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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
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29 mars 2018 4 29 /03 /mars /2018 06:30
Votre enquête.........." la conso de sel "

Comment déshabituer ses papilles du sel ?

 

Une pincée de sel par ci, une pincée par là et nous voilà bien au-dessus des 5 grammes par jour recommandé par l'OMS. Est-il possible de se déshabituer du goût salé ? Réponses avec le chimiste Raphaël Haumont.

Le constat est alarmant. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que l’on pourrait éviter chaque année 2,5 millions de décès si la consommation de sel au niveau mondial était rapportée au seuil recommandé, à savoir moins de 5 grammes par jour (soit un peu moins d’une cuillère à café de sel). Mais comment réussir à se passer de cet exhausteur de goût dont nos papilles sont de plus en plus dépendantes ? Explications et conseils du chimiste spécialisé dans la cuisine moléculaire, auteur, enseignant et chercheur à l'université Paris-XI (Orsay), Raphaël Haumont

Le sel, première saveur de l’enfance

Impossible de passer à côté du goût singulier, unique et intensément salé de la traditionnelle chips de pommes de terre. «Lorsque l’on déguste un aliment salé pour la première fois, les cristaux de sel se dissolvent dans la salive et libèrent leurs ions dans les membranes de notre bouche. Celles-ci envoient alors directement une impulsion électrique au cerveau pour lui communiquer l’information. La réaction est immédiate», explique le chimiste. Et puisque le sel fait partie intégrante de nos cultures occidentales, il est l’une des premières saveurs que l’on découvre enfant. Dès lors, à chaque fois que nos papilles considéreront un plat comme étant un peu «fade», nous serons tentés de le relever avec une pincée de sel. Au point de devenir accro ? «Oui, il nous fait saliver. Plus on en consomme, plus on en a envie. D’ailleurs, si l'on regarde autour de nous, beaucoup de gens salent leurs plats avant même d’y avoir goûté», constate-t-il.

"Il faut passer par une épreuve de sevrage"

Les papilles sont des cellules qui se régénèrent en deux à trois semaines

Mais alors comment faire pour se débarrasser de cette mauvaise habitude ? «On rééduque nos papilles», conseille Raphaël Haumont. «Comme lorsque l’on arrête une drogue, il faut donc passer par une épreuve de sevrage.» Jour après jour, on enlève un gramme de sel de son assiette, puis deux, puis trois, jusqu’à ce que l’on redécouvre le produit naturel et qu’on l'apprécie. «Les papilles sont des cellules qui se régénèrent en deux à trois semaines. C’est donc le temps qu’il faut pour les rééduquer», indique-t-il.

Pour ce faire, on change nos habitudes alimentaires. Premièrement, on évite les produits transformés, ils contiennent tous beaucoup trop de sel. Et pour cause, «ils sont généralement vendus au poids et le sel ajoute de la masse», indique Raphaël Haumont. Exit donc les plats préparés, conserves et surgelés déjà cuisinés. On éloigne ensuite la salière de son assiette «pour éviter ce mauvais réflexe de saler à tout va», complète le chercheur. Si besoin, on misera plutôt sur de la fleur de sel. «Le problème avec le sel fin, c’est que l’on ne se rend plus compte de sa présence dans un plat. Les grains de fleurs de sel sont plus gros, on prend donc davantage conscience que l’on mange "salé"», explique-t-il. Last but not least, on assaisonne en fin de cuisson. «Si en matière de quantité la concentration reste la même, en termes de goût cela n’aura rien à voir», complète le chercheur.

Les alternatives au sel

Herbes, épices, algues, graines ou condiments tels le gomasio aident à ne pas manger trop salé. On peut également miser sur des alternatives qui apporteront goût, texture et surprise à nos préparations. Même si, pour Raphaël Haumont, ce n’est pas vraiment une solution. «Cela ne fait que déplacer le problème. Ce qu’il faut, c’est habituer le cerveau à apprécier le produit tel qu'il est, nature et sans assaisonnement. Un bon produit "s’auto suffit"», assure-t-il. Un conseil qui ne manque pas de piquant.

 Les Papilles du chimiste de Raphaël Haumont, Éditions Dunod, 176 pages, 16,90 €.

 

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14 mars 2018 3 14 /03 /mars /2018 09:35
 

La prison pour quoi faire ?  " Vu par les philosophes"

Alors que la situation dans les établissements pénitentiaires français se dégrade de jour en jour, il n’est peut-être pas inutile de se demander pourquoi la société consacre autant d’efforts à mettre certains de ses membres derrière les barreaux. La privation de liberté est une innovation assez récente dans l’histoire de la justice, longtemps fondée sur la loi du talion. A quoi donc sert la prison ?
 A punir, bien sûr ! Me direz-vous. C’est ainsi en effet que la concevait les premiers concepteurs de l’Etat moderne, lui-même défini comme le relais de la puissance paternelle dans la gestion des comportements individuels. Dans son Léviathan, Hobbes précise que la peine établie par le juge doit être supérieure au bénéfice du crime. Heurtée dans ses lois et ses principes, la société doit frapper plus fort. « Le mal infligé est la punition du crime plutôt que la possibilité de la rédemption. » Puisque l’homme est un loup pour l’homme, selon la fameuse formule de Hobbes, il faut briser les chefs de meute. De ce point de vue, la prison représente un certain seuil de souffrance dans la gradation des peines, après l’amende et avant le bannissement. Elle doit être aussi inconfortable que possible (Hobbes envisage sans frémir l’enchaînement des prisonniers). Cette vision de la prison comme châtiment prévaut largement aujourd’hui, et explique l’indignation de l’opinion publique dès que l’on débat de l’amélioration des conditions de vie des détenus.
 

Il existe pourtant une autre philosophie pénale, qui nous vient des Lumières. Un siècle après Hobbes, le juriste italien Cesare Beccaria a provoqué une véritable révolution intellectuelle en publiant son traité Des délits et des peines, où il dissocie la peine de toute volonté de punir. Si la mesure d’une crime se fonde entièrement sur le tort qu’il cause à la société, sa sanction doit se concevoir comme une simple mesure de prévention, protégeant la société d’un individu qui cherche à lui nuire et décourageant ses imitateurs potentiels. « Le but des peines n'est, ni de tourmenter ou d'affliger un être sensible, ni d'empêcher qu'un crime déjà̀ commis ne le soit effectivement (…) Le but des châtiments n'est autre que d'empêcher le coupable de nuire encore à la société́ et de détourner ses concitoyens de tenter des crimes semblables. » La prison se donne ainsi pour fonction non pas de châtier un crime, mais d’éviter qu’il ne recommence. Elle se tourne vers l’avenir, en assumant l’idée si chère au XVIIIe siècle d’une perfectibilité de l’individu. Voilà qui plaide pour un système pénal tout entier dirigé vers la réhabilitation, et pour l’expérimentation de dispositifs alternatifs tels que les « prisons ouvertes » développées avec succès dans les pays scandinaves.

Le rêve de Beccaria n’est jamais devenu réalité. C’est tout le regret de Foucault dans Surveiller et punir : dès la naissance du système carcéral au XIXe siècle, la prison a été conçue comme une institution coercitive destinée à rendre les corps dociles et à soumettre les âmes à une surveillance de tous les instants (à l’image du fameux Panoptique). « Quoi d’étonnant, se désole Foucault, si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ? »

Thomas Hobbes (1588 - 1679) En savoir plus.

Cesare Beccaria (1738 - 1794) En savoir plus.

 

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9 mars 2018 5 09 /03 /mars /2018 10:09
Le vendredi tout est permis

Si vous avez passé la journée d'hier entre hommes

Présentation par Edouard Philippe des axes de travail pour atteindre l'égalité hommes-femmes : réduction des écarts salariaux, promotion de l'égalité dès l'école, lutte contre les violences faites aux femmes - Après ADP hier, le gouvernement annonce réfléchir à la privatisation partielle de la Française des Jeux 

Seulement 11% des Etats du monde sont actuellement dirigés par des femmes tandis qu'il n'y a que 6,4% de femmes CEO parmi les 500 plus grosses boîtes US.

Très jolie vidéo de la photographe Charlotte Abramow pour la Journée internationale des droits des femmes

C’était aussi la Journée du rein

C'est mathématique : avec plus de 390 "Journée mondiale de"… dans l'année, il y a fatalement des jours où l'on célèbre 2 causes. Aujourd'hui, la Journée internationale des droits des femmes se voit donc concurrencée par la Journée mondiale du rein. Concurrencée ? Non ! Plutôt utilement complétée : la Fédération internationale des fondations du rein profite en effet de cette date partagée pour rappeler qu'en matière de don de rein les femmes sont...… 5 à 6 fois plus généreuses que les hommes. S’il fallait encore un chiffre pour convaincre ce monde de la nécessité de faire toute leur place aux femmes, celui-ci nous semble d'une éloquence incontestable.

En lire plus dans Sciences & Avenir

Voyez-vous il n'a pas dit que des conneries notre idole des jeunes disparu

https://youtu.be/mcR3vjbdeB0

Mais aussi............

Le vendredi tout est permis
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“J’ai toujours préféré la folie des passions à la sagesse de l’indifférence.”
Bonne journée Papy................

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7 mars 2018 3 07 /03 /mars /2018 08:58

Bonjour , ou , Bonsoir ?

Certains jours à certain moment nous nous posons la question bien que la tendance ne soit plus d’actualité ! ! je m’explique : (il est malheureusement  de plus en plus rare de nos jours) d’avoir réponse à notre formule de politesse inculqué par  nos parents ou grands-parents le fameux Bonjour ou Bonsoir, mais au  fait lequel faut-il choisir au juste ?

Formule de politesse courante, « bonsoir » peut pourtant être source de confusions : à partir de quelle heure faut-il employer ce mot ? 

Il est 17h. Vous croisez une de vos connaissances dans la rue. Le seul mot que vous lui adressez est «bonjour». Elle rétorque, comme si elle avait besoin de vous corriger, «bonsoir». Malaise. C'est la seule parole que vous lui avez adressée et vous n'avez même pas été capable de trouver le mot juste. Et imaginez que, si la locution nous pose un problème, elle est d'autant plus délicate à employer pour les étrangers. Il suffit de taper «bonjour or bonsoir» sur internet pour voir la quantité de forums qui tentent d'apporter une réponse au problème.

 «Bonsoir», règle d'usage ou utilisation intuitive?

«Bonsoir» est employé à la fois comme salutation et pour prendre congé de quelqu'un, à la différence du «bonjour». Il peut être suivi d'une appellation, comme un prénom ou encore un titre: «Madame», «Docteur», «Général» … Mais, dans ce dernier cas, rajouter un nom ou prénom après paraît un peu excessif. C'est ce que nous explique le Guide du savoir-vivre, de Marie-France Lecherbonnier.

Remonter à l'origine de l'expression nous permettra sans doute de mieux comprendre son usage. «Bonsoir» est utilisé dès le XVe siècle, sous l'écriture de «boinsoir», nous indique le CNRTL. Le terme vient du latin «bonus», qui veut dire «bon», et de «serus», c'est-à-dire «tardivement». Par «bonsoir», le locuteur veut souhaiter une bonne soirée, un «bon» soir, à la personne à laquelle il s'adresse. Mais alors quand commence la soirée?

Ce qu'en disent les guides de savoir-vivre

S'il faut se fixer une norme, regardons du côté des guides de savoir-vivre. Mais, de même que chacun a sa notion de «se lever tôt», «dîner tôt», le mot «tard» est une notion relative. Selon les précis que l'on peut consulter, la soirée commence à l'heure de la fin du travail et des activités quotidiennes, donc plutôt vers 17h30-18h. Ou bien quand le soleil se couche et que la nuit arrive, ce qui varie en fonction des saisons.

En conjuguant les différentes observations sur l'usage de «bonsoir», on peut retenir qu'à partir du moment où le jour décline, il est possible d'employer le mot. En règle générale, c'est entre 17h30 et 18h que «bonsoir» se substitue à «bonjour». Il est également d'usage d'employer «bonsoir» pour ouvrir la discussion et son équivalent féminin «bonne soirée» pour la clore. Alors s’il vous plait un «bonjour», même à la tombée de la nuit, ne sera jamais mal pris.

 

Bonne journée…………..

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5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 08:17

En images.............

Seuls ceux qui prennent le risque d'aller trop loin peuvent découvrir jusqu'où ils peuvent aller.

Ne craignez pas d'avancer lentement, craignez seulement de rester sur place.

Plutôt que de penser à ce que tu n'as pas, pense à ce que tu peux faire avec ce que tu as.

Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine.

Bonne journée...........

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