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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
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17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 07:33
Du côté nature.............
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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 05:52
Du côté " NATURE "

Aujourd’hui parlons du Jardinage 

Des chercheurs britanniques ont découvert que ne serait-ce que 30 minutes de jardinage hebdomadaire serait très bon pour notre mental : calme, estime de soi, valorisation. Avoir la main verte est un vrai plus pour notre moral.

Du côté " NATURE "

Et si on prenait le temps de jardiner ? On vous voit déjà venir : tondre la pelouse vous préférez laisser cela aux autres et quand on vous parle de jardinage vous vous voyez déjà passer votre week-end à planter des bulbes de tulipes. Pas forcément.

Des chercheurs des universités d'Essex et de Westminster au Royaume-Uni ont découvert qu'une seule session hebdomadaire de jardinage n'excédant pas 30 minutes était déjà un vrai plus pour la santé. Leurs conclusions, publiées dans le Journal of Public Health tendent à démontrer que les personnes qui s'y soumettent y trouvent de nombreux bénéfices.

Moins de stress et un sentiment de satisfaction

Les scientifiques ont ainsi découvert que les personnes qui avaient la main verte avaient tendance à être beaucoup moins sujettes au surpoids et à la dépression. Et la bonne nouvelle c'est que ces bénéfices s'observent à partir de seulement 30 minutes.

Cela s'explique en grande partie par le fait que les activités en plein air sont connues depuis longtemps pour favoriser la santé mentale. De plus passer du temps dans des espaces verts accentue de manière significative cet effet. Enfin comme tout travail manuel, le jardinage donne un sentiment de satisfaction à ceux qui l'exercent. Regarder pousser les fleurs qu'on a semées procure, en général, un réel sentiment de satisfaction chez les jardiniers en herbe. De plus ces personnes ont une bonne connaissance du monde végétal et cela influe de manière positive sur leur façon de se nourrir.

Alors qu'est-ce qu'on attend pour s'y mettre ? Les plus taquins d'entre vous répondront "un jardin". Alors si vous n'en possédez pas, rien ne vous empêche de vous lancer à plus petite échelle dans l'achat d'une jardinière et d'y planter ce qui vous fait plaisir. Cela après une bonne marche en plein air, dans un parc de préférence. Si ce n'est pas tout à fait du jardinage au sens ou cette étude l'entend, cela aura au moins le mérite de cumuler les bienfaits de ce dernier.  

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2 novembre 2015 1 02 /11 /novembre /2015 21:18
Du côté nature
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20 octobre 2015 2 20 /10 /octobre /2015 06:11
Du côté nature..........

Mon potager

 

Un potager, c'est utile et merveilleux. Mais gare à ceux qui se lancent dans l'aventure sans expérience !

Cela commence par des mauvaises herbes qui envahissent tout. Chardons, pissenlits, prêles, pourpier, liseron, chiendent, racines plongeant à 40, 50 cm ou plus encore, il faut se battre sans relâche pour les arracher et elles reprennent le dessus dès que vous tournez la tête.

Viennent ensuite la pluie, le vent, le soleil. La pluie transforme votre potager en mare de boue. Le vent apporte les graines des alentours et recouvre vos semis. Le soleil change la terre en brique et forme des mottes incassables si votre terrain est argileux.

Vous êtes ensuite attaqué par les pigeons qui viennent picorer vos salades dès qu’émergent les feuilles tendres, puis les limaces. Les limaces sont des animaux incroyables. On dit « se reproduire comme des lapins », mais à mon avis, il faudrait dire « se reproduire comme des limaces ».

Fin avril ou début mai, vous avez besoin d'un grand pot à confiture pour retirer toutes les limaces de vos salades. Vous remplissez le pot, vous rentrez chez vous, vous attendez quelques heures… et vous pouvez recommencer à zéro. C'est la « génération spontanée ».

Viennent ensuite les pucerons, les chenilles et cochenilles, les larves, les doryphores, puis les lapins, les mulots, enfin les chevreuils et les sangliers si vous habitez en lisière de forêt. Vos choux sont ravagés par des milliers de petits papillons blancs qui nichent dans leur cœur et n'y laissent qu'une bouillie verdâtre. Vos navets et radis ont des centaines de microtrous sur les feuilles, sans même que vous ayez vu apparaître ni disparaître le mystérieux coupable. Tous se font concurrence pour dévorer vos légumes avant même qu'ils n'aient passé le stade de la petite enfance.

Si vous parvenez malgré tout à les protéger, vous aurez la joie de voir apparaître des bébés tomates, aubergines, poivrons… qui attraperont des traces brunes sur les feuilles, puis sur les fruits. Beaucoup tomberont par terre avant d'avoir mûri, dessécheront sur pied sans que vous ayez pu y faire quoi que ce soit.

Si malgré tout vous persistez et tenez bon jusqu'au début du mois de juillet, préparez-vous alors… à annuler vos vacances.

En effet, on oublie souvent qu'un potager familial, c'est sympathique, mais 70 % de la récolte annuelle se fait entre le 1er juillet et le 31 août. Si vous décidez de partir à ce moment là, vous compromettez l'essentiel de vos efforts et vous ne trouverez à votre retour qu'une forêt vierge de plants de tomates transformés en buissons, de courgettes grosses comme des bûches, des haricots verts filandreux, de radis énormes et creux. Le reste de vos légumes aura disparu sous une forêt de mauvaises herbes dont vous peinerez à croire qu'elles aient pu devenir si grandes en si peu de temps, alors que les plantes que vous aviez installées, arrosées, bichonnées, sont restées faméliques ou ont disparu. Tout cela bien sûr si tant est que vous ne viviez pas dans une région chaude où la sécheresse aura tout transformé en paille jaune.

Mais c'est au moment de la récolte que les choses se compliquent vraiment. Depuis des semaines, des mois, vous guettiez la timide apparition de vos blettes, navets et salades. Voilà qu'ils mûrissent tous d'un coup. À la disette succède un excédent ingérable de légumes dont vous ne savez plus que faire. Vous cherchez bien sûr à en distribuer à vos amis, collègues, vous forcez vos enfants à se resservir à table, vous surgelez, vous déshydratez, vous faites conserves et coulis, rien n'y fait, vous réalisez bientôt avec consternation qu'il va falloir jeter sur votre tas de compost la majeure partie de ces légumes qui vous ont donné tant de mal.

Refusant d'abdiquer, vous décidez de construire des claies dans votre garage, votre cave, votre véranda pour stocker un maximum. Et vous faites bien, car aussi vite les excédents étaient-ils apparus que voici la récolte qui se termine. Il n'y a maintenant plus rien à récolter sur vos plates-bandes devenues stériles.

Mais malheureusement, voici que les légumes que vous aviez entreposés pour l'hiver ramollissent, se fripent, des moisissures apparaissent, et bientôt des champignons. Nous ne sommes pourtant qu'au mois d'octobre ! Une nouvelle fois, il vous faut convoquer des sacs poubelles pour évacuer vers la déchetterie les restes de votre trésor.

Et c'est alors qu'un pénible sentiment de trahison vous envahit…

De passage au supermarché, vous ne voyez plus du même œil ces légumes calibrés, brillants, impassibles, qu'il suffit d'empoigner et de mettre dans son caddie pour les avoir un peu plus tard dans son assiette. « C'est pas du jeu ; de toute façon, ils sortent d'une serre, de camions frigorifiques et sont bourrés de produits chimiques », marmonnez-vous. Mais au fond de votre conscience, vous ne pouvez faire taire cette petite voix qui vous dit que, tout de même, serre ou pas, produits chimiques ou pas, camions frigorifiques ou pas, les types qui parviennent à produire des légumes pareils sont quand même drôlement forts…

Nous sommes au mois de novembre et cela fait des semaines maintenant que vous avez mangé vos derniers légumes. Mais ceux du supermarché sont toujours là, insolents, dans leur cagette. L'hiver avance et ils réapparaissent chaque jour comme par enchantement, toujours les mêmes, il n'y a que le prix qui change un peu ! Vous vous demandez par quel miracle, au magasin, les salades ne flétrissent pas. Comment les carottes sont-elle si propres, si lisses, si cylindriques, alors que les vôtres étaient courtes, poilues, énormes, biscornues, à tel point que plus personne chez vous n'acceptait la corvée de les laver, les éplucher et surtout les manger alors qu'il restait toujours un peu de terre et de petits cailloux coincés dans les fentes.

Quant aux éternels paquets de trois poivrons rouge-jaune-vert sous cellophane, vous réalisez que cela tient du prodige que des ingénieurs agronomes, quelque part, on ne sait où d'ailleurs, réussissent ainsi à en produire avec la régularité d'un métronome, toujours de la même taille, du même goût, et sans jamais la moindre tache ni la moindre irrégularité, du 1er janvier au 31 décembre… 

Ne pas oublier que le jardinage est une addiction

Il m'est arrivé de ne plus avoir de potager. J'ai toujours très mal vécu de ne plus pouvoir contrôler (un minimum) ce que j'allais manger, et surtout de manger des légumes insipides.

Car, tous les jardiniers le savent : quelle que soit leur forme, leur taille, les vers que l'on y trouve… les légumes du potager ont toujours une saveur et une texture incomparables. C'est vrai pour les tomates, les épinards, les salades… mais c'est vrai aussi pour les pommes de terre, les betteraves rouges, les choux et les navets, des légumes injustement méprisés par ceux qui n'y connaissent rien.

Les légumes que vous faites pousser dans votre jardin n'ont rien à voir avec ce que vous pouvez trouver dans le commerce. La différence n'est pas importante : elle est énorme.

Vous vous apercevez que vous ne saviez plus ce qu'était le goût et l'odeur de la carotte, la première fois que vous récoltez les vôtres. Et c'est pareil pour tous les autres légumes.

Alors même si la récolte est parfois incertaine, jamais on n'éprouve de regrets.

Il y a aussi les bons nutriments, les vitamines. Il y a le jardin des plantes médicinales, les simples. Il y a les pommes acides, râpeuses, mais tellement succulentes, au parfum si subtil… Il y a tant de choses. Jamais, vous ne me ferez abandonner mon potager.

 

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 06:45
Du côté nature.........

Leçons de vie dans mon potager



Jardiner est bon pour la santé, bon pour le moral, bon pour l'environnement (si vous pratiquez la permaculture agro écologique).
Mais vous en tirerez aussi des leçons inestimables pour votre vie.

1. Les tâches les plus importantes ne sont pas les plus prestigieuses

Quand vous jardinez, c'est le travail de base, de préparation, qui est le plus important. C'est le moment où vous défrichez votre terrain. Il faut piocher, dessoucher, arracher les grosses racines, enlever les pierres, ameublir la terre… C'est fatigant, et c'est bien moins gratifiant que d'aligner les plants de salade ou de planter des rosiers.
Mais sans cette première étape, la saison ne peut pas commencer.
De même dans la vie, que ce soit pour les études, la carrière, la vie conjugale, il faut commencer par les fondamentaux, même si c'est frustrant. De plus, ce sont les habitudes que l'on acquiert durant les premières années qui permettent de réussir sur le long terme.
Vouloir un diplôme sans s'être préparé… devenir riche sans avoir travaillé… se mettre en ménage ou faire des enfants sans une solide relation… ça peut parfois marcher, mais souvent ça ne marche pas.

2. Semer, semer, semer…

Une fois votre terrain préparé (ou vos buttes, dans le cas de la permaculture), la décision la plus importante à prendre est de semer.
Vous ne pouvez pas récolter si vous n'avez pas semé.
Vous pouvez semer prudemment ou audacieusement, mais quoi qu'il arrive, vous aurez besoin de semences.
De même dans la vie, il faut à un moment se décider à agir. Prendre une décision. Démarrer un projet pour de bon.
Si nous restons toute notre vie à rêver de belles salades rondes et tendres dans notre potager mais sans jamais mettre la graine ou le plant, cela n'aboutira sûrement à rien.

3. N'exigez pas de rentabilité

Au potager, on a beau suivre toutes les règles du point de vue de la préparation du sol, du compost, du fumier, du choix des espèces… on ne sait jamais au juste ce que la récolte va donner.
Que survienne un coup de chaud, un coup de froid, plus de pluie ou moins de pluie, ou encore le plus souvent pour des raisons mystérieuses, la récolte sera surabondante… ou profondément décevante.
Ce n'est pas votre faute. Les dieux en ont décidé ainsi.
« Ce n'est pas une année à pommes », vous diront les anciens qui croient savoir que les pommiers ne produisent qu'une année sur deux.
En réalité, il n'y a aucune règle inscrite dans la biologie du pommier qui fasse qu'il ne produise qu'une année sur deux. Seulement c'est ainsi : la nature n'est pas une chaîne de production standardisée. Les circonstances changent constamment et le résultat avec, si bien que, effectivement, si vous avez des pommiers dans votre jardin, vous n’aurez en moyenne d'abondantes récoltes qu’une année sur deux.
De même dans la vie, vous avez pu parfois tout faire de travers et obtenir des résultats étonnamment bons, par exemple dans vos études, le choix de votre conjoint, vos placements financiers, l'éducation de vos enfants…
Mais réciproquement, il arrive aussi que nous fassions tout de notre mieux… et que rien ne fonctionne selon nos attentes.
Toutefois, au crépuscule de notre vie, l'important n'est pas de se retourner pour contempler la suite des « succès » que nous avons eus dans l'existence. L'important est d'avoir vécu de nombreuses aventures, heureuses ou malheureuses, et d'avoir fait le plus souvent possible de notre mieux.

4. Savoir quand il faut abandonner le terrain

J'ai eu beau tout faire pour bichonner mes groseilliers, mes cassis : peine perdue, chaque année c'était un crève-cœur de voir leurs feuilles jaunir, brunir, et les maigres grappillons verts tomber avant même d'avoir commencé à mûrir.
C'est ainsi : quels que soient vos efforts, il arrive que vous ne soyez tout simplement pas au bon endroit.
Il faut alors avoir le courage de laisser tomber et d'aller voir ailleurs.
Dans le cas de mes groseilliers et de mes cassis, il a fallu que je tente quatre emplacements différents pour, finalement, je ne sais comment, trouver la terre, l'humidité, l'exposition qui leur convenait enfin.
À partir de ce jour, ils ont commencé à produire, produire, produire

5. La saison de la récolte n'est pas le seul moment de travailler

Lorsque la neige arrive et que le sol gèle, il est temps de se tourner vers d'autres tâches : tri des semences, semis sous abri, nettoyage des outils, entretien des clôtures…
C'est le soin consacré à ces tâches « invisibles » pour le jardinier amateur, lequel croit que tout commence au printemps, qui fait la différence.
De même dans vos études, votre carrière, votre vie amoureuse… profitez des moments de « creux » pour consolider les choses.

6. Soyez prêt pour l'orage

Ne vous faites pas d'illusion : un jour ou l'autre, un orage se déclenchera.
Les monocultures (où tout fleurit en même temps) sont particulièrement vulnérables aux éléments.
Diversifiez vos plantations. Investissez votre temps et vos efforts sur plusieurs fronts à la fois. Faites vos réserves pendant les années de « vaches grasses » pour faire face aux années de « vaches maigres ».
Si un accident se produit, vous pouvez être serein : vous ferez face.

 

Du côté nature.........
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