"Opération  Chammal"

Deux véhicules de l’organisation État islamique se déplaçant en Irak ont été traités par trois bombes guidées laser larguées par deux Rafales français, dimanche, nous  annonce ce lundi le ministère de la Défense. C’est la troisième frappe de l’aviation française. Tous les médias français en parlent abondamment.

L’opération française Chammal vise à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe EI. L’armée détaille que les forces françaises déployées pour cette mission comptent, depuis le 5 octobre, neuf avions Rafale, un avion de ravitaillement C135 et un avion de patrouille maritime Atlantique 2.

Il y a donc neuf avions Rafale là-bas depuis le 5 octobre. Ce lundi 20 octobre, ils ont lancé leur troisième frappe – en 15 jours – et cette frappe a détruit deux véhicules de l’EI. Cela fait une frappe tous les cinq jours. Avec des moyens aussi colossaux et des frappes aussi massives, la France va réduire l’EI en miettes d’ici peu ! ! ! , j’en suis persuadé Quand l’on sait que Le coût d’un avion engagé en surveillance aérienne ou en combat, revient à peu près (hors armements), et si on prend une moyenne de 3 heures par sortie (50 mn aller / 50 mn retour + ravitaillement et reconnaissance – ce qui est un minimum) sachant que le coût moyen d’un rafale est de 40.000 euros/h + armement (environ 15.000 à 60.000 euros unitaire pour une bombe GBU guidée laser donc 2 par avion et par sortie même si la bombe coute 25000 euros x 2 = 50000 + 3heures d’avion à 40000 euros de l’heure = 120000 euros + armement 50000 sachant que les mirages sortent au minimum  par 2 =, cela fait 340.000 euros la sortie  pour faire sauter deux pick-up ! apparemment cela semble être une affaire rentable en terme de rendement ! ! !(financier ….) selon nos dirigeants , il est évident que n’importe quel économiste privé  approuverai de telles dépenses surtout en cette période où l’on nous demande ou explique qu’il va falloir faire des réforment en profondeur  et qu’au final elles auront un prix ….vous me direz rajouté à une dette de 2 milliards d’euros à l’année ! nous ne sommes pas à un grain de sable de plus ou de moins …..

En fait à mes yeux et pour conclure je crois que c’est surtout le ridicule qui tue (la France) dans cette guerre.

      Retrouvailles

Séparés depuis 60 ans, les frères et sœurs Allan Healey et Margareth Mitchell se sont retrouvés grâce à une photo très ancienne postée sur Facebook.

Voilà une histoire qui va peut-être réconcilier (un peu) Facebook et ses détracteurs. Allan Healy et Margareth Mitchell, deux frères et soeurs aujourd'hui âgé de 66 et 67 ans, se sont retrouvés il y a peu grâce à leurs recherches effectuées sur le réseau social de Mark Zuckerberg.

Séparés depuis 60 ans, ces deux Ecossais ne s'étaient plus vu depuis 1954, date à laquelle leurs parents s'étaient séparés. Margaret était alors restée vivre en Ecosse avec sa maman, tandis que ses deux frères avaient rejoint l'Angleterre avec leur père, explique la presse écossaise ces derniers jours.

Mais bien des années plus tard, Allan Healy a entamé des recherches pour retrouver sa sœur. Les méthodes "traditionnelles" étant bien trop longues à son goût, le sexagénaire a décidé d'utiliser Facebook pour tenter de renouer le contact avec sa famille,en postant une photo des trois frères et sœurs datant d'avant leur séparation (voir ci-dessous).

La photo postée sur Facebook qui a permis aux deux frères et soeurs de se retrouver. Margaret est au centre, Allan à droite. L'autre frère, Steward, est à gauche.

 C'est à ce moment que la chance est venu aider les deux frères et sœurs. En effet, comme le rapporte le quotidien le Daily Records, Margaret cherchait elle aussi son frère sur Facebook. Grâce à un de ses voisins, elle est alors tombée sur la photo d'Ilan et a tout de suite reconnu son frangin. Après quelques messages envoyés, les deux sexagénaires ont rapidement décidé de se revoir.

"Quand nous nous sommes revus, je suis sorti de la voiture, et nous nous sommes jetés dans les bras l'un de l'autre", se souvient Allan. "Ma sœur était en larmes, moi aussi. C'était très émouvant."

L'autre frère, Steward, âgé de 69 ans, n'a de son côté pas pu être présent pour les retrouvailles. Ce n'était pas par contre pas le cas de la mère de famille qui, à 88 ans et malgré la maladie d' alzheimer reconnu son fils. "Elle lui a tenu la main. C'était un moment touchant", assure Margaret.

Comme quoi Facebook n'a pas que du mauvais !

Au jardin....

"Offrez un beau manteau d'hiver à votre jardin"

Il n'est jamais recommandé de laisser les sols nus pendant la mauvaise saison. Sauf dans les terrains lourds et argileux où le «général Hiver» parvient, sous l'action du gel, à faire éclater les mottes sans que le jardinier n'ait à lever le petit doigt, mieux vaut leur offrir une chaude et solide couverture.

Ce peut être de la paille, des feuilles mortes et des résidus végétaux de toute sortes ou un engrais vert». Autrement dit une plante à croissance rapide qui «habillera» le sol d'un beau manteau de verdure et l'enrichira en humus et en éléments nutritifs une fois broyé et enterré à l'arrivée des beaux jours. D'où son nom.

Parapluie végétal

La protection contre les intempéries n'est pas le moindre avantage de cette technique agronomique, au demeurant facile à mettre en œuvre, y compris par un jardinier débutant. Les sols à dominante limoneuse sont, en effet, très sensibles à la «battance», un phénomène qui se manifeste par la formation d'une croûte superficielle dure et asphyxiante générée par l'impact des gouttes de pluie. En faisant office de parapluie végétal, les feuilles de l'engrais vert amortissent le choc et préservent la structure du sol qui sera plus facile à reprendre au printemps.

Autre intérêt: ce couvert végétal temporaire stimule la vie microbienne du sol, sert de nourriture aux précieux lombrics tout en limitant la propagation des «mauvaises» herbes. Non seulement il empêche ces dernières de germer, en privant leurs graines de lumière, mais il étouffe dans l'œuf toutes celles qui feraient mine de pousser. De quoi maintenir propres les parties non cultivées du jardin pendant toute la mauvaise saison. Et s'épargner la corvée de désherbage au printemps!

Trèfle incarnat

À cette période de l'année, vous avez le choix entre plusieurs espèces végétales: le trèfle incarnat dont la belle fleur, d'un rouge profond, attire le printemps venu papillons et insectes pollinisateurs, la vesce d'hiver, la féverole d'hiver, l'avoine ou le seigle que vous pouvez utiliser en mélange avec la vesce notamment.

Après avoir travaillé votre sol superficiellement au moyen d'une houe ou d'un trident, semez les graines à la volèe en essayant de les répartir le plus harmonieusement possible. Enterrez-les en donnant des petits coups de râteau puis arrosez copieusement si le temps est sec afin de hâter la germination et la levée. Pour que l'opération soit efficace, votre parcelle doit être entièrement végétalisée avant l'arrivée des premiers froids, il est vrai de plus en plus tardive ces derniers temps.

Précieux fertilisants

Au retour des beaux jours, lorsqu'il aura rempli son office, broyez l'engrais vert au moyen d'une tondeuse à gazon (réglée en position haute) et enfouissez-le dans les premiers centimètres du sol pour qu'il se décompose, enrichisse la terre en humus et nourrisse la culture suivante. En captant l'azote atmosphérique, les légumineuses, comme le trèfle, la vesce, ou la féverole, agissent en effet comme de précieux fertilisants.

Prévoyez un délai d'un mois minimum entre le retournement de l'engrais vert et les nouveaux semis ou plantations afin de laisser le temps aux bactéries et aux champignons décomposeurs de «faire le job». Mais ne vous hâtez pas trop non plus: inutile de passer la broyeuse dès le premier rayon de soleil venu si vous prévoyez d'implanter des tomates ou des courgettes, en général autour de la mi-mai car votre sol ne sera plus protégé. En outre, l'engrais vert n'ayant pas le temps de fleurir, vous priverez vos yeux de la vue d'un beau tapis de couleur et les insectes butineurs d'une source précieuse de nourriture.