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7 février 2019 4 07 /02 /février /2019 12:27
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D'après 60 Millions de consommateurs, le pain contient des substances controversées, qu’il soit fait artisanalement ou vendu en grande surface

L'enquête: 

Additifs, résidus de pesticides ou encore mycotoxines : certains pains contiennent des substances controversées,  la revue 60 Millions de consommateurs, qui précise que les quantités détectées respectent, dans la plupart des cas, les limites réglementaires.

Des traditionnelles baguettes au pain de mie, en passant par les meules, les pains boules ou encore les sans gluten, le magazine a testé au total 65 références vendues dans des boulangeries artisanales, des franchises et des grandes surfaces.

Le but : aider les Français à bien choisir leur pain, souvent vendu en vrac et sans étiquetage, ce qui complique la vérification du produit.

Son verdict : "plus de la moitié" du panel présente des résidus de pesticides. Ils ont pu être quantifiés dans 14 références, en particulier dans des pains de mie et des pains complets.

"Heureusement, aucun ne dépasse les seuils réglementaires, mais puisqu’on trouve des références sans résidus de pesticides, c’est que c’est possible, et tout le monde devrait pouvoir le faire, Nous déclare "Patricia Chairopoulos, journaliste à 60 millions de consommateurs. Certaines des substances retrouvées sont "reconnues comme des perturbateurs endocriniens ou suspectées de l’être", souligne 60 Millions de consommateurs. De nombreuses références testées contiennent également des mycotoxines. L’association de consommateurs précise cependant n’avoir relevé quasi aucun dépassement du seuil autorisé, sauf sur deux références pour les mycotoxines. 60 Millions de consommateurs critique également la présence d’additifs, utilisés par les boulangers pour obtenir un pain de qualité constante. Une baguette blanche artisanale en contient quatorze en moyenne, relève l’association. 

Leur nombre est encore "bien plus élevé" pour les pains spéciaux (complet, céréales, sans gluten…). S’ils sont autorisés, ils sont néanmoins "soupçonnés d’entraîner des effets secondaires", "à partir d’une certaine quantité ingérée".

Autre ingrédient critiqué : le sel, présent dans en trop grande quantité dans la totalité des produits testés et en particulier dans les baguettes, juge la revue. "Il serait grand temps que l’on fixe son taux réglementairement", martèle-t-elle.

Avec des quantités moyennes de 1,38 gramme pour 100 grammes de pain (jusque 2 grammes pour les produits les plus salés), cela signifie que nous ingérons près du quart de nos besoins en sel (5 grammes par jour selon l’Organisation mondiale de la santé) rien qu’avec 120 grammes de pain, soit deux grosses tranches.

 

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24 janvier 2019 4 24 /01 /janvier /2019 08:51

Si nous restons au quotidien les yeux rivés sur le chronomètre, nous passons à côté des émotions positives qui sont à l’origine de nos meilleures idées.

 

Quand il faut résister à la loi de l’horloge ;Ma femme déboule dans le salon, une casserole à la main. « Peux-tu me chronométrer? Il faut que je vois combien de temps je mets pour préparer cette sauce ils me disent 15m/n ». Voici la preuve, celle-là même qui, comme le rêve, suspend le temps, assujettie au diktat du chronomètre. Faut-il chronométrer toutes les tâches relatives au travail? Si la réponse est bien intuitivement « non! », encore faut-il comprendre pourquoi, et quelles tâches peuvent bénéficier d’être chronométrées.

Effet de deux styles

Le temps ordonne les événements. Nous nous penchons sur chacune de nos activités quotidiennes l’une après l’autre, en les échelonnant le long d’un continuum s’étirant du passé au présent, et du présent au futur. Cette loi fondamentale de la physique et de l’interaction sociale s’exprime de plusieurs façons dans les sociétés humaines. En particulier, notre espèce a recours à deux styles afin d’organiser ses activités : le temps horloger et le temps événementiel.

Avec le temps horloger, nous découpons le temps en unités standard, objectives et quantifiables, et nous nous abandonnons au diktat d’une horloge qui nous est extérieure. Une journée type en temps horloger peut commencer avec un réveil à 7 heures, un petit-déjeuner de 7h30 à 8h, une arrivée au travail à 9h, du travail jusqu’à midi, une heure de pause-déjeuner, un travail à nouveau jusqu’à 18h, un retour chez soi vers 19h pour passer à table en famille à 20h et se coucher à 23h, histoire de dormir huit heures.

À quoi ressemble une journée en temps événementiel? Elle commence par un réveil naturel, suivi dun petit-déjeuner qui se termine lorsque lon se sent prêt à attaquer le travail. Une fois au travail, nous y restons jusqu’à ce que la faim nous appelle. Nous déjeunons, jusqu’à ce que nous nous sentions d’attaque pour nous remettre au travail. Nous poursuivons jusqu’à décider qu’il est « temps de s’arrêter, demain est un autre jour », avant de rentrer chez nous préparer le dîner, lequel sera servi… lorsqu’il sera prêt. La journée s’achèvera lorsque le sommeil viendra. En temps événementiel, nous passons d’une activité à la suivante lorsque nous ressentons que l’activité précédente est achevée. L’horloge n’a aucune pertinence pour qui vit en temps événementiel, à l’exception de rares marqueurs naturels, tels que le lever et le coucher du soleil.

Deux paires de lunettes pour percevoir le monde

Lorsque nous nous demandons s’il faut chronométrer toutes les tâches des employés, nous postulons que la domination du temps horloger tombe sous le sens. Ce n’est pas étonnant : l’amour de l’horloge est tangible dans nos sociétés modernes occidentales. L’horloge accompagne les ouvriers comme les créatifs de tous horizons. Elle éperonne les chefs d’entreprises alors qu’ils guident celles-ci dans des marchés de plus en plus turbulents, navigant souvent à vue. Des données récentes révèlent que nous sommes exposés à l’heure au moins 150 fois par jour. Considérez un instant combien de fois vous scrutez votre réveil en vous préparant le matin, l’horloge en attendant le RER ou le tableau de bord de votre voiture. Et cette manie de vérifier votre portable tout le temps – l’heure vous explose en plein visage dès que l’écran s’illumine. Au bureau, même topo : écrans d’ordinateurs, horloges au mur, collègues qui piétinent, assistants qui viennent vous tirer par la manche, etc. sont autant de rappels de l’horloge qui tourne. Même la nuit, lorsque vous vous réveillez, ne regardez-vous pas l’heure avant de (ne pas parvenir à) vous rendormir?

Il est pourtant loin d’être exact que le temps horloger domine le monde. Aujourd’hui encore, la majorité de l’humanité privilégie le temps événementiel. Rappelons-nous que notre espèce a principalement fonctionné en temps événementiel, jusqu’à l’apparition des premiers cadrans solaires, il y a au plus 5 000 ans. L’adoption du temps horloger a suivi nos bonds en avant technologiques, et notre besoin effréné de coordination dans notre poursuite des meilleures performances économiques. Les premières horloges publiques sont apparues dans les centres textiles européens afin de signaler aux ouvriers quand arriver au travail, faire des pauses, et boucler leur journée. Dès les années 1830, chacun pouvait prendre conscience du temps horloger exact en tirant une montre de sa poche. Dans nos sociétés industrielles, le temps horloger a culminé avec le taylorisme et la notion de « meilleure façon de produire » (one best way). Les apports du taylorisme sur le plan de l’efficience économique pendant la révolution industrielle sont incontestables.

Le temps horloger reste-t-il optimal dans nos sociétés actuelles? Pour tout ce qui est des tâches standardisées, certes, il est difficile à battre, du moins sur le plan du rendement économique à court terme. Mais il n’y a pas que l’économie à court terme dans la vie. Notre recherche récente suggère que l’adoption à tout-va du temps horloger se heurte à des obstacles de taille. En 2014, nous avons publié plusieurs études dans le Journal of Personality and Social Psychology, renseignant les implications psychologiques pour qui organise ses tâches en temps horloger plutôt qu’événementiel. Jusque-là, personne n’avait questionné l’influence de l’horloge sur notre façon de percevoir le monde, de penser, de ressentir les émotions qui nous animent, ou de nous comporter.

Adopter le temps horloger ou le temps événementiel revient donc à chausser des paires de lunettes nous révélant chacune un monde différent. Si le chronomètre peut être motivant dans la gestion d’une procédure, il peut compromettre la conceptualisation de celle-ci. Partir à l’assaut des cimes, horloge en main, une fois le parcours de randonnée établi, oui ! Mais dans l’élaboration du meilleur parcours pour atteindre un sommet indompté, sachons suspendre sinon le temps, au moins le chronomètre. C’est là toute la différence entre les voileux qui se lancent dans l’espoir de faire fondre le temps mis à circumnaviguer notre orange bleue, et un Thomas Edison aux prises avec l’innovation radicale, qui nous rappelle qu’« il n’y a pas de règle ici… nous essayons d’accomplir quelque chose ».

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3 janvier 2019 4 03 /01 /janvier /2019 07:55
L'enquête..........."une nouvelle vie ................

Une nouvelle vie ...."Celle des Grands-parents...

 

Disponibles, généreux, aimants et porteurs de valeurs fondamentales, les grands-parents jouent un rôle décisif dans l’équilibre familial. Mais tout le monde en est-il bien conscient? Bilan de notre sondage: ils ne sont pas utiles, ils sont indispensables!

 

Un instant, imaginons que les 15 millions de grands-parents désertent leur rôle… Ce serait un Français sur quatre qui ne consacrerait plus en moyenne 9 heures par semaine et 22 jours par an à s’occuper des bambins. Sur le strict plan financier, le coût serait énorme, sans compter les 558€ qu’ils offrent chaque année à chacun de leurs petits-enfants. Et ils en ont en moyenne 3,8 ! 

Heureusement pour tout le monde, 95% des grands-parents se déclarent heureux de l’être. Mieux, alors qu’ils leur accordent déjà beaucoup de temps et d’argent, 61% sont prêts à en faire plus. En tête des raisons de cet investissement: "se sentir utile" (82%), "avoir des petits plaisirs" (76%) et "rester dans le coup" (68%). Un constat qui bat en brèche le cliché encore tenace d’une génération de seniors égoïstes et peu généreux. D’autant que cet attachement altruiste leur confère un rôle décisif dans l’équilibre familial et ainsi dans la cohésion sociale. C’est le grand enseignement de notre sondage Ipsos, qui met en chiffres une réalité sous-estimée.

Actifs, en bonne santé, indépendants
Autre constat, cette génération qui entre dans la grand-parentalité en moyenne à 54 ans pour les femmes et 56 ans pour les hommes est beaucoup plus "jeune" que les précédentes. Actifs, en bonne santé, indépendants, pleins de désirs et de projets, les nouveaux grands- parents sont disponibles, mais sans abnégation. Pas question de renoncer à leur indépendance d’esprit: 85% prennent des libertés avec les règles données! Serait-ce une source de conflit ? Rarement. 93% des aînés ont de bonnes relations avec leurs enfants. 

L’arrivée d’une nouvelle génération renforce même leur lien, qui gagne en confiance (pour 39%), en complicité (36%) et en tendresse (33%). Mais il ne faut pas les tenir pour acquis! 42% des grands-parents sont agacés que l’on parte du principe qu’ils seraient toujours disponibles… Un agacement qui ne jette pas d’ombre sur une relation particulièrement forte avec les jeunes enfants dont ils se sentent le plus proche à 68%, devant les adolescents (18%), les adultes (9%) et enfin les bébés (5%), qui apportent certes beaucoup de bonheur (79%) mais qui n’ont guère de conversation!

Une relation de complicité

Or les échanges sont au cœur du plaisir d’être ensemble: 87% des seniors déclarent partager "un certain nombre de valeurs" avec leurs petits-enfants et 86% "avoir une relation de complicité". La différence d’âge apparaît plus comme une richesse qu’un obstacle et 46% des aînés jouent même "un rôle d’intermédiaire entre les petits-enfants et leurs parents". 


Un bilan guère surprenant au regard des "qualités" qu’ils voudraient transmettre: la politesse, la confiance en soi, l’effort, la tolérance et la curiosité. Un beau programme pour une relation qui garde une fonction de boussole affective très forte. En témoignent les livres qui se multiplient: de Robert Badinter, avec Idiss (éd. Fayard), à Frédéric Pommier, avec Suzanne (éd. Équateurs), et bientôt Roselyne Bachelot, avec Corentine (éd. Plon), le rôle des grands-parents acquiert de nouvelles lettres de noblesse. 

Sur le pont et prêts à faire plus

Les grands-parents ne lésinent pas quand il faut s’occuper des petits-enfants. Ils en retirent de la joie, la satisfaction d’être utiles et surtout de partager des valeurs auxquelles ils tiennent

 Avec en moyenne 9 heures de garde hebdomadaire, les mamies et les papis répondent présentsquand il faut s’occuper des petits-enfants. 11% assurent même plus de 20 heures de soutien par semaine. L’engagement ne faiblit pas lors des vacances puisqu’ils les accueillent en moyenne durant 22 jours, 20% d’entre eux les prenant en charge plus de 30 jours. Et ils ne semblent pas lassés puisque 61%, notamment ceux qui ont des petits-enfants mineurs, aimeraient s’en occuper plus souvent. 37% seraient même prêts à déménager pour se rapprocher d’eux. Seuls 4% des seniors ne souhaitent pas les accueillir davantage : ce sont ceux qui s’investissent déjà plus de 20 heures par semaine et plus de 30 jours pendant les vacances.

Des valeurs à partager

Que transmettre aux jeunes de la famille ? Les grands-parents sont certes libérés des contraintes éducatives qui relèvent de la responsabilité des parents, mais les aînés sont eux aussi porteurs de valeurs. Parmi les 15 qualités ou principes que nous leur avons soumis, les personnes sondées ont plébiscité la politesse (28%) et la confiance en soi (25%). Dans une société frappée au coin de l’individualisme, le choix premier de la politesse traduit leur volonté de transmettre à la jeune génération la nécessité de porter attention et respect à l’autre. Sur la troisième marche du podium, les seniors ont placé l’effort (11 %). Une qualité mise davantage en avant par les grands-pères (15%) et talonnée par la tolérance (10%). Autant de vertus qui définissent une ligne de vie des plus honorables.

Généreux et pas seulement pour les cadeaux!

Un soutien financier très important En moyenne, 558€ par an et par petit-enfant: les dons d’argent représentent une somme rondelette, d’autant qu’il faut la multiplier par le nombre moyen de petits-enfants par foyer en France: 3,8. Et ce n’est pas tout. Que coûteraient les 9 heures de gardes hebdomadaires si les grands-parents ne les prenaient pas en charge? Environ 90€, soit plus de 360€ par mois et plus de 3 000€ par an! Et les 22 journées de vacances? A minima 12€ par jour (prix moyen dans un centre aéré), soit 264€ par an. Qu’il soit sonnant et trébuchant ou en économies réalisées, le total du soutien financier est considérable ! L’investissement affectif a un pendant économique à sa mesure.

•• Pivots de la famille

 Les grands-parents aiment passer du temps en compagnie des plus jeunes de la famille, avec qui ils nouent de belles relations. Détachés des contraintes éducatives, ils n’hésitent pas à s’affranchir des règles édictées par les parents.

C’est avec les jeunes enfants que 79% des grands-parents sont le plus à l’aise, contre 11% avec les bébés. Les adolescents recueillent un petit 6%. Mais 95% des aînés aiment passer du temps avec eux, quel que soit leur âge. 87% partagent des valeurs, dans la complicité (86%). Dans la famille, les seniors occupent une position pivot qui ne leur épargne pas certains agacements. 42% ont le sentiment de devoir être à la disposition de leurs enfants. Autant se plaignent du manque de nouvelles de leurs petits-enfants. À l’inverse, 57% ne ressentent aucun de ces désagréments. Ils se sentent libres: 85% s’accordent le droit de déroger aux règles éducatives fixées par les parents !
Sondage

du 17 au 22 octobre 2018 auprès de 1000 personnes constituant un échantillon représentatif de la population des grands-parents français. 

 

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27 décembre 2018 4 27 /12 /décembre /2018 18:24

Après la journée mondiale de l’orgasme

(21 Décembre cette année)

L’enquête : Les Françaises sont moins épanouies sexuellement que leurs voisines européennes

Les Européennes les plus épanouies sexuellement sont les néerlandaises, selon cette étude...

Les Latins sont-ils meilleurs au lit ? Les chiffres disent le contraire. A l’occasion de la journée mondiale de l’orgasme, ce 21 décembre, le département « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l’Ifop a publié une enquête sur la vie sexuelle des Européennes. En queue de classement, les Françaises apparaissent comme les moins épanouies sur le plan sexuel.

Les Françaises ne sont pas les Européennes les plus épanouies au lit. C’est ce que révèle une étude menée sur plus de 6.000 femmes, interrogées dans le cadre d’une étude menée dans six pays européens : Espagne, Italie, France, Allemagne, Pays-Bas et Royaume-Uni. Nos voisines italiennes et espagnoles se disent également moins heureuses dans leur vie sexuelle. Les trois pays méditerranéens en tête de ce classement peu glorieux sont aussi ceux où les femmes ont le plus régulièrement des rapports sans en avoir envie : 24 % des Espagnoles disent être dans ce cas, 20 % des Françaises alors qu’elles sont 18 % en Italie.

Sodomie ou « 69 », des pratiques liées à la culture

En Europe, c’est en Hollande que les femmes affichent le plus haut degré d’épanouissement sexuel avec 38 % des femmes qui se disent « très satisfaites » de leur vie sexuelle actuelle. Un chiffre lié au « libéralisme néerlandais en matière de mœurs », pays où l’éducation sexuelle des enfants est faite plus tôt qu’en France, selon l’étude.

Ces résultats semblent liés à des différences des pratiques sexuelles entre les différents pays. C’est dans les pays où la sexualité orale est le plus développée que les femmes sont le plus satisfaites, explique l’étude. Aux Pays-Bas, les fellations et le « 69 » sont plus répandus. Dans le sud de l’Europe, où les femmes sont moins épanouies, on constate une « faible prévalence des pratiques bucco-génitales » car connotées négativement. C’est aussi en France que se pratique le plus fréquemment la sodomie, une pratique « loin d’être celle qui suscite le plus facilement l’orgasme chez les femmes, cela peut jouer à la baisse dans leur taux de satisfaction sexuelle », suggère le rapport.

La vie sentimentale semble compter comme un critère lié à l’épanouissement sexuel. En effet, les Françaises sont aussi les plus mécontentes de leur vie affective, avec 28 % des personnes interrogées qui s’en disent insatisfaites. Enfin, l’étude montre que les femmes françaises ne manquent pas d’expérience : elles ont 7,5 partenaires au cours de leur vie, plus que les Italiennes (5,8) ou les Espagnoles (6,4).

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20 décembre 2018 4 20 /12 /décembre /2018 18:23

Saviez-vous que le jour de l’année le plus propice aux crises cardiaques

est le 24 décembre

Une étude de chercheurs suédois révèle que la période de Noël, et essentiellement le 24 décembre, est propice aux crises cardiaques. Un état de fait constaté également par d'autres travaux, réalisés par des cardiologues de Los Angeles en 2004.

Les questions posées:

"Pourquoi cette hausse du nombre de crises cardiaques spécifiquement à Noël ? Quels facteurs entrent en ligne de compte ? Quelles personnes sont les plus concernées ? "

Tout comme l’article suédois en référence du BMJ, la littérature internationale montre de manière récurrente que toutes les périodes de stress collectifs, qu’ils soient positifs ou négatifs, sont génératrices d’une augmentation des accidents cardiaques et cérébraux-vasculaires. Crises politiques, guerres civiles, événements sportifs mais bien sur aussi les liesses populaires et sportives d’autant qu’elles s’associent à une augmentation significative d’activité physique et pour les périodes festives à une surconsommation de substances psycho-actives comme le tabac, l’alcool, le café ou même des drogues plus dures ainsi qu’une sur consommation alimentaire notamment hydro-sodée et très riche en calories.

Très schématiquement tous ces facteurs entrainent une augmentation de la consommation en oxygène du corps (muscles, digestion…) et entrainent une augmentation de la sécrétion de catécholamines  ce qui augmente le travail du cœur et modifie des paramètres biologiques parfois de manière très importante. Deux exemples caricaturaux : risque d’hyperglycémie d’origine alimentaire et au contraire d’hypoglycémie profonde lors d’alcoolémie sévère ou bien surcharge hydro-sodée brutale (fruits de mer, charcuteries, poissons fumés…) favorisant une poussée tensionnelle avec risque d’AVC, d’un infarctus ou une poussée d‘insuffisance cardiaque aigue.

En outre d’autres travaux ont montré que le froid, la pollution et la baisse de la durée d’ensoleillement étaient des situations aggravantes, ce qui est le cas pour Noël au moins dans l’hémisphère nord et plus particulièrement en Suède et dans les pays nordiques.

Bien sur les personnes les plus exposées sont les personnes âgées (plus de 75 ans) et celles atteintes de pathologies chroniques  notamment cérébraux-vasculaires (HTA, Insuffisance coronarienne, Insuffisance cardiaque , atteinte cérébrale vasculaires) mais aussi les personnes à risque : hypertendus, diabétiques, insuffisants rénaux ou respiratoires… ainsi que les personnes ayant des conduites à risque alcoolisme et tabagisme par exemple, sans parler des effets délétères spécifiques à certaines drogues comme la cocaïne.

Quelles autres périodes de l'année sont concernées par ces risques accrus ? Comment les personnes à risque peuvent-elles se prémunir de cette éventualité ?

Toutes les situations de stress collectif sont susceptibles d’augmenter l’incidence de ce type d’accidents. Il faut lutter contre ces risques, d'abord par la transmission d’une bonne information sur les caractéristiques, les risques et les signes de complications de la pathologie ou des facteurs de risque de ces personnes. C‘est ce qu’on appelle la promotion ou l’éducation à la santé pour la population générale et l’éducation thérapeutique pour les personnes atteintes de maladies chroniques ou les personnes à risque.

Ensuite par une information générale et une incitation à la modération des conduites comportementales. Cette information peut être apportée par tous les médias transactionnels que ce soit des professions médicales, pharmaceutiques ou des professions paramédicales aussi bien que la presse grand public, écrite ou sur internet.

La diffusion de messages sur les grands médias audio-visuels par les instances représentatives des usagers ou de la puissance publique comme Santé Publique France ou l’Assurance Maladie pourraient tout à fait relayer cette information en évitant les discours moralisateurs inefficaces : ce qui est important c’est de diffuser une information claire, valide et compréhensive.

Mais il est évident que l’acteur essentiel est l’individu lui-même qui doit connaitre et comprendre les risques et adapter son comportement en bonne connaissance de cause. C’est un choix ultime qui repose sur la part irréductible de la personnalité de tout un chacun.

 

Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

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