Et dire que nous n'allons plus pouvoir là non plus boire notre petit ballon de rosé
Trop de demande, pas assez de vin… Le succès du rosé dans le monde pourrait compliquer son approvisionnement cette année.
Seul véritable pays producteur et exportateur de rosé, la France pourrait être victime de son succès cette année, révèlent Les Échos. Alors que la demande ne cesse d’augmenter – l’ensemble de la consommation a grimpé de 31% en quinze ans -, la faible production de rosé en 2017 risque de ne pas suffire à étancher toutes les soifs.La France commence en effet à manquer de vis, spécifiquement sur le millésime 2017 dont les volumes sont en recul, dans un contexte général de récolte historiquement faible malgré les 6,4 millions d’hectolitres produits par an. En Provence, deuxième région productrice de rosé de France, la récolte a baissé de 12 % l’an dernier…soit 20 millions de bouteilles en moins ! Une situation qui fait mécaniquement grimper les prix. Si l’on devrait toujours pouvoir trouver du rosé en supermarché cet été, le spectre de la pénurie risque en revanche d’affecter son prix : alors qu’une bouteille de rosé coûte en moyenne 4,44 euros, l’AOC prévoit une hausse de 20 à 30% l’hectolitre, selon Les Échos.! !
Tient donc ! Sa me rappelle quelle chose. Ne serez-ce pas la même méthode employée que pour le beurre, ou plutôt faire du beurre sur le dos de qui ? Eh bien du consommateur bien sûr ! ! Sa flaire l’arnaque tout cela non ?