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11 janvier 2018 4 11 /01 /janvier /2018 09:49

L'enquête d'aujourd'hui nous mène sur les mythes & manipulations liés au cholestérol

( santé)

 

« L’idée qu’il faille réduire le taux de cholestérol au plus bas vise simplement à encourager la consommation de médicaments. » Une enquête signée Arte.

Dans un documentaire passionnant, Arte montre comment le « mythe » du cholestérol a été construit de toute pièce. Le taux de cholestérol serait un bon indicateur du risque cardio-vasculaire d’un individu. Or, aussi surprenant que cela puisse paraître, ce n’est pas le cas. Explications.

Dans « Cholestérol, le grand bluff », Arte décrypte comment des approximations scientifiques ont permis de désigner le cholestérol comme le coupable idéal des maladies cardio-vasculaires. De nombreux médecins et chercheurs dénoncent aujourd’hui ce dogme qui permettrait avant tout d’encourager la consommation de médicaments.

Regardez, c’est édifiant :

Depuis les années 50, chacun se représente le cholestérol comme un excès de mauvaises graisses dans l’organisme qui affecteraient toutes les tranches d’âge.

Or, selon Arte :

« Un nombre croissant de chercheurs en médecine dénoncent ce qu’ils considèrent comme un vaste mensonge, façonné à la fois par une série d’approximations scientifiques et par de puissants intérêts économiques, de l’industrie agroalimentaire d’abord, des laboratoires pharmaceutiques ensuite. Les facteurs avérés de risque, affirment ces recherches convergentes, sont en réalité le tabac, l’hypertension, l’obésité et le manque d’exercice. »

À travers le monde, 220 millions de patients consomment des traitements anti-cholestérol (les statines) malgré leurs effets secondaires avérés. Les statines, dont les études cliniques ont été financées à 80% par des laboratoires, sont d’ailleurs devenues le médicament le plus vendu de toute l’histoire de la médecine. La plupart du temps, ces pilules sont prescrites d’office sans même envisager d’autres mesures préventives.

La réalisatrice Anne Georget est partie à la rencontre de médecins, chercheurs, cardiologues, journalistes médicaux et nutritionnistes afin de dénoncer ces manipulations. Une enquête particulièrement documentée à ne surtout pas rater.

Pour (re)voir « Cholestérol, le grand bluff », rendez-vous ici. Et pour aller plus loin, nous vous conseillons également l’entretien avec Dominique Dupagne diffusé suite à ce documentaire. Ce médecin généraliste prend régulièrement position sur des questions de santé publique.Pour ne plus jamais dire « je ne savais pas ».

Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

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9 janvier 2018 2 09 /01 /janvier /2018 07:50

Tenir ses bonnes résolutions de santé, facile à dire !

Obésité, tabac, manque d’activité physique et stress sont les quatre principaux facteurs de risques qui poussent les individus à agir.

Les maladies cardio-vasculaires continuent de faire des dégâts considérables dans tous les pays industrialisés en dépit des progrès considérables de la médecine accomplis depuis un demi-siècle. Comment expliquer ce paradoxe alors que les principaux facteurs de risque sont eux aussi bien connus, en particulier sur le plan cardio-vasculaire?

«On sait peu de chose sur l’association entre le comportement d’un individu et la perception qu’il a de la nécessité d’améliorer sa forme physique»

Journal of the American Heart Association

D’abord, bien sûr à cause du tabac, de l’alcool, de l’excès de poids et du manque d’activité physique (sédentarité). Mais aussi, selon le Dr Daniel Ramirez, cardiologue, et ses collègues de l’université d’Ottawa (Canada), parce qu’au niveau individuel savoir ce qu’il faut faire pour sa santé ne suffit pas pour qu’on le fasse.

«Si l’importance des stratégies de prévention primaire (avant que ne survienne la maladie, NDLR) est bien connue», écrivent-ils dans le Journal of the American Heart Association, «on sait peu de chose en revanche sur l’association entre le comportement d’un individu et la perception qu’il a de la nécessité d’améliorer sa forme physique.»

En interrogeant 45.000 résidents de six provinces canadiennes, les chercheurs se sont aperçus que les quatre principaux facteurs de risques susceptibles d’entraîner la prise de conscience qu’il fallait faire quelque chose pour améliorer sa santé étaient dans l’ordre: l’obésité, le tabac, le manque d’activité physique et le stress. Trois personnes sur quatre pensaient qu’elles devaient faire quelque chose pour leur santé. Proportion identique pour les hommes et les femmes. La prise de conscience concernait jusqu’à quatre personnes sur cinq parmi les fumeurs (ils étaient 24 %), les obèses (20 %) ou les sédentaires (56 %). En revanche la proportion baissait sensiblement (60 %) à partir de 60 ans.

Des résolutions assez limitées

Pour la coach, Isabelle Bérard (Institut des neurosciences appliquées, Paris), «La prise de conscience se travaille au travers d’un travail de questionnement avec la personne sur les conséquences que cela peut avoir si l’on ne s’attaque pas au problème et en l’aidant à se projeter dans la situation cible comme si on y était, à vivre l’expérience de la situation idéale comme si on y était.»

L’étude canadienne montre que plus on a de facteurs de risque et plus il y a de chance pour que l’on soit motivé à agir mais les résolutions prises s’avèrent finalement assez limitées. D’abord, un individu à risque élevé sur cinq n’envisage pas de changer ses habitudes de vie. Ensuite, parmi ceux qui ont pris des résolutions cette année, la moitié veut «faire davantage d’exercice», un cinquième «améliorer son alimentation», mais on tombe ensuite en dessous de 10 % de volontaires lorsqu’il s’agit d’arrêter de fumer, de réduire sa consommation d’alcool, de perdre du poids, ou de réduire son niveau de stress.

«Tout le monde sait qu’il faut manger moins gras et moins sucré, ne pas fumer et faire du sport mais on ne dit jamais comment faire pour y arriver»

Fabien Guez, cardiologue

«Tout le monde sait qu’il faut manger moins gras et moins sucré, ne pas fumer et faire du sport mais on ne dit jamais comment faire pour y arriver!», explique le cardiologue Fabien Guez, dont le livre au titre provocateur Comment avoir une crise cardiaque , sortira le 1er juin (Éditions Hugo Doc). «Le problème des maladies cardiaques, c’est qu’elles sont bien propres, ajoute-t-il. On ne les voit même pas. L’hypertension, le diabète, le cholestérol, ce sont des chiffres, la tension artérielle, pareil!»

La moitié des personnes interrogées par l’équipe de l’université d’Ottawa évoquent des freins qui les empêchent de tenir leurs bonnes résolutions de santé. Les trois principaux sont le manque de volonté ou d’autodiscipline, les horaires de travail et les responsabilités familiales. Ce n’est pas par hasard que les médecins se tournent désormais vers les psychologues, coachs ou même écrivains pour aider leurs patients. Dans son livre ,Prenez la santé de votre cœur en main (Leduc.S Éditions), le cardiologue du sport Laurent Uzan cite ainsi L’Alchimiste de Paulo Coelho: «Il n’y a qu’une façon d’apprendre, c’est par l’action.»

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6 janvier 2018 6 06 /01 /janvier /2018 06:36

L'info majeure de la semaine :

"Smartphones, serveurs de « cloud » ou ordinateurs, une grande partie des appareils informatiques sont concernés par ces attaques. Des correctifs sont en train d’être déployés."

Meltdown et Spectre, les deux failles critiques découvertes dans la plupart des processeurs. Des chercheurs ont annoncé, mercredi 3 janvier, avoir mis au point deux cyberattaques permettant la captation de données efficaces contre un très grand nombre de modèles de processeurs, en particulier ceux fabriqués par l’américain Intel.

 Lire la suite

Failles Intel suite..........

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5 janvier 2018 5 05 /01 /janvier /2018 11:32

" Conso,Boulot,Dodo"

Qu'est-ce qui nous pousse à consommer toujours davantage et pourquoi ne sommes-nous jamais satisfaits ?

La société de consommation voudrait nous plonger toutes et tous dans une course sans fin au toujours plus. Toujours plus de besoins, toujours plus d’envies, toujours plus d’achats… et toujours plus de frustrations. Comment expliquer ce paradoxe ? Comment expliquer que l’accumulation des biens conduit à l’accumulation des désirs ?

Arte s’est posé la question et nous offre le fruit (passionnant) de sa réflexion.

S’intéressant à notre rapport au temps, Arte a lancé (Tr)oppressé une série d’épisodes consacrés aux habitudes et aux comportements de l’époque. Arte :

« Sous pression en permanence, nous manquons tous de temps, nous courons partout avec le sentiment que nos vies nous échappent, que plus rien n’a de sens. Nous chérissons nos merveilleuses technologies, leur vitesse et ces frissons, ce monde où en quelques clics, nous avons l’impression de pouvoir tout obtenir. Mais au final, est ce que tout ça nous rend plus heureux ? »

Baptisé Conso, boulot, dodo, le deuxième épisode de (Tr) oppressé s’est penché sur ce qui nous pousse à acheter et à succomber si vite à nos pulsions consuméristes avec, en toile de fond, cette interrogation : « Une satiété de consommation peut-elle exister dans une société de consommation ? »

Regardez, c’est plutôt bien vu

Voir la vidéo

Christophe Bouton, philosophe auteur de Le Temps de l’urgence :

« Il y a une urgence de la consommation qui est orchestrée et organisée.

(…)

Ce mode de consommation crée des habitudes chimiques qui créent une forme d’impatience. Si le désir n’est pas satisfait immédiatement, on peut avoir une forme de frustration. »

D’où l’importance de se tenir à l’écart (tant que possible) de cette frénésie rationnelle du toujours plus. Une réflexion précieuse servie avec intelligence par Arte.

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4 janvier 2018 4 04 /01 /janvier /2018 08:09

" Malgré le chômage, les attentats islamistes, la Corée du Nord, le réchauffement climatique, la déforestation, l’Iran, Trump, Zika, Harvey Weinstein, la folie financière, le bitcoin et la tempête Carmen, la Terre et l’humanité ont survécu à 2017 !! Alors bravo à tous, et bonne année 2018 !!! Je plaisante à peine. En réalité, pas plus qu’un autre, je ne sais ce qui va arriver à court terme. Mais je vais malgré tout formuler un vœu pour 2018, que l’année 2018 soit une année… érotique. Vous vous demandez peut-être ce qui me prend. Vous allez voir, c’est très clair. "

Cela va faire 50 ans que Gainsbourg et Jane Birkin chantaient « 69 année érotique ». Mais les choses se sont profondément dégradées ces derniers mois avec l’affaire Harvey Weinstein, ce producteur d’Hollywood poursuivi par des dizaines de femmes, et le mouvement « Balance ton porc » sur Twitter.
On est en train de tuer l’amour.

Les hommes et les femmes normaux, qui n’agressent ni ne violent personne, sont en effet les victimes innocentes des dérives sexuelles d’une minorité de « cochons » mal élevés qui se croient tout permis.
A cause des abus de quelques-uns, la suspicion, la méfiance, sont en train de gagner la société tout entière, au point qu’il devient de plus en plus problématique de se rencontrer, se parler, se séduire, sans s’inquiéter d’être un jour sanctionné par des dénonciations non méritées. 

Dans mes années de maternelle, il y avait des garçons qui aimaient tenir des propos dégoûtants, faire des gestes obscènes, soulever les robes des petites filles, et la maîtresse avait le plus grand mal à les en empêcher. Plus tard, vers l’adolescence, la conversation principale en cours de récréation portait sur l’accomplissement par certains garçons de la classe, particulièrement « avancés », d’expériences sexuelles sordides. Quant aux autres, les garçons polis, bien élevés, il est évident que certains, sous des allures discrètes, cultivaient aussi des désirs et des mœurs discutables. Tous les hommes ne sont-ils pas, à des degrés divers, des détraqués sexuels ? Les femmes en tout cas doivent faire preuve de la plus grande vigilance pour distinguer celui qui est bien intentionné, de celui qui ne l’est pas. Beaucoup d’hommes sont sournois et prêts à tout pour parvenir à leurs fins, en particulier à mentir. Bien souvent, la femme ne découvre la vérité que lorsqu’il est… trop tard. Tout ceci pour dire qu’il est dur, et risqué, d’être une femme !
C’est pourquoi beaucoup de civilisations n’ont pas trouvé d’autres solutions à ce désir charnel prétendument irrépressible des hommes que d’enfermer les femmes chez elles, dans une hutte ou une case ou dans des harems fermés par de hauts murs. Elles ne peuvent sortir qu’accompagnées de leur père ou leurs frères, habillées de vêtements protecteurs. En Occident, la sécurité des mêmes femmes a longtemps reposé sur une éducation stricte dès le plus jeune âge, des règles de morale intransigeantes, sans oublier un appareil de police et de justice sophistiqué et répressif contre les hommes incapables ou non-désireux de se maîtriser. Tout ceci est le mauvais côté de la médaille du désir sexuel masculin.
Mais heureusement il y a l’autre côté.

Le désir charnel n’est pas que négatif et pas que masculin.
C’est ce désir qui permet l’érotisme, qui est le couronnement d’une relation amoureuse réussie. C’est alors la plus belle expérience que l’on puisse vivre.
Eros était le dieu de l’Amour chez les Grecs.
Platon le désignait comme « celui qui fait le plus de bien aux hommes », « le plus ancien, le plus auguste, et le plus capable de rendre l’homme vertueux et heureux durant sa vie et après la mort ».
Les plus grands maîtres spirituels et religieux, y compris Jésus et y compris Sainte-Thérèse de Lisieux en plein 19e siècle répressif, expliquaient que « l’amour peut tout », « l’amour déplace des montagnes », « sans l’amour je ne suis rien »…
Vladimir Poutine lui-même, pourtant loin d’être un exemple en la matière, a encore déclaré à la télévision russe dans ses vœux pour 2018 : « Dites entre vous les mots les plus tendres, pardonnez les erreurs et oubliez les ressentiments, acceptez l’amour, réchauffez-vous de soins et d’attention mutuels. »
C’est que l’amour respectueux, intense et authentique est une des expériences les plus folles qui puisse arriver à l’être humain.

En conclusion nous pouvons dire que la résistance, en 2018, sera donc celle des hommes et des femmes qui refuseront l’amour, pasteurisé, javellisé.
Ceux qui, loin de fuir, de se protéger, d’éviter, resteront tournés vers les autres et se tiendront prêts à vivre l’aventure. Ceux qui continueront à oser se donner totalement, et à vivre l’expérience érotique absolue, sans céder aux menaces, aux chantages des frustrés ou des bien-pensants.

 

 Bonne année 2018… érotique !!

 

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