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2 juillet 2020 4 02 /07 /juillet /2020 06:28

Pourquoi il faut le porter

Covid-19 : le masque est efficace, une expérience le démontre par l’image

 

Richard Davis a éternué (sneeze), chanté (singing), parlé (talking) et toussé (cough), avec et sans masque, sur des plaques de culture de bactéries. Le résultat est flagrant ! (Richard Davis/Twitter)

Pour ceux qui douteraient encore de l’utilité du port du masque pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, une petite expérience menée par un scientifique américain vient apporter une preuve flagrante de son efficacité.

Alors qu’on assiste à un relâchement concernant le port du masque, une expérience réalisée par un scientifique américain vient prouver, de manière impressionnante, son utilité en pleine pandémie de Covid-19. Publiée sur Twitter vendredi par Richard Davis, responsable du laboratoire de microbiologie clinique du centre médical Providence Sacred Heart Medical à Spokane (Washington), elle a été partagée près de 200 000 fois.

« Que fait un masque ? », questionne-t-il. « Il bloque les gouttelettes respiratoires provenant de la bouche et de la gorge ». Dans un premier temps, il a éternué, chanté, parlé et toussé vers une plaque de gélose avec et sans masque. Ces boîtes permettent la mise en culture de micro-organismes. Les colonies de bactéries montrent où les gouttelettes ont atterri. « Un masque les bloque pratiquement toutes », conclut le scientifique. Il s’agit ici de bactéries, mais le constat pourrait être le même pour des virus.

« Les gouttelettes ont surtout atterri à moins de 1,5 m »

 

Dans un deuxième temps, Richard Davis a voulu évaluer l’effet de la distance : il a placé des plaques de culture de bactéries ouvertes à 0,6, 1,2 et 1,8 m (2, 4 et 6 pieds) de lui et a toussé (fort) pendant 15 secondes. Avec et sans masque. « Comme le montre le nombre de colonies de bactéries, les gouttelettes ont surtout atterri à moins de 1,5 m, mais un masque les a presque toutes bloquées », conclut-il.

Conscient des limites de son expérience - « cette simple démonstration n’est pas un moyen de cultiver des virus ou de modéliser la propagation du SARS-CoV-2 », il a toutefois réussi à illustrer de manière frappante comment se propagent les grosses gouttelettes respiratoires et comment un masque peut les bloquer…

 

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11 juin 2020 4 11 /06 /juin /2020 06:04

Un élément essentiel pour votre santé: " Le Zing "

L’importance du zinc pour les êtres humains a été reconnu par la médecine il y a cinquante ans au Moyen-Orient. 

Une étude avait révélé que le nombre élevé de décès par maladies infectieuses chez les personnes de moins de 25 ans s’expliquait par une carence en zinc, qui entraîne un grave dysfonctionnement du système immunitaire.  

En cette période où chacun se préoccupe de savoir si son système immunitaire fonctionne de façon optimale, voici 10 aliments riches en zinc que vous pourriez envisager d’ajouter à vos repas.

A noter que notre corps ne stocke pas le zinc : vous avez donc besoin d’en manger chaque jour pour atteindre vos apports journaliers recommandés. Cela correspond à 11 mg pour les hommes et 8 mg pour les femmes. Pour les femmes enceintes, il faut monter à 11 mg et 12 mg pour les femmes qui allaitent.

Voici donc les 7 aliments les meilleurs pour vous apporter du zinc :

 

La viande

La meilleure source de zinc est la viande, en particulier la viande rouge. Vous trouverez, dans 100 g de viande de bœuf hachée, 4,8 mg de zinc donc pratiquement la moitié des apports journaliers.

Les coquillages

Les huîtres sont particulièrement riches en zinc : 6 huîtres de taille moyenne apportent 32 mg de zinc, soit 3 à 4 fois la dose journalière recommandée !

Les autres types de coquillage sont moins riches mais restent des sources très intéressantes.

Les moules, les crevettes et les crabes sont aussi riches en zinc.

Les légumineuses

Les légumineuses comme les petits pois, les lentilles, les haricots contiennent des quantités substantielles de zinc : environ 3 mg pour 100 g.

Le problème est qu’ils contiennent aussi des phytates, c’est-à-dire des antinutriments qui inhibent l’absorption du zinc et des autres minéraux. Leur zinc n’est donc pas aussi bien absorbé que le zinc des produits animaux.

Pour les végétariens, le fait de faire germer, tremper ou fermenter les légumineuses augmentent la biodisponibilité des minéraux.

Les graines

Les graines de courge, de citrouille et de sésame contiennent du zinc. 

Mais ce sont les graines de chanvre qui en sont les plus riches : 30 grammes (3 cuillères à soupe) contiennent presque 4 mg de zinc.

Rappelons que, en plus d'augmenter l’apport en zinc, les graines contiennent des fibres, des graisses bonnes pour la santé, des vitamines et des minéraux qui en font un excellent complément pour le régime alimentaire.

Le chocolat noir

Le chocolat noir contient beaucoup de zinc : si vous choisissez un chocolat entre 70 et 85 % de cacao, vous aurez 3,3 mg de zinc pour 100 grammes.

Attention toutefois, 100 g de chocolat noir, c’est aussi 600 calories, donc vous ne pourrez probablement pas vous contenter de manger du chocolat pour couvrir vos besoins !

Le fromage

Le fromage contient de nombreux nutriments, dont du zinc biodisponible. Un fromage à pâte dure comme le comté contiendra 3 mg de zinc pour 100 g.

Les noix (oléagineux)

Manger des oléagineux comme les pignons, les amandes, les noix de cajou, les noix vous apportera un petit complément en zinc.

C’est aussi l’aliment à privilégier quand vous avez une petite faim : les personnes qui mangent régulièrement des noix ont tendance à vivre plus longtemps, et à moins souffrir de maladies cardiaques, de cancer et de diabète.

Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

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16 avril 2020 4 16 /04 /avril /2020 10:58

Attention, le coronavirus peut aussi cacher un dangereux virus informatique !

Des hackers ont caché un dangereux Malware dans une carte qui affiche l'état de l'épidémie du coronavirus à travers le monde. Ce virus peut récupérer des données personnelles puis ouvrir la porte à d'autres logiciels malveillants.

 

Rien n'arrête les escrocs mais aussi les pirates informatiques. Alors que des personnes sans scrupule commercialisent des faux masques de protection, d'autres ont décidé de profiter de la crise sanitaire liée au coronavirus pour créer un authentique malware ! Son nom ? « Coronavirus Maps ».

Découvert par MalwareHunterTeam la semaine dernière et détaillé par Shai Alfasi, chercheur en cybersécurité chez Reason Labs, ce virus vise spécifiquement les internautes qui recherchent des données cartographiques sur l'épidémie Covid-19 sur Internet. Lorsqu'ils tombent sur la page vérolée, via un moteur de recherche, les personnes sont invitées à télécharger une carte pour la lancer depuis Windows.

Un antivirus mis à jour récemment peut le supprimer

Effectivement, un double-clic sur le fichier affiche bel et bien une carte en temps réel des infections et des décès à travers la planète, sauf que dans le même temps, cela lance l'installation du malware, capable de collecter les informations stockées dans le navigateur, comme les cookies, l'historique de navigation, mais aussi les identifiants et les mots de passe. Fort de ces données, les hackers peuvent ensuite se connecter à votre place à votre banque, Facebook ou encore votre boîte e-mail.

Et ce ne serait qu'une partie des dommages causés par ce malware puisqu'il modifie des fichiers systèmes et peut servir de porte d'entrée pour d'autres logiciels malveillants. La bonne nouvelle, c'est que depuis sa découverte le 9 mars, de nombreux éditeurs d'antivirus l'ont intégré dans leur base virale et sont capables de l'éliminer. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il se base sur un malware apparu en 2016.

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26 mars 2020 4 26 /03 /mars /2020 06:22

SARS-CoV-2 :

les scientifiques savaient que ce n'était qu'une question de temps

 

Dans un article scientifique publié en 2007, les scientifiques annonçaient déjà qu'une telle pandémie était très probable, surtout à cause de la consommation d'animaux exotiques en Chine.

Avant l'émergence du Sars-CoV-1 en 2003, seulement 12 coronavirus étaient connus chez l'Homme ou chez d'autres animaux. La découverte de ce virus a amplifié l'étude des coronavirus chez les animaux et cette surveillance a agrandi notre connaissance : on sait désormais qu'il existe au moins, chez des animaux exotiques particulièrement, 36 coronavirus différents. Pourtant, cela n'a pas empêché la pandémie de Sars-CoV-2 que nous connaissons actuellement. Pourquoi ?

La consommation d'animaux exotiques : une bombe à retardement

C'est après avoir fait un inventaire conséquent des caractéristiques du Sars-CoV-1 en 2007 concernant les aspects épidémiologiques, cliniques, pathologiques, immunologiques, virologiques et autres aspects scientifiques de base du virus et de la maladie que les scientifiques osent ce propos dans un article publié dans la revue Clinical Microbiology Reviews.

Dans un paragraphe intitulé « Devons-nous êtres prêt pour la ré-émergence du SARS ? », ils énoncent « la présence d'un grand réservoir de virus de type Sars-CoV chez les chauves-souris"en fer à cheval", ainsi que la culture de manger des mammifères exotiques dans le sud de la Chine, [qui] est une bombe à retardement. Il ne faut pas ignorer la possibilité de réapparition du SRAS et d'autres nouveaux virus provenant d'animaux ou de laboratoires et, par conséquent, le besoin de préparation. » Pour ce qui est du Sars-CoV-2, coupons court aux théories du complot : un article paru dans la revue Nature démontre que le virus est d'origine naturelle

Bien sûr, il n'est pas question ici de juger ni de porter atteinte à la culture ou à la population chinoise. Simplement, on peut regretter que des mesures plus conséquentes n'aient pas été prises pour limiter considérablement le passage d'un telle famille de virus de l'animal à l'Homme. En effet, quand on se souvient du contexte potentiel de la première contamination (un marché aux poissons avec des règles d'hygiènes laissant à désirer), on en conclut rapidement que cette pandémie aurait pu être évitée. Prudence cependant, cette hypothèse semble maintenant remise en question par des scientifiques chinois : le patient zéro n'aurait eu aucun lien avec le marché de Whuan. Affaire à suivre.

Sans critiquer la culture chinoise, des mesures plus drastiques auraient dues être prises pour empêcher cette pandémie. © OutdoorPhotos, Adobe Stock 

La mondialisation : l'aubaine des pandémies 

La faute ne peut pas être jetée uniquement sur la Chine. L'une des grandes différences entre l'épidémie de Sars-CoV qui n'avait pas quitté la Chine en 2003 et la pandémie que nous connaissons aujourd'hui est que le traffic aérien ne cesse de s'accroître. Il a doublé entre 2003 et aujourd'hui. Forcément, cela crée les conditions propices à la propagation d'un virus aussi contagieux. Surtout que dans nos démocraties libérales, les mesures drastiques mettent souvent du temps à être effectives comme nous avons pu le constater.

Si, en temps normal, c'est une bonne chose pour nos libertés individuelles, en temps de pandémie, on constate la faiblesse de nos systèmes politiques et l'irresponsabilité de la population. De même, on espère qu'à l'avenir, on écoutera enfin, sur tous les sujets importants, comme le climat, par exemple, la voix des scientifiques. 

CE QU'IL FAUT RETENIR

Des scientifiques avaient déjà pointé comme très probable la ré-émergence d'un coronavirus, surtout à cause de la consommation d'animaux exotiques qu'ils qualifiaient de « bombe à retardement ». 

À la suite de l'inventaire effectué sur le Sars-CoV-1, il apparaît que cette pandémie aurait pu être évitée si les avis des scientifiques avaient été entendus. 

À l'avenir, il faut espérer encore et toujours que les scientifiques seront écoutés... 

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12 mars 2020 4 12 /03 /mars /2020 11:29

Saviez-vous que:

" Les escargots tuent plus de 200 000 personnes par an "

Cela fait du gastéropode le troisième animal le plus meurtrier de la planète ! 

Le requin, le lion ou encore les serpents sont des animaux terrifiants pour l’Homme mais ils ne sont pas forcément les plus meurtriers. Si on se méfie du moustique qui est l’animal le plus dangereux de la planète, on a tendance à penser que l’escargot est inoffensif. Pourtant, le gastéropode tue davantage que le requin.

 

C’est donc derrière le moustique (725 000 victimes par année) et l’homme lui-même (475 000 victimes annuelles) que l’escargot se situe. Là, les estimations oscillent, mais la World Health Organization estime à 200 000 décès par an lié à l’animal. C’est notamment via une maladie parasitaire, surnommée la “fièvre escargot” qu’il occasionne le plus grand nombre de ses victimes.

En effet, la bilharziose se transmet facilement, dans les eaux des pays en développement. C’est une maladie chronique provoquée par des vers parasites et notamment due aux eaux contaminées. Les enfants des pays en développement qui se baignent dans ces dernières y sont constamment exposés.

Une maladie prenant de plus en plus d'ampleur....

D’après les chiffres de l’OMS, on estimait en 2016 qu’au moins 206,5 millions de personnes avaient besoin d’un traitement préventif contre cette maladie. Un peu plus de 88 millions d’entre elles ont été traitées. Toujours d’après l’OMS, cette maladie est avérée dans plus de 78 pays. La majorité étant, comme vous l’aurez compris, en développement. Les infections et transmissions sont légion dans les eaux douces et pénètrent facilement dans la peau.

D’ailleurs, la transmission est également très simple, puisqu’elle se produit quand des gens souffrant de cette maladie contaminent des sources d’eau avec leurs excréments. Par la suite, les larves vont se développer et devenir adultes, vivant à l’occasion dans les vaisseaux sanguins. Dans ces derniers, les femelles vont pondre des œufs, qui pourront sortir avec les matières fécales. Dans d’autres cas, de vives réactions immunitaires et des lésions évolutives à travers les organes peuvent s’effectuer. Là, des hémorragies internes mortelles se déroulent.

92 % des personnes qui ont besoin d’un traitement contre cette maladie habitent en Afrique. Globalement, deux formes principales demeurent, intestinale et urogénitale. Cinq espèces d’animaux en sont responsables, dont l’escargot d’eau douce. Selon l’OMS, il tue entre 24 000 et 200 000 personnes chaque année. Ainsi, la principale solution pour empêcher une telle propagation de cette maladie est d’améliorer l’accès aux eaux douces, propres et de limiter le contact avec les eaux contaminées, notamment lors de la baignade.

 

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