Question pour un Champion.
Je suis, je suis … : TOP !
Je suis un homme politique français,
J’ai été condamné en 1992 pour non-paiement au Trésor Public de 80.000 FF d’amendes de stationnement,
J’ai bénéficié d’une grâce présidentielle de François MITTERRAND le 09/05/1992, ce qui a fait que je ne les ai pas payées.
J’ai été condamné le 17/12/1998 pour un emploi fictif au sein de l’Association Régionale pour la Formation et l’Éducation des Migrants (ça ne s’invente pas) à Lille, où je touchais 8900 FF de salaire mensuel,
J’ai aussi été condamné pour recel d’abus de biens sociaux à 18 mois de prison avec sursis et 30.000 F d’amende
J’en ai juste perdu ma belle chevelure !
Je n’ai aucune conviction politique mais je me soigne,
Je suis Premier Secrétaire du Parti Socialiste Français
Je suis ...
Je suis …
Je suis …
..Harlem DESIR.
Cacophonie…
A peine annoncée, la refonte des taux de TVA en France a du plomb dans l'aile. Face à la grogne des secteurs concernés par les hausses, le gouvernement a d'ores et déjà ouvert la porte à des exceptions. Au risque de rendre le dispositif totalement illisible.
- Le taux intermédiaire de TVA passera de 7% à 10% le 1er janvier 2014. Les secteurs concernés sortent leurs griffes. Des exceptions sont possibles, a annoncé le gouvernement.
A peine dévoilé, le projet de réaménagement des taux de TVA a déjà du plomb dans l'aile. Le gouvernement a annoncé mardi 6 novembre une série de mesures pour relancer la compétitivité des entreprises françaises. Parmi elles: un crédit d'impôt de 20 milliards d'euros sur trois ans assis sur la masse salariale. Ces 20 milliards seront financés à moitié (10 milliards d'euros) par des économies supplémentaires dans les dépenses publiques et pour l'autre moitié par la hausse de la TVA et la fiscalité écologique.
L'évolution des taux de TVA aurait lieu le 1er janvier 2014. Le taux normal de TVA passerait de 19,6% à 20%; le taux intermédiaire de 7% dont bénéficient les secteurs de la restauration, du bâtiment et des travaux de rénovation, mais aussi les jeux et divertissement (cinéma, théâtre, concert), le transport de voyageurs, le bois de chauffage, etc., passerait lui à 10%. En contrepartie, le taux réduit qui concerne les produits de première nécessité (alimentation, énergie, cantines scolaires) serait abaissé de 5,5% actuellement à 5%. Le tout devant rapporter entre 6 et 7 milliards d'euros de recettes supplémentaires chaque année.
Et comme le gouvernement entend-il vérifier ce qui se passe réellement dans les cuisines de la centaine de milliers de restaurants classés comme traditionnels? "Ce sera aux députés de décider", à déclaré ce matin sur Europe 1 le ministre du Budget Jérôme Cahuzac. Les débats à l'Assemblée sur la TVA s'annoncent piquants. Ils promettent d'ores et déjà une belle cacophonie. Mais avec ce gouvernement, on commence à s'y habituer.