Le Blog De Papy-Bougnat

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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule 
Bonne route & merci pour votre visite
  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour ! Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule Bonne route & merci pour votre visite

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Il est très ... Exactement

 

 

 

             

 

 

 

 

A L'affiche..

La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

[André Malraux]

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Actu du jour...

 

 Passion Palombe

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A chacun sa toile

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Attention ! Passion Palombe...

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C'est ici que ça se passe ............

Au mois d'octobre de chaque Année

 

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Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

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privilège

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20 octobre 2019 7 20 /10 /octobre /2019 16:25

Plus qu'une semaine avant le rituel changement d'heure hivernal. Le week-end du 27 octobre 2019, il faudra en effet mettre vos horloges à l'heure d'hiver. Le changement, instauré depuis les années 70, fait néanmoins débat... En effet, au vu des dispositifs permettant aujourd'hui l'économie d'énergie, la question de l'utilité de cet ancien système se pose... Au-delà des raisons énergétiques, ces changements d'heures répétés seraient néfastes pour la santé, notamment celle des bébés et des personnes âgées, toujours selon le site d'Ooreka. Actuellement, 52 % des Français sont favorables à la suppression du changement d'heure, d'après un sondage OpinionWay. En mars 2019, les députés européens se sont prononcés pour une suppression de ce changement d'heure saisonnier. Ce serait ensuite aux différents pays membres de décider. Le projet devrait être effectif en 2021. ?

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13 octobre 2019 7 13 /10 /octobre /2019 17:31

 

Avec encore presque 30° aujourd'hui c'est la question que l'on peut se poser non ? .....Mais pour moi chaque année cette saison représente le calme dans la douceur des brouillards  du matin , la beauté de ces couleurs n’a rien de comparable, et puis c’est l’heure de la migration ou l’on apprend beaucoup  de ces belles journées ou la nature nous offre ce merveilleux spectacle avec tous ces oiseaux migrateurs qui descendent du nord au sud pour passer un hiver au chaud………( exemple encore aujourd'hui où nos belles bleues n'ont pas hésité malgré ce très fort vent de sud à entreprendre leur long périple .....) .Mais c'est aussi la transition entre l'été et l'hiver, vraiment une très très belle saison.....

Que de mieux qu’un Poème pour illustrer cette belle saison

Les soleils d’octobre

Aux jours où les feuilles jaunissent,
Aux jours où les soleils finissent,
Hélas ! nous voici revenus ;
Le temps n’est plus, ma-bien-aimée,
Où sur la pelouse embaumée
Tu posais tes pieds blancs et nus.

L’herbe que la pluie a mouillée
Se traîne frileuse et souillée ;
On n’entend plus de joyeux bruits
Sortir des gazons et des mousses ;
Les châtaigniers aux branches rousses
Laissent au vent tomber leurs fruits.

Sur les coteaux aux pentes chauves,
De longs groupes d’arbustes fauves
Dressent leurs rameaux amaigris ;
Dans la forêt qui se dépouille,
Les bois ont des teintes de rouille ;
L’astre est voilé, le ciel est gris.

Cependant, sous les vitres closes,
Triste de la chute des roses,
Il n’est pas temps de s’enfermer ;
Toute fleur n’est pas morte encore ;
Un beau jour, une belle aurore
Au ciel, demain, peut s’allumer.

La terre, ô ma frileuse amie !
Ne s’est point encore endormie
Du morne sommeil de l’hiver…
Vois ! la lumière est revenue :
Le soleil, entr’ouvrant la nue,
Attiédit les moiteurs de l’air.

Sous la lumière molle et sobre
De ces soleils calmes d’octobre,
Par les bois je voudrais errer !
L’automne a de tièdes délices :
Allons sur les derniers calices,
Ensemble, allons les respirer !

Je sais dans la forêt prochaine,
Je sais un site au pied du chêne
Où le vent est plus doux qu’ailleurs ;
Où l’eau, qui fuit sous les ramures,
Échange de charmants murmures
Avec l’abeille, avec les fleurs.

Dans ce lieu plein d’un charme agreste,
Où pour rêver souvent je reste,
Veux-tu t’asseoir, veux-tu venir ?
Veux-tu, sur les mousses jaunies,
Goûter les pâles harmonies
De la saison qui va finir ?

Partons ! et, ma main dans la tienne,
Qu’à mon bras ton bras se soutienne !
Des bois si l’humide vapeur
Te fait frissonner sous ta mante,
Pour réchauffer ta main charmante
Je la poserai sur mon cœur.

Et devant l’astre qui décline,
Debout sur la froide colline,
Et ton beau front penché sur moi,
Tu sentiras mille pensées,
Des herbes, des feuilles froissées
Et des bois morts, monter vers toi.

Et devant la terne verdure,
Songeant qu’ici-bas rien ne dure,
Que tout passe, fleurs et beaux jours,
A cette nature sans flamme
Tu pourras comparer, jeune âme,
Mon cœur, pour toi brûlant toujours !

Mon cœur, foyer toujours le même,
Foyer vivant, foyer qui t’aime,
Que ton regard fait resplendir !
Que les saisons, que les années,
Que l’âpre vent des destinées
Ne pourront jamais refroidir !

Et quand, noyés de brume et d’ombre,
Nous descendrons le coteau sombre,
Rayon d’amour, rayon d’espoir,
Un sourire, ô ma bien-aimée !
Jouera sur ta lèvre embaumée
Avec les derniers feux du soir.

 

Auguste La Caussade, (Poèmes et Paysages)

 

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6 octobre 2019 7 06 /10 /octobre /2019 06:36
Le billet du dimanche............

Quand vient l'automne, une étrange maladie bleue menace notre région

Octobre... C’est le début de l’automne, la chute des feuilles, mais c’est aussi t le temps où de la Gironde aux Pyrénées, sévit une étrange maladie qui fait tendre le cou aux hommes vers le ciel, déserter usines, ateliers et fermes et ralentir l'activité économique de la région. C'est la fièvre bleue ou maladie bleue C'est dire l'attachement quasi amoureux des Aquitains & des Basques pour cette chasse séculaire., venue du fond des âges, bien avant l'utilisation de la poudre, née de l'imagination d'un moine de l'abbaye de Roncevaux où la chère était maigre, qui eut l'idée d'installer des filets verticaux pour profiter de cette manne que le ciel envoyait en quantité chaque année. Le rite a perduré puisqu'on compte encore une dizaine de pantières en activité, neuf en Pays Basque et une en Béarn, d’où le nom des "pandelles" étant le nom de ces pièges. Bien plus tard, les Landais, métayers que les grands propriétaires pressuraient à l'extrême, eurent l'ingéniosité bien gasconne pour manger à leur faim d'utiliser des filets horizontaux, les "pantes", pour capturer au sol les palombes qu'ils faisaient descendre des pins en les roucoulant et que les maîtresses de maison faisaient confire comme provision.
"A Sent Miquéu, l'appéu, a la Sent Grat, lo gran patac, a la Sent Luc, lo gran truc, a Marteror, la flor, a la Sent Martin la fin..." A la Saint Michel, l'appeau, à la Saint Grat, le grand coup, à la Saint Luc, le grand truc, à Toussaint la fleur, à la Saint martin, la fin...
Pourtant, grâce à leurs facultés d'adaptation et leur fécondité, les palombes se portent très bien, en augmentation constante, tellement que dans certains départements du centre de la France elles sont classées nuisibles du fait de dégâts aux cultures !
Si de nos jours, les couloirs migratoires n'empruntent plus les mêmes  vallées, les beaux oiseaux bleus s'y sont sédentarisés, en plus grand nombre chaque année, dans une tranquillité absolue que personne ne vient troubler...

Bon dimanche

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29 septembre 2019 7 29 /09 /septembre /2019 14:14
Le billet du dimanche............
Lorsque ce vieil homme est décédé dans l'aile gériatrique d’une maison de
retraite d'une petite ville, tout le monde a cru qu'il ne laissait rien de valeur derrière lui.
Mais lorsque les infirmières ont fait la liste de ses maigres possessions,
elles ont découvert ce poème.
Sa nature et sa qualité étaient telles que le personnel de la maison de
retraite en a fait des photocopies, et qu'il a été distribué à tous les
employés de l'hospice.
Une infirmière a même emporté  une copie du poème à Melbourne. Depuis,
l'unique titre de gloire du vieil homme a été publié dans les éditions de
Noël de nombreux magazines australiens, ainsi que dans des magazines
traitant de la santé mentale.
Ce poème simple mais éloquent a même été transformé en diaporama.
Et ce vieil homme, qui n'avait rien de plus à offrir au monde, est désormais
l'auteur de ce poème anonyme qui connaît un grand succès sur le web. 


 

 

Un vieil homme grincheux.
 
Que voyez-vous, infirmières ? Que voyez-vous ?
 À quoi pensez-vous lorsque vous me regardez ?
 À un vieil homme grincheux pas très sage, aux habitudes hésitantes et au

 Regard perdu dans le lointain ? Qui bave en mangeant et ne répond jamais aux questions.
Qui, lorsque vous criez J'aimerais que vous fassiez un effort !,
Semble ne pas réagir du tout à toutes ces choses que vous faites.
Un homme qui perd toujours une chaussette ou une chaussure ?
Qui, en résistant parfois vous laisse faire ce que vous voulez, pour le
nourrir et le baigner et pour remplir ces longues journées ?
Est-ce que c'est à cela que vous pensez ?
Est-ce que c'est ce que vous voyez ? 
Alors ouvrez les yeux, infirmières. Car vous ne me voyez pas.
Je vais vous dire qui je suis Alors que je suis assis ici, alors que je vous
obéis alors que je mange ce que vous me donnez.
Je suis un enfant de dix ans J'ai un père, une mère, des frères et des soeurs
qui tous s’aiment beaucoup.
Je suis un garçon de 16 ans vif et motivé, qui n'a qu'un espoir :

Rencontrer au plus vite celle qu'il aimera. Je suis un futur marié de vingt ans au coeur palpitant. 
Je peine à me souvenir des voeux que jai promis d'honorer.
Maintenant âgé de 25 ans, j'ai désormais des enfants qui ont besoin de mes
conseils et d'un foyer heureux et sûr.
À 30 ans, mes enfants grandissent vite, unis comme les doigts d'une main
par des liens qui devraient être durables. 
À 40 ans, mes jeunes fils sont devenus grands et sont partis, mais ma femme
est toujours à mes côtés  pour voir que je ne leur en veux pas. 
À 50 ans, à nouveau, des bébés jouent autour de moi. À nouveau, il y a des
enfants à la maison, Ma bien-aimée et moi. 
Le pire n'est plus à venir, il est déjà là Ma femme n'est plus.
Je me tourne vers le futur. Je tremble de peur.
Car tous mes enfants ont désormais leurs propres petits.
Et je pense au temps qui passe et à tout l'amour que j’ai reçu.
Je suis désormais un vieillard et la nature est particulièrement cruelle.
La vieillesse est une mauvaise blague  qui nous fait paraître stupides.
Le corps s'écroule la grâce et la vigueur disparaissent.
Il ne reste plus qu'une pierre là où, autrefois j'avais un cœur.
 Mais au fond de cette vieille carcasse, il reste un jeune homme, tapi dans

 L’ombre, et de temps en temps mon cœur épuisé s'emballe lorsque je me
souviens de tous les moments joyeux.
Je me souviens aussi des moments douloureux.
Et j’aime et je vis  de nouveau ma vie.
Je repense à toutes ces années, bien trop peu nombreuses bien trop vite parties.
Et j'accepte ce triste état de fait, rien ne dure éternellement. 
Ouvrez donc les yeux. Ouvrez les yeux, et regardez bien.
Je ne suis pas un vieil homme grincheux.
Regardez de plus près et admirez-MOI !!

Souvenez-vous de ce poème lorsque vous croiserez une personne âgée que vous
aurez envie d'ignorer, sans faire l'effort de chercher l'âme d'enfant qui vit en son sein.
Car un jour, nous aurons tous cet âge avancé !

 

Bon dimanche

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22 septembre 2019 7 22 /09 /septembre /2019 10:36
Le billet du dimanche............
Le billet du dimanche............

A la veille de l’automne (c’est pour demain 23 /09) nous pouvons nous poser cette question, Mais pourquoi les feuilles des arbres tombent-elles ?

Les feuilles tombent en réponse à des signaux environnementaux tels que le froid et la diminution de la durée du jour. Mais la sensibilité des espèces végétales à ces deux signaux varie grandement, pour des raisons encore peu connues. Le manque de lumière ralentit la photosynthèse tandis que le froid provoque la dégradation de la chlorophylle .La disparition progressive du vert chlorophyllien démasque une palette de pigments qui étaient présents dans les feuilles mais non visibles. Carotènes (orange), anthocyanines (pourpre), et xantophylles (jaune) s’expriment alors et donnent aux feuilles leurs belles couleurs chaudes.... Puis une zone d’abscission se forme à la base des feuilles, qui tombent sous l’effet de leur poids et du vent. Tous ces processus sont régis par des hormones et des enzymes.

La chute des feuilles est-elle une adaptation à l’hiver? Oui, les arbres tirent certains bénéfices de la chute des feuilles, en termes de recyclage et de protection contre le gel. Le recyclage se fait à plusieurs niveaux. D’abord, les produits de la dégradation de la chlorophylle des feuilles et de certaines protéines sont réutilisés dans l’arbre sous forme de nutriments carbonés et azotés. Ensuite, le recyclage se complète lorsque les feuilles tombent et que ses constituants sont dégradés par les micro organismes du sol et sont captés à nouveau par l’arbre. Second point, les feuilles représentent un facteur de vulnérabilité au gel, à cause du phénomène appelé embolie hivernale : en cas de froid intense, les vaisseaux des feuilles gèlent, les gaz dissous dans la sève forment alors des bulles d’air car ils sont très peu solubles dans la glace formée. Lors du dégel, ces bulles d’air grossissent et provoquent l’interruption de la circulation de sève. Si l'arbre gardait ses feuilles en hiver, elles dépériraient par déshydratation.

Et qu’en est-il alors pour les arbres à feuilles persistantes ? Les arbres à feuilles persistantes sont moins sensibles au froid. Les conifères sont bien protégés contre le phénomène d’embolie hivernale car leurs aiguilles possèdent des éléments conducteurs (tracheïdes) très étroits où ne peuvent être piégées que des bulles d’air très petites. De plus, leur système photosynthétique est plus résistant au froid.

Y a-t-il une « descente de sève » avant la chute des feuilles ?

Il est faux de dire que la sève quitte les feuilles avant leur chute. Il n’y a pas de « descente » de sève. La sève reste dans les vaisseaux. En période feuillée, la sève brute, essentiellement de l’eau, monte des racines vers les feuilles via les vaisseaux tandis que la sève élaborée (2), enrichie par les produits de la photosynthèse des feuilles, redescend vers les racines en passant de cellules en cellules, qu’elle nourrit au passage. L’arbre sans feuilles ralentit fortement sa croissance et vit sur ses réserves d’amidon stockés dans le tronc et l’écorce. L’amidon est transformé en sucres solubles qui ont aussi une fonction « d’antigel ».

 

Bon dimanche......

 

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