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18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 06:28

Les dernières études confirment que vieillir est une question de temps et de mental. Si l’on n’arrête pas le premier, on peut muscler le second pour regarder l’avenir sans crainte et même rajeunir.

Quand cesse-t-on d’être jeune ? Un quinquagénaire est-il vieux ? Une vaste étude pilotée par l’université du Michigan et réalisée par Internet auprès de 200 000 personnes âgées de 10 à 89 ans a posé ces questions, et bien d’autres, pour dessiner le décalage entre âge réel et âge ressenti. Il en ressort que les 10 à 30 ans sont les plus en accord avec leur âge, puis une différence de perception se creuse : on vit à 40 ans comme un trentenaire, on fait à 50 ans ce que l’on faisait à 38 ans et on a le sentiment d’avoir vingt ans de moins lorsque l’on en a 70 ou 80. Les conditions de vie du quatrième âge – les octogénaires sont aujourd’hui en meilleure santé qu’il y a trente ans – expliqueraient en partie ce décalage. À la question « quel âge aimeriez-vous avoir ? », les adolescents réclament sans surprise quelques années de plus pour gagner en liberté et en reconnaissance sociale. Les trentenaires, en revanche, ont déjà envie de retourner en arrière. Et personne ne veut dépasser 60 ans ! Les conditions de vie des sexagénaires n’ont jamais été aussi bonnes dans les pays développés mais vieillir reste connoté négativement. Cependant, on peut rester jeune longtemps, du moins d’esprit, ce qui n’est pas sans impact sur le reste, comme l’expliquent tous les médecins.

L’âge de nos désirs

Spécialiste de la maladie d’Alzheimer, le psychiatre et gériatre Olivier de Ladoucette reçoit des patients dès l’âge de 50 à 60 ans pour des problèmes cognitifs, mais également « des gens de 40 ans complètement vieux dans leur tête et des jeunes de 80 ans ». On n’a pas uniquement « l’âge de ses artères » se plaît-il à dire, on a aussi « l’âge de ses désirs. » Pour rester jeune, tout est alors question d’équilibre. « Plusieurs études montrent que les individus qui donnent le sentiment de mieux vieillir que d’autres ont trois paramètres en commun : ils se maintiennent en bonne santé, c’est le vieillissement physiologique, ils sont actifs physiquement et intellectuellement, appelons cela la dimension intello-affective, et ils sont reliés et interagissent de manière positive avec leur milieu, c’est le vieillissement social, détaille Olivier de Ladoucette. C’est très bien de faire du jogging et d’avaler des pilules, mais si par ailleurs votre vie n’a pas de sens et que vous êtes isolés ou rejetés, vous ne vivrez pas longtemps. »

Aimer la vie et être bien dans sa tête sont essentiels pour passer le cap des années sourire aux lèvres. Et mieux vaut anticiper dès l’âge de 40 ou 50 ans pour développer les outils nécessaires. « Le goût de l’effort à travers le sport se découvre très tôt, tout comme la curiosité intellectuelle qui permet de garder son cerveau en bon état le plus longtemps possible, ou encore le désir d’être en relation avec son entourage », ajoute le Dr Olivier de Ladoucette.

Optimisme et compassion

« Un traitement fondamental qui caractérise l’adaptation face à la vieillesse tient aux caractéristiques psychologiques de l’individu, écrit Bernard Sablonnière dans l’Espoir d’une vie longue et bonne (éd. Odile Jacob). Ses caractéristiques sont la résilience, la souplesse mentale et l’optimisme, des traits de caractère que chacun sait développer quand il doit faire face à un risque évident pour sa survie. » Tous ces conseils ne sauraient être pris comme une attitude nombriliste. L’altruisme, la compassion et l’engagement social font aussi des vieux toujours jeunes et des jeunes qui savent bien vieillir.

Les croyants vivraient plus vieux

Plus on pratique un culte (chrétien, juif, musulman…), plus on vivrait vieux. Surtout si on est une femme ! C’est la conclusion d’une étude de seize ans publiée en 2016 dans le Journal of American Medical Association. Une autre étude de 2017 montre qu’assister régulièrement à un of­fice religieux est corrélée à un niveau de stress inférieur et une longévité de 55 % plus grande chez un pratiquant que chez un non pratiquant. Ces résultats s’expliqueraient par les bienfaits procurés par une vie sociale partagée dans une communauté de pensée, le soutien d’un groupe, et plus de maîtrise de soi. Plus que les dogmes, ce sont des valeurs (compassion, humilité, charité, gratitude…) qui auraient un impact sur la qualité de vie des croyants. Et pour ceux qu’aucun culte ne séduit, prier à la maison régule le stress, la tension artérielle et le rythme cardiaque. Les athées peuvent se rabattre sur le yoga et la méditation, avec les mêmes effets.

La méditation, une alliée du cerveau ?

Une étude pilote réalisée par deux laboratoires de l’Inserm et publiée dans Scienti­c Reports en 2017 montre que le cerveau de méditants, forts de 15 à 30 000 heures de méditation, est différent de celui des non méditants. Les images fournies par l’IRM et la tomographie par émission de positrons (TEP) ont af­fiché des différences signi­ficatives. À 65 ans, l’âge moyen des 73 participants, le cerveau des méditants montre un cortex frontal et cingulaire plus volumineux ainsi qu’un métabolisme du glucose plus élevé que chez les non méditants, même en prenant en compte les différences de niveaux d’éducation et de modes de vie. Or, ce sont ces zones qui déclinent avec l’âge et sont associées à la diminution des facultés cognitives. La conclusion de ce travail suggère que la méditation pourrait réduire les effets négatifs du vieillissement sur le cerveau en diminuant le stress, l’anxiété et les problèmes de sommeil. Reste à répéter l’expérience avec plus de volontaires.

 

Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

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