Quoi de neuf pendant ces vacances ( dans le sud )?
Au comptoir
Sur la route
Sur l'autoroute, un contrôle radar enregistre une Ferrari à 19 Km/h.
OUI ! OUI ! Seulement 19 Km/h
Le policier, qui vient d'effectuer le constat, rattrape donc, en trottinant, le véhicule et tape à la vitre pour demander des explications.
Au volant, une blonde lui répond en souriant
- “Je respecte les limites de vitesse indiquées sur les panneaux. Il y a inscrit “A 19”, alors je roule a 19…”
Le policier répond, en souriant
- “Mais non, A19, c'est le numéro de l'autoroute ; ce n'est pas la limite de vitesse !”
Et, regardant la passagère, il rajoute
- “Et vous devriez vous dépêcher, car votre amie à l'air d'être malade. Elle est toute blanche…”
Et la blonde
- “Je crois que c'est parce qu'on vient de quitter l'A313.”
Lundi 9 août, les gendarmes d’Artix ont arrêté ce chargement insolite et non conforme. L’automobiliste était aussi en infraction
Il faut dire que l’ensemble avait de quoi interpeller les gendarmes. Lundi 9 août, les militaires du Peloton motorisé d’Artix (PMO) n’ont ainsi pas manqué sur l’autoroute A 64, à hauteur du péage d’Artix, la camionnette de 3,5 tonnes tractant une remorque portant une coque de piscine. Elle circulait en direction de Toulouse.
Comme les gendarmes le racontent sur leur page Facebook mardi 17 août, « le poids de l’ensemble était conforme » mais la remorque n’était pas assurée, ayant été modifiée.
Le conducteur n’était pas en règle non plus puisque son permis de conduire avait été annulé administrativement depuis 2006 et qu’il circulait en récidive de défaut d’assurance, racontent encore les militaires.
Le conducteur au chargement volumineux a déclaré aux gendarmes que la coque s’était renversée sur l’autoroute espagnole, sans faire de blessé. Il avait également été victime d’une panne mécanique la nuit précédente et avait été remorqué de l’autoroute jusqu’au local d’un garagiste artisien, livre le PMO.
En fin de matinée, à l’issue du dépannage, l’automobiliste a repris la route et fait l’objet du contrôle. Camionnette et coque de piscine ont été immobilisées. L’automobiliste devra répondre de ces infractions devant la justice.
Au restaurant
Sur la plage
Hendaye : une nageuse outrage les sauveteurs pompiers
Deux sauveteurs pompiers ont été pris à partie par une nageuse qui se trouvait dans la zone réservée aux surfeurs
Mardi 17 août, en début d’après-midi, deux sapeurs pompiers sauveteurs, qui effectuaient une patrouille pédestre de surveillance le long de la plage, ont repéré une nageuse qui se baignait au milieu des surfeurs, dans une mer plutôt agitée à ce moment-là.
Ils ont fait usage, à plusieurs reprises, de leurs sifflets pour attirer l’attention de la baigneuse afin qu’elle revienne vers le bord et se mette à l’abri. Si les surfeurs se sont tournés vers le rivage en entendant les sifflets, la naïade est longtemps restée indifférente.
Des doigts d’honneur
Elle est quand même sortie de l’eau au bout d’un certain temps, en manifestant par geste son agacement. Les sauveteurs pompiers ont tenté de lui expliquer pourquoi la zone de surf est interdite à la baignade, en raison du danger que cela peut représenter. Mais la femme, âgée de 58 ans, de nationalité espagnole et qui réside à Fontarrabie, leur a tourné le dos en leur adressant des doigts d’honneur.
Alertés, les MNS CRS présents non loin de là sur la partie réservée à la baignade sont alors intervenus pour interpeller l’irascible Ibère pour outrage à personne chargée d’une mission de service public. Des faits dont elle répondra ultérieurement devant la justice.
Moralité :