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29 décembre 2017 5 29 /12 /décembre /2017 10:20

En voilà un sujet qu’il est...Insolite………….

Une usine de viagra booste la libido des villageois

Pfizer a ouvert son usine de Viagra à Ringas Kiddy (Irlande) il y a 20 ans. Depuis, divers phénomènes étranges y auraient été remarqués (y compris une vague soudaine de naissances), et tous tendraient à prouver une activité sexuelle sans égale. Certains habitants sont même formels : « une bouffée d’air frais et vous êtes raide. »

 « Le village irlandais du Viagra à RingasKiddy se rit de la concurrence britannique ».

Si les habitants de cette bourgade du Sud de l’Irlande se gaussent de l’arrivée du Viagra dans les pharmacies Britanniques, c’est parce qu’ils affirment que depuis l’implantation chez eux il y a 20 ans de l’usine Pfizer qui produit la petite pilule bleue ; les hommes du village auraient une libido beaucoup plus intense que la normale. Et les responsables seraient : les vapeurs de l’usine ! 

Sadie, une coiffeuse blonde et vive déclare sans sourciller au Times que le village reçoit gratuitement depuis des années les fumées d’amour des cheminées de l’usine et que depuis la mort de son mari il y a plusieurs années, elle n’est jamais restée seule. De son côté, Debbie, l’employée d’un bar, est formelle : « une bouffée d’air frais et vous êtes raide ». 

Des habitants affirment que le viagra s’est diffusé dans l’eau, lorsque d’autres prétendent que le village aurait connu un baby-boom dès l’année qui a suivi la mise en service de l’usine. On raconte aussi que des jeunes hommes du village auraient l’habitude de se tenir face au vent pour respirer profondément les volutes de viagra. 

Et personne à Ringaskiddy n’est épargné par le phénomène… même les chiens seraient connus pour se promener dans les rues dans un intense état d’excitation sexuelle. 

Aucun scientifique ne s'est encore penché sur la question. Mais le porte-parole du laboratoire Pfizer, a réagi à cette histoire en parlant d’un mythe et en assurant que les processus de fabrication étaient très sophistiqués et hautement réglementés. On serait quand même très heureux que des chercheurs se mettent à étudier le phénomène. 

Quoiqu’il en soit le viagra est souvent cité en science pour décrire la notion de sérendipité qui est le fait de réaliser une découverte scientifique de façon fortuite. 

Car au départ la pilule bleue n’était pas destinée à redonner de la vigueur aux verges paresseuses. 

Non, elle était testée pour traiter l’angine de poitrine. Et c’est au cours des essais cliniques de phase 1, que les chercheurs se sont rendus compte d’une petite anomalie chez les hommes ayant pris du Sildénafil, le nom de la molécule. 

En 1998, le Viagra sort aux Etats-Unis et l’année suivante en Europe. Les ventes sont gigantesques et ont rapporté plus de 2 milliards de dollars à Pfizer faisant de son médicament star le premier traitement du dysfonctionnement érectile ! Et ça ce n’est pas une légende irlandaise.  

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28 décembre 2017 4 28 /12 /décembre /2017 19:42

 

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27 décembre 2017 3 27 /12 /décembre /2017 08:41

L’un des derniers "ciriers" de France dans la Sarthe l'histoire de l'un de ces vieux métiers qui sont en voie de disparition 

À 57 ans, Patrice Charton est l’un des dix derniers artisans ciriers de France. Il a repris l’atelier de son père, et ne connaît pas la crise, malgré la concurrence des bougies industrielles.................

Les bougies de Patrice Charton servent notamment de cierges dans les églises sarthoises. / © JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP

Sur le tourniquet appartenant à son grand-père, Patrice Charton accroche 60 mèches de coton qu’il plonge minutieusement dans un bain de cire. Cet artisan cirier, l’un des derniers de France, fabrique bougies et cierges à l’ancienne et son carnet de commandes ne désemplit pas à l’approche des fêtes de fin d’année.

« Je dors pas beaucoup, 3-4 heures », confie le cirier qui, dans son atelier de Vion (Sarthe), ne sait plus où donner de la tête. « Quand je suis en forme, je peux faire 1 500 voire 1 800 bougies par jour », raconte l’artisan de 57 ans. Il s’interrompt pour aller chercher avec sa brouette des copeaux de bois dans son garage pour alimenter sa vielle chaudière qui chauffe à 70 degrés les cuves de cire par un système de vapeur d’eau.

Pour confectionner cierges de dévotion, de Pâques ou bougies parfumées, « la technique est la même depuis 100 ans », explique M. Charton. « Je tends chaque mèche de coton tressé, 480 ficelles, sur le manège à cierge que je plonge dans des bains successifs de cire. Je laisse ensuite refroidir », détaille l’artisan. Il répétera son geste une quinzaine de fois pour un simple cierge de 14 millimètres de diamètre. « La cire se dépose millimètre par millimètre » et épaissit la bougie. Avec une broche en bois, l’artisan perce le cierge pour permettre la pose sur les pics des brûloirs des églises.

« Les outils sont rudimentaires, ce qui compte c’est le savoir-faire », transmis par son père et avant lui son grand-père. « Il utilisait du suif de porc, vous vous imaginez les odeurs dans l’atelier ! Maintenant on se sert de la paraffine, un dérivé du pétrole ». Il apprend le métier de cirier à 18 ans, « lorsque mon père s’est blessé à un match de foot. J’ai dû l’aider à l’atelier puis cela me plaisait alors je suis resté », raconte M. Charton.

Un cierge de 23 kg


« À l’époque de mon grand-père, il y avait un cirier dans chaque bourg mais l’électricité et le changement des habitudes religieuses ont mis fin au métier », poursuit-il. À sa connaissance, ils sont une dizaine d’artisans ciriers en France. Et son affaire ne connaît pas la crise malgré la concurrence des bougies industrielles. « J’ai ma clientèle, beaucoup de religieux ». Son pic de production intervient lors de la période de Noël et pour Pâques c’est « la folie ».

Dans son petit atelier où il est en t-shirt toute l’année, cohabitant avec sa chaudière, ses cuves de cire et sa table de découpe, le téléphone ne cesse de sonner. Au bout du fil, une commande de dernière minute de l’église de la commune pour une Couronne de l’Avent. Une nouvelle page de son bloc-notes s’intercale sur une étagère déjà bien garnie.

De la fabrication de la bougie, à la facturation, jusqu’à la livraison, Patrice Charton s’occupe de tout. Il passe des heures seul dans son atelier. Un fond de musique vient accompagner ses journées. « L’année dernière j’ai fabriqué un cierge d’autel à base de cire d’abeille pour La Communauté Saint-Martin à Evron (Mayenne) d’1m30 de hauteur et 140 mm de diamètre. 23 kilos la bête. Il m’a fallu une semaine de travail ».

Ses fabrications à partir de cire naturelle d’abeille est sa « plus-value ». L’abbaye de Solesmes (Sarthe), l’un de ses plus gros clients, mais également des particuliers sont demandeurs. Le cirier vend ses bougies au kilo, il faut compter 60 euros pour 2 kg. Il s’adapte à la demande et fabrique « des bougies parfumées à base d’essences naturelles, réalise de la sérigraphie, des photophores... »

Mais malgré « sa bonne situation », l’avenir de son entreprise n’est pas assuré. L’une de ses filles travaille dans le service qualité d’une entreprise et la seconde poursuit des études de langue. « Je ne vois pas mes filles reprendre l’affaire quand elles voient le temps que j’y passe », concède l’artisan. À deux ans de la retraite, Patrice Charton ne compte pas éteindre la flamme aussitôt et garde l’espoir « de transmettre son métier ».

 

​​​​​​​Source : France 3 Pays de la Loire)

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26 décembre 2017 2 26 /12 /décembre /2017 11:58

Le savon de Marseille au cœur d'un conflit monstre..

Trois associations différentes portent chacune leur propre vision du Savon de

Marseille pour une possible indication géographique protégée.

Des visions incompatibles ? Cette bataille bloque en tout cas l'avancement des dossiers.

 

Simplicité, propreté. Dans l'imaginaire français, le savon de Marseille tient une place particulière pour laver le linge ou les gens. Le cube que l'on associe généralement à ce nom a laissé la place à un florilège de formes, de couleurs, de parfums, sans oublier le savon de Marseille liquide… Difficile pour le consommateur de s'y retrouver face aux très nombreux produits qui affichent ce nom évocateur, pas toujours fabriqués en France. La preuve? En cherchant "savon de Marseille" dans Google, la requête "véritable savon de Marseille" est très rapidement suggéré… Mais il faut dire que les fabricants eux-mêmes ne parlent pas d'une même voix.

Après l'Union des Professionnels du Savon de Marseille (UPSM), après l'Association des Fabricants de Savon de Marseille (AFSM), voici l'Association Savon de Marseille France (ASDMF). Ce nouvel acteur –pas si nouveau mais qui fait son retour sous une nouvelle forme d'ailleurs– s'invite dans cette bataille autour de la définition d'une indication géographique protégée pour le savon de Marseille. Depuis la loi Hamon de 2014, des indications géographiques protégeant les produits industriels et artisanaux sont en effet possibles. Et le savon de Marseille a très rapidement fait l'objet de demandes d'IGPIA. Oui de demandes, au pluriel, car les acteurs du secteur n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur les critères à retenir.

Résultat? L'UPSM, qui compte les savonneries Fer à Cheval, Le Sérail, du Midi et Marius Fabre, estime qu'un savon de Marseille doit être fabriqué à partir d'un procédé ancestral traditionnel, avec des matières premières végétales et dans les Bouches-du-Rhône. L'AFSM s'appuie quant à elle sur un territoire un peu plus large, la Provence, avec un savon de Marseille à base végétale et un procédé de fabrication pouvant être moderne mais "écologique" selon la secrétaire générale de l'association. Dans ce contexte, quel est l'objectif de l'ASDMF, une association dont les membres viennent de toute la France? Porter une appellation "savon de Marseille" selon un procédé de fabrication et non selon une zone géographique.

La savonnerie de l'Atlantique et le laboratoire Provendi, membres de cette association "France", sont d'ailleurs deux acteurs importants du secteur et fournissent en matière première des entreprises… du sud-est de la France entre autres, selon Pascal Marchal qui rappelle que certaines entreprises façonnent le produit final à partir d'une base savon réalisée ailleurs. "Au bout d'un moment, on estime que ça suffit" s'irrite-t-il. En septembre 2016, avant même la création de l'association, ses membres avaient eux aussi leur dossier auprès de l'INPI, l'institut national de la propriété intellectuelle qui délivre les IGPIA, mais celle-ci leur avait reproché l'absence d'association justement et une délimitation géographique imprécise. La Cour d'appel de Paris s'est prononcée à ce sujet vendredi, uniquement sur la forme selon Pascal Marchal qui précise qu'"elle a indiqué que, contrairement aux indications géographiques alimentaires, seule une association pouvait déposer un dossier d'IGPIA". L'ASDMF, créée en février 2017, se dit prête à re-déposer "très rapidement" un dossier.

"Le dialogue est compliqué"

Pas facile pour l'INPI de trancher face à ces trois visions peu compatibles. D'autant que le dialogue entre les trois associations semble pour le moins compliqué: "Ce sont des conflits de cour de récréation" regrette Emilie Grangeon, secrétaire générale de l'AFSM. Cette association, qui regroupe 12 entreprises dont L'Occitane mais aussi de bien plus petites sociétés comme la Savonnerie des Alpilles, se déclare ouverte au dialogue. "Cela crée une confusion pour le consommateur et c'est préjudiciable et contreproductif pour l'ensemble de la profession" poursuit Emilie Grangeon avant de déplorer un "refus de dialogue " de la part de quelques acteurs.

"Le dialogue est compliqué" soutient aussi de son côté l'ASDMF. Si Pascal Marchal rappelle qu'un code sectoriel, le code AFISE, sur cette fameuse appellation "savon de Marseille" existe depuis 2003, il l'affirme: "nous ne pouvons pas avoir la politique de la chaise vide" sur la question de l'indication géographique. Ce que craint l'association, ce sont les conséquences sur l'emploi que cela pourrait engendrer. "Nous avons des clients qui nous ont envoyé des e-mails car ils s'inquiètent du flou autour de cette indication géographique" assure son président. Une chose est sûre: ce conflit entre les trois associations dans un marché du savon de Marseille que le président de l'ASDMF estime "à la louche" autour de 300 millions d'euros, n'est pas pour faire avancer l'établissement d'une indication géographique. Et ne va certainement pas aider le consommateur à s'y retrouver.

 

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23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 08:07

" Depuis jeudi 21 L'Hiver est là! Temps de grande monotonie, Longue, lassante et infinie.Du chaud soleil de L’été, Aux frais moments du printemps, En passant par la pâleur d'automne, Lé voilà, bien présent."

Mais voilà en ce début du mois de Décembre, la neige est déjà arrivée sur de nombreuses régions : aussitôt, tout le monde se réjouit, les vacances de Noël approchent, les stations de ski se préparent à recevoir des touristes...La neige ! Et aussitôt, on reçoit des annonces publicitaires "Vous êtes au courant ? La neige est arrivée dans nos stations !" On comprend que des enfants puissent se réjouir de l'apparition de la neige, mais ce délire autour de la neige me paraît bien excessif.
Il s'agit de promouvoir les stations de ski, d'inciter les gens à opérer une migration massive vers les chaînes de montagne. Mais, la neige signe surtout l'arrivée de l'hiver, des températures en baisse, des difficultés pour circuler, du verglas, des intempéries... 
Pourquoi tant d'engouement pour la neige ? C'est que nous sommes dans une société où le divertissement, les vacances, le plaisir l'emportent sur toute autre considération. La neige ? Une bonne nouvelle ? Pour les skieurs et les amateurs de glisse, sans doute... Mais qu'en est-il des SDF ? De ceux qui ont des difficultés à se chauffer ? Qu'en est-il des pauvres ? Dès qu'arrivent les grands froids, les plus démunis souffrent et risquent leur vie dans la rue. Comment peut-on se réjouir de l'arrivée de la neige, alors que tant de gens sont privés de logement, et ne peuvent se protéger du froid ?
La neige, c'est pour les riches, les très riches, ceux qui peuvent se payer des vacances au sport d'hiver. La neige est devenue un luxe réservé à une élite qui se délecte des plaisirs de la glisse. Mais combien de miséreux voit-on sur nos trottoirs, qui, dès l'arrivée des grands froids, subissent les rigueurs de l'hiver ? Combien d'entre eux survivront à cette épreuve ? Nos sociétés d'abondance ne sont même pas capables d'offrir un toit à ces exclus de la société. Noël approche, les magasins regorgent de marchandises, les victuailles s'entassent dans les rayons, la grande course aux achats a commencé.

Partout, c'est une profusion de produits qui s'offrent aux regards, c'est une débauche de friandises qui attirent les clients. Mais, dans la rue, des exclus de l'abondance connaissent les pires douleurs et les pires angoisses.

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