Le Blog De Papy-Bougnat

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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
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Attention ! Passion Palombe...

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14 août 2016 7 14 /08 /août /2016 08:01
Le "billet du dimanche "

De la chaussette à la capsule

 

Je me souviens de cette odeur de café qui accompagnait mon réveil. Il y avait dans toute la maison des fragrances de ces graines qui étaient broyées dans le vieux moulin de grand-mère. De l’eau, dans une bouilloire, chauffait sur la cuisinière à charbon. Puis le café passait dans la cafetière émaillée. Dans mon souvenir, elle était bleue, un peu ébréchée comme il se doit. J’étais trop jeune pour avoir droit à une tasse, je devais me contenter d’un café au lait avant que je découvre que c’était là mon pire ennemi …

Le progrès a fait son entrée avec l’intrusion du moulin électrique et les premiers désamours se firent jour. Les grains étaient finement moulus : il n’y avait pas de doute là-dessus. Mais il n’exhalait plus les mêmes effluves. La poudre avait je ne sais quoi de brûlé qui ne permettait plus de profiter de la même qualité. J’ai longtemps gardé le moulin à manivelle, par nostalgie sans doute, par fidélité également le préférant à cette effroyable machine qui avait le don de réveiller en sursaut toute la maisonnée.

Je ne me souviens plus de l'apparition de la cafetière italienne. Elle avait dû surgir au détour d’une fête des mères ; mon pauvre père n’avait jamais eu le cadeau très heureux mais ce jour-là, il fut mieux inspiré qu'à l'accoutumée . Elle égayait le réveil de son sifflet aigu, ce marqueur magnifique de la tâche accomplie. Il y avait bien quelques loupés, des débordements intempestifs et des fermetures incertaines du filtre métallique. Mais c’est elle qui faisait sans doute le meilleur des cafés que je bus chez nous.

Puis l’insipide cafetière électrique sonna le glas des jus de chaussettes artisanaux, le filtre en papier s’installant durablement dans le placard au-dessus de l’évier. Le modernisme s’imposait chez nous avec cet appareil sans âme et sans talent. Dans le même temps, surgissait alors à la maison un appareil qui resta très longtemps confidentiel avant de devenir plus de quarante ans plus tard la vedette incontestable des cuisines aménagées et équipées : le fumeux Thermo mix.

Il me fallut voler de mes propres ailes pour découvrir ou redécouvrir des cafés plus aimables. Les cafetières à boule ou à piston réjouirent mes années d’errance. Le moulin tournait, affirmant sans fard mon refus de l’électrisation à outrance. J’allais chercher le lait à la ferme chez des fermiers d’un autre temps, vivant dans une masure en bord de Garonne. Ils avaient un cœur en or et un petit blanc de l’entre-deux-mers qu’ils ne manquaient jamais de m’offrir.

Les enfants arrivant, la cafetière électrique symbolisa pour moi aussi le retour dans le rang. C’est sans doute à cette époque que je devins un de ces consommateurs sans exigence de cette merveilleuse boisson. Je me contentais du médiocre, je le buvais mécaniquement, par habitude, à la maison comme au travail. Ce fut encore l’époque du renoncement au sucre : une manière de se démarquer à l’époque d’une génération précédente qui avait la main lourde sur la petite pierre blanche.

Le paquet de café sous vide sonna le glas des grains. Seuls les véritables amateurs allaient chez les nombreux torréfacteurs de notre bonne ville. J’étais, à ma grande honte, un buveur ordinaire d’un café sans parfum, sans goût et sans rituel. Je ne serais pas pour autant une éventuelle proie, devenant, un jour prochain, la cible des vendeurs d’illusion en capsule ! J’échappai ainsi à la plus belle arnaque de notre époque pourtant très riche en ce domaine.

Je devins, une longue période durant, consommateur debout derrière le comptoir, d’un café tiré d’un percolateur incertain. J’ai tout bu et tout vu dans ce domaine. Les prix exorbitants, les tasses incertaines, les bouis-bouis miteux, les tenanciers pittoresques, les clients impayables. J’avais besoin de ce rituel ; je partais plus tôt pour goûter à ce plaisir particulièrement masculin en cette époque lointaine. Les cafés étaient souvent médiocres, l’ambiance enfumée et les conversations au ras des pâquerettes. Il faut bien que jeunesse se passe !

De tous les cafés ingurgités bien plus que dégustés, je ne garde véritablement en mémoire que ce café turc que nous fit, le temps d’une semaine d’escapade de fin d’année scolaire, un élève lors de ma deuxième année d’enseignement. Cela remonte à si loin et pourtant je revois encore le garçon, fier et noble, heureux de nous démontrer son savoir-faire. Il mettait tant de soin et de minutie à sa préparation que nous, ses maîtres, en étions admiratifs et reconnaissants. Jamais, ô grand jamais, je n’ai retrouvé ce plaisir gustatif.

Je tournai le dos au café et je fis bien car arrivait la rengaine du train de Colombie et les capsules de la secte caféière. J’eus une seule fois à pénétrer dans l’un de ces temples du commerce raffiné et maniéré. Tous les vendeurs sur leur trente-et-un, affublés d’un sourire de publicité dentifrice, le tutoiement de circonstance et les viennoiseries offertes aux acheteurs des précieux lingots multicolores. Je fuis à jamais ce temple de la grimace et du consumérisme factice.

Le café entrait alors dans une étrange danse. D’un côté les tenants de la dépense ostentatoire, s’offrant le tour du monde et des saveurs par le truchement de la petite dose enfermée dans le métal et de l’autre, les altermondialistes qui se donnaient bonne conscience en achetant un café équitable. D’un côté comme de l’autre, j’ai le sentiment que la duperie était la reine de la farce. La planète étant, à coup sûr, la grande perdante d’un commerce qui m’a toujours laissé sur ma faim.

C’est alors que me reviennent en mémoire les jumeaux de la chicorée : cette grande perdante, atomisée par le matraquage publicitaire de la petite graine à fabriquer des fortunes sur le dos des pauvres producteurs exotiques. La racine du bien et du local en somme qu’il conviendrait de remettre à l’honneur quand la sagesse reprendra le dessus sur une table de petit-déjeuner qui a, en un siècle, pris la fâcheuse habitude de proposer le grand n’importe quoi pourvu que ce soit issu de la grande industrie agro-alimentaire.

Petitnoirement vôtre……….

Papy-bougnat/ le billet du dimanche /14/08/2016

Bon dimanche

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7 août 2016 7 07 /08 /août /2016 09:36
Le " billet du dimanche "

Chassé-croisé......

 

En ces jours de grand  chassé-croisé, voici ;

 

Comment rester en forme pour ceux qui n’ont pas pu partir « en vacances »

 

 

Pour votre entourage, c'est la période du grand départ, du repos, du farniente et du dépaysement. Pour vous malheureusement, pas de vacances au soleil cet été. Alors pour rester en forme sans partir en vacances, n'hésitez pas à prendre le grand air. Pas question de rester enfermé à ruminer, on profite de la piscine, des parcs, des grands espaces et des loisirs qui vous entourent. Même si vous ne partez pas, il est important de se déconnecter, de faire un break, et de couper la routine. Pourquoi ne pas se faire un weekend en bord de mer ou à la campagne ? Ressourcez-vous dans un environnement différent du reste de l'année, il n'en sera que mieux pour votre santé et votre bien-être. Si vous travaillez non-stop, profitez du beau temps au maximum. Délaissez votre voiture pour vous rendre au bureau et préférez le vélo. Idéal pour garder une bonne forme physique. Pourquoi ne pas tentez également des cours d'aquagym. Cette activité présente le double avantage de faire travailler les muscles en douceur et au frais. Une remise en forme efficace et ludique. Si vous préférez le sport au grand air, vous pourrez assister à des séances de fitness outdoor. Cours de Body balance, stretching ou initiation au Pilâtes en plein air, c'est possible ! il existe des endroits ou c'est gratuit renseignez-vous. Enfin, casez-vous un soir rien que pour vous une fois par semaine. Boire un verre, manger quelque part ou simplement flâner, il est essentiel d'avoir ce moment pour décompresser.Pour conclure, Il est vrai que pour nous , le bouchon , reste le seul moyen d’éviter à tous liquides introduit à l’intérieur d’une  bouteille de s’épandre en dehors de l’espace qui lui est réservé et au moment opportun, et non pas de s’occuper des éternelles retenues  comme ils disent de nos jours ………………sans parler des souffrances caniculaires à l’intérieur des habitacles modernes, ces bétaillères ou toute la famille est entassée , et où il est

formellement interdit d’appuyer sur la commande électrique de peur du réchauffement climatique , (clim) Sans parler de la surchauffe de la carte à puce (bleu quelquefois), qui se promène de lecteur en lecteur tout au long du parcours.et qui causera à moyen termes des restrictions budgétaires pour le reste de l’année….

 

Alors en quelques parts, peut-être avons-nous passé de bonnes vacances ! ! en restant à la maison, Et en restant en forme………….

 

Bon Dimanche................

Bon Dimanche................

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31 juillet 2016 7 31 /07 /juillet /2016 08:32

Soit honnête et le bon –dieu te le rendra 

A l'ombre de la "tonnelle"

La franchise et l'honnêteté sont deux qualités que peu d'hommes possèdent.

Une exception pourtant, Un couple de Saint-Paul-lès-Dax a accompli un beau geste, mardi après-midi, en ramenant au commissariat de police de Dax un portefeuille bien garni, qu'ils avaient trouvé dans la petite église de Gourby à Rivière-Saas-et-Gourby.

  

Les agents n'ont pas tardé à retrouver la propriétaire du portefeuille et des 2 600 euros qu'il contenait, une dame qui venait tout juste de retirer la recette de son magasin qu'elle comptait déposer à la banque, après une halte à l'église. Moralité , Lors de son prochain passage à l'église , je lui conseille de remercier le bon dieu qui cette fois-ci était bien présent pour elle ………….


Bon Dimanche .............

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24 juillet 2016 7 24 /07 /juillet /2016 10:16
Le "billet du dimanche "

En toute intimité

 

  La toile a ceci d'étrange que les émotions et les sentiments s'y répandent comme une traînée de poudre. Oh, bien sûr, il est plus facile de faire effet et succès avec des images choc ou graveleuses, des clichés à scandales ou des vidéos indignes ; ce monde baigne dans la médiocrité et internet contribue largement à ce triste phénomène. Pourtant, parfois, le meilleur parvient à faire son trou, à trouver une modeste place dans ce flot d'immondices.

C'est ce qui arrive parfois pour des billets intimes, des textes impudiques à mon sens, non parce qu'ils dévoilent des pans d'une vie privée que je préserve jalousement en dépit de cet exercice quotidien, mais parce qu'ils vont au plus secret des émotions. C'est alors que les partages prennent tout leur sens, qu'ils expriment une fraternité de sentiments en dépit des différences idéologiques, géographiques ou d'âge.

Je suis toujours ému de constater que des gens dont je sais si peu de choses, font alors ce geste incroyable de s'approprier un écrit, de le faire leur, au point de désirer l'offrir à leurs amis. C'est une fierté et une responsabilité. Plus j'avance dans cet exercice périlleux, plus je me rends compte que chaque mot, chaque sujet va faire écho, être lu et commenté. Ne pas choquer ni décevoir surtout, mais continuer à donner du bonheur ou de l'émotion ! Exception faite pour l'actualité ou là hélas je ne peux contrôler l'émotion 

Ce qui me touche le plus, c'est le fait d'avoir tissé un réseau de lecteurs qui semblent toujours sensibles à ce qui vient du plus profond de l'âme Au travers de ce réseau sensible je me dis alors qu'il ne faut pas désespérer de nos semblables, qu'il demeure encore une petite place pour ce qui n'est ni spectaculaire ni vulgaire mais se contente d'être simplement et modestement sincère. Cela me fait un bien fou, m’apportant l'énergie nécessaire pour poursuivre cette démarche insensée et si dérisoire.

Merci donc à tous ceux qui un jour, au hasard d'un billet qui chez eux a allumé une petite bougie, ont montré leur reconnaissance par ce partage au travers d’un simple commentaire que personne ne leur demandait vraiment de faire. Geste gratuit et pourtant si fort, porteur d'intérêt et de gratitude, qui me touche et me comble, auquel je veux ici, pour une fois, faire honneur.

J'ose croire qu'il y a encore place pour la sincérité et la beauté, les sentiments vrais et les belles phrases. J'espère encore trouver des êtres sensibles pour partager un rêve, un sourire, un chagrin ou une indignation. Chaque fois que ce miracle a lieu, il me comble d'aise. Merci donc à vous, qui dans le silence de votre écran, partagez ce que je vous offre ainsi !

Bon Dimanche à l’ombre de la tonnelle...

 

Papy……

Le "billet du dimanche "
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17 juillet 2016 7 17 /07 /juillet /2016 10:08

Le billet du dimanche........

 

Une virée ORIGINALE  assis à l’arrière de la mythique... "deudeuche

Balade insolite.........

Je sais ce n’ai pas tous les jours et à 600 km de chez nous mais seulement à 3 h en TGV, donc il se peut que prochainement vous alliez  vous offrir un week-end à Paris en amoureux  histoire de faire un tour à la capitale, et comme dit le proverbe mieux vaut tard que jamais ! Alors je vous suggère une idée originale, une autre façon de découvrir Paris  en  Deudeuche………

Vous ne passez pas inaperçu dans cette décapotable avec chauffeur. Et pour cause, vous êtes assis à l’arrière de la mythique... « deudeuche ». En route pour une virée farfelue sur les traces de l’histoire méconnue de la capitale. Au volant, votre conducteur, vêtu d'une marinière Saint James et coiffé d'une casquette, a un petit air de titi parisien. Depuis l’opéra Garnier, vous filez cheveux au vent, la tête plantée dans les nuages en direction de la place Vendôme. Là, vous observez le mètre étalon incrusté dans une façade. Il permettait en 1790 de connaître avec précision la dimension exacte d’un mètre, nouveau système de mesure à l’époque. Puis vous roulez jusqu’à l’église Saint-Roch, où les insurgés royalistes ont été mitraillés par Bonaparte. Votre 2 CV se dirige vers la place des Vosges, qui a vu le jour grâce à Catherine de Médicis. Elle avait ordonné la destruction de l’hôtel des Tournelles, où était décédé Henri II en 1559, blessé à la suite d’un tournoi. Vous quittez le Marais pour traverser l’île Saint-Louis et gagner Saint-Germain. Sur la place Furstemberg, du nom de l’abbé de Saint-Germain en 1704, votre chauffeur vous raconte la vie de ce village. Balade riche d’enseignements dans une 2 CV vintage, avec un chauffeur aux petits soins. Un petit coin de paradis sous un coin de parapluie !

Possibilité ;la balade est possible de jour comme de nuit avec de multiples options  mais à partir de 50 euros pour 1 heure de balade en super décapotable ! ! !

http://www.francetourisme.fr/visite-guidee-paris-2cv.html

Petit historique :

La 2 CV a vu le jour en 1948. Défiant les modes et les âges, le dernier véhicule est sorti des usines en 1990.

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