A propos : "Noël arrive à grands pas", et c’est l’occasion idéale pour vous parler d’un fruit qui est intimement lié à cette fête : l’orange. Cet agrume gorgé de soleil fut pendant longtemps le traditionnel cadeau de Noël des enfants. Aujourd’hui les temps ont bien changé, mais ce fruit savoureux reste au cœur de nos coutumes et de nos assiettes.
L'histoire de l'orange à Noël :
À l’Ancien Régime, avant 1789, l’orange ne s’acclimatait qu’en Espagne et en Italie. Dans les régions du nord, elle était cultivée dans des serres chauffées, des orangeries des cours princières. Ainsi, l’orange, récoltée à l’aube de l’hiver, n’était consommée que par les aristocrates. Elle était considérée comme un fruit de luxe. et les gens du peuple ne connaissaient pas son existence. Offrir une orange évoquait donc le luxe. Traditionnellement, on l’offrait aux enfants à Noël parce qu’ils n’en voyaient pas durant le reste de l’année et au 19e siècle, nombre d'entre eux ne savaient pas les consommer et croquaient dedans à pleines dents. Evidemment, ils étaient très déçus de ce cadeau. Ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que les jouets, pour Noël, deviennent plus courants.
Petit focus sur l’histoire de la culture des oranges en France Saviez-vous que les toutes premières caisses à orangers ont été installées au XVème siècle, à Amboise, en Touraine ? Originaire de Chine, l’oranger transite par les croisades au XI et XIIème siècle pour être implanté en Sicile. Mais ce fruit de luxe, très prisé par l’élite, se conserve difficilement et est souvent malmené lors des transports. Sa culture en Europe est en effet limitée aux zones chaudes et ensoleillées : l’Espagne, l’Italie… C’est ainsi que nait l’idée d’acclimater les orangers en France. En 1496, le jardinier du Roi Charles VIII, Dom Pacello de Mercoliano, décide d’acclimater les premiers orangers de France au Château Gaillard à Amboise. Il y cultive ces arbres dans des caisses, installées dans des bâtiments où ils seraient protégés du froid en hiver. Ces bâtiments que l’on appellera par la suite « orangeries » voient le jour un peu partout et deviennent un véritable symbole de pouvoir. Rares sont les châteaux qui ne possèdent par leur propre orangerie : l’orangerie du château de Versailles, du château de Cheverny, de Blois, de Chenonceau… |
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Bon dimanche....
Savoir vivre…
« Le jour où je vais tirer ma révérence, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, les couleurs émerveillantes des fleurs, les chants & gazouillis des oiseaux . Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c'est bien, mais l'exaltation du présent, c'est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l'on voudrait avoir, on ne s'émerveille plus de ce que l'on a. On se plaint de ce que l'on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n'est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l'on a, c'est un savoir vivre. »
Bon dimanche ( Toujours confiné !
Mon savoir vivre...
Retour sur l'enfance….( Une histoire qui ne vaut pas un clou…
Il convient de puiser dans l’enfance l’origine de bien des travers. Je dois vous faire ici confession qui me coûte et risque fort de me clouer au pilori des bricoleurs. Le récit m’en demandera bien des efforts, je vais ici porter ma lourde croix en espérant y mettre la manière. Prenez la peine de la lire sans me taper sur les doigts si elle vous déplaisait.
Tout a commencé pour moi dans un atelier de charpentier. Mon père, homme habile et doué de ses mains avait la prétention de faire de son rejeton, son digne successeur. Selon l’adage, la valeur ne doit jamais attendre le nombre des années, c’est donc dès mes onze ans qu’il me mit un marteau dans les mains pour enfoncer le clou et inculquer par la même occasion le virus du métier.
Bien mal lui en prit… Ce fut pour moi un véritable chemin de croix, le clou se refusant obstinément à la tête en acier trempé du marteau qui avait quant à elle une singulière attirance pour mes doigts de la main gauche. Ce fut là un calvaire car mon géniteur s’obstina à m'inculquer les bases de son art. Lui qui passait ses journées avec de petites pointes dans la bouche qu’il allait quérir avec un marteau à tête aimantée.
Je le regardais faire, attrapant la pointe avec une précision diabolique, l’enfonçant d’une seule frappe à l’endroit précis où il en avait décidé. Je voulus naturellement opter pour cet outil. Mal m’en prit car cette fois, la blessure fut plus grave, accompagnée des stigmates de notre seigneur des cieux. De là on me colla la terrible réputation d’avoir deux mains gauches qui me colle encore à la peau sans que je fasse quoi que ce soit pour démentir la chose.
Je pense aussi que ma sympathie, toute païenne cependant, pour le fils du charpentier de Judée, naquit à ce moment-là, d'ailleurs c'est celui de menuisier qui me fût imposé sans aucune possibilité d'en refuser l'accès ! c'était comme cela avant ! Je crois que lui aussi a partagé l’éducation d’un père qui voulait faire de lui un artisan. Si nos chemins ont différé, le choix du dessin plutôt que du marteau fut notre point commun. C’est en son hommage du reste que je me fais un devoir de toujours traverser sur les clous même si ceux-ci ont disparu de nos villes & campagnes.
Bon Dimanche (aux Confinés)
Allez ! Bordeaux ! ! ! !
Un peu d'humour en ce dimanche très , très humide !
C'est deux " cacas " qui font la guerre. La diarrhée arrive et leur demande :
Je peux faire la guerre avec vous ?
Et les deux " cacas " répondent :
NON! parce que la guerre c'est réservé pour les durs !
Une blonde téléphone à une pizzeria pour passer une commande.
Le livreur, au bout du fil, lui demande :
Je vous coupe la pizza en quatre ou en huit morceaux ?
Quatre!! je n'arriverai jamais à en manger huit ! !!!
Bonne fin d'après-midi
Le saviez-vous ?
La Corrèze est un département qui regorge d’activités artisanales d’excellence... C’est le cas de la manufacture Maugein, une entreprise française de fabrication d'accordéons fondée en 1919 à Tulle par les frères Jean, Antoine et Robert Maugein. cette structure située à Tulle qui fait vivre l’accordéon au fil des années et fabrique cet instrument de A à Z en fonction des envies des musiciens. Labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV), la marque phare du musette a su faire de son art ancien une offre adaptable qui sert encore et toujours la musique d'aujourd’hui.
Fabriquer des accordéons en Corrèze est une pratique qui ne date pas d’hier. L’artisanat de la manufacture Maugein perdure depuis maintenant plus d’un siècle. L’accordéon arrive en France en 1887. « C’est François Dedenis, ébéniste, originaire de Brive-la-Gaillarde, qui a trouvé cet instrument sympathique et a voulu en fabriquer à son tour dans sa ville natale », raconte Richard Brandao, président de la manufacture d'accordéons Maugein. En 1906, l’ébéniste organise un concours d’accordéon et un certain Jean Maugein le remporte. François Dedenis décide alors de travailler avec ce musicien dans sa fameuse fabrique à Brive.
Pendant la première guerre mondiale, la production s’arrête. A la fin de cette guerre, Jean Maugein propose d’ouvrir un magasin pour réparer les accordéons dans la jolie ville de Tulle. En 1919, la manufacture Maugein nait. Les compagnons continuent pendant un long moment à travailler ensemble pendant les débuts de la belle époque de l’accordéon… « Il y avait du travail pour tout le monde ! », raconte Richard Brandao. Les frères de Jean l’ont rejoint en 1923 pour créer Maugein Frères et ont commencé industriellement à fabriquer des accordéons diatoniques, puis chromatiques. Maugein prend vite le dessus sur Dedenis et arrive dans les années 1950 à une entreprise qui emploie 289 personnes. Une histoire à la limite du romanesque qui montre l’importance de ce savoir-faire artisanal et de cette richesse matérielle et culturelle qui perdure dans le temps.
Une manufacture qui a fait ses gammes
Après l’arrivée du rock’n’roll l’accordéon est un peu délaissé. « Il a été un peu boudé », remarque le président de la manufacture. Pourtant, cet instrument populaire n’a jamais cessé d’être fabriqué pour accompagner les musiciens passionnés. Actuellement, la manufacture Maugein à Tulle compte douze employés. L’entreprise corrézienne est aujourd’hui spécialisée dans les accordéons chromatiques et diatoniques. « Notre particularité, explique Richard Brandao, réside dans le fait que nous sommes axé sur la personnalisation : ergonomie, décoration (carrosserie, peinture, mécanique, soufflet)… Tout est fabriqué en interne ! Nous dessinons nous-mêmes les accordéons donc tout est imaginable. La personnalisation peut même être acoustique avec des réglages de sons spécifiques. » Exit la fabrication standardisée où chaque objet est identique. Ici, tout un travail de réflexion est mené en amont avec le client afin de créer un accordéon selon ses envies. « Un accordéon moyen se fabrique entre trois et quatre mois, indique Richard Brandao. Pour les plus gros, la fabrication peut prendre sept à huit mois. Le client vient pour discuter et travailler sur l’acoustique de son instrument, sur l’ergonomie (nombre de notes, forme de l’accordéon), et sur la décoration (peinture, strass Swarovski, pochoirs). On dessine ensuite cet accordéon, puis on le fabrique. »
Ce lieu de fabrication ancien et rare cultive surtout une philosophie d’entreprise engagée et « Nous existons avant tout pour servir la musique et l’accordéon en particulier, confie le président de l’entreprise Maugein. Nous souhaitons être à l’écoute des nouveaux courants musicaux comme des anciens. Nous proposons un vrai accompagnement par rapport à l’envie des musiciens. » Labellisée EPV depuis 2007, l’entreprise compte pas moins de sept savoir-faire différents reconnus : le bois, le métal, les matériaux souples, la peinture, le décor, l’assemblage et l’accordage. Une pluridisciplinarité impressionnante qui montre à quel point la manufacture Maugein est une spécialiste dans son domaine de prédilection.
Reconnu comme instrument de musique depuis 1985, l’accordéon se décline sous des formes diverses et variées. « A l’époque, chaque région avait sa configuration d’instruments et des sonorités différentes, raconte le président de Maugein. Certaines personnes qui ont 60 ans aujourd’hui ont pu apprendre sur un système belge, breton, celte, basque ou italien et nous pouvons les refaire avec ces claviers qui sont anciens pour que les gens n’aient pas à réapprendre l’accordéon. »
La visite guidée organisée au sein de la fabrique donne d’ailleurs une toute autre vision de cet instrument riche et complet, qui refait son apparition depuis plusieurs années sur le devant de la scène. C’est notamment l’artiste Claudio Capéo qui a encouragé de nombreux jeunes à apprendre l’accordéon. « Nous avons développé récemment un petit instrument pour les joueurs à partir de 4 ans, ajoute monsieur Brandao. C’est en 2016 que j’ai dessiné ce petit accordéon de 27 cm de long et de 3,7 kg, compatible pour les plus petits mais aussi pour les adultes qui souhaitent jouer en voyage. » Sans changer son essence et sa spécialité, la manufacture a su évoluer et s’adapter au fil des années pour inscrire dans l’air du temps cet instrument à vent.
Bon dimanche
C'est une jeune fille en mini-jupe trop serrée qui fait la queue pour monter dans l'autobus. Voyant qu'elle n'y arrive pas car la jupe est vraiment très serrée elle passe ses mains derrière pour ouvrir un peu la fermeture éclair. Elle essaye à nouveau mais rien à faire la jupe est encore trop serrée. Elle recommence à passer ses mains derrière pour ouvrir plus la fermeture éclair et retente de monter dans le bus. Alors qu'elle n'y arrive toujours pas un homme derrière elle la prend soudainement par les fesses d'une façon très explicite et la fait monter dans le bus. La fille outrée insulte copieusement l'homme, le prenant pour un obsédé sexuel. Il lui répond :- Cela fait deux fois que vous me descendez ma braguette alors je pense que l'on se connaît suffisamment !
Le saviez-vous ?
" Les champignons poussent dans les endroits humides. C'est pourquoi ils ont la forme d'un parapluie."
Alphonse Allais
Le saviez-vous ?
La politique est l'art d'obtenir de l'argent des riches et des suffrages des pauvres, sous prétexte de les protéger les uns des autres.
Je ne parle pas aux cons, ça les instruit.
Audiard
Si j'avais encore l'argent que j'ai dépensé pour boire, qu'est-ce que je pourrais me payer comme apéritifs!
Celmas
Ne croyez pas ce proverbe "L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt", c'est une connerie. Prenez les éboueurs...
Jean Yanne
Je vous invite à faire un petit tour au chaud..............................................
Bonjour ! Vous n’êtes pas bien réveillé ? Ou plutôt un peu affolé, non perturbé voilà c’est le mot exact, perturbé non pas parce-que vous vous êtes levé un peu en retard, pas très grave pour un dimanche c’est jour de repos, mais parce-que vous venez d’entendre à la radio qu’il faut avancer votre montre d'une heure et oui c’est aujourd’hui que l’on modifie le rhytme de notre organisme et ceux pour 6 mois ! Tout cela pas très réjouissant car pendant 8 jours minimum vous allez vivre en décalé avec vos habitudes ………..mais bon pas le choix comme beaucoup de choses en ce début 2016. Le deuxième effet perturbateur c’est qu’à midi vous recevez la famille ! Et que le temps n’est pas vraiment de la partie car, C’est le dimanche de pâques et tous les ans c’est la tradition, dans le jardin une mystérieuse chasse aux trésors s’organise. Selon cette tradition, en revenant de Rome, les cloches qui se sont tues depuis le jeudi Saint au soir, y répandent, œufs, cloches, cocottes et autres gourmandises...
Ensuite c'est une grande partie de la famille qui va se retrouver autour de votre table bien garnie pour la circonstance, papy aura comme d’habitude maitrisé à merveille la cuisson du gigot d’agneau (au capucin, à la cheminée ! s’il vous plait !) pour ceux qui ne connaissent pas le capucin est un tourne broche mécanique (système horloge) qui permet une cuisson lente devant les flammes de la cheminée d’où le régal d’une cuisson au feu de bois …. A moins que vous optiez pour la méthode suédoise !Agneau rôti à l'ail-clouté Ensuite viendra la traditionnelle distribution des cloches en chocolat noir, blanc ou au lait le régal des plus petits mais des grands aussi et des plus âgés encore plus ! enfin bref tout cela pour dire qu’en ce 4ième dimanche de mars vous n’êtes pas en avance du tout et qu’il va falloir mettre les bouchées doubles pour assurer comme d’habitude la renommée de votre rôle de parent et grand –parent en démontrant que chez vous l’heure c’est l’heure et qu’il est de tradition de la respecter et de la faire respecter, depuis 40 années que l'on nous impose cette perturbation bi-annuelle ce n’est un changement de plus ou de moins qui va vous perturber !…voilà donc je vous laisse vaquer à vos préparatifs et vous souhaite un bon dimanche en famille ! Attention pensez à consommer comme d’habitude avec modération « même le chocolat « !
Bon dimanche
Le billet du "dimanche" https://t.co/7cr8oJdfUU #LebilletduDimanche
Le billet du "dimanche" - Le blog de Papy-bougnat
lespassionsdepapybougnat.net/2015/12/le-bil…
Petite .... PIQURE DE RAPPEL............ Aux conseils régionaux nouvellement élus dimanche dernier A tous les hommes/femmes politiques élu(e)s dimanche dernier et qui ont juré que "plus rien ne sera comme avant" (X. Bertrand), qu'ils veilleront à "gouverner...