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Le Blog De Papy-Bougnat

  • Papy-bougnat
  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule 
Bonne route & merci pour votre visite
  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour ! Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule Bonne route & merci pour votre visite

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Il est très ... Exactement

 

 

 

             

 

 

 

 

A L'affiche..

La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

[André Malraux]

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Actu du jour...

 

 Passion Palombe

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A chacun sa toile

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Urgent!

 Cherche Bénévoles

Pour

  Restaurer Cabane ..

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Attention ! Passion Palombe...

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C'est ici que ça se passe ............

Au mois d'octobre de chaque Année

 

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Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

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7 mars 2023 2 07 /03 /mars /2023 09:26

Saviez-vous qu'il est possible de maigrir sans faire de sport ? Perdre du poids sans passer par la salle de sport ou par la case régime est pourtant envisageable. Mais encore faut-il respecter certaines règles et d'adopter les bons gestes au quotidien.

 

Notez : Les informations de ce billet sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils de santé obligatoire, il peut être fortement recommandé au lecteur de ce billet si le désire de consulter des professionnels de santé dûment homologués pour toute question relative à leur santé, avant toute décision de pratique sportive …

La recette du jour : 

Comment brûler des calories sans sport !

Certains s’épuisent à faire du sport… mais faire l’amour, réfléchir, dormir, passer l’aspirateur, ou bricoler permettent aussi de brûler des calories, en quantité !

Voici Quelques chiffres pour ne plus culpabiliser !

 

  1. Faire les courses = 400 calories par heure

Faire ses courses demande un effort physique fort intéressant pour la ligne… On brûle 400 calories à l’heure du fait du port des charges souvent lourdes.

Nos conseils : il est important de bien équilibrer la charge en portant un sac de chaque côté.

Cette activité sollicite particulièrement les biceps, les abdominaux et les cuisses.

Notre conseil : Faites les courses le ventre plein pour être moins tenté. Cela évite de succomber à vos envies et d’acheter des produits qui font souvent grossir...

    2. Marcher = 60 calories par demi-heure

Non seulement marcher permet de brûler 120 calories par heure du fait de l’activité musculaire, mais toutes les études montrent que cette activité physique régulière (au moins 30 minutes quotidiennes) est bonne pour la santé en général. Elle réduit le stress, le taux de cholestérol et de sucre dans le sang, ainsi que les risques d’ostéoporose ou de maladies cardio-vasculaires…

Sources

Apports nutritionnels conseillés à la population française, MARTIN A., Tec et Doc, Paris, 2001. - Travail intellectuel et obésité, Angelo Tremblay, département médecine sociale et préventive, université de Laval, Canada, 2006.

10 façons de booster votre métabolisme, Web MD

Plain water consumption in relation to energy intake and diet quality among US adults, 2005–2012, Journal of Human Nutrition and Dietetics, 2016

Le piment favorise la perte de poids, Centre de référence sur la nutrition de l'Université de Montréal, 2020

 

Une affaire à suivre..............

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9 juin 2022 4 09 /06 /juin /2022 06:03
Réflexion ...........
Photo de michael75 sur Unsplash

La pleine lune est-elle responsable de vos insomnies ?

 

Jusqu’ici, la communauté scientifique était bien divisée. Malgré quelques études jugées peu convaincantes affirmant le contraire, rien ne prouvait que le satellite de la Terre ne venait jouer les trouble-fête pendant notre sommeil. Mais de derniers travaux publiés dans la revue Science Advances lèvent une partie du mystère. Selon une équipe de scientifiques de l’Université de Washington aux Etats-Unis, chaque mois, les quelques nuits précédant la pleine Lune, nous nous endormons plus tard, et pour une durée plus courte.

Pendant plusieurs semaines, les scientifiques ont équipé de bracelets électroniques 98 personnes amérindiennes en Argentine avec trois modes de vie différents, certains vivant à la campagne sans électricité, d’autres à la ville avec de l’électricité, ou encore à la campagne mais avec un accès plus limité. Dans les trois configurations, les résultats sont sans appel : l’ensemble des personnes surveillées ont en moyenne enregistré un temps d’endormissement de 30 minutes plus long dans les jours précédant la pleine Lune. Une fois le phénomène passé, ce temps se réduit les jours suivants… avant de repiquer à l’approche de la pleine Lune suivante.

En ville comme à la campagne, elle n’épargne personne

Selon les scientifiques, cet effet de la Lune sur le sommeil ne serait pas plus faible dans les lieux urbains où la lumière artificielle est déjà présente la nuit. 464 étudiants de Seattle se sont soumis à la même expérience que la communauté amérindienne en Argentine, confirmant que la pleine lune n’épargne personne. Malgré ces observations, les scientifiques sont pour le moment incapables de comprendre les raisons de ce phénomène sur notre sommeil. Par ailleurs, si ces résultats montrent un lien de cause à effet entre la pleine Lune et un endormissement plus tardif, ils ne permettent cependant pas de prouver que les insomnies sont elles aussi causées par ce phénomène astronomique La Lune n’a pas fini de révéler tous ses secrets…

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14 mars 2017 2 14 /03 /mars /2017 07:07

Attention au sucre caché !!

Les sucres ajoutés, véritables dangers dans notre alimentation

Présents dans les boissons sucrées mais aussi dans de nombreux produits transformés, les sucres contribuent à l’épidémie mondiale de diabète.

En 2015, au Canada, la consommation moyenne de boisson sucrée équivalait à une canette par habitant et par jour, et près de deux canettes chez les 9-18 ans, soit 64 grammes de sucre. Le triple de la consommation des enfants français de cet âge. À ce rythme-là, les chercheurs de l’université de Waterloo (Ontario) ont estimé qu’au cours des vingt-cinq prochaines années, la consommation de boissons sucrées au Canada serait responsable de plus de 63.000 décès, 40.000 accidents vasculaires cérébraux, 100.000 cancers, 300.000 infarctus du myocarde, de 1 million de diabétiques et de 3 millions d’obèses. Une étude de l’Imperial College de Londres, publiée en 2015, évaluait l’impact des boissons sucrées dans le monde à 184.000 morts par an, dont 133.000 à cause du diabète.

« Saviez-vous que dans un cordon bleu, des chips, des biscottes ou des yaourts aromatisés, il y a beaucoup de sucres

Béatrice de Reynal, nutritionniste

Voilà pourquoi, après s’être attaqués au tabac, au cholestérol puis à l’excès de sel dans notre alimentation, les spécialistes de la santé publique sont désormais en guerre contre le sucre. Pas celui que l’on trouve dans les fruits ou les aliments naturels, non, ce sucre-là est habituellement consommé en trop petite quantité pour inquiéter réellement les nutritionnistes. Celui qui préoccupe les experts du monde entier est plus redoutable, c’est le sucre caché.

Parfois mal caché, dans les boissons sucrées, parfois mieux, dans les plats tout préparés. « Les calories contenues dans les boissons sucrées passent inaperçues car on ne les perçoit pas », explique au Figaro le Pr Éric Renard, chef du service d’endocrinologie, diabète, nutrition au CHU de Montpellier. Mais ce n’est pas le seul piège. « Saviez-vous que dans un cordon bleu, des chips, des biscottes ou des yaourts aromatisés, il y a beaucoup de sucres ?», interroge la nutritionniste Béatrice de Reynal dans Ouvrez l’œil avant d’ouvrir la bouche (Robert Laffont, 2016).

Cet ingrédient « quasi magique » permet d’accroître les ventes

Alors pourquoi le sucre inonde-t-il notre univers nutritionnel, des boissons sucrées aux gâteaux apéritifs salés en passant par les plats tout préparés ? Pour nous rendre heureux ! Les géants de l’agroalimentaire ont en effet compris depuis longtemps qu’ajouter cet ingrédient « quasi magique » à leurs produits permettait d’accroître les ventes. Ils ont même inventé le terme de « point de félicité » pour qualifier le goût sensoriel optimal d’un mets.

Dans son livre Sucre, sel et matières grasses (Calmann-Lévy, 2014), le journaliste américain Michael Moss raconte comment l’un des consultants vedette de l’agroalimentaire, Howard Moskowitz, a découvert le point de félicité en 1972, en testant différentes compositions destinées à améliorer le goût des rations militaires de l’US Army. « Notre goût pour un aliment augmente en même temps que la quantité de sucre qu’il contient, mais seulement jusqu’à un certain point , explique Moskowitz, ajouter du sucre après ce pic n’était pas seulement du gâchis, ça diminuait l’attrait de l’aliment.»

Selon les repères de consommations alimentaires déterminés par l’Agence de l’alimentation (Anses) pour la population française, il faut « limiter les apports de sucres totaux de la population en deçà de la valeur maximale de 100 g/j». Un Français sur cinq est au-dessus de ce seuil. Un homme sur trois, entre 18 et 34 ans.

« Le sucre n’est pas un macronutriment essentiel. Vous n’avez pas besoin de consommer un seul gramme de sucre alimentaire »

James DiNicolantonio, expert sur les maladies cardio-vasculaires

L’accumulation de données est accablante pour le sucre, comme le confirme l’expertise réalisée par l’Anses: «La consommation de sucres au-delà de certaines quantités présente des risques pour la santé par des effets directs sur la prise de poids, l’augmentation de la triglycéridémie et de l’uricémie ainsi que par des effets indirects sur le diabète de type 2 et certains cancers, maladies qui constituent actuellement des enjeux de santé publique majeurs.»

Le rôle du sucre dans l’apparition du diabète a longtemps été nié, comme le fut celui du tabac dans le cancer du poumon. Chercheur à l’institut de cardiologie St Luke de Kansas City, James DiNicolantonio, est l’un des principaux experts américains sur les maladies cardio-vasculaires. Il dénonce dans un livre à paraître en juin prochain les restrictions excessives concernant le sel (The Salt Fix, Penguin Random House, 2017). « Le sucre, d’un autre côté, n’est pas un macronutriment essentiel, explique-t-il au Figaro. En d’autres termes, vous n’avez pas besoin de consommer un seul gramme de sucre alimentaire. Fondamentalement, nous ne devrions pas consommer beaucoup de sucres ajoutés (saccharose ou sucre de table, sirop de maïs à haute teneur en fructose) et viser un objectif de moins de 10 % du total des calories ingérées.»

« Ce n’est pas le sucre qui cause le diabète chez des personnes qui ne sont pas à risque, mais il le révèle chez les personnes prédisposées », conclut le Pr Éric Renard.

 


Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

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