diversité de reflets qu’on serait capables de voir à l’œil nu » explique Antoine Lucat, étudiant en Doctorat de Sciences.
Un inventaire pour les chercheurs du monde entier
« On aimerait à terme que cette machine serve à la préservation des objets dans les musées, quel que soit le type d’objets » explique Romain Pacanowski, chercheur à l’Institut d’Optique qui a travaillé sur ce projet. Pour cette expérience, les scientifiques ont pioché dans les riches réserves du musée. Cuir, laines, fibres végétales, les textiles les plus complexes ont été passés au crible de la machine.
Une fois numérisés, ces tissus peuvent être étudiés et partagés sans risque. Une mine d’or pour les chercheurs du monde entier. Ils pourront plonger au coeur de la matière. Car cette technologie permet un rendu incroyable qui donne l’impression de pouvoir observer le tissu au plus près. « On peut découvrir des points de broderie, on peut même voir par où la personne a commencé à broder » selon Solenn Nieto, chargée des collections du musée. Quand la science se met au service de l’art et du patrimoine, cela donne une exposition saisissante, enrichissante et accessible au grand public.
Renseignements pratiques
Exposition Textile(s) 3D
Musée d’ethnographie de Bordeaux — Université de Bordeaux — Bâtiment E (accès au 6 rue Elie Gintrac) — 3 ter place de la Victoire — 33000 Bordeaux
Jusqu’au 29 mai 2020
Site Internet : https://meb.u-bordeaux.fr
Page Facebook : https://www.facebook.com/pg/museedethnographieuniversitedebordeaux
Tél. : 05 57 57 31 64
Le musée vous accueille :
Du lundi au jeudi de 14h à 18h
Le vendredi de 10h à 12h.
Le musée est fermé les week-ends et les jours fériés.
A la découverte de ces expressions parfois méconnues , il est bon quelquefois d'en savoir la signification ou leurs origines.....
Aujourd'hui découvrons pourquoi ?
Pourquoi dit-on ''des roberts'' pour désigner les seins ?
On parle ''des roberts'' pour désigner les seins de femmes en référence à la première fabrique industrielle de biberons.
En effet, à la fin des années 1860, un industriel et ingénieur dijonnais, Edouard Robert, commercialise un biberon révolutionnaire dont la tétine agrémentée d'une soupape régulatrice du débit de lait obtient un tel succès que l'on va très rapidement assimiler le dispositif aux seins des nourrices.
L'argot populaire s'en empare rapidement pour désigner plus généralement les seins de femmes. Le phénomène fut tel, qu'une rue parisienne porte le nom d'Edouard-Robert après s'être d'abord appelée ''rue du biberon-Robert''.
Les historiens du langage sont formels : cette expression n’a rien à voir avec le légume de nos potagers. Il semblerait qu’elle soit née dans le monde des jeux de quilles, loisir très populaire en France au XVIe siècle. On disait alors d’un joueur qui n’avait marqué aucun point qu’il avait fait « coup blanc ».
Subir un échec
Mais pourquoi le mot « coup » s’est-il transformé en « chou » ? Tout simplement parce que, pour les Berrichons, le son « c » se prononçait « ch ». Ainsi, le mot « saucisse » se transformait-il en « chauchiche » ! Et c’est leur prononciation, il est vrai plus amusante, qui aurait été conservée.
Il s’agit du meilleur calcul entre performance énergétique, nuisances sonores et coût de fabrication. Une éolienne à une pale serait déséquilibrée, ce qu’évite l’ajout d’une deuxième. Mais le vent exerce une plus grande force sur celle du haut, car il ne rencontre pas d’obstacles (arbres ou habitations). Cette différence provoque une torsion au niveau du mât et du moyeu, qui augmente l’usure et le risque de panne de l’éolienne. Une troisième pale évite ce déséquilibre.
Et pourquoi pas 4 pales ?
En outre, une éolienne tripale a un rendement énergétique légèrement supérieur à une bipale. Et pour un vent d’une puissance équivalente, elle tourne moins vite qu’une bipale… et produit donc moins de bruit. Quid d’un modèle à plus de trois pales ? Son coût de production serait plus cher pour un rendement global inférieur, chaque pale produisant des turbulences qui gênent sa voisine.
Pourquoi les éoliennes sont-elles si souvent arrêtées ?
Les raisons sont diverses : les éoliennes ont besoin d’une vitesse de vent minimale d’environ 15 km/h. Elles atteignent leur rendement optimal à 50 km/h. En dessous, certains exploitants jugent inutile de les mettre en marche car elles ne produisent pas assez d’électricité. Quand le vent dépasse 90 km/h, les éoliennes sont aussi arrêtées, de même lorsqu’il fait trop froid ou qu’il neige, pour éviter la projection de blocs de glace. Selon les sites et la saison, les durées relatives de fonctionnement varient de 20 à 45 % (un jour sur trois). Les éoliennes sont des machines complexes et peuvent attendre un dépannage qui, vu leur conception souvent étrangère, demande parfois de semaines ou des mois.
Les nuages sont constitués d’air et d’eau sous forme de micro-gouttelettes ou de cristaux de glace. Selon le type de nuage et son altitude, la teneur en eau varie de quelques milligrammes à quelques grammes par mètre cube de nuage.
Comme les molécules d’eau sont plus légères que les molécules d’azote et d’oxygène composant l’atmosphère, la densité moyenne de l’air humide est plus faible que celle de l’air sec. La masse volumique de l’air humide au niveau de la mer est d’environ 1,2kg/m3, celle de l’air sec est de 1,225kg/m3. L’air humide, plus léger que l’air sec, monte dans l’atmosphère sous l’effet de la poussée d’Archimède. Quand elle s’élève, la vapeur se transforme en gouttelettes ou en cristaux de glace, mais sa masse volumique demeure inférieure à celle de l’air environnant.
C’est la raison pour laquelle les nuages restent toujours en altitude. Quant à la quantité d’eau contenue dans les nuages, elle peut être énorme du fait du volume conséquent des nuées. À raison de 1g/m3 d’air, un cumulus de beau temps (un nuage blanc) peut contenir quelques centaines de tonnes d’eau. Quant à un cumulonimbus (un nuage d’orage), il peut abriter des centaines de milliers de tonne d’eau
Dans la même lignée....
Savez-vous quelle est la taille d’une goutte de pluie ?
Environ 1 mm de diamètre (pour une vitesse de chute de 4 m/s) et jusqu’à 6 mm (pour 9,3 m/s), telle est la taille moyenne d’une goutte de pluie. Les gouttes de bruine (les plus petites) mesurent 0,05 mm. Une goutte de 8 mm a été mesurée à Hawaï en 1986.
Quant aux trombes d’eau, qui sont des colonnes liquides de quelques mètres de diamètre se formant sous les nuages orageux, on a pu en mesurer une de 1,85 m de haut et 3 m de diamètre, le 16 mai 1898, au large d’Éden, en Australie !
Les moines utilisaient déjà l'arobase «@» au Moyen Âge
Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce petit caractère n‘est pas né à l'orée de l'ère numérique. revenons sur l'origine surprenante du sigle présent dans chacune de nos adresses électroniques.
Les plus petits le surnomment l'«escargot». L'arobase, «@», signe indispensable et désormais universel, est une clef qui ouvre toutes les portes. Placé entre un nom et un «gmail.com» ou un «yahoo.fr», il nous permet de communiquer avec n'importe qui, pourvu que nous ayons la bonne adresse. Ne serions-nous pas surpris d'apprendre que ce caractère a au moins quinze siècles?
Pour le comprendre, il faut imaginer une époque avant Gutenberg. Avant l'apparition d'une technique révolutionnaire qui n'apparaît qu'au milieu du XVe siècle: l'imprimerie. Une époque où les moines copistes s'attellent au dur labeur de reproduction et d'ornementation, à la main, d'ouvrages religieux. Il faut être efficace et rapide. Alors, pour gagner en vitesse, toutes les techniques sont bonnes.
Un mot arabe à l'origine de l'arobase
Selon le linguiste Berthold Louis Ullman, le signe @ provient de la ligature (fusion de deux caractères consécutifs) «du ad latin (‘‘à'' ou ‘‘vers'' en français) où le ‘a' et le ‘d' cursifs ont fini par se confondre», peut-on lire sur le site de la Bibliothèque Nationale de France. Concrètement? Le ‘d' s'enroule autour du ‘a'. L'apparition du caractère @ daterait ainsi du VIe siècle.
Rien de plus logique donc à ce que cette préposition ad, transformée en @, soit aujourd'hui utilisée pour distinguer le destinataire «arthur.dupont» de la messagerie qui l'abrite «gmail.com». Si l'on devait traduire, cela donnerait: Arthur Dupont «à», «vers» ou «chez» gmail.com. En 1971, l'ingénieur américain Ray Tomlinson et inventeur du courrier électronique, choisit le sigle @ «comme séparateur dans les adresses Internet entre le nom de l'émetteur et celui de l'organisme hébergeant sa machine», explique Isabelle Compiègne dans La Société numérique. Mais alors pourquoi avoir baptisé ce glyphe «arobase»? Les explications sont nombreuses. Selon la BNF, «arobase serait la déformation de ‘a' rond bas, c'est-à-dire ‘a' minuscule entouré d'un rond». Un mot que l'on a confondu avec l'unité de mesure espagnole, l'arroba, de l'arabe ar-roub, signifiant le «quart». Le Petit Robert attribue au caractère @ le nom français «arrobe».
Autre sujet intéressant
On ne pense qu'aux filles
Ou du moins on devrait. Comme chaque 11 octobre, hier c'etait la Journée Internationale de la Fille et le sort de ce milliard d'humains n'ayant pas les mêmes droits que les garçons de leur âge vaut bien une journée passée à ne penser qu'à elles. Un seul chiffre, celui par lequel tout commence : il manque environ 150M de petites filles sur la planète (80% d'entre elles en Chine et en Inde) résultat de millions d'infanticides féminins à la naissance chaque année. Deux tiers des 774M d'analphabètes dans le monde sont des femmes (source : UNESCO)
Ça peut vous intéresser également
La Cour de Cassation vient d'invalider une décision favorable à un salarié licencié après que son employeur a découvert qu’il surfait sur des sites porno via son ordinateur professionnel (sur son lieu de travail). La plus haute instance juridique française inverse ainsi une jurisprudence qui, jusqu'à présent, considérait qu'il s'agissait d'un "usage personnel" de son PC et qu'il devait être toléré au même titre que la consultation de site de news, Facebook etc.
Petite précision : le salarié en question s'était connecté à des sites X "800 fois en un mois, dont 200 fois en sept jours". Ah quand même...
Aujourd'hui penchons - nous sur l'origine des mots.................
Plus précisément celui de : "Bouquin"
(D’après « Récréations philologiques ou Recueil de notes pour servir à l’histoire des mots de la langue française » (par François Génin) Tome 2 paru en 1856)
On pourrait volontiers prêter à notre mot français « bouquin » d’être issu de l’anglais « book », lui-même dérivé de l’autre mot anglais « bough » signifiant « flexible ». Or il faut, pour dénicher la véritable étymologie, davantage chercher du côté du sort réservé aux vieux ouvrages...
Un des correspondants de l’Illustration avait dans le temps offert de faire venir bouquin et bouquiniste de l’anglais book, livre. La proposition paraissait assez avantageuse. « Prenez pour exemple, nous dit-on, l’anglais bough, branche. Assurément ce mot-là n’existe pas dans la langue française. Que signifie bough ? Il signifie ce qui ploie, ce qui est flexible ; il vient du germanique biegen, courber. Or, ce verbe nous a donné cinq ou six mots, entre autres boucle, ce qui est recourbé ; bouquin, ce qui est plié, livre. »
Admettons un moment qu’un livre soit plié comme une branche d’arbre, la ressemblance n’est pas saisissante, mais admettons : à ce compte, un livre tout neuf est donc un bouquin ? Car il n’est pas plié différemment, et tout ce qui se plie aurait droit de s’appeler un bouquin : une table, un mouchoir, un arc, le bras, la jambe, etc.
Les logiciens disent qu’une bonne définition doit non seulement convenir à l’objet défini, mais ne convenir qu’à lui. On peut dire la même chose d’une bonne étymologie. Si nous définissons le sang une liqueur rouge, nous serons moqués des garçons marchands de vin. De quel droit, par quelle fantaisie, selon vous, aurait-on appliqué le biegen au livre plutôt qu’à la table, plutôt qu’au mouchoir, à l’arc, au bras, à la jambe, enfin à tout objet qui se plie ?
Risquons une autre explication. La demi-reliure est une invention du XIXe siècle économe. Au temps jadis, on ne faisait que de belles et bonnes reliures pleines, en veau, basane, maroquin, etc. ; c’est qu’alors les livres en valaient la peine et étaient estimés. Aujourd’hui les relieurs font cent cartonnages contre une seule reliure pleine, et par là seulement on pourrait juger de la situation des lettres dans l’opinion publique.
Or, quand un de ces anciens volumes, faisant partie d’une bibliothèque séculaire, était resté de longues années immobile et privé d’air sur son rayon, où la poussière combinée avec l’humidité avait fini par l’encrasser, le pénétrer, le ronger (sans compter les mites et autres malignes bêtes), il contractait une odeur forte, analogue à celle d’un bouc ou bouquin ; et de là est venu qu’un volume moisi qui sentait le bouquin s’est appelé par abréviation un bouquin : car notez que ce vieux livre rhabillé de neuf ne s’appelle plus un bouquin, non plus qu’un volume d’impression récente, mais qui serait gâté, déchiré, dépenaillé ; il y faut la vieillesse, la décomposition de la peau et l’odeur qui s’ensuit.
Cette origine n’a certes pas la noblesse du germanique, du sanscrit ni de l’indo-européen ; mais la Providence est si bonne qu’elle permet qu’on fasse des étymologies, ne sachant même que le français. Book, que nous avons rejeté, se prononçait bouc, tandis que bough se prononce bao. Il ne faut pas nous laisser duper par les yeux : il y a pour l’oreille une certaine distance de bau à bouquin ; or les idiomes, quoi qu’on dise, ont été forgés par les langues pour les oreilles, et non par les doigts pour les yeux. C’est ce qu’oublient toujours les savants.
À noter qu’Émile Littré, dans le tome 1 de son Dictionnaire de la langue française paru en 1873, affirme que bouquin est issu du mot flamand boeckin signifiant petit livre, issu lui-même de l’allemand buch signifiant livre. En outre, il avance, sans étayer son propos, que cette étymologie est préférable à celle de Génin, qui dit que bouquin a été ainsi nommé à cause de la mauvaise odeur.
“La liberté est un bien précieux, mais il faut avoir un petit capital d’exploitation pour la cultiver.”
Non ! Non ! Et Non
La liberté est la donnée la plus caractéristique de l’être humain. C’est son fondement initial et le but de toute son existence. Cette affirmation apparaît péremptoire, et pourtant, si on examine les traces de la vie humaine telle une enquête judiciaire, c’est bien ce qui se dégage des faits. Depuis la naissance et le premier cri, il s’agit bien d’une révolte face à notre intimité qui est dévoilée à la face du monde, nous ne pouvons plus flotter en apesanteur et nous gorger à volonté du liquide amniotique sans nous soucier du jour et de la nuit, des périodes d’éveil et de sommeil, rester dans la quiétude qui était nôtre dans cette douce pénombre loin des bruits et de l’agitation extérieure.
Tout ce chambardement n’augure rien de véritablement rassurant et il faudra durant toute notre enfance toute la sollicitude parentale pour nous faire croire à l’amour, au Père Noël, éventuellement à Dieu et à nombre de balivernes. Mais au plus profond de moi-même je sais toujours que ma quête personnelle sera autre. Celle-ci sera de m’arracher à la vie que l’on désire pour moi, à un avenir qui est souhaité et qui ne me correspond pas. Chaque individu possède au fond de lui cette spécificité particulière d’être un autre que le miroir de la société lui renvoie. Car l’Homme possède cette originalité, c’est de vouloir rester différent du reste de son espèce, de laisser sa trace de différence par ses actes, sa pensée, ses paroles et en particulier par son opposition marquée par le : non. Ce non est bien l’expression de mon nom, il me permet de m’affirmer comme étant vivant et unique, car par rapport à tous les codes imposés, je suis capable de m’opposer. Cette liberté est également un appel instinctuel qui me rapproche de mes congénères et autres mammifères, me renvoie à la vie primitive du monde d'avant Et cette volonté, ce refus des règles édictées me sera toujours utile pour conserver cette liberté durant ma période de vie terrestre. Car la société est ainsi faite qu’elle mesure les choses : en mètres, en poids, en quotient intellectuel, et surtout le pire de tout en temps. Or, nous savons très bien que le temps nous est compté et nos semblables et pourtant dissemblables nous renvoient perpétuellement, c’est un euphémisme, la notion de temps passé : en heures de travail, de sommeil, de durée de rapport sexuel, d’heures de repas, de repos. Tout est ainsi normatif alors que mon aspiration est ailleurs : elle est dans le rêve, la somnolence, l’accession à un ailleurs inconnu, un clivage avec l’habitude qui détruit le possible, anéantit les espoirs d’une vie meilleure et sans contrainte. Et c’est ainsi que , progressivement, avec justement ce temps qui passe et la sagesse des apprentissages, que l’on comprend que cette volonté est vaine, que ce rêve n’est justement que le fuit de notre inconscient qui toujours se démarque de la réalité et de notre conscience, de notre connaissance du monde et des êtres qui nous entourent. Alors la liberté peut flotter librement dans nos nuits, prendre toute la place qu’elle désire et réinventer tous les possibles, sans interdit ni censure, nous permettre de devenir l’être rêvé et idéalisé, accéder à la première enfance et à l’infini. Cette démesure, c’est bien cela, l’anéantissement des mesures et des lois physiques, n’est possible que dans notre inconscient et dans tous nos fantasmes. Tout le reste n’est que conscience et réalité, et le plus difficile est de l’accepter, c’est à dire d’accepter la finitude de cette liberté humaine, pour accepter la liberté qui nous sera définitivement offerte lors de notre disparition véritable, dans le sens de la vérité ultime, celle qui n’appartient qu’à moi.
jusqu’à présent, il n’existait pas d’album de reprises de Johnny Hallyday, tant il semblait difficile, voire impossible, d’interpréter ses chansons. C’est pourtant le défi qu’ont réussi à relever une quinzaine d’artistes.
« On a tous quelque chose de Johnny »,
sortie le 17 novembre 2017
C’est la première fois, en presque soixante ans de carrière, que Johnny Hallyday confie ses chansons à d’autres artistes. Difficile à convaincre au départ, le chanteur a fini par s’intéressé au projet : « Nous avons pris beaucoup de plaisir avec Laeticia à s’y impliquer artistiquement et ça a été une réelle joie pour moi de le superviser, je respecte et remercie infiniment les artistes présents sur ce disque ». Réalisé sous la houlette de son directeur musical, qui est également son guitariste, Yarol Poupaud, l’album "On a tous quelque chose de Johnny" ne fait que confirmer l’immense popularité du chanteur. Mixé au Labomatic par Dominique Blanc-Francard, ce projet fédérateur réunit des artistes de différents horizons s’appropriant les incontournables de la légende française du rock.
Parmi les artistes qui participent à l’album on peux entendre Louane, ou Kendji Girac qui ouvre avec l’Envie, mais aussi FFF, Amel Bent (Que je t’aime), Gaëtan Roussel (Je te promets) ou Raphaël (Tes tendres années). Patrick Bruel y chante J’ai oublié de vivre. Benjamin Biolay, parle du morceau qu’il interprète : « C’est la première chanson de Johnny Halliday que j’ai connue, Retiens la nuit, c’est dans le film Les parisiennes ».
Florent Pagny - requiem pour un fou (extrait)
Garou qui interprète Ma gueule explique son choix : « J’avais vraiment envie de faire un titre ou ça dégaine quoi, ou il y a de la puissance, de la force, parce que c’est ce qui représente beaucoup Johnny, et c’est ce que j’aime faire aussi. Je pense que c’est là-dessus qu’on se ressemble un peu… C’est un grand artiste, un grand chanteur. Quand Johnny rentre dans une pièce, c’est quelque chose d’imposant, qui à la fois est désarçonnant, mais en même temps, il est tellement sympathique et bienveillant avec toi… Pour moi, c’est facilement comme un père de la musique. »
Certaines reprises sont intéressantes : Thomas Dutronc interprétant Gabrielle, Gauvain Sers, qui a préféré adapter Le Pénitencier en balade folk : « L’interprétation était tellement forte que ça allait être très dur de reprendre une de ses chansons. » ou Calogero, qui propose une très belle interprétation de Elle m’oublie.
Calogero - Elle m'oublie (extrait)
A vos bacs.............................Précommander
Quelles sont les 4 catégories de personnes les plus intelligentes !
Croyez-vous qu’il existe un seul type d’intelligence de par ce monde ? Une intelligence uniquement mesurable par le biais de tests de Quotient Intellectuel ? Beaucoup vous diront OUI, tandis que d’autres vous répondront négativement.
Pour être tout à fait honnête, ces deux catégories de personnes auront parfaitement raison ! Il existe d’une part l’intelligence commune, celle liée à la Culture d’une personne, le degré de ses connaissances et il existe, d’autre part, l’intelligence émotionnelle. Une intelligence intimement liée à la vie et aux différentes expériences que traverse un individu tout au long de son existence.
Comme vous pouvez certainement le deviner, ces deux types d’intelligence ont leur importance, bien qu’ils répondent à des besoins foncièrement différents.
Bien au-delà des diplômes, des connaissances académiques et d’un score au QI qui crève le plafond, voici les 4 catégories de personnes les plus intelligentes au monde !
1.Les personnes qui ne se soucient pas du regard des autres
Beaucoup d’individus souffrent à cause du regard des autres. Pire, ils adaptent leurs actions selon le « Qu’en dira-t-on ? » et sont incapables de sortir du carcan imposé par leur entourage.
Les personnes les plus intelligentes ne se soucient pas du tout de ce que peuvent dire ou penser les autres. Elles vivent en toute conscience en suivant leurs propres principes et valeurs.
2. Les personnes égoïstes (mais pas tout le temps)
Et si pour une fois dans la vie, vous décidiez que le plus important c’est vous ! Prenez une demi-journée où vous pourriez vous montrer parfaitement égoïstes. Après tout, vous aussi, vous avez le droit de prendre soin de vous, de penser à ce qu’il y a de mieux pour vous…
Ces moments où vous êtes le centre de votre monde, vous permettront de vous montrer plus forts face aux aléas de la vie !
3.Les personnes qui ne se compliquent pas la vie
Arrêtez de chercher midi à quatorze heures et profitez des joies du quotidien comme elles se présentent. Quand quelqu’un vous parle, ne cherchez pas une interprétation cachée de ses mots. Forcez-vous à prendre les choses comme elles viennent. Vous constaterez, en fin de compte, que c’est vous le gagnant dans l’histoire !
A chaque jour suffit sa peine. Ne vous compliquez pas la vie en faisant ou en pensant à des choses qui n’ont pas lieu d’être.
Ne prenez pas la vie trop au sérieux. Après tout, personne n’est sensé en sortir vivant !
4.Les personnes qui prennent soin des autres
Loin de nous l’idée de vous inciter à prendre en charge des responsabilités qui vous pèsent. Non, le plus important dans la vie, c’est d’avoir la conscience légère en prenant soin des personnes qui comptent le plus à vos yeux. N’oubliez jamais de montrer votre amour, votre affection et votre besoin à vos proches et amis. C’est la véritable clé du bonheur !
Ne laissez pas votre orgueil, la routine ou un pseudo manque de temps vous éloigner de ce qui compte réellement dans la vie. Gardez cette idée en tête, et ne laissez rien, ni personne vous en détourner.
En Irlande Qui est un ; " Leprechaun" ou Leprechaun (Variantes : lurachmain, lurican, lurgadhan.)
Un leprechaun est une petite créature à l’aspect d’un vieillard. Ils sont une exception dans le royaume des fées car ce sont les seuls qui ont une profession : ils sont en effet cordonniers. D’ailleurs, le nom de leprechaun pourrait être un dérivé des mots irlandais leath bhrogan qui veut dire cordonnier. D’autre disent qu’il pourrait venir du mot luacharma’n (pygmée).
Petits, ils sont très intelligents et sont habillés d’un costume avec un waistcoast (un genre de gilet), d’un chapeau et de chaussures à boucles. Au niveau du caractère ils sont espiègles et malicieux, mais ils sont inoffensifs pour la plupart des irlandais même s’ils aiment jouer des tours aux fermiers des villages des alentours.
Il est dit que chaque leprechaun possède un pot remplit d’or, caché dans les régions reculées d’Irlande. Il s’agirait d’un ancien trésor laissé par les Danes quand ils étaient in Irlande, et que les leprechauns se seraient partagés. Les fées irlandaises leurs auraient donné des pouvoirs magiques pour qu’ils puissent le protéger dans l’hypothèse où il aurait été capturé par un animal ou un humain. Ainsi le leprechaun pourrait s’échapper en s’évaporant dans les airs, en promettant la santé ou en proposant trois vœux à qui l’aurait capturé. En plus de ça, les lepreuchauns possèdent deux bourses de cuir. Dans l’une il y aurait un shilling en argent, une pièce magique qui retournerait dans la bourse à chaque fois qu’il l’utiliserait. Dans l’autre il y aurait un shilling d’or qu’il utiliserait pour se sortir des situations difficiles. Cette pièce-là se transformerait en feuille d’arbre une fois que le leprechaun aurait fait la transaction.
Les leprechauns sont aussi d’excellents musiciens qui jouent principalement du tinwhistle (c’est un genre de flute en bois), du violon et de la lyre mais qui peuvent jouer d’autres instruments traditionnels irlandais. Ils seraient connu pour organiser de grandes fêtes la nuit – appellé Céilí – où des centaines de leprechauns irlandais danseraient, chanteraient et boiraient. En effet, ils adorent boire les boissons traditionnelles irlandaises nommées Poteen et Moonshine.Le poète irlandais William Butler aurait dit que c’est à cause de leur passion pour la danse qu’ils auraient sans cesse besoin de chaussures ! Une histoire raconte qu’un homme du Comté de Mayo réussit un jour à capturer un leprechaun et qu’il aurait souhaité être l’homme le plus riche d’une petite ile d’Irlande. Quand il le devint il se rendit compte qu’il n’y avait pas de magasins sur l’ile pour pouvoir dépenser son argent ni même de gens avec qui il aurait pu discuter. Il utilisa alors son troisième souhait pour revenir en Irlande.
Un Clurichaun :- image extraite de Fairy Legends and Traditions of the South of Ireland de T. C. Croker
Proche du leprechaun il ne faut pourtant pas les confondre car leurs intentions ne sont pas les mêmes. Certains folkloristes les décrivent comme étant une forme de leprechaun de nuit. D’autres pensent qu’il s’agirait d’un leprechaun venant d’une région différente.Ils sont connus comme étant des créatures toujours ivres. Beaucoup d’histoires racontent qu’ils aimeraient harnacher moutons, chèvres et autres chiens pour faire des ballades dans tout le pays, la nuit venant. On dit aussi que s’ils sont bien traités ils protégeront les caves ou garde-mangers. Dans le cas contraire, ils dévasteront les maisons et pilleront vin et nourriture.
Dans les moments difficiles, quand il est l’heure de faire des choix importants, les grands auteurs sont toujours là pour nous donner un coup de pouce.
Vous n’êtes pas d’accord ? Mais si, souvenez-vous ! Une belle occasion se présente à vous. Vous voulez briller. Mais il faut prendre un risque… Il y a danger et vous hésitez. Que faire ?
Vous vous dîtes alors : « Hé ! La chance sourit aux audacieux ! ».
Exalté, vous foncez vers le danger comme le plus valeureux des guerriers. Et vous échouez lamentablement. Pourquoi ?
Parce que vous n’aviez pas compris ce que voulait dire le grand poète latin Virgile (70 – 19 av. J.-C). Ce n’est pas grave.
Vous allez le savoir pour le reste de votre vie !
Ma source.........
Je me suis inspiré pour cet article de « Citations historiques expliquées » de Jean-Paul Roig. Un seul conseil : le lire !
La chance sourit aux audacieux. Ce vers est tiré d’une des œuvres majeures de l’Histoire, aujourd’hui oubliée…
Cette œuvre, c’est l’Énéide, la grande épopée de Virgile. Une épopée est un long récit qui cherche à exalter la fierté d’appartenir à sa patrie. Pour atteindre son but, elle relate les exploits légendaires d’un héros.
L’Énéide conte les aventures d’Énée, un prince de la ville de Troie, détruite par les Grecs. Après de nombreuses aventures, il finit par s’installer dans la région de Rome et fonder le peuple romain.
Alors, la chance a-t-elle souri à l’audacieux Énée ? Sa témérité lui a-t-elle permis de fonder le plus grand empire de l’Antiquité ?
La chance sourit aux audacieux, ou pas ? Et bien, la réponse est non !
Virgile emploie cette formule avec ironie ! Dans l’Énéide, elle est prononcée par Turnus, un général téméraire et imprudent. Énée finit par le tuer dans un combat singulier. Virgile souhaitait ainsi rendre hommage aux stratèges calmes et réfléchis.
Les Romains valorisaient en effet la constance et la gravité. Contrairement à son adversaire, Énée est un homme mesuré. Voilà pourquoi il triomphe.
Virgile fait l’éloge indirect d’Auguste, le premier empereur romain. Pour accéder au pouvoir, Auguste, avait battu Marc-Antoine, le plus célèbre général de Jules César. La prudence avait donc triomphé de l’audace.
Il faudrait donc dire comme Louis Pasteur que « la chance ne sourit qu’aux esprits bien préparés. »
Parfois, c’est vrai, la chance sourit à l’audace. À l’été 1792, la Révolution française est menacée. La coalition militaire des armées autrichienne et prussienne multiplie les victoires sur le territoire national. Elle s’approche de Paris. Mais les Français vont réussir à retourner la situation.
Le 2 septembre 1792, le révolutionnaire français Georges Jacques Danton déclare, dans un discours resté mémorable :
« Pour les vaincre, messieurs, il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et la France est sauvée. »
Le 20 septembre suivant, la France remporte une première victoire à Valmy. Audacieux, la chance leur a souri.
Une autre histoire de ronds : les langues parlées dans le monde.
L’espagnol arrive en deuxième position après le chinois mais si le marathi, l’urdu et le tegulu sont ajoutés à l’hindi, ces langues indoeuropéennes arrivent en deuxième position après le chinois comme pour les populations (voir un précédent billet).
Il y a aussi la créativité linguistique et dans ce domaine la Papouasie-Nouvelle Guinée arrive largement première, talonnée par l’Indonésie. Mais le domaine de cette diversité le Vanuatu arrive largement en tête si on se reporte au nombre d’habitants : 110 langues différentes pour moins de 300 000 habitants, en gros une langue différente pour 3000 habitants … outre le bislama et les deux autres langues officielles, le français et l’anglais. Dans ce pays, d’un village à un autre, pourtant voisins d’une vingtaine de kilomètres, sans bislama les habitants ne se comprendraient pas. Comme quoi la créativité humaine n’a pas de limites.