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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
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 Passion Palombe

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Attention ! Passion Palombe...

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C'est ici que ça se passe ............

Au mois d'octobre de chaque Année

 

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Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

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6 mars 2018 2 06 /03 /mars /2018 09:46

Une invention géniale 

"LE GLYPHOSATE DÉTRÔNÉ PAR L’EAU CHAUDE ?" 

Comment peut-on remplacer un pesticide par de l'eau de pluie ? Réponse avec Oeliatec, une entreprise bretonne au destin extraordinaire.

Et si les désherbants chimiques se faisaient détrôner par l’ingrédient le plus simple du monde, à savoir l’eau chaude ? On n’en est pas encore là, mais force est de le reconnaître : l’invention de ce Breton autorise les espoirs les plus fous. Lumière sur un outil qui pourrait changer notre rapport à la terre.

Pendant des années, Jean-Pierre Barre a vendu des produits phytosanitaires. Mais, dès le début des années 2000, ce professionnel a senti que le vent allait tourner, que l’ère du tout chimique touchait à sa fin et que la transition écologique à venir serait une formidable opportunité.

Se rappelant que les anciens faisaient disparaître les mauvaises herbes à l’aide du jus de cuisson des pommes de terre, il enfile alors sa tenue d’inventeur et se met à plancher sur une machine qui permettrait d’optimiser le procédé pour le rendre pratique, fiable et efficace.

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Son idée ? Récupérer de l’eau de pluie, la porter à une température de 120° et la pulvériser par gouttelettes à basse pression sur les herbes invasives. Au départ, bien entendu, personne n’a cru à son projet. Ni les banques, ni les géants mondiaux de la chimie.

En 2007, pourtant, la première machine est vendue. En 2011, le rythme de production atteint les six par an. Et aujourd’hui ? Eh bien aujourd’hui, Oeliatec, la société créée par Jean-Pierre Barre, fabrique une machine par jour, vendue entre 13 000 et 100 000€ aux collectivités et aux paysagistes de toute l’Europe !

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L’entreprise emploie 30 personnes, embauche un salarié de plus chaque mois, détient une quinzaine de brevets industriels et fait 4 millions d’euros de chiffre d’affaires ! Ce n’est pas compliqué : Oeliatec est devenu le leader européen dans son domaine.

Et l’aventure n’est pas près de s’arrêter. Bientôt, le glyphosate sera totalement interdit en France et l’entreprise se prépare avec enthousiasme à conquérir le marché agricole. Des désherbeuses spécialement conçues pour les arboriculteurs, les viticulteurs et les maraîchers sont déjà à l’étude et un atelier de 2 000m2 va s’ajouter aux locaux existants.

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La transition écologique n’est pas juste une contrainte environnementale. C’est aussi une opportunité économique pourvoyeuse d'emploi. La preuve.

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27 février 2018 2 27 /02 /février /2018 11:10

Pêche.               N’achetez pas de bar !

Pour le poisson-roi de la Bretagne, c’est l’heure du rassemblement pour la reproduction.

Des pêcheurs-ligneurs ont lancé le mouvement, des consommateurs ont relayé et certaines enseignes s’y mettent à leur tour : il ne faut pas acheter de bar en ces mois de février et mars. C’est la réponse la plus appropriée pour dissuader ceux qui enfreignent les règles en allant faire des razzias sur les bancs de bars en cette période de frai où ils se rassemblent pour se reproduire. C’est le moment de l’année où le poisson-roi de Bretagne est le plus vulnérable. Lui, d’ordinaire solitaire et combatif, se laisse prendre en quantités astronomiques par des chalutiers pélagiques quand ils se mettent en bancs serrés. Et on sait qu’en certaines circonstances, les quantités étaient telles qu’elles donné lieu à des ventes à prix de retrait pour finir en alimentation animale.

Le résultat, on le connaît. Au nord de l’île de Sein, les pêcheurs ne peuvent plus pêcher le bar, sinon en technique du « no kill ». On ne tue pas, on rejette à l’eau. La décision prise l’an dernier par les autorités européennes a secoué tous les milieux de la pêche. Et singulièrement les plaisanciers qui, en quelques années, ont progressivement vu fondre leur quota journalier. D’abord 5 bars, puis 3 puis 1 puis ce 0 pointé, aboutissement d’une raréfaction de la ressource dont les habitués ont pu voir les effets. Dans nombre de secteurs, le bar semble avoir disparu. Envolé.

En Bretagne-nord et Normandie, le mouvement de boycott des achats de bar progresse de jour en jour. Au fil des ans, dans tous les secteurs de vente, les consommateurs ont compris à quel point les actions concertées peuvent peser aussi lourd que des interdictions, encore plus difficilement sanctionnables dans des espaces marins aussi vastes. La meilleure solution, c’est donc de ne plus acheter de bar en cette période de reproduction pour que cette espèce emblématique de la Bretagne ait une chance de traverser sans trop de dommages la seule période de l’année où elle reconstitue ses effectifs.

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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 08:25

Prévision pour cette fin Février ( nous y arrivons )

Si les modèles sont très volatiles depuis plusieurs jours, ils s'accordent de plus en plus vers un temps froid pour la dernière décade du mois de février, sous l'influence de vents continentaux. Le point sur les dernières tendances.

Vers un refroidissement en Europe

Depuis quelques temps, un réchauffement s'opère au niveau de la stratosphère. Cette hausse des températures dans la seconde couche de notre atmosphère a montré par le passé avoir des impacts très nets sur l'évolution du temps au niveau du sol, entraînant notamment un net ralentissement de la circulation zonale (les fameux vents d'ouest, souvent vecteurs de douceur). C'est ce qui est actuellement en train de se produire et ce qui nous guette pour la fin du mois de février.

En effet, la plupart des modèles s'accordent désormais sur une option hivernale sur une bonne partie du continent européen au cours de la dernière décade de février, liée au ralentissement de la circulation zonale, permettant ainsi aux flux continentaux froids de s'installer sur des étendues assez vastes. Dès lors, les températures devraient graduellement baisser tout au long de la semaine prochaine sur l'Europe, dont la France. Nous passerons plusieurs degrés sous les normales de saison.

Un froid modéré avant un froid plus vif ?

Le genre de configuration développé ci-dessus est particulièrement délicat à gérer par les modèles de prévisions, peu habitués à devoir composer avec une circulation atmosphérique inversée, au sein de laquelle le flux zonal cède sa place aux vents continentaux. Ces dernières heures, on commence enfin à y voir plus clair quant à l'évolution au cours de la semaine à venir.

Plusieurs modèles s'accordent désormais sur un scénario semblable à celui-ci : un début de semaine (lundi & mardi) humide avec des températures de saison avant une nette accalmie en milieu de semaine (mercredi & jeudi) avec un refroidissement à la clé et un thermomètre passant sous les normales de saison (gel généralisé à l'aube, froid modéré en après-midi).

C'est à partir de la fin de semaine et notamment dès le week-end des 24 & 25 février que la prévision devient floue. Selon certains scénarios, les températures remonteraient de quelques degrés. Selon d'autres, elles s'enfonceraient nettement sous les normales de saison avec une accentuation du froid, sous l'influence de vents d'est bien établis.

À l'heure actuelle ( c'était il y a huit jours ! ), il est difficile de se prononcer sur les dernières journées du mois de février et les premières du mois de mars. Si la menace d'un froid marqué existe, des scénarios plus modérés peuvent aussi se réaliser. De même, si le froid sera majoritairement sec dans un premier temps, il est bien trop tôt pour savoir si des anomalies humides (neige) nous impacteront. Une affaire à suivre !..

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20 février 2018 2 20 /02 /février /2018 08:02

Histoire de plantes:

"les deux origines du magnolia"

C'est en 1703, que le père Jacques Plumier, botaniste de renom, décrit lors d'une expédition en Louisiane, un très bel arbre au feuillage vernissé, persistant, et aux grandes fleurs blanches délicatement parfumées. Il lui donne le beau nom de magnolia, en hommage à Pierre Magnol 1638-1715) qui dirigeait le jardin des plantes de Montpellier.

Mais il faudra attendre quelques années pour que le premier spécimen de Magnolia grandiflora vivant arrive en France. René Darquistade, armateur et maire de Nantes, le repère en 1711 dans une cargaison en provenance du Nouveau Monde. Il le plante, comme cela se fait à l'époque, dans de la tourbe à l'intérieur de l'orangerie de son château de la Maillardière. Où il dépérit, car le magnolia n'est pas une plante de serre...

Voué à la décharge

Voué à la décharge, il sera sauvé par l'épouse de Darquistade qui l'installa dehors, au pied d'un mur, où il s'épanouit merveilleusement. Qui sait si, sans cette intervention providentielle, la culture du magnolia se serait autant développée en France et en Europe?

Sans doute, car à la même époque, l'amiral Roland-Michel Barrin de la Galissionnière, gouverneur général du Canada introduisit un second spécimen, d'une autre variété, reconnaissable au feutrage brun rouille qui orne le dessous de ses feuilles. Ce magnolia grandiflora ‘galionnenis', très résistant au froid, que l'on retrouve un peu partout aujourd'hui, connut lui aussi un très grand succès.

Daniel Lejeune, responsable de la bibliothèque de la Société nationale d'horticulture de France nous raconte comment ce bel arbre aux grandes fleurs blanches est arrivé d'Amérique du Nord au XVIIIe siècle.

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13 février 2018 2 13 /02 /février /2018 11:27

Adepte du jardinage avec la lune :

" je vous vous fais part de mon calendrier lunaire !"

Du 1 au 2 (lune descendante) : FEVRIER...........

Taillez les petits fruitiers (kiwis, vignes…)

Retirez la mousse des arbres fruitiers, puis taillez-les.

Supprimez les tiges qui ont donné des fruits.

Du 3 au 6 (lune descendante) :

Plantez l’échalote, l’ail rose, les bulbes de printemps.

Taillez les fruitiers.

Brossez les troncs pour retirer la mousse.

Appliquez une huile blanche.

Éclaircissez vos semis de légumes racines.

Plantez les bulbes de printemps.

Du 7 au 8 (lune descendante) :

Divisez le perce neige.

Plantez l’anémone, les renoncules, les grimpantes.

Repiquez les bégonias.

Rempotez les orchidées.

Taillez le laurier-rose.

Du 9 au 10 (lune descendante) :

Repiquez la laitue, les choux cabus.

Taillez le buis.

Plantez les haies de caduc, les vignes, les lierres, les vivaces.

Rempotez les plantes aromatiques.

Du 11 au 13 (lune ascendante) :

Semez au chaud les tomates, les aubergines, les piments, les poivrons.

Du 14 au 15 (lune ascendante) :

Semez les oignons, les radis, les navets, les céleris rave, les poireaux.

Du 17 au 17 (lune ascendante) :

Semez les brocolis, les choux fleurs et les impatients.

Maintenez les semis humides jusqu’à la levée.

Du 18 au 21 (lune ascendante) :

Semez les laitues, les batavias, les épinards.

Le 22 (lune ascendante) :

Semez les fèves et les poids ronds, les oignons, les carottes, les poireaux. Binez après la levée.

Semez au chaud les tomates.

Du 23 au 25 (lune ascendante) :

Semez au chaud (entre 20 et 25°) les céleris et les poireaux en pépinières.

Le 26 (lune descendante) :

Pour le jardin d’ornement, plantez les grimpantes, les anémones, les rosiers, les arbustes.

Taillez les rosiers.

Repiquez au chaud les choux fleurs.

Le 27 (lune descendante)

Uniquement le matin, plantez les conifères et les arbustes persistants.

Le 28 (lune descendante) :

Repiquez les plants de tomates.

Binez les poids.

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