Le Blog De Papy-Bougnat

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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
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La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

[André Malraux]

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 Passion Palombe

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    Il y a 100 ans, Étienne Œhmichen devenait le premier homme à parcourir un circuit d'un kilomètre en hélicoptère . Le premier hélicoptère capable de parcourir un kilomètre en changeant de direction fut inventé d'Étienne Œhmichen, ce pionnier de l'aéronautique...
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Attention ! Passion Palombe...

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Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

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16 janvier 2017 1 16 /01 /janvier /2017 10:53

Polluer plus pour gagner plus,
 

véritable credo industriel

La rétro du lundi...........

Esquisse d’une véritable politique environnementale visant à prévenir les nuisances olfactives et visuelles générées par la jeune industrie, l’arrêté de février 1806 du préfet de police de Paris classe en trois catégories les fabriques selon leur toxicité, à l’instigation de Chaptal, ministre de l’Intérieur démissionnaire qui attire l’attention sur l’imminence d’un bras de fer opposant les industriels aux riverains mécontents d’odeurs qu’ils jugent délétères émanant de leurs usines : les plus dangereuses doivent être éloignées des habitations, les plus incommodes sont tolérées, les plus insalubres sont placées sous surveillance, cependant que le Conseil de salubrité, gestionnaire de la santé publique créé en 1801, se doit d’enquêter avant toute nouvelle implantation.

Si ces mesures, étendues à tout l’Empire dès 1810, permettent dans un premier temps d’endiguer la pollution en contenant les émanations, en élevant les cheminées et en enterrant les eaux usées, elles s’avèrent bientôt insuffisantes pour contrer d’une part l’ampleur de la croissance industrielle, d’autre part une urbanisation non réglementée incitant la population à paradoxalement encercler les sites des manufactures. En 1881, selon l’avocat Maxime Napia, il est des industries pouvant devenir « de terribles foyers d’infection épidémique » ou exposer les maisons environnantes « à des risques continuels d’explosion ou d’incendie ».

Quand certaines « sont susceptibles d’émettre des vapeurs désastreuses pour les fruits de la terre », d’autres « ruinent à tout jamais la santé du personnel qu’elles emploient. (...) Laissé libre, sans aucun contrôle, l’usinier, talonné par une concurrence chaque jour plus acharnée, ne songera souvent qu’à réduire ses frais généraux au strict indispensable et négligera, par suite, les mesures d’hygiène les plus élémentaires ».

Plaintes et pétitions nombreuses adressées à l’Administration préfectorale et aux corps élus aboutissent en 1932 à la promulgation de la loi Morizet prohibant l’installation d’une usine de première ou deuxième classe dans les zones réservées aux habitations, mettant enfin en accord urbanisme et législation des établissements classés, alourdissant les pénalités encourues par des industriels qui ne peuvent plus ignorer les déchets qu’ils rejettent dans l’atmosphère.

Deux siècles après que Chaptal ait soulevé de prééminentes questions liées au développement durable, l’ampleur de la tâche demeure colossale...

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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 18:08
La blagounette  du lundi...........( Rétro)

Toujours d'actu ! (publiée en octobre 2009 )

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2 janvier 2017 1 02 /01 /janvier /2017 12:40
La rétro du lundi.........

Septembre 2010: "Le ministre de l'intérieur de l'époque ( Brice Hortefeux ) ne cesse de mettre en garde les Français contre un risque térroriste qui serait " maximal" cette médiatisation suscite à cet égard bien des intérrogations ....

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26 décembre 2016 1 26 /12 /décembre /2016 15:05
La rétro du lundi

Orthographe à propos de la suppression de l’accent circonflexe, mais au fait depuis combien de temps existe-t-il ? Un petit retour en arrière….

Les accents sur la lettre e
et l’abandon de l’écriture gothique

 

(D’après « Mélanges littéraires, philologiques
et bibliographiques », paru en 1818)

 

Avant le règne de François Ier, qui débuta en 1515, on ne trouve aucun e accentué dans les manuscrits ni dans les livres imprimés, et cependant les différentes valeurs de l’e étaient déjà tellement distinctes, que, pour certains noms terminés en é, on écrivait ai. Si la distinction entre le u et le v, de même que celle entre le i et le j, est bien établie dès le XVIIe siècle, l’e accentué s’imposa en revanche plus tardivement, notre langue n’accouchant de l’accent circonflexe qu’au début du XVIIIe siècle. Et en 1814, la lettre e hérita par ailleurs temporairement d’un accent dit moyen sous l’impulsion de la célèbre imprimerie Didot.

Après la publication, en 1529, du Champ fleury au quel est contenu l’art et science de la deue et vraye proportion des lettres antiques, de Geoffroy Tory (vers 1480 - 1533), l’ajout des accents sur le e fait l’objet de propositions, le choix s’affirmant lentement avec la parution, au milieu du XVIe siècle, du Dictionnaire François-latin de Robert Estienne.

Mais le lexicographe et imprimeur royal Robert Etienne (1503-1559), dont le dictionnaire, paru en 1539, constitue le plus ancien dictionnaire latin et français, n’admettait l’accent aigu sur le e que lorsque cette lettre était en fin de mot. Ce n’est qu’en 1600 et 1615 que l’on inventa réellement l’accent aigu formant le é.

L’accent grave est, quant à lui, postérieur à 1706. L’érudit Joseph Scaliger (1540-1609) prétend cependant que le libraire-imprimeur vénitien Alde Manuce (1449-1515) est le premier qui a introduit dans le latin l’accent grave, la virgule et le point-virgule ; et qu’avant lui personne n’en avait fait usage. Cette assertion demande une explication ; car elle donnerait à entendre qu’avant Alde Manuce, il n’existait ni accent, ni virgule ; ce qui serait faux : disons donc que la plupart des signes de ponctuation sont fort anciens, mais que l’usage de les désigner tels que nous nous en servons maintenant, c’est-à-dire la valeur que nous leur donnons, est assez moderne.

Il n’est pas inutile, sur le sujet de la ponctuation ancienne, de consulter le tome III du Nouveau traité de diplomatique. On y trouve tout ce qui regarde la ponctuation des anciens ; les interponctions des inscriptions lapidaires et métalliques, des manuscrits et des diplômes ; les divers usages des points, des virgules et des accents ; les marques de corrections, de renvois, d’exponctions, de transpositions, etc. ; les obèles, astérisques, lemnisques, guillemets, réclames, et les divers autres signes employés dans l’écriture antique.

L’accent circonflexe est postérieur à 1730, c’est-à-dire à l’époque où l’abbé Charles-Irénée Castel de Saint-Pierre, écrivain, diplomate et académicien, écrivait sur l’orthographe un livre alors contrarié et mal apprécié : Projet pour perfectionner l’orthographe des langues de l’Europe. Il observe que chacune de ces innovations fit d’abord crier ceux qu’il désigne comme les gens à routine, contre ceux qu’ils appellent les novateurs ; mais que la convenance et le besoin l’emportèrent sur les arrêts mêmes de l’Académie.

À l’occasion de la parution, en 1814, d’une édition annotée de la Henriade de Voltaire, l’imprimerie Didot l’aîné imagina en 1814 un nouvel accent appelé moyen, et qui, devant être placé sur l’e, tenait le milieu entre l’accent grave et l’accent aigu, à peu près comme le son de l’e dans zèle tient le milieu entre le son de l’e grave dans procès et le son de l’e aigu dans bonté. La forme que Didot donna à cet accent moyen est toute simple : c’était un trait vertical, ne penchant ni à droite comme l’accent aigu, ni à gauche comme l’accent grave.

Il devait servir à fixer l’accentuation qui variait dans tous les dictionnaires pour l’e des mots règne, règle, sèche, fièvre, lièvre, sacrilège, fève, etc. Didot publia une petite dissertation sur cette heureuse innovation en tête de l’édition de la Henriade, qui fait partie de sa belle collection des meilleurs ouvrages de la langue française. Il fit usage de l’accent moyen dans ce volume ainsi que dans tous ceux qui le suivirent.

Passons à la distinction que l’on a faite entre la voyelle u et la consonne v d’une part, entre la voyelle i et la consonne j d’autre part, surtout dans les livres imprimés. On prétend que le premier qui a fait cette distinction, est Louis Elzevir, de Leyde, qui a commencé à imprimer en 1595, et qui a fini en 1616 ; mais il n’a adopté cette distinction que dans les lettres de bas-de-casse, c’est-à-dire dans les lettres courantes ou minuscules. Quant aux majuscules ou capitales, c’est Lazare Zetzner, de Strasbourg, qui, le premier, a distingué, en 1619, les mêmes lettres voyelles des consonnes. On lui doit l’U rond voyelle et le J consonne à queue.

Malgré cette innovation dont on devait sentir l’utilité, on employa longtemps encore le V comme voyelle, et l’I comme consonne. Qu’on ait ainsi agi dans le style lapidaire, rien n’est plus naturel ; ces sortes de lettres y sont de rigueur, parce qu’elles doivent ressembler aux caractères employés par les anciens Romains dans leurs inscriptions ; mais il est ridicule, dans l’écriture courante, de confondre des voyelles et des consonnes qui doivent être si distinctes à cause de la prononciation.

Ajoutons qu’il n’y a guère plus de deux siècles et demi qu’on prononçait François, comme saint François, au lieu de français. Boileau nous en fournit la preuve dans la satire III, intitulée Le Repas, publiée en 1667 :

A mon gré le Corneille est joli quelquefois.
En vérité, pour moi, j’aime le bon François.

Si la prononciation n’eût pas été telle, Boileau, si exact sur la rime, n’eût pas employé celle-ci, même en se moquant du personnage qu’il fait parler ainsi.

Disons enfin un mot sur la prononciation vicieuse du Q dans quis et quam, avant le philosophe et grammairien Pierre de La Ramée (vers 1515 - 1572) : on prononçait kiskis et kankan, au lieu de quisquis et quamquam. Quand cet habile professeur voulut rectifier cette prononciation, il éprouva les plus grandes difficultés et se fit beaucoup d’ennemis. Les deux ouvrages qu’il publia contre Aristote en 1543, lui en avaient fait bien davantage, et l’avaient même fait condamner par le Parlement. Lors de ses querelles sur la prononciation du Q, un mauvais plaisant dit : « Cette maudite lettre Q fait à elle seule plus de kankan que toutes les autres lettres ensemble. »

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19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 09:31

La rétro du jour:

 

L’Histoire de la mythique route 66

La 66 est la route des réfugiés, de ceux qui fuient le sable et les terres réduites, le tonnerre des tracteurs, les propriétés rognées, la lente invasion du désert vers le nord, les tornades qui hurlent à travers le Texas, les inondations qui ne fertilisent pas la terre et détruisent le peu de richesses qu’on y pourrait trouver. C’est tout cela qui fait fuir les gens, et par le canal des routes adjacentes, les chemins tracés par les charrettes et les chemins vicinaux creusés d’ornières les déversent sur la 66. La 66 est la route-mère, la route de la fuite.

John Steinbeck, Les Raisins de la Colère

L'histoire en Musique........

AVANT LA ROUTE

Au XIXe siècle, la seule route commerciale reliant l'Est à l'Ouest était la voie maritime contournant le Cap Horn. L'essor des migrations vers l'Ouest, catalysées par la présence de richesses dans le sous-sol du Far West, rendit nécessaire l'ouverture d'une voie plus directe et surtout plus rapide. C'est ainsi qu'en 1867 fut inaugurée la première ligne de chemin de fer transcontinentale.
Pourtant, au début du XXe siècle, alors que 300 000 kilomètres de voies ferrées sont déjà en exploitation, les autorités et les industriels comprennent la nécessité de développer un réseau routier.

1923 - GENÈSE

C'est ainsi qu'en 1923, un homme d'affaire originaire de l'Oklahoma, Cyrus Avery, imagine un réseau routier organisé, remplaçant le désordre des pistes existantes...
En 1925, il présente à l'American Association of State Highway Officials son projet de réseaux routiers inter-états, les futures "Interstates", dont une route transversale reliant les Grands Lacs au Pacifique, au travers de huit états.
La Route 66 est née... Son créateur la baptisera la Grande Route Diagonale.

1926 - NAISSANCE

La Route est baptisée "US Route 66" et les travaux débutent en 1926, mais ce n'est qu'en 1938 qu'elle sera entièrement empierrée. On la surnomme alors "Main Street of America" (Grande Rue de l'Amérique), ou encore "Mother Road" (la Mère des Routes, ou Route-Mère), selon l'expression de l'écrivain Steinbeck.

LES ANNÉES 1930

La Grande Dépression, qui suit la crise de 1929, a pour conséquences le chômage et la misère. A cette crise économique s'ajoutent le Dust Bowl, événements climatiques se traduisant par une grande sécheresse et des tempêtes de poussières, de 1934 à 1936, réduisant à néant les récoltes des familles exploitant les terres de l'Oklahoma et de l'Arkansas (les "Okies" et les "Arkies", ces termes étant péjoratifs).
Ces familles ne pouvant rembourser les banques, propriétaires des terres exploitées qui, de plus, introduisent l'utilisation du tracteur, n'ont d'autre choix que l'exode.
Les "vertes vallées de Californie", véritable Terre Promise, et l'existence de la Route 66, leur ouvrent une voie toute tracée vers l'Ouest.

LES ANNÉES 1940-1950

Avec la Seconde Guerre Mondiale, la Route 66 devient un itinéraire privilégié pour l'acheminement de matériels et de troupes militaires, mais elle gardera des séquelles du transport incessant de matériels lourds.
Dans les années 1950, la démocratisation de l'automobile et des vacances draine des millions d'Américains sur la Route, friands des paysages qu'elle offre et des tout nouveaux Parcs Nationaux qu'elle dessert.
L'état de la Route, ainsi que son dimensionnement, ne sont plus adaptés au trafic qu'elle doit supporter.

1956-1984 - UNE MORT PROGRAMMÉE

De retour de la Seconde Guerre Mondiale, le Général Eisenhower arrive au pouvoir en 1953. Sur le modèle avancé des autoroutes allemandes, il propose en 1956 l'Interstate Highway System, un vaste réseau autoroutier financé par le gouvernement fédéral, destiné à relier rapidement et directement tous les états.
Ce réseau est déclaré officiellement terminé en 1991.

Le 13 octobre 1984, la ville de Williams, en Arizona, est la dernière de la Route 66 à être contournée. Il est maintenant possible de rejoindre Los Angeles depuis Chicago sans quitter les Interstates, en à peine plus de trente heures...
Peu à peu la Route 66 est oubliée : les panneaux sont progressivement retirés, la Route n'est plus entretenue ; par endroits, elle disparaît littéralement.

1987 - RENAISSANCE

Le 18 février 1987, Angel Delgadillo, qui refuse de regarder mourir la Route, crée la Arizona Route 66 Association, dans le but de sauvegarder ce monument qu'est devenue la Route au fil des décennies.

Quand je repense au 18 février 1987 [...], je me dis que nous avons organisé ce jour-là une fête qui ne s'arrêtera plus jamais...

Quelques mois plus tard, l'état d'Arizona accorde au tronçon Selgiman - Kingman la désignation officielle de Historic Route 66.
Peu à peu, l'intégralité de l'itinéraire d'Arizona obtient la même dénomination, puis c'est au tour des sept autres états traversés, qui créent eux aussi des associations similaires.

Aujourd'hui le gouvernement a officiellement reconnu la légitimité de la sauvegarde de la Route, tant elle a joué un rôle fondamental dans l'Histoire des Etats-Unis.

Mais Il est très difficile de suivre la Route 66 de Chicago à Santa Monica ; son tracé ayant évolué au fil des années, de nombreux contournements (ou "by-pass" en anglais) viennent compliquer la tâche. Aujourd'hui, la route dite "Historic Route 66", plus ou moins bien balisée selon les états, correspond à l'itinéraire touristique.
Ce Road Book a donc pour but de présenter le tracé originel, virage par virage, ainsi que les itinéraires alternatifs, en fonction de leur date de mise en service. En effet, aujourd'hui, de nombreux tronçons ont totalement disparu, d'autres sont tout simplement devenus impraticables, et certains ont même été submergés par les eaux !

La Route se parcourt d'Est en Ouest ; les cartes du Road Book se lisent donc de droite à gauche...

Les distances sont exprimées en miles, afin de correspondre avec l'affichage du compteur de votre véhicule ; en passant votre curseur dessus, vous verrez apparaître la conversion en kilomètres. Par contre, les courtes distances, que j'utilise pour situer des intersections proches l'une de l'autre, sont exprimées en mètres, ce qui permet de les visualiser plus facilement lorsque vous serez sur la Route.

Les temps de parcours sont donnés à titre indicatif, et s'ils sont d'ailleurs plutôt larges, ils ne prévoient pas les détours, les visites, les arrêts, ni les erreurs d'itinéraire !

Un départ d'itinéraire pour une curiosité, un extra ou un Parc National, est indiqué en vert, à l'endroit où vous devrez commencer à le suivre.

Lorsque plusieurs itinéraires sont possibles, j'indique en vert celui que je vous recommande, en fonction des visites à effectuer le long de celui-ci, de sa longueur ou encore de son accessibilité ; mais il ne s'agit là que d'un choix personnel.

Je vous propose également des raccourcis, indiqués en rouge, lorsque certaines portions, longues, inintéressantes ou impraticables, ne méritent pas nécessairement d'être parcourues (sauf si vous tenez à emprunter chaque mile qui constitue la Route).

Enfin, par endroits, je serai amené à vous proposer un itinéraire alternatif, indiqué en bleu, lorsqu'une autre portion de route a été utilisée de façon ponctuelle.

Les sites remarquables sont indiqués dans les encadrés orange, dont la photo mène à la fiche descriptive. Attention, ils ne sont pas tous affichés dans le Road Book : pour les voir tous, parcourez les sections Curiosités, Extras et Parcs Nationaux.

Voilà, je crois que vous savez tout ; il ne vous reste plus qu'à mettre le contact...
Je vous souhaite une Bonne Route, et elle commence à
Chicago, Illinois !

Bonne route.............
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