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6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 04:31

Opération "Overlord" http://t.co/aEW45gAS8T #evenements

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6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 04:30
 6 juin 1944 6 juin 2015...71 ans déjà

6 juin 1944 6 juin 2015...71 ans déjà

73 ans après  encore merci les Gars………………

 

Aujourd’hui En observant les plages de la côte normande, il est difficile d’imaginer que ce lieu paradisiaque fût le théâtre d’affrontements meurtriers lors de l’Opération Overlord. La plus grande opération militaire de la Seconde Guerre mondiale regorgeant  de stratégies inconnues du grand public comme le fait que les Alliés ont gardé le secret de la date et du lieu, et ont réussi à berner les Allemands grâce à de fausses informations

D’Utah Beach à Swords  Beach, nos alliés, ont débarqués par Dizaines de  milliers, afin de libérer notre pays, ce sont des forces alliées considérables, qui sont venues pour libérer notre nation au prix de lourdes pertes hélas ! Après le battage médiatique de ces dernieres année et notament pour le 70 ième anniversaire  Je n’en ferais pas ici le récit, tout a été écrit par des rescapés de l’aventure, mais, 71 ans après je voulais à titre personnel, ici apporter mon témoignage et commémorer à ma façon cette mémoire afin que l’on n’oublie jamais à qui nous devons le prix de notre liberté…………..

Les soldats américains à l'approche d'Omaha Beach. L'opération Neptune, nom de code du débarquement et première phase de l'opération Overlord, devait initialement avoir lieu quelques jours plus tôt. Les conditions météo l'ont repoussée à la date fatidique du 6 juin. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

Les soldats américains à l'approche d'Omaha Beach. L'opération Neptune, nom de code du débarquement et première phase de l'opération Overlord, devait initialement avoir lieu quelques jours plus tôt. Les conditions météo l'ont repoussée à la date fatidique du 6 juin. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

Pourquoi le 6 juin 44 ?

 

Lors de la conférence "Trident", tenue à Washington en mai 1943, les Alliés, engagés depuis plusieurs mois dans des opérations en Méditerranée, décident du principe d’un débarquement sur les côtes occidentales de l’Europe. La date retenue est alors le mois de mai 1944. En août, les plages de Basse-Normandie sont choisies de préférence à celles du Pas-de-Calais.

En décembre 1943, le général Eisenhower prend ses fonctions de commandant en chef de l’opération, qui a reçu le nom de code d"Overlord". Il est assisté du général Montgomery, placé à la tête des troupes terrestres. Découvrant les plans mis au point par le COSSAC (l’état-major dirigé par le général Morgan, chargé de la préparation des opérations), les deux hommes jugent que le secteur de débarquement retenu, entre Grandcamp et Courseulles, est trop étroit. Ils décident donc d’y adjoindre deux plages supplémentaires : l’une à l’est entre Courseulles et l’embouchure de l’Orne ; l’autre à l’ouest, sur les côtes du Cotentin, afin de pouvoir s’emparer plus rapidement du port de Cherbourg. Mais cette modification exige des moyens supplémentaires, notamment en avions et en péniches de transport et d’assaut. Le Jour « J » est donc repoussé d’un mois, en juin 1944.

Restent à déterminer le jour précis et l’heure de l’assaut. Une série de paramètres entrent en ligne de compte. Prévoyant une attaque des Alliés à marée haute, Rommel a truffé les plages d’obstacles disposés en conséquence. L’assaut devra donc avoir lieu à mi-marée montante, avant que les péniches ne viennent s’empaler sur les pièges. Quant aux troupes aéroportées, leur mission requiert une nuit de pleine lune. Enfin, la marine, qui doit bombarder les défenses allemandes 45 minutes avant l’heure « H », entend opérer aux premières lueurs de l’aube, pour mieux repérer ses objectifs. Ces trois conditions (mi-marée montante, à l’aube, précédée d’une nuit de pleine lune, ne se rencontrent que quelques jours par mois. Eisenhower fixe donc le déclenchement des opérations au 5 juin, avec possibilité de report le 6 ou le 7.

Finalement, le mauvais temps qui se leva sur la Manche début juin obligera Eisenhower à repousser le débarquement du 5 au lendemain, sur la foi des informations fournies par la météo, prévoyant une accalmie ce jour-là.

C’est ainsi que le mardi 6 juin 1944 est entré dans l’Histoire!

Robert Capa est le seul photojournaliste présent dans la première vague d'assaut d'Omaha Beach. Il saisit le mouvement des combattants dans une mer agitée, sous le feu des mitrailleuses ennemies.  (ROBERT CAPA/MAGNUM PHOTOS)

Robert Capa est le seul photojournaliste présent dans la première vague d'assaut d'Omaha Beach. Il saisit le mouvement des combattants dans une mer agitée, sous le feu des mitrailleuses ennemies. (ROBERT CAPA/MAGNUM PHOTOS)

Le D-DAY opération « overlord »(Suzerain en français)

6 juin 1944, en France occupée. Des bâtiments de guerre apparaissent (dont 4266 navires de transport et 722 navires de guerre à l'aube au large des côtes normandes sur un front de 35 km de large. Protégés par plus de 10000 avions  Ce jour-là, 156.000 soldats américains, canadiens et britanniques, plus une poignée de Français, ont pour mission d'enfoncer le mur de l'Atlantique des nazis. Ce jour-là, c'est le Jour J : la première étape de la reconquête de l'Europe par les Alliés.

À Omaha Beach, l'une des plages ciblées par les troupes des États-Unis, le D-Day débouche sur un carnage. Le relief défavorable, mais aussi les bombardements inefficaces des positions ennemies ont transformé le débarquement en cauchemar. La première vague d'Américains enregistre 90% de pertes, et la ligne allemande ne sera percée qu'au prix d'immenses efforts. À la fin de la journée, toutes plages confondues, les Alliés totalisent 3.800 soldats tués.
Ce 6 juin dramatique et historique a été documenté par plusieurs photographes, dont Robert Capa, célèbre cofondateur de l'agence Magnum, qui a assisté en première ligne à l'assaut sur Omaha Beach. 70 ans plus tard, voici leur témoignage.

En ce début de mois de juin 44, plus d'un million et demi de militaires américains étaient stationnés en Angleterre. Près de 300.000 alliés, incluant notamment des Canadiens et des Britanniques, ont traversé la Manche dans la nuit du 5 ou 6 juin, et 155.000 ont débarqué en Normandie lors du D-Day. Ci-dessus, des soldats entassés dans une péniche de type Landing Craft Infantry. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

En ce début de mois de juin 44, plus d'un million et demi de militaires américains étaient stationnés en Angleterre. Près de 300.000 alliés, incluant notamment des Canadiens et des Britanniques, ont traversé la Manche dans la nuit du 5 ou 6 juin, et 155.000 ont débarqué en Normandie lors du D-Day. Ci-dessus, des soldats entassés dans une péniche de type Landing Craft Infantry. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

À quelques instants de l'attaque, la peur se lit sur les visages des soldats et du personnel médical américains. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

À quelques instants de l'attaque, la peur se lit sur les visages des soldats et du personnel médical américains. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

À l'aube, les barges de débarquements mettent le cap sur cinq plages stratégiques. Leurs noms de code : Omaha, Utah, Gold, Juno, Sword. Dans le même temps, une troupe d'élite de rangers américains s'empare de la pointe du Hoc, près d'Omaha.  (ANONYMOUS/AP/SIPA)

À l'aube, les barges de débarquements mettent le cap sur cinq plages stratégiques. Leurs noms de code : Omaha, Utah, Gold, Juno, Sword. Dans le même temps, une troupe d'élite de rangers américains s'empare de la pointe du Hoc, près d'Omaha. (ANONYMOUS/AP/SIPA)

L'infanterie est soutenue par des bombardiers, tel ce Martin B-26 Marauder de la 9th Airforce. Mais les frappes sur Omaha s'avèrent inefficaces, ce qui aura des conséquences dramatique pour les militaires engagés au sol.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)

L'infanterie est soutenue par des bombardiers, tel ce Martin B-26 Marauder de la 9th Airforce. Mais les frappes sur Omaha s'avèrent inefficaces, ce qui aura des conséquences dramatique pour les militaires engagés au sol. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

Les parachutistes américains ont, quant à eux, devancé dans la nuit du 5 au 6 juin les soldats de l'infanterie, menant des opérations ciblées en territoire ennemi. (Anonymous/AP/SIPA).
Les parachutistes américains ont, quant à eux, devancé dans la nuit du 5 au 6 juin les soldats de l'infanterie, menant des opérations ciblées en territoire ennemi. (Anonymous/AP/SIPA).

Les parachutistes américains ont, quant à eux, devancé dans la nuit du 5 au 6 juin les soldats de l'infanterie, menant des opérations ciblées en territoire ennemi. (Anonymous/AP/SIPA).

En retour, les navires alliés subissent eux aussi des bombardements par les forces allemandes.  (AFP) .À proximité de la rive, les soldats s'extraient des barges. À Omaha, face aux tirs intenses des Allemands, un grand nombre mourront noyés.  (AP Photo)
En retour, les navires alliés subissent eux aussi des bombardements par les forces allemandes.  (AFP) .À proximité de la rive, les soldats s'extraient des barges. À Omaha, face aux tirs intenses des Allemands, un grand nombre mourront noyés.  (AP Photo)

En retour, les navires alliés subissent eux aussi des bombardements par les forces allemandes. (AFP) .À proximité de la rive, les soldats s'extraient des barges. À Omaha, face aux tirs intenses des Allemands, un grand nombre mourront noyés. (AP Photo)

Cette photo prise par Capa est devenue l'icône du Débarquement. Des décennies plus tard, on a identifié l'homme présent à l'image : Huston Riley, décédé en 2011. Dans cette scène, il vient de recevoir quatre balles à l'épaule. Le photographe l'a aidé à sortir de l'eau. Lire son témoignage sur "Slate". (ROBERT CAPA/MAGNUM PHOTOS)

Cette photo prise par Capa est devenue l'icône du Débarquement. Des décennies plus tard, on a identifié l'homme présent à l'image : Huston Riley, décédé en 2011. Dans cette scène, il vient de recevoir quatre balles à l'épaule. Le photographe l'a aidé à sortir de l'eau. Lire son témoignage sur "Slate". (ROBERT CAPA/MAGNUM PHOTOS)

Si les affrontements à Utah Beach tournent rapidement en faveur Américains, le débarquement des soldats n'en demeure pas moins mortellement dangereux. Ici, des militaires aident leurs camarades épuisés à rejoindre la rive. (AP Photo).Un Américain avec une mitrailleuse, pendant les combats.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)
Si les affrontements à Utah Beach tournent rapidement en faveur Américains, le débarquement des soldats n'en demeure pas moins mortellement dangereux. Ici, des militaires aident leurs camarades épuisés à rejoindre la rive. (AP Photo).Un Américain avec une mitrailleuse, pendant les combats.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)

Si les affrontements à Utah Beach tournent rapidement en faveur Américains, le débarquement des soldats n'en demeure pas moins mortellement dangereux. Ici, des militaires aident leurs camarades épuisés à rejoindre la rive. (AP Photo).Un Américain avec une mitrailleuse, pendant les combats. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

Des soldats américains du 8e régiment de la 4e division d'infanterie pendant les affrontements sur Utah Beach. 197 d'entre eux périront sur cette plage le 6 juin.  (Reuters)

Des soldats américains du 8e régiment de la 4e division d'infanterie pendant les affrontements sur Utah Beach. 197 d'entre eux périront sur cette plage le 6 juin. (Reuters)

Sous les tirs ennemis, les soldats britanniques des 13th/18th Hussars s'abritent à plat ventre sur le sable. (Mary Evans Picture Library/SIPA)     Les troupes britanniques et canadiennes débarquent à Juno Beach. Du fait des fortifications établies par les nazis dans les grands ports de la côte atlantique, les Alliés ont ciblé des plages globalement peu défendues.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)
Sous les tirs ennemis, les soldats britanniques des 13th/18th Hussars s'abritent à plat ventre sur le sable. (Mary Evans Picture Library/SIPA)     Les troupes britanniques et canadiennes débarquent à Juno Beach. Du fait des fortifications établies par les nazis dans les grands ports de la côte atlantique, les Alliés ont ciblé des plages globalement peu défendues.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)

Sous les tirs ennemis, les soldats britanniques des 13th/18th Hussars s'abritent à plat ventre sur le sable. (Mary Evans Picture Library/SIPA) Les troupes britanniques et canadiennes débarquent à Juno Beach. Du fait des fortifications établies par les nazis dans les grands ports de la côte atlantique, les Alliés ont ciblé des plages globalement peu défendues. (Mary Evans Picture Library/SIPA)

Un soldat allemand tué près d'un blockhaus à Utah Beach. Au terme des combats, l'armée allemande comptabilise la perte de 10.000 soldats (tués, blessés ou capturés).  (Mary Evans Picture Library/SIPA)      Un jeune soldat américain soigné par un médecin. Comme les Allemands, les Alliés totalisent environ 10.000 pertes après la fin des différents assauts.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)      Des Canadiens détiennent des prisonniers allemands. (MARY EVANS/SIPA)Un soldat allemand tué près d'un blockhaus à Utah Beach. Au terme des combats, l'armée allemande comptabilise la perte de 10.000 soldats (tués, blessés ou capturés).  (Mary Evans Picture Library/SIPA)      Un jeune soldat américain soigné par un médecin. Comme les Allemands, les Alliés totalisent environ 10.000 pertes après la fin des différents assauts.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)      Des Canadiens détiennent des prisonniers allemands. (MARY EVANS/SIPA)
Un soldat allemand tué près d'un blockhaus à Utah Beach. Au terme des combats, l'armée allemande comptabilise la perte de 10.000 soldats (tués, blessés ou capturés).  (Mary Evans Picture Library/SIPA)      Un jeune soldat américain soigné par un médecin. Comme les Allemands, les Alliés totalisent environ 10.000 pertes après la fin des différents assauts.  (Mary Evans Picture Library/SIPA)      Des Canadiens détiennent des prisonniers allemands. (MARY EVANS/SIPA)

Un soldat allemand tué près d'un blockhaus à Utah Beach. Au terme des combats, l'armée allemande comptabilise la perte de 10.000 soldats (tués, blessés ou capturés). (Mary Evans Picture Library/SIPA) Un jeune soldat américain soigné par un médecin. Comme les Allemands, les Alliés totalisent environ 10.000 pertes après la fin des différents assauts. (Mary Evans Picture Library/SIPA) Des Canadiens détiennent des prisonniers allemands. (MARY EVANS/SIPA)

Des soldats britanniques se détendent en lisant un guide touristique sur la France dans leur barge de débarquement. (AFP/STF)      177 Français appartenant aux commandos Kieffer ont participé au Débarquement allié, et 10 ont perdu la vie le 6 juin. On les voit ci-dessus progresser dans Ouistreham, après les combats.  (Jose NICOLAS / Jacques WITT / SIPA PRESS)      Parmi les soldats français qui ont participé au Débarquement, il faut également citer Bernard Dargols. En 1940, lorsque l'Allemagne a envahi la France, le jeune homme de 19 ans se trouvait aux États-Unis pour un stage. Il revient dans son pays natal le 8 juin 1944 à Omaha Beach, avec l'uniforme des GI. Son récit héroïque est à lire sur le Plus.  (Famille Dargols)Des soldats britanniques se détendent en lisant un guide touristique sur la France dans leur barge de débarquement. (AFP/STF)      177 Français appartenant aux commandos Kieffer ont participé au Débarquement allié, et 10 ont perdu la vie le 6 juin. On les voit ci-dessus progresser dans Ouistreham, après les combats.  (Jose NICOLAS / Jacques WITT / SIPA PRESS)      Parmi les soldats français qui ont participé au Débarquement, il faut également citer Bernard Dargols. En 1940, lorsque l'Allemagne a envahi la France, le jeune homme de 19 ans se trouvait aux États-Unis pour un stage. Il revient dans son pays natal le 8 juin 1944 à Omaha Beach, avec l'uniforme des GI. Son récit héroïque est à lire sur le Plus.  (Famille Dargols)
Des soldats britanniques se détendent en lisant un guide touristique sur la France dans leur barge de débarquement. (AFP/STF)      177 Français appartenant aux commandos Kieffer ont participé au Débarquement allié, et 10 ont perdu la vie le 6 juin. On les voit ci-dessus progresser dans Ouistreham, après les combats.  (Jose NICOLAS / Jacques WITT / SIPA PRESS)      Parmi les soldats français qui ont participé au Débarquement, il faut également citer Bernard Dargols. En 1940, lorsque l'Allemagne a envahi la France, le jeune homme de 19 ans se trouvait aux États-Unis pour un stage. Il revient dans son pays natal le 8 juin 1944 à Omaha Beach, avec l'uniforme des GI. Son récit héroïque est à lire sur le Plus.  (Famille Dargols)

Des soldats britanniques se détendent en lisant un guide touristique sur la France dans leur barge de débarquement. (AFP/STF) 177 Français appartenant aux commandos Kieffer ont participé au Débarquement allié, et 10 ont perdu la vie le 6 juin. On les voit ci-dessus progresser dans Ouistreham, après les combats. (Jose NICOLAS / Jacques WITT / SIPA PRESS) Parmi les soldats français qui ont participé au Débarquement, il faut également citer Bernard Dargols. En 1940, lorsque l'Allemagne a envahi la France, le jeune homme de 19 ans se trouvait aux États-Unis pour un stage. Il revient dans son pays natal le 8 juin 1944 à Omaha Beach, avec l'uniforme des GI. Son récit héroïque est à lire sur le Plus. (Famille Dargols)

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31 mai 2015 7 31 /05 /mai /2015 06:17
Fête des " Mères "

Le billet du "Dimanche"

 

  Il était normal qu'en ce dernier dimanche de Mai nous participions à la célébration de nos Mamans , moi le premier je me devais de les honorer à ma façon, c'est pour cela que j'ai préféré le faire cette année non pas par le traditionnel poème , mais par un retour sur le passé à savoir " son origine ".......

 

Bonne fête Maman! Mais en fait… pourquoi?

« Ouais, de toute façon, tout ça, c’est que du marketing pour faire du pognon… »

Vous aussi, vous avez forcément quelqu’un dans votre entourage qui vous fait ce genre de réflexions à l’approche de la fête des Mères (notez bien que ça marche aussi bien pour la Saint Valentin!). Pourtant, la célébration des mères de famille est une tradition encore plus ancienne que celle de Noël! Et toc.

Vous n’avez donc plus aucune excuse pour ne pas casser votre tirelire et faire plaisir à votre Maman chérie. Attendez, attendez… J’en vois d’ici qui sont sceptiques, derrière leur écran. Vous ne me croyez pas? Dans ce cas, c’est parti pour un tour d’horizon de l’histoire de de la Fête des Mères!

Dans l’antiquité: " la mère des Dieux à l’honneur"

C’est dans la Grèce antique que l’on retrouve les premières traces de la célébration des mères. Plus particulièrement, c’est la mère de tous les Dieux de l’Olympe, Rhéa, qui est à l’honneur.

Plus tard, les Romains leur empruntent cette tradition et l’élargissent en célébrant cette fois les matronalia – ou matrones, c’est à dire les mères de famille. Le choix du 1er mars pour cette célébration n’est pas anodin (Mars est le dieu de la Guerre…). Après tout, ce sont bien les femmes qui ont mis fin à la guerre entre Romains et Sabins du temps de Romulus!

Au XVIe siècle : l’Angleterre relance la machine

L’avènement des religions monothéistes dans les premières années de notre ère mettent fin aux matronalia et les Mamans sont oubliées pendant des siècles… Heureusement, les Anglais lancent une nouvelle tradition à partir du XVIe siècle, le Mothering Sunday (littéralement, le dimanche des mères). Que les petites gens en profitent! C’est l’unique jour de congés que leur employeur leur concèdent, histoire que l’ensemble de la famille puisse se réunir au moins une fois dans l’année. On n’arrête pas le progrès social…

En 1806 : Napoléon entre en scène

En 1806, Napoléon aurait évoqué l’idée d’une fête nationale consacrant les Mamans au Printemps, « quand renaît la nature entière, car c’est à ma mère que je dois tout ». Notez toutefois que je n’ai pas réussi à trouver de sources fiables pour corroborer cette information… Mais connaissant le bonhomme, c’est typiquement le genre d’idées qu’il aurait pu avoir!

Au XXe siècle : les choses se précisent

C’est en 1906, à Artas, petite ville du Nord-Isère  qu’est célébrée officiellement la toute première fête des Mères.

Pourtant, il faudra encore attendre un peu pour que la tradition s’étende à l’ensemble du territoire. C’est la première Guerre Mondiale qui servira d’accélérateur: le 16 juin 1918, on célébrera la journée des Mères en hommage à toutes les femmes ayant perdu un fils ou un mari dans les tranchées.

Dix ans plus tard, en 1929, cette journée servira à encourager la natalité dans le cadre de la politique familiale.

La touche finale du maréchal Pétain

Contrairement à ce que l’on entend parfois, le maréchal Pétain n’a pas inventé la fête des mères. Il s’est simplement contenté de l’officialiser et de l’inscrire au calendrier: la journée nationale des mères est ainsi « créée » le 25 mai 1941.

Neuf ans plus tard, le 24 mai 1950, c’est le président de la République Vincent Auriol qui en fixe définitivement la date au dernier dimanche de mai (sauf si cela correspond au jour de la Pentecôte, dans ce cas la fête des Mères est repoussée d’une semaine).

On vient de le voir, la Fête des Mères est tout sauf une stratégie marketing mise au point par une Grande Distribution diabolique en recherche de profits. Maintenant, le fait qu’elle serve également d’effet d’aubaine à certains commerçants n’est pas une raison suffisante pour priver votre Maman d’un beau cadeau!

Fête des " Mères "

Une maman est semblable à une rose qui ne se fane jamais.
Une maman, c’est celle qui gronde mais qui pardonne tout.
Jean Gastaldi
La beauté des mères dépasse infiniment la gloire de la nature.
Christian Bobin
Les mamans, ça pardonne toujours; c’est venu au monde pour ça.
Alexandre Dumas père
Et pour conclure
Les mamans, ça pardonne toujours ; c'est venu au monde pour ça.
Alexandre Dumas

Fête des " Mères "
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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 07:05

Bonne Fête.............. http://t.co/CdoyqQkoV0 #evenements

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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 07:04
Bonne Fête..............

Offrir son petit brin

 

 

Tous les ans à l’occasion de la Fête du Travail, on s’offre un brin de muguet.

Chaque année, on a pour habitude de s’offrir un brin de muguet le 1er mai. Cette tradition ne date pas d'hier. Dès l’Antiquité, les Romains s’offraient des fleurs à l’occasion du printemps. Le muguet symbolise le printemps et le renouveau. De plus, il était considéré comme une fleur magique et servait de charme amoureux. Par ailleurs, la nuit du 30 avril au 1er mai était le moment où les démons et sorciers qui ont horreur du printemps sortaient.

En France, cette coutume date de la Renaissance, pendant le règne de Charles IX, Selon la légende, en 1560, Louis de Girard, le chevalier de Catherine de Médicis, avait offert un brin de muguet au roi de France en guise de porte-bonheur. Charles IX avait alors décidé d’instaurer cette pratique d’offrir un brin de muguet au printemps aux dames de la cour, en déclarant : "Qu'il en soit fait ainsi chaque année".

La Fête du Travail a été inaugurée en 1889. Les manifestants avaient pris l’habitude de défiler en arborant une fleur d’églantine à la boutonnière. Sous l’Occupation, le maréchal Pétain a instauré le 24 avril 1941 "la Fête du travail et de la Concorde sociale", célébrée le 1er mai. L’idée étant de rallier les ouvriers au régime de Vichy. Il a fait remplacer l’églantine rouge, associée à la gauche, par du muguet. Depuis on continue à s’offrir cette fleur chaque année.


En ce qui concerne la vente du muguet, les fleuristes sont les premiers chez lesquels on peut en acheter. Des arrêtés municipaux autorisent cependant les particuliers et les associations à vendre du muguet le 1er mai. Toutefois, il doit s’agir de fleurs provenant de jardins et non de reventes. Il faut également se trouver à une certaine distance d’un fleuriste. Les infractions sont passibles d’amendes.

Que ce brin vous apporte que du bonheur..............
 

Bonne fête & bonne journée 

"Joli muguet, au mois de mai fleurit,
Pour nous charmer de son parfum de lys.
Rien n'est plus frais que ses corolles pâles
Offertes par une main amicale."

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