Le Mur des 343 connards
Interdiction d’aller aux putes !
Plus fort que le mur des cons ! "Le mur des 343 connards"
Quelle gauche déprimée. Elle veut le mariage pour tous mais le sexe pour personne : un projet de loi veut pénaliser les clients des prostituées pour les faire disparaître (les clients et les prostituées).
Aussi, « 343 salauds » ont osé réclamer, par la complicité de Causeur, que la liberté d’aller ou de ne pas aller aux putes ne soit pas pénalement réprimée par la criminalisation des clients, comme se propose de le faire le Parlement. 343 salauds sauf 1, le traitre de service, Nicolas Bedos, qui s’est fait taper sur les doigts par papa et s’est rétracté après avoir signé.
Un site de connards, 343connards.fr pour être plus précis, s’est monté pour dénoncer ces défenseurs de la liberté. Quelle honte. Défendre la liberté dans un régime socialiste, on atteint les limites de l’indécence.
Le « manifeste des 343 salauds », intitulé Touche pas à ma pute, revendique le droit d’avoir ou de ne pas avoir recours aux prostituées, et critique cette nouvelle attaque frontale contre la liberté. On pourrait presque dire contre les Droits de l’homme. En tous cas contre les footballeurs : Le gouvernement leur retire coup sur coup leurs putes et l’argent pour les payer.
Les socialistes s’attaqueraient-ils à la traite et l’esclavage humain ? Certes non. Iraient-ils pourchasser les macs jusque dans les cités ? Encore moins. Ils reculent devant ceux qui portent bonnets rouges bretons, mais avancent courageusement face aux capotes britanniques.
Et les associations féministes et de défense des droits de l’Homme, mais aussi des élus de gauche s’offusquent… Anna Alter, auteur de La Gauche et le Sexe* doit bien se marrer, elle qui s’est donné comme tâche d’observer l’évolution, trente ans après, des acteurs de la révolution sexuelle.
Pourtant, les putes, personne n’y va c’est bien connu. Comme Playboy, on l’achète pour les articles – tant qu’il est en vente libre.
3 Français sur 5 étant opposés à une loi qui pénalise les clients des prostituées, j’ai bien peur que la loi sera votée.
Source; © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.