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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
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Il est très ... Exactement

 

 

 

             

 

 

 

 

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La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

[André Malraux]

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 Passion Palombe

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Attention ! Passion Palombe...

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C'est ici que ça se passe ............

Au mois d'octobre de chaque Année

 

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Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

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3 août 2015 1 03 /08 /août /2015 06:28
La rétro du lundi.........

Lo berret qu’ei bearnés !
Le béret est béarnais !

 

Le Béarn revendique la paternité du béret, et ce couvre-chef devient le symbole même du Français, tant chez les anglo-saxons qu’un peu partout dans le monde. Sa fabrication elle, s’enracine au pied des Pyrénées.

 

Ce fut l’apanage du berger béarnais, un béret protecteur contre les éléments naturels : froid ou la pluie. La couleur, variable au cours du temps, a eu une forte charge symbolique. Écru à l’origine, il a été soit blanc, soit teinté en brun, en bleu, en rouge, selon les régions et les communautés pyrénéennes. À partir du XXe siècle, la couleur la plus courante pour les bérets civils est le noir. Attribué sous sa forme la plus large aux bataillons de chasseurs alpins, le béret est progressivement devenu la coiffure militaire la plus répandue dans le monde, avec des couleurs et des insignes variés, et des manières de le porter très codifiées.

Sa patrie : le Sud-Ouest
Le port du béret est un élément d’identité culturelle forte dans le sud-ouest de la France. Même si son usage tend malgré tout à rester modeste chez les jeunes générations, il persiste cependant dans les campagnes. Marqueur social et communautaire, les jeunes n’hésitent cependant pas à l’arborer à l’occasion des férias.

Le béret de Madame
Comme tous les éléments vestimentaires masculins, il a fini par tomber dans l’escarcelle de ces dames. Devenu un élément de la mode féminine en France dans les années 1930, promu par les grands couturiers parisiens et coiffant notamment certaines vedettes de cinéma de l’époque : Michèle Morgan, Greta Garbo, etc. Brigitte Bardot en porte un dans le film de la chanson Bonnie and Clyde interprétée en duo avec Serge Gainsbourg.

Fabrication : la technique de la galette
Le béret est exclusivement en laine tricotée, sous forme d’une grande galette circulaire, mais ouverte du centre au bord. Les bords sont ensuite réunis par un remaillage, de façon à former le béret. La partie centrale présente une ouverture circulaire. Les bérets sont mis dans un bain et foulonnés : les fibres se resserrent, la laine est feutrée et le béret acquiert ses dimensions quasi-définitives. La durée du feutrage détermine le degré de solidité et d’imperméabilité.

 

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27 juillet 2015 1 27 /07 /juillet /2015 06:42
La rétro du lundi..........
La rétro du lundi..........

En France,on aime bien ne pas faire les choses comme les autres

 

Cest ainsi que pendant un demi-siècle, nous avons été les seuls à rouler avec des phares jaunes pendant que le reste de la planète avait adopté le blanc.

Cette exception remonte à 1936. Le gouvernement décide à l'époque d'interdire les phares blancs afin de différencier les voitures françaises d'éventuelles ennemies en cas de guerre!

Une ligne maginot lumineuse en quelque sorte.

Les années ont passé, la paix est revenue mais les phares jaunes sont restés.

Ces derniers ont résisté à l'envahisseur jusqu'en 1993, date à laquelle la Françe à dù s'aligner sur ses voisins européens.

Un grand changent  qui a provoqué l'incompréhension de nombreux conducteurs.

Les experts hexagonaux nous l'avaient pourtant assuré, les phares jaunes restituaient mieux les reliefs tandis que les blancs éblouissaient.

Quelle folie poussait tous ces automobilistes étrangers à s'infliger des lésions irréversibles aux yeux ? Pourquoi les autres pays persistaient-ils dans leur erreur et nous imposaient-ils cette conversion suicidaire ?Finalement, vingt ans après, on vit et conduit tout aussi bien avec des phares blancs.

A condition de les allumer...

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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 06:21
La rétro du lundi.......

Comment son interdiction assura
à la pomme de terre son essor

 

 

 

(D’après « Le Jardin des Plantes : description complète, historique
et pittoresque du Muséum d’histoire naturelle, de la Ménagerie,
des serres, etc. » (Tome 1), paru en 1842)

Afin d’inciter les Français à ne plus bouder la pomme de terre, le savant Parmentier, qui en connaissait les immenses qualités et désespérait de voir notre pays l’adopter, eut au XVIIIe siècle une idée lumineuse...

Aujourd’hui cultivée partout en France, la pomme de terre non seulement nous donne à peu de frais un aliment agréable et sain, mais nous avons trouvé moyen de changer sa fécule en sucre et en alcool. C’est aux savants travaux et au zèle infatigable du chimiste Antoine Parmentier (1737-1813) que nous devons l’extension de sa culture et de son emploi.

Les grands propriétaires avaient, il est vrai, suivi l’impulsion donnée par Louis XVI ; ils avaient permis à la pomme de terre de végéter dans quelques coins de leurs domaines ; mais les paysans ne la cultivaient qu’avec répugnance ; ils refusaient d’en manger, et l’abandonnaient à leurs bestiaux. Il en était même qui ne la jugeaient pas digne de servir d’aliment à ces derniers.

Ce fut Parmentier qui, le premier, fit du pain de pomme de terre. Il avait entrepris de vulgariser en France l’usage de ce précieux tubercule ; il comprenait que si la pomme de terre pouvait suppléer le froment, toute famine devenait à jamais impossible. Aussi cet homme généreux consacra-t-il sa fortune, son talent, sa vie entière à cette œuvre immense de charité ; ce n’était pas assez pour lui d’encourager la culture de la pomme de terre par des écrits, des discours, des récompenses, en un mot par tous les moyens d’influence que lui donnait sa haute position : il acheta ou prit à ferme une grande quantité de terres en friche, à plusieurs lieues de rayon autour de Paris, il y fit planter des pommes de terre. .

Antoine  Parmentier

La première année, il les vendit à bas prix aux paysans des environs ; peu de gens en achetèrent ; la seconde année, il les distribua pour rien, personne n’en voulut. A la fin, son zèle devint du génie : il supprima les distributions gratuites, et fit publier à son de trompe dans tous les villages une défense expresse, qui menaçait de toute la rigueur des lois quiconque se permettrait de toucher aux pommes de terre dont ses champs regorgeaient. Les gardes champêtres eurent ordre d’exercer pendant le jour une surveillance active, et de rester chez eux pendant la nuit.

Dès lors, chaque carré de pommes de terre devint, pour les paysans, un jardin des Hespérides, dont le dragon était endormi ; la maraude nocturne s’organisa régulièrement, et le bon Parmentier reçut de tous côtés des rapports sur la dévastation de ses champs, qui le faisaient pleurer de joie. A dater de cette époque, il n’eut plus besoin de stimuler le zèle des cultivateurs : la pomme de terre avait acquis la saveur du fruit défendu, et sa culture s’étendit rapidement sur tous les points de la France.

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13 juillet 2015 1 13 /07 /juillet /2015 06:18
La rétro du lundi.............

Savez-vous que veut dire "Croquer le marmot"

 

Cela veut dire attendre fort longtemps

 

Du temps de la féodalité, lorsqu’un vassal allait rendre hommage à son seigneur, il devait, en l’absence de celui-ci, réciter à sa porte, comme il l’eût fait en sa présence, les formules de l’hommage et baiser à plusieurs reprises le verrou, la serrure ou le heurtoir appelé marmotà cause de la figure pittoresque qui y était ordinairement représentée (le mot marmot est le nom qu’on donnait aussi aux petits singes comme aux petits garçons, d’où l’expression marmotter, pour parler d’une façon inintelligible entre ses dents).

La rétro du lundi.............

En marmottant ces formules il semblait murmurer de dépit et, en baisant le marmot, il avait l’air de vouloir le dévorer ou le croquer. Ce qui est d’autant plus exact, c’est que l’on dit bien encore : Manger de baisers un petit enfant pour l’accabler de caresses. Les Italiens disent : Mangiare i catenacci, ce qui signifie manger les cadenas ou les verrous, expression qui confirme la justesse de ce qui vient d’être dit. De marmous, qui en bas breton, est synonyme de marmot, on a fait le diminutif marmouset, puis, par aphérèse, mouset. Les Gascons disent : Croquer le mouset.

Cette expression devrait donc son origine à ce gros marteau de fer crénelé en forme de poignée qui était attaché à la porte principale de plusieurs antiques manoirs. Quand une personne avait longtemps attendu à la porte, elle pouvait dire : J’ai longtemps fait craquer le marmot ; de là on a pu dire, par altération ou par euphémisme, croquer le marmot.

 

 

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 06:10
La rétro du "lundi"

L’ancêtre des radars ……

"Comme quoi en France on n’a pas de pétrole mais on n’a pas toujours de bonnes idées…".

Radar rudimentaire pour contrôler
la vitesse des véhicules en 1925

(D’après « Le Petit Journal », paru en 1925)

 

1925 : la préfecture de police s’apprête à mettre en place un dispositif pour le moins rudimentaire de contrôle de la vitesse des automobiles dans la capitale, suite à la décision du Comité de la circulation

La décision prise mercredi par le Comité de la circulation a jeté la consternation chez les conducteurs d’automobiles. Nous sommes allés demander à la préfecture de police la façon dont seraient relevées les infractions à la limitation de la vitesse.

— Toucher à la vitesse, avons-nous dit à notre interlocuteur, c’est toucher à la déesse du jour que nous adorons tous, selon nos moyens, à l’allure du pas gymnastique, du tramway au ralenti ou du cent à l’heure... La Vitesse (je n’ose plus écrire ce mot qu’avec un grand V)... vous allez la réduire à rien !Tant pis pour elle ! C’est une déesse à qui l’on fait trop de sacrifices... humains. Je bouscule l’idole. Désormais, toute vitesse qui dépassera pour l’auto, quarante à l’heure sera réputée dangereuse...

—Et comment saura-t-on qu’une voiture dépasse quarante à l’heure ?

— Nos agents auront des montres à secondes, à l’aide desquelles ils calculeront le temps passé à couvrir un trajet de longueur connue. Un coup d’œil sur la montre, un autre sur le barème, un troisième sur le numéro de l’auto... Et voilà une contravention imposée suivant des constatations mathématiques, chronométriques.

— On ne pourra plus dire qu’il n’y a pas d’heure pour les braves ; mais jusqu’à présent, il n’y avait donc rien de mathématique en ce qui concerne la limitation de vitesse ?

— L’article 7 disait seulement que chaque conducteur doit rester maître de sa vitesse. C’était bien vague, car, lorsqu’il perdait le contrôle de sa vitesse, on ne pouvait s’en apercevoir qu’en cas d’accident. Il était prescrit aussi de ralentir aux carrefours ; mais si l’on va trop vite aux carrefours, c’est que l’on y arrive trop vite.

Certes, des difficultés d’application se dressent : c’est la nuit que, par suite des excès de vitesse, se produisent les plus graves accidents ; or, c’est la nuit que les constatations seront les plus difficiles.

— Y a-t-il d’autres grandes villes où la vitesse des autos soit limitée ?

— A Londres, on ne doit pas dépasser 36 à l’heure ; à New-York 38. Dans toutes les grandes villes de France des arrêtés municipaux modèrent l’ardeur des automobilistes. Paris seul échappait à la règle.

— Votre projet n’a-t-il pas rencontré de graves objections ?

— La plus sérieuse est celle-ci : « la limitation de la vitesse peut ralentir l’écoulement du flot. » Mais à quarante à l’heure le défilé n’est-il pas assez rapide ? Il faut tout de même penser aux piétons ! A certains endroits, il leur est impossible de traverser !...

Verbalisation d’un excès de vitesse

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