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4 juin 2020 4 04 /06 /juin /2020 18:20

Bactéries, virus… Notre corps a les moyens de se défendre contre ses agresseurs

 

" Véritable forteresse, notre corps déploie des trésors d’ingéniosité pour combattre les agents infectieux et préserver notre santé."

Chaque jour, nous entrons en contact avec des millions de bactéries, virus, parasites ou champignons microscopiques. Une équipe de recherche américaine a montré que lorsqu’une personne porteuse d’un virus comme celui de la grippe se rend à son bureau, il faut moins de quatre heures à l’agent infectieux pour se retrouver sur la moitié des objets et des employés travaillant avec elle… À eux seuls, nos smartphones sont porteurs de près de 7 000 types de bactéries différentes ! Allez-vous pour autant tomber malade ? Rien n’est moins sûr. Car les micro-organismes ne menacent pas tous notre santé. Certains vivent même en symbiose avec nous et sont présents sur notre peau ou à l’intérieur de notre corps. Cependant, d’autres sont des agents pathogènes capables de déclencher des maladies. Heureusement, notre organisme est un super combattant qui dispose d’un armement d’une efficacité redoutable pour se défendre.

Un rempart cutané hérissé de pièges

Notre peau est le plus grand organe du corps humain. C’est aussi la première barrière nous protégeant du monde extérieur. Sa couche supérieure, l’épiderme, est organisée comme les murs d’un château fort. Ses « pierres » sont des cellules appelées kératinocytes. À la surface de la peau, les cellules sont épaisses, aplaties et collées les unes aux autres : elles forment une muraille étanche. Ces kératinocytes fabriquent des armes chimiques : ils sécrètent des produits qui attaquent les micro-organismes indésirables, tels que le lysozyme, une protéine qui détruit la paroi des bactéries. Plus on s’enfonce dans l’épiderme, plus les kératinocytes sont espacés, laissant de la place à d’autres cellules comme les mélanocytes, les producteurs de la mélanine, un pigment qui nous protège des radiations solaires. Dans ces couches plus profondes, on trouve aussi des cellules de Langerhans. Grâce à leurs tentacules, appelés dendrites, elles capturent les micro-organismes, les avalent et informent immédiatement le système immunitaire de la présence de ces indésirables.

Une armée de cellules immunitaires

Dans notre organisme, les cellules immunitaires sont légion : notre moelle osseuse en fabrique près d’un milliard par jour ! En cas d’attaque, ces soldats suivent un plan de bataille parfaitement rodé. Lorsqu’un ennemi (le virus de la grippe, par exemple) pénètre dans l’organisme, il est repéré par des cellules appelées macrophages, qui se jettent sur lui pour le dévorer : c’est la phagocytose. Après l’avoir englouti, les macrophages arborent à leur surface un drapeau signalétique, appelé antigène, indiquant quel intrus ils viennent d’avaler. Si ces macrophages croisent la route d’autres cellules immunitaires, les lymphocytes T auxiliaires, ceux-ci vont reconnaître ce signal et activer des bataillons immunitaires armés spécifiquement pour combattre cet ennemi. Ils vont notamment déclencher l’arrivée massive de lymphocytes T cytotoxiques. Dès qu’ils aperçoivent des cellules infectées par le virus, ceux-ci libèrent une substance toxique, la perforine, qui les fait éclater. Un vrai baiser de la mort ! En parallèle, d’autres soldats entrent en action : les lymphocytes B. Ils vont sécréter de grandes quantités d’anticorps qui, lorsqu’ils s’accrochent à l’ennemi, déclenchent l’arrivée des macrophages : les cellules gloutonnes accourent et n’en font qu’une bouchée.

Une machinerie qui met l’ennemi en surchauffe

À 37 °C, température interne du corps humain, les virus et les bactéries sont comme des poissons dans l’eau. Mais quand le mercure grimpe de quelques degrés, ces agents infectieux ont plus de mal à se multiplier. Voilà pourquoi le corps, lorsqu’il détecte leur présence, libère des molécules, appelées pyrétogènes, qui stimulent l’hypothalamus, une petite zone de notre cerveau faisant office de thermorégulateur. L’hypothalamus commande la contraction des muscles — ce sont les frissons —, ce qui produit de la chaleur. Il déclenche aussi la contraction des vaisseaux sanguins, maintenant le sang au centre du corps pour éviter qu’il ne se refroidisse aux extrémités. Notre organisme subit alors un coup de chaud, la fièvre, qui contribue à ralentir la prolifération des micro-organismes.

Des détecteurs qui identifient les assaillants à leur « goût »

Les récepteurs du goût ne se trouvent pas uniquement dans la bouche mais aussi sur l’ensemble des tissus qui tapissent notre système respiratoire (nez, poumons…). Parmi eux, plus de 25 types de capteurs sont spécialisés dans l’amertume. Or les scientifiques ont récemment découvert que ces derniers peuvent capter les composés amers comme les homosérines lactones, qui sont utilisés par les bactéries pour communiquer entre elles. Lorsque ces composés sont détectés par notre système respiratoire, certaines cellules émettent du monoxyde d’azote, un gaz létal pour les intrus. Du calcium est également libéré, déclenchant la production de défensines, des protéines tueuses de bactéries.

Des mécanismes qui expulsent les intrus sans sommation

Dans notre système digestif, des récepteurs analysent en permanence la composition chimique de ce que nous avons mangé. Lorsque le taux de toxines — par exemple fabriquées par les bactéries qui colonisent les aliments avariés — est trop élevé, un message est envoyé à notre cerveau. Si ce dernier estime que le système immunitaire ne viendra pas à bout de l’ennemi, il déclenche une solution radicale : l’éjection ! Il ordonne à la paroi abdominale, au diaphragme et au pylore (la partie terminale de l’intestin) de se contracter, tandis que le passage entre l’estomac et l’œsophage se relâche. C’est le vomissement.

Des bains d’acides pour repousser les agresseurs

Gare aux agents pathogènes qui tenteraient de s’introduire dans notre tube digestif ! Lorsqu’ils atteignent notre estomac, ils sont exposés aux sucs gastriques, dont deux à trois litres sont sécrétés chaque jour, qui contiennent de l’acide chlorhydrique pouvant même dissoudre certains métaux ! D’autres milieux à l’acidité protectrice font rempart à l’entrée de certains de nos orifices : le cérumen, cette pâte jaunâtre séjournant dans nos conduits auditifs, et l’acide lactique produit par la flore du vagin.

 

 

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